Ma premiere fois 4 (suite) - histoire érotique

Ma première fois 4. (Dans un club privé)


Ce soir Allan m'emmène dans un club privé.
J'ai dit à Marion qu'il fallait que je rentre chez moi pour le week-end mais Allan m'emmena chez manu pour que je me prépare. Manu m'a appris le lavement anal et il m'avait acheté pour l'occasion une belle robe de soirée, bas, string et guêpière.
Allan vint me chercher à 20 heures. Manu lui, allait chercher sa copine pour la soirée.
On était invité dans un château, en tout on était 10 couples. Le repas était délicieux et après le dessert un homme se lève et dit :
Maintenant nous allons passer aux choses sérieuses. Allons dans la salle à orgie.
Tout le monde se lève et on le suit. Il nous emmène dans une salle avec des tapis, des coussins, des divans. Les bougies remplaçaient les lustres et il y avait un bon feu de cheminée.
Un homme s'approche de moi par derrière et me caresse les épaules. Il m'embrasse dans le cou et pendant ce temps, une femme arrive devant moi et m'embrasse sur la bouche en rentrant sa langue.
Elle me touche les seins délicatement, attrape mes tétons et les roulent entre ses doigts.
L'homme qui était derrière moi, enlève ma robe, mon string et mon soutif. La femme me lèche les seins et me mordille les pointes. La main de l'homme descend sur mon ventre et arrive à ma chatte. Il se met à taquiner mon bourgeon qui vient de sortir comme si il savait ce qui l'attendait. Mes mains ne restent pas inactives, je déshabille la femme et me met à la caresser aussi. Pour me faciliter la tache elle écarte les cuisses et je vais fouiller son chaudron déjà humide. L'homme nous dit :
Ne restons pas là, allons sur un divan.
Autour de nous les autres avaient eux aussi commencé leurs jeux sexuels.
L'homme m'allongea sur le divan, la femme se mis entre mes cuisses et commença à me lécher le minou. L'homme lui, me présenta sa verge que je pris dans ma bouche pour une petite pipe.
Je ne savais pas qui étais cette femme mais tout ce que je savais c'est qu'elle me léchait comme une déesse. Elle me mordillait le clito, rentrait sa langue dans ma fente et me pénétrait la chatte avec ses deux doigts. Je ne pouvais pas hurler car je suçais une belle queue; et quelle queue !!! Elle mesurait plus de 20 cm et au moins 5 de circonférence. Je ne pouvais pas la mettre entière dans la bouche mais le peu que je mettais je m'appliquais à ce que ce soit bien fait. Je le branlais en même temps et je lui suçais aussi les couilles. Elle avait bon goût sa bite et quand je lui aspirais la fente une mouille en sortait.
Tu mouilles mon salop, mais ce n'est pas fini je vais te faire juter.
Oui vas y suce moi, je vais te faire gober mes petiots, tu suces à merveille. Oh oui !!
Le va et vient allait de plus en plus vite, et quand je le sentis prêt à cracher je l'enlevais de ma bouche et il cracha sur ma poitrine.
OOOHH OOUI, c'est bonn, AAAHH.
La femme qui était entre mes jambes ne restait pas inactive non plus, elle me léchait de plus en plus vite et elle avait mis 3 doigts dans ma chatte. Elle mordillait mon clito et le suçait. Le désir était tellement fort que je lui suppliais d'arrêter :
OOHH, arrête je n'en peux plus, va doucement. OOUUII, vas y ohhh, c'est bon.
Elle me rentrait ses doigts de plus en plus vite et fort, ma chatte dégoulinait. Sa langue torturait mon clito, dés qu'elle le touchait je sentais que le pauvre m'envoyait des ondes de détresse pour que le plaisir cesse, pour que l'orgasme arrive enfin. Et il arriva, fort, très fort :
AAAHH, OUIII, c'est bon. J'aime, je t'aime. Je n'en peux plus.
Elle se releva et m'embrassa, ensuite elle s'en alla.
Un autre homme arriva et me planta deux doigts dans la chatte, je ne mettais pas encore remise du premier orgasme que déjà un autre revenait à la charge.
Tu es toute mouillé, prête à me recevoir.
Il me pénétra sa verge dans mon con et je peux vous dire que malgré sa grosseur il n'a pas eu de mal à y rentrer. Il m'attrapa par les hanches, me souleva et me mis à califourchon sur lui. Je sentais sa grosse queue dans mes entrailles et je me mis à descendre et monter sur son engin qui me remplissait complètement. Je mouillais comme une dingue et lui me pinçait les tétons. La cadence allait de plus en plus vite. Son pieu enfoncé profondément en moi m'arrachait des cris de jouissance à chaque coup de boutoir. Mais d'un seul coup il m'allongea sur lui. Je pensais que c’était pour m'embrasser mais non. Je sentais que quelqu'un essayait de fouiller ma petite corolle et quand je me retournais un autre homme était là son doigt enfonçait dans mon cul. Ensuite il m'écarta les fesses et s'enfonça dans mon anus :
Non, non. Vous allez me déchirer, vous êtes trop gros. S’il vous plait.
Ne t'inquiète pas je vais t'enculer en douceur et après tu en redemanderas.
Il y alla vraiment doucement je sentais chaque centimètre de son membre me rentrer dans le cul.
L'autre avait arrêté ses mouvements pour laisser son pote faire son oeuvre. Une fois totalement enfonçé il se retira mais pas complètement et il recommença son va et vient plusieurs fois le temps que je m'y fasse. Je commençais enfin à avoir du plaisir, ils s'en sont aperçus et le rythme de leur va et vient s'intensifia :
Oui allez y, je n'ai plus mal. Baisez moi, défoncez moi, j'aime ce que vous faîtes. Plus fort, plus vite.
Ils me prirent aux mots et ils me défonçaient complètement. Je sentais leurs gros membres coulisser dans mes orifices. Je me régalais quand un autre arriva et me fourra sa queue dans la bouche et il me la baisa. Cela n'empêcha pas l'orgasme d'arriver et à mes hommes non plus. Ils se mirent tous les trois à gicler. Je n'aime pas le goût du sperme et je recrachais le foutre à l'autre qui était arrivé sans prévenir. Je ne pensais qu'a une chose maintenant : DORMIR.
Donc je m'assoupis là, sur le divan. Bien sur l'histoire n'est pas finie mais je vous raconterais la suite plus tard. Bisous et à bientôt.