Ma première fois
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 146 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Jean-Pierre ont reçu un total de 4 425 688 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2011 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 48 383 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma première fois
Ma première fois
Je ne ressemble pourtant pas à Quasimodo, mais lorsque j'avais 18 ans j'étais encore puceau, même pas un petit flirt avec une fille, pas le moindre baiser, encore moins d'attouchements. Depuis plusieurs années cela commençait à me peser la libération que j'éprouvais dans la masturbation aussi plaisante fut-elle n'était que très furtive.
Mon esprit était sans cesse occupé par les filles des magazines de charmes, leur belle chevelure, leurs yeux souvent pleins de vice, leur bouche pulpeuse, leurs seins lourds, la cambrure de leur reins, leurs longues jambes et leur minou, objet particulier de mon désir que je souhaiter pouvoir lécher des heures. Les images érotiques même pornographiques issues de la lecture en cachette de revues très suggestives hantaient mon esprit nuit et jour.
A mes vacances scolaire, pour me faire un peu d'argent, je partis travailler, pour un mois l'été de mes 19 ans, dans le sud de la France. C'étais au domicile d'un couple très ami de mes parents. Mon travail consistait à quelques travaux dans leur jardin, m'occuper de la piscine et surtout finir de déballer, ranger et classer leur collection de livres, disques, bibelots divers contenus dans une centaine de cartons, après leur récent déménagement. Tout cela pour le gîte , le couvert, un petit salaire et surtout l'opportunité de voir un peu les plages méditerranéennes toutes proches.
Je me souvenais avoir rencontré ce couple chez mes parents, il y a plusieurs années, sans que cela ne m'ai marqué . D'ailleurs, lorsque le Copain de mon père vint me chercher à l'aéroport, je ne le reconnut absolument pas. C'était un type de la quarantaine, plus petit que moi, très bavard rigollot avec des attitudes un peu efféminées.
La maison était vaste, tout comme leur jardin, leur piscine, et, après avoir vu l'entassement de cartons à classer et à ranger dans le garage, je pensais qu'il y aurait du boulot pour l'année et que ce ne serait pas une partie de plaisir. Je me dis aussi qu'ils devaient avoir un paquet de pognon et que mon salaire pour trois semaines était bien mérité.
Quelques heures après mon arrivée, la femme du copain de mon père, fit son arrivée, les bras chargés de sacs. Je ne la reconnus pas, j'avais dû la voir une seule fois. Au contraire de son mari, elle ne me parut pas du tout banale. Grande, brune, elle semblait avoir une dizaine d'années de moins que son mari. C'était une femme superbe et, à peine m'adressa-t-elle la parole, je sentis le rouge me monter aux joues et également une certaine agitation dans mon caleçon. Elle m'avait pourtant juste dit : - bonjour je m'appel Sophie.
La nuit même, j'éprouvais un besoin à me masturber en pensant à cette femme proche de moi. Son mari travaillant dans la journée à plus de 20 km, cette femme était souvent seule toute la journée à la maison. Je veux dire, seule avec moi. Les premiers jours, tout en faisant mon travail, je ne manquais pas une occasion d'observer le plus discrètement cette femme qui avait déjà remplacé toutes les pin-ups de mes magazines. A un point tel que je n'avais pas encore sortit de mon sac les revues presque x que j'avais emporté pour animer mes nombreuses branlettes. L'image de Sophie et mes fantasmes à son égard suffisaient largement.
Sophie était très gentille et me proposait souvent de prendre une matinée ou une après-midi pour filer à la plage mais je souhaitais lui montrer le meilleur de moi-même en travaillant plus que nécessaire et en réalisant des petits travaux dans la maison et autres services. Je souhaitais surtout rester à la maison en l'absence de son mari, où je pouvais être proche d'elle et l'observer à ma guise.
Mon plus grand plaisir était de la regarder lorsqu'elle allait nager dans la piscine puis se laissait dorer au soleil pendant un long moment. Elle avait chaque fois un maillot de bain différent et je pouvais apprécier les merveilleuses courbes de son corps. Cela m'exciter à un tel point, que j'étais souvent obliger de me réfugier au toilette pour me branler.
J'essayais d'être discret mais elle s'est vite rendu compte de quelque chose, de temps en temps, elle surprenait mon regard inquisiteur et me lancer son merveilleux sourire. A la fin de la première semaine, en passant près de la corbeille à linge sale, je subtilisai une de ses culottes à dentelles et le soir même je me masturbai en ayant pris soin d'enrouler celle-ci autour de ma verge.
Le lendemain, j'étais en train de lire dans ma chambre, Sophie frappa à ma porte puis entra pour me demander d'arrêter l'aspirateur automatique dans la piscine car elle souhaitait nager un peu. Je me rendis compte, que j'avais laissé sa petite culotte bien en vue sur mon lit. J'eu la sensation qu'elle l'avait aperçu. Pourtant, elle ne dit rien et sortit de la chambre.
Un autre jours elle m'appela depuis la fenêtre de sa chambre du premier étage, j'étais occupé à mettre du chlore dans la piscine. Il était 9 heures du matin son mari venait de partir pour son travail. Elle souhaitait que je vienne finir de classer les livres dans la bibliothèque de sa chambre maintenant car elle voulait retrouver certains ouvrages d'une amie avec qui elle devait déjeuner.
Arrivé à l'entrée de sa chambre, je la vis dans le reflet du miroir au-dessus de la coiffeuse, elle était assise, portait une robe de chambre bleue et était en train de se maquiller. Sans me donner un regard autre que celui indirect par le miroir, elle me demanda d'ouvrir les cartons à côté du lit et de classer les livres s'y trouvant dans la bibliothèque. Je m'exécutai aussitôt, très ému de me trouver seul avec une femme aussi belle proche de moi.
La bibliothèque étant du côté opposé à l'endroit où elle se maquillait, je devais lui tourner le dos en plaçant les livres. Chaque fois que je me retournai pour prendre des livres dans un carton je ne pouvais pas m'empêcher de lancer un coup d'œil vers elle. Elle coiffait ses longs cheveux noirs, sa robe de chambre s'était desserrée et laissait entrevoir son soutien-gorge chargé te tenir en place ses deux énormes seins que j'avais eu l'occasion d'entrevoir en la regardant nager dans la piscine. La vue furtive de ce centimètre de soutien-gorge et du renflement de sa poitrine suscitait déjà dans ma verge un picotement de plaisir.
Après quelques minutes, elle commença à se mettre de la crème sur les bras puis sur ces longues jambes en posant son pied sur la coiffeuse pour pouvoir étaler la crème sur toute la longueur. Chacun de mes coups d'œil furtifs m'apportait une brève vision de cette femme bandante en train de prendre soin de son corps. Puis en me retournant une nouvelle fois après avoir disposé quelques bouquins, j'eu un premier choc, elle avait laissé glisser sa robe de chambre pour pouvoir mettre de la crème sur ces épaules. La vision totale de son soutien-gorge retenant difficilement ses deux seins était d'une telle beauté que je restai pétrifié, penché au-dessus d'un carton, les yeux rivés sur le reflet de cette femme très belle, seulement vêtue de ses dessous sexy à quelques mètres de moi.
Je revins à moi lorsque je la vis sourire en me regardant dans le miroir et je piquai un far en plongeant dans le carton de bouquins. Je l'entendis rire puis elle me dit :
- Puisque vous avez l'air déconcentré dans votre travail, pourriez vous vous arrêter quelques instants et venir me donner un coup de main.
Je levai la tête, interrogatif.
- Approchez-vous et venez me passer cette crème sur mon dos, m'expliqua-t-elle.
Je n'étais pas trop sûr d'avoir réellement entendu ces paroles mais je m'avançai néanmoins, marchant comme un robot. Les yeux fixant mes pieds je m'immobilisai un mètre derrière elle, attendant ses consignes.
- Approchez vous un peu et prenez ce tube de crème.
En levant les yeux, je vis qu'elle me tendait le tube la main derrière sa tête sans me regarder mais par mon reflet dans le miroir. Je vis également, ce que j'avais vu auparavant, cette poitrine extraordinaire mise en valeur par son soutien-gorge de dentelle rouge. Je vis également, toujours grâce au miroir, son ventre plat dénudé, avec un léger pli au niveau des hanches et entre ses deux cuisses, une culotte, également de dentelle rouge, dont la légèreté me permettait d'apercevoir des poils pubiens.
Le souffle coupé, j'attrapai tant bien que mal le tube de crème et restai bêtement planté là les yeux sur mes pieds pour essayer de calmé mon excitation et surtout d'éviter que la bosse dans mon pantalon n'atteigne des proportions trop grande.
- Alors ça vient ou pas ? C'est pour aujourd'hui ou pour demain ? me demanda-t-elle sur un ton de reproche mais en souriant.
Je relevai la tête et prenant mon courage à deux mains et surtout me disant que j'aurais tort de ne pas profiter de la situation, j'ouvris le tube de crème et j'en fis couler un peu sur le bout de mes doigts. C'était une crème onctueuse, rose au parfum de framboise.
- Tu en mets partout sur le dos, les épaules jusqu'au bas du dos en massant légèrement.
Je ne me rendis pas compte qu'elle me tutoyait pour la première fois depuis mon arrivée.
Mes mains tremblaient et mon cœur battait fort, je commençai néanmoins à appliquer la crème sur son épaule droite. Après seulement quelques secondes de contact avec sa peau ma queue frétillait déjà dans mon caleçon et j'essayais de penser à autre chose en laissant ma main sur son dos. Impossible ! Même s'il s'agissait que d'étaler de la crème sur son dos mes mains étaient bel et bien en train de parcourir son corps en partie dénudé.
Cela me faisait presque mal j'avais le sexe comprimé. J'avais envie de sortir ma verge de mon pantalon et de me branler en regardant cette femme aux formes éblouissantes. J'étais loin de me douter que ce fantasme jailli de mon imagination depuis seulement quelques minutes allait bientôt se réaliser.
Alors que je finissais de faire pénétrer la crème dans le haut du dos, elle s'avança légèrement sur son fauteuil et glissant ses mains derrière le dos elle dégrafa son soutien-gorge et me dit :
- Attend, pour te faciliter la tâche.
A peine avait elle retirer la petite attache de son soutien gorge, sa poitrine sembla prendre une ampleur encore plus importante, repoussant la dentelle rouge simplement retenue par les bretelles sur les épaules. Ma respiration devenait saccadée, les battements de mon cœur chaotiques et la salive difficile à avaler, elle fit glisser complètement les bretelles de son soutien-gorge finissant de libérer ses seins, qu'elle couvrit avec ses mains sans se presser me permettant un regard sur sa poitrine.
Je bandais comme un taureau, mon membre faisant dans mon pantalon comme le mas d'une tente qu'on est en train de dresser. Impossible qu'elle ne s'en rende pas compte. Effectivement, elle se mit à éclater de rire et me demanda si c'était elle qui me faisait cet effet là. Son expression de surprise était sans doute feinte puisqu'elle s'était presque entièrement exposée nue devant moi et était simplement habillée d'une culotte sexy et ses mains qui ne masquait que partiellement sa belle poitrine, elle devait bien se douter de l'effet qu'elle produirait. Je me sentais pris en faute et tout ce que je pus bredouiller c'est :
- Pardon Madame, vous êtes si belle.
Elle rit de nouveau et me demanda :
- Tu es mignon. Mais justement, mignon comme tu es, tu as sans doute eu souvent l'occasion de t'amuser avec des filles de ton âge bien beaucoup plus sexy que moi ?
- Non, Madame, jamais. répondis-je d'un air de regret.
- Tu me flattes trop.
- Non..enfin, Oui c'est vrais je veux dire, je ne me suis jamais amusé avec aucune fille.
- Tu veux dire que tu n'as jamais couché avec une fille de ton âge...alors tu es puceau ? fit elle, surprise.
- Heu...oui, Madame.
- A ton âge et mignon comme tu es, c'est quand même incroyable !
- Je...heu...je suis désolé Madame.
Tu rigoles ? Pourquoi es tu désolé ? Moi je trouve ça adorable.
Elle se tut quelques secondes puis elle sourit bizarrement et me demanda de venir me mettre en face d'elle. Toujours gêné par une érection douloureuse, je contournai maladroitement son fauteuil pour venir me placer face à elle, m'appuyant sur sa coiffeuse et essayant de cacher l'agitation dans mon caleçon en plaçant mon bras devant moi.
Elle continua de me sourire et me demanda de poser le tube de crème. Puis elle croisa les jambes, me coupant ainsi la vue de sa délicieuse petite culotte. Gardant un bras sur sa poitrine elle me demanda si elle était la première femme nue que je voyais. Je fis oui de la tête en avalant ma salive.
Elle rit de nouveau :
- Ce n'est pas tout à fait vrai ce que tu me dis. J'ai eu l'occasion d'apercevoir les revues que tu caches dans ton sac et je crois qu'elles sont remplies de photos de femmes nues.
Je rougis encore plus, une nouvelle fois pris en faute.
- Je veux bien te croire si tu dis que tu n'as jamais vu de femme nue autrement que sur du papier glacé. J'approuvai de la tête.
- Je te propose un marché, reprit-elle on va faire comme les enfants curieux des écoles primaires, tu me montres l'engin que tu caches dans ton pantalon et je te laisse regarder mes seins.
J'ai cru tomber raide mort ou alors que j'allais me réveiller seul dans mon lit, frustré de n'avoir encore vécu une telle expérience qu'en rêve. Mais c'était la réalité, et cette femme de rêve était bien devant moi et me faisait réellement cette proposition. Mon hésitation sembla l'ennuyer ou tout au moins elle souhaitait me pousser à surmonter ma gêne.
- Je te laisse 30 secondes, dit-elle Si tu n'as pas sorti ton engin dans ce délai je te demanderai de quitter ma chambre.
Impossible de laisser passer une telle occasion, je me fous de ce qui peut bien arriver. Tout ce que je voulais c'était pouvoir mater de nouveau ses beaux nichons. Je commençai à déboutonner mon pantalon mais elle me demanda d'enlever mon T-shirt d'abord. Ce que je fis. Puis je continuai d'ouvrir mon pantalon et finalement n'y tenant plus je fis jaillir ma queue raide de mon caleçon.
Elle sourit et écartant son bras elle me donna une vue totale de ses magnifiques seins en forme de poires il semblait fermes et je mourais d'envie de plonger ma tête au milieu pour les caresser, les lécher, les mordre, pour faire courir ma langue sur ses mamelons bruns et sucer les deux tétons. Je devais aussi me retenir de prendre ma verge dans une main pour me branler devant ce spectacle.
- Tu as envie de mes seins ? me demanda-t-elle. Peut-être pourras tu les toucher plus tard. En attendant on va pousser un petit peu plus loin. Tu es puceau mais par contre tu dois être un expert en masturbation, non ? Commence à te branler doucement comme tu le fais en feuilletant tes magazines et je te donne une vue plongeante sur mon minou, ok ?
Pas d'hésitation cette fois, je pris ma tige dans la main et commençai un mouvement rapide de va-et-vient.
- Oh là, doucement , fit-elle ou alors tu vas jouir avant d'avoir pu en profiter.
Je ralentis le rythme et décroisant les jambes, elle fit glisser sa culotte jusqu'à ces pieds puis, elle se laissa glisser dans le fauteuil et, en écartant les jambes elle les plaça de part et d'autre des deux bras de son fauteuil, me donnant une vue incroyable sur sa toison brune et sur sa vulve.
Moi, je continuais à m'astiquer la verge, retenant mon désir de venir lécher chaque centimètre du corps de cette femme, le spectacle devint plus excitant encore lorsqu'elle commença à caresser ses seins avec sa main gauche pendant que sa main droite descendait le long de son ventre jusqu'à son minou. Ses yeux posés sur les miens, elle me rejoignit dans les délices du plaisir solitaire, une main parcourant sa vulve pendant qu'avec son autre main elle pétrissait ses seins. Mon excitation était à si forte que je pouvais pas me retenir plus longtemps, j'annonçai à Sophie que j'allais éjaculer.
- Rapproche-toi mon grand me dit-elle.
Elle saisit ma verge avec sa main gauche, la droite toujours occupée sur son bouton. Elle commença à me branler en quelques secondes je sentis le sperme monter le long de mon membre. Elle posa mon gland sur sa poitrine et je lâchai ma semence sur ses nichons. Sophie donna quelques coups de langue sur ses beaux seins pour goûter mon sperme.
- Huuummm fit-elle c'est agréable d'y goûter quand cela vient d'un beau jeune homme comme toi.
Ma bite ne perdit presque pas de sa vigueur et lorsqu'elle l'approcha de sa bouche et commença à la parcourir avec sa langue, il ne fallut que quelques secondes pour que je bande de nouveau. Elle mit mon gland dans sa bouche pour finir de le nettoyer puis elle me regarda dans les yeux et en souriant me demanda si cela n'était pas mieux que de se branler en feuilletant des revues pornos. Je ne savais quoi dire, tout ce que je savais c'était que j'avais envie de toucher et de lécher tout son corps.
- Laisse moi encore gouter un ta queue bien raide de jeune poulain après tu pourra gouter mon Corp..
Aussitôt, elle reprit ma verge dans sa bouche avec son pouce et son index pendant qu'elle me caressait les testicules avec son autre main. Je nageais de plaisir grâce à la douceur de sa bouche. La précision de ses caresses buccales et manuelles me fit de nouveau rapidement éjaculer.
Cette fois, elle me garda dans sa bouche et, pendant que j'accédais une nouvelle fois au septième ciel, elle plaça un doigt à l'entrée de mon anus et le fit pénétrer, ce qui décupla encore plus ma jouissance. Je poussai un râle en expulsant mon sperme dans sa gorge. Alors que mon sperme finissait de couler dans sa bouche, je sentis mes jambes trembler et je dus poser mes mains sur ses épaules pour m'empêcher de tomber. Elle finit par libérer ma verge de sa bouche et me souriant de nouveau, elle m'avoua :
- Huummm ! Cela fait du bien de sucer une queue bien raide comme la tienne. Je crois que maintenant tu mérites une petite récompense, tu peux toucher mes seins et toutes les parties de mon corps que tu souhaites.
J'avais la tête qui tournait mais pas suffisamment pour m'empêcher de faire ce que je souhaitais depuis un moment. Je posai mes mains sur ses nichons et commençai à les caresser et les masser doucement. J'eus vite envie de les goûter et j'approchai ma bouche de l'une de ces deux grosses collines pour y déposer quelques baisers. Après une ou deux minutes, je passai à l'autre sein et de nouveau entrepris de lécher celui-ci avec autant d'application que le premier. Je sentais encore sous ma langue le goût de mon sperme que j'avais lâché sur sa poitrine.
Pendant ce temps, Sophie avait repris son activité sur son minou, un doigt caressant son petit bouton pendant que son majeur et son index fouillaient sa fente humide. Sa respiration était plus forte et elle me donnait des mots d'encouragement entrecoupés par de petits cris et gémissements de plaisir. Cela m'excitait énormément et je sentais de nouveau ma bite retrouver une certaine vigueur.
Après avoir bien léché ses deux beaux seins, je pris l'un après l'autre ses tétons très durs dans ma bouche pour les sucer et les mordiller avec la même application. Je ne parvenais pas à enlever ma bouche et mes mains de sa poitrine. J'avais passé tellement de temps à fantasmer sur les gros seins des filles des magazines que je ne pouvais m'arrêter de goûter ceux de ma Sophie.
Mon inexpérience face au corps des femmes était complète, je n'avais qu'une idée floue de ce qu'elles aimaient et de ce qui leur donnait du plaisir. Malgré mon attirance pour sa chatte de femme épanouie, j'hésitai donc à me laisser glisser entre ses cuisses de peur de ne pas savoir où et comment lécher. C'est Sophie qui prit les devants et me guida avec ses mots et ses mains le long de son corps jusqu'à ce que je me retrouve à genoux entre ses cuisses.
Elle me demanda de la lécher partout autour de sa chatte et notamment à l'intérieur de ses cuisses. Elle écarta de plus en plus celles-ci avant de me demander d'effleurer ses lèvres avec ma langue puis de les lécher un peu plus fortement. Elle soupira un moment puis me dit :
- huummm ! Oui vas y mon grand, continue sur les lèvres en montant et descendant avec ta langue, oui comme ça. Oh oui, c'est bon, c'est tellement bon, mets ta langue au-dessus de mon anus en dessous de ma chatte, oui là remonte avec ta langue jusqu'à ma fente, oh oui, hummmm, tu es doué pour un puceau. Oui, vas y, entre avec ta langue dans ma fente mouillée. Goûte mon jus.
Je sentais son jus couler dans ma bouche et pour la première fois je connaissais ce goût exquis que je ne me suis jamais lassé depuis d'apprécier. J'étais très attentif à ses paroles tout en appréciant chaque millimètre de sa chatte et chaque goutte de son miel exquis.
- Maintenant remonte avec ta langue " continuait elle en écartant sa chatte avec deux doigts" remonte encore, tu vas sentir quelque chose de dur, làààà ouiiiii.... hummm.... recommence, vas y suce plus fort... oui... oui... hummmm... encore, prends dans ta bouche.
Pendant que je tenais son bouton dans ma bouche en le suçant, j'introduisis, cette fois sans sa demande, deux doigts dans sa fente et je la sentis aussitôt se contracter, puis se relâcher par vagues pendant que le plaisir inondait tout son corps. Plus aucune consigne ne sortait de sa bouche, seulement un long râle de plaisir alors qu'elle serrait ma tête entre ses cuisses en la poussant d'une main contre sa vulve pour éviter que je ne relâche mon attention.
Pour rien au monde je n'aurais voulu manquer une goutte de son jus délicieux. Son corps fut encore agité de quelques soubresauts puis elle finit par relâcher sa pression sur ma tête. Elle m'aida à me laisser glisser le long de son corps jusqu'à sa bouche et me donna un long baiser. Le premier de toute ma vie. Ma verge était de nouveau raide et prête à éclater. Sophie s'en rendit compte et sourit :
- C'est un bonheur d'avoir un jeune poulain comme toi, toujours prêt. Tu vas me faire mourir de plaisir.
Elle me repoussa légèrement pour que je me mette debout puis reprit ma verge dans une main et l'attira à elle. Elle emprisonna ma queue entre ses deux seins et s'appliqua à me branler avec ceux-ci. Encore une fois, il ne fallut que quelques secondes pour que je décharge à nouveau entre ses prodigieux nichons. J'avais éjaculé à trois reprises en une quarantaine de minutes. Sans même avoir l'occasion de la pénétrer. Mais si nous nous accordâmes alors un peu de répit, Sophie se décida à reprendre en main mon éducation sexuelle dès le même après-midi et durant tous les jours suivants.
J'eus droit à tous les plaisirs que son corps pouvait m'offrir, et bien sûr, pour la première fois, à l'exquise chaleur ressentie par ma verge dans sa chatte. Elle m'accorda tous les plaisirs, toutes les positions. Je la pris par devant, par derrière, par en haut, par en bas. Je découvris que son cul plein n'avait rien à envier à ses superbes nichons, et qu'il pouvait procurer des plaisirs aussi intenses.
Elle m'apprit toutes les choses qu'apprécient en général les femmes. Ainsi, le mois suivant fut une véritable orgie de sexe et chaque jour, en l'absence de son mari, je découvrais de nouveaux plaisirs et j'apprenais à la faire jouir avec plus d'assurance.
Le mois suivant, comme par hasard, le classement des cartons prit plus longtemps que prévu.
Je ne ressemble pourtant pas à Quasimodo, mais lorsque j'avais 18 ans j'étais encore puceau, même pas un petit flirt avec une fille, pas le moindre baiser, encore moins d'attouchements. Depuis plusieurs années cela commençait à me peser la libération que j'éprouvais dans la masturbation aussi plaisante fut-elle n'était que très furtive.
Mon esprit était sans cesse occupé par les filles des magazines de charmes, leur belle chevelure, leurs yeux souvent pleins de vice, leur bouche pulpeuse, leurs seins lourds, la cambrure de leur reins, leurs longues jambes et leur minou, objet particulier de mon désir que je souhaiter pouvoir lécher des heures. Les images érotiques même pornographiques issues de la lecture en cachette de revues très suggestives hantaient mon esprit nuit et jour.
A mes vacances scolaire, pour me faire un peu d'argent, je partis travailler, pour un mois l'été de mes 19 ans, dans le sud de la France. C'étais au domicile d'un couple très ami de mes parents. Mon travail consistait à quelques travaux dans leur jardin, m'occuper de la piscine et surtout finir de déballer, ranger et classer leur collection de livres, disques, bibelots divers contenus dans une centaine de cartons, après leur récent déménagement. Tout cela pour le gîte , le couvert, un petit salaire et surtout l'opportunité de voir un peu les plages méditerranéennes toutes proches.
Je me souvenais avoir rencontré ce couple chez mes parents, il y a plusieurs années, sans que cela ne m'ai marqué . D'ailleurs, lorsque le Copain de mon père vint me chercher à l'aéroport, je ne le reconnut absolument pas. C'était un type de la quarantaine, plus petit que moi, très bavard rigollot avec des attitudes un peu efféminées.
La maison était vaste, tout comme leur jardin, leur piscine, et, après avoir vu l'entassement de cartons à classer et à ranger dans le garage, je pensais qu'il y aurait du boulot pour l'année et que ce ne serait pas une partie de plaisir. Je me dis aussi qu'ils devaient avoir un paquet de pognon et que mon salaire pour trois semaines était bien mérité.
Quelques heures après mon arrivée, la femme du copain de mon père, fit son arrivée, les bras chargés de sacs. Je ne la reconnus pas, j'avais dû la voir une seule fois. Au contraire de son mari, elle ne me parut pas du tout banale. Grande, brune, elle semblait avoir une dizaine d'années de moins que son mari. C'était une femme superbe et, à peine m'adressa-t-elle la parole, je sentis le rouge me monter aux joues et également une certaine agitation dans mon caleçon. Elle m'avait pourtant juste dit : - bonjour je m'appel Sophie.
La nuit même, j'éprouvais un besoin à me masturber en pensant à cette femme proche de moi. Son mari travaillant dans la journée à plus de 20 km, cette femme était souvent seule toute la journée à la maison. Je veux dire, seule avec moi. Les premiers jours, tout en faisant mon travail, je ne manquais pas une occasion d'observer le plus discrètement cette femme qui avait déjà remplacé toutes les pin-ups de mes magazines. A un point tel que je n'avais pas encore sortit de mon sac les revues presque x que j'avais emporté pour animer mes nombreuses branlettes. L'image de Sophie et mes fantasmes à son égard suffisaient largement.
Sophie était très gentille et me proposait souvent de prendre une matinée ou une après-midi pour filer à la plage mais je souhaitais lui montrer le meilleur de moi-même en travaillant plus que nécessaire et en réalisant des petits travaux dans la maison et autres services. Je souhaitais surtout rester à la maison en l'absence de son mari, où je pouvais être proche d'elle et l'observer à ma guise.
Mon plus grand plaisir était de la regarder lorsqu'elle allait nager dans la piscine puis se laissait dorer au soleil pendant un long moment. Elle avait chaque fois un maillot de bain différent et je pouvais apprécier les merveilleuses courbes de son corps. Cela m'exciter à un tel point, que j'étais souvent obliger de me réfugier au toilette pour me branler.
J'essayais d'être discret mais elle s'est vite rendu compte de quelque chose, de temps en temps, elle surprenait mon regard inquisiteur et me lancer son merveilleux sourire. A la fin de la première semaine, en passant près de la corbeille à linge sale, je subtilisai une de ses culottes à dentelles et le soir même je me masturbai en ayant pris soin d'enrouler celle-ci autour de ma verge.
Le lendemain, j'étais en train de lire dans ma chambre, Sophie frappa à ma porte puis entra pour me demander d'arrêter l'aspirateur automatique dans la piscine car elle souhaitait nager un peu. Je me rendis compte, que j'avais laissé sa petite culotte bien en vue sur mon lit. J'eu la sensation qu'elle l'avait aperçu. Pourtant, elle ne dit rien et sortit de la chambre.
Un autre jours elle m'appela depuis la fenêtre de sa chambre du premier étage, j'étais occupé à mettre du chlore dans la piscine. Il était 9 heures du matin son mari venait de partir pour son travail. Elle souhaitait que je vienne finir de classer les livres dans la bibliothèque de sa chambre maintenant car elle voulait retrouver certains ouvrages d'une amie avec qui elle devait déjeuner.
Arrivé à l'entrée de sa chambre, je la vis dans le reflet du miroir au-dessus de la coiffeuse, elle était assise, portait une robe de chambre bleue et était en train de se maquiller. Sans me donner un regard autre que celui indirect par le miroir, elle me demanda d'ouvrir les cartons à côté du lit et de classer les livres s'y trouvant dans la bibliothèque. Je m'exécutai aussitôt, très ému de me trouver seul avec une femme aussi belle proche de moi.
La bibliothèque étant du côté opposé à l'endroit où elle se maquillait, je devais lui tourner le dos en plaçant les livres. Chaque fois que je me retournai pour prendre des livres dans un carton je ne pouvais pas m'empêcher de lancer un coup d'œil vers elle. Elle coiffait ses longs cheveux noirs, sa robe de chambre s'était desserrée et laissait entrevoir son soutien-gorge chargé te tenir en place ses deux énormes seins que j'avais eu l'occasion d'entrevoir en la regardant nager dans la piscine. La vue furtive de ce centimètre de soutien-gorge et du renflement de sa poitrine suscitait déjà dans ma verge un picotement de plaisir.
Après quelques minutes, elle commença à se mettre de la crème sur les bras puis sur ces longues jambes en posant son pied sur la coiffeuse pour pouvoir étaler la crème sur toute la longueur. Chacun de mes coups d'œil furtifs m'apportait une brève vision de cette femme bandante en train de prendre soin de son corps. Puis en me retournant une nouvelle fois après avoir disposé quelques bouquins, j'eu un premier choc, elle avait laissé glisser sa robe de chambre pour pouvoir mettre de la crème sur ces épaules. La vision totale de son soutien-gorge retenant difficilement ses deux seins était d'une telle beauté que je restai pétrifié, penché au-dessus d'un carton, les yeux rivés sur le reflet de cette femme très belle, seulement vêtue de ses dessous sexy à quelques mètres de moi.
Je revins à moi lorsque je la vis sourire en me regardant dans le miroir et je piquai un far en plongeant dans le carton de bouquins. Je l'entendis rire puis elle me dit :
- Puisque vous avez l'air déconcentré dans votre travail, pourriez vous vous arrêter quelques instants et venir me donner un coup de main.
Je levai la tête, interrogatif.
- Approchez-vous et venez me passer cette crème sur mon dos, m'expliqua-t-elle.
Je n'étais pas trop sûr d'avoir réellement entendu ces paroles mais je m'avançai néanmoins, marchant comme un robot. Les yeux fixant mes pieds je m'immobilisai un mètre derrière elle, attendant ses consignes.
- Approchez vous un peu et prenez ce tube de crème.
En levant les yeux, je vis qu'elle me tendait le tube la main derrière sa tête sans me regarder mais par mon reflet dans le miroir. Je vis également, ce que j'avais vu auparavant, cette poitrine extraordinaire mise en valeur par son soutien-gorge de dentelle rouge. Je vis également, toujours grâce au miroir, son ventre plat dénudé, avec un léger pli au niveau des hanches et entre ses deux cuisses, une culotte, également de dentelle rouge, dont la légèreté me permettait d'apercevoir des poils pubiens.
Le souffle coupé, j'attrapai tant bien que mal le tube de crème et restai bêtement planté là les yeux sur mes pieds pour essayer de calmé mon excitation et surtout d'éviter que la bosse dans mon pantalon n'atteigne des proportions trop grande.
- Alors ça vient ou pas ? C'est pour aujourd'hui ou pour demain ? me demanda-t-elle sur un ton de reproche mais en souriant.
Je relevai la tête et prenant mon courage à deux mains et surtout me disant que j'aurais tort de ne pas profiter de la situation, j'ouvris le tube de crème et j'en fis couler un peu sur le bout de mes doigts. C'était une crème onctueuse, rose au parfum de framboise.
- Tu en mets partout sur le dos, les épaules jusqu'au bas du dos en massant légèrement.
Je ne me rendis pas compte qu'elle me tutoyait pour la première fois depuis mon arrivée.
Mes mains tremblaient et mon cœur battait fort, je commençai néanmoins à appliquer la crème sur son épaule droite. Après seulement quelques secondes de contact avec sa peau ma queue frétillait déjà dans mon caleçon et j'essayais de penser à autre chose en laissant ma main sur son dos. Impossible ! Même s'il s'agissait que d'étaler de la crème sur son dos mes mains étaient bel et bien en train de parcourir son corps en partie dénudé.
Cela me faisait presque mal j'avais le sexe comprimé. J'avais envie de sortir ma verge de mon pantalon et de me branler en regardant cette femme aux formes éblouissantes. J'étais loin de me douter que ce fantasme jailli de mon imagination depuis seulement quelques minutes allait bientôt se réaliser.
Alors que je finissais de faire pénétrer la crème dans le haut du dos, elle s'avança légèrement sur son fauteuil et glissant ses mains derrière le dos elle dégrafa son soutien-gorge et me dit :
- Attend, pour te faciliter la tâche.
A peine avait elle retirer la petite attache de son soutien gorge, sa poitrine sembla prendre une ampleur encore plus importante, repoussant la dentelle rouge simplement retenue par les bretelles sur les épaules. Ma respiration devenait saccadée, les battements de mon cœur chaotiques et la salive difficile à avaler, elle fit glisser complètement les bretelles de son soutien-gorge finissant de libérer ses seins, qu'elle couvrit avec ses mains sans se presser me permettant un regard sur sa poitrine.
Je bandais comme un taureau, mon membre faisant dans mon pantalon comme le mas d'une tente qu'on est en train de dresser. Impossible qu'elle ne s'en rende pas compte. Effectivement, elle se mit à éclater de rire et me demanda si c'était elle qui me faisait cet effet là. Son expression de surprise était sans doute feinte puisqu'elle s'était presque entièrement exposée nue devant moi et était simplement habillée d'une culotte sexy et ses mains qui ne masquait que partiellement sa belle poitrine, elle devait bien se douter de l'effet qu'elle produirait. Je me sentais pris en faute et tout ce que je pus bredouiller c'est :
- Pardon Madame, vous êtes si belle.
Elle rit de nouveau et me demanda :
- Tu es mignon. Mais justement, mignon comme tu es, tu as sans doute eu souvent l'occasion de t'amuser avec des filles de ton âge bien beaucoup plus sexy que moi ?
- Non, Madame, jamais. répondis-je d'un air de regret.
- Tu me flattes trop.
- Non..enfin, Oui c'est vrais je veux dire, je ne me suis jamais amusé avec aucune fille.
- Tu veux dire que tu n'as jamais couché avec une fille de ton âge...alors tu es puceau ? fit elle, surprise.
- Heu...oui, Madame.
- A ton âge et mignon comme tu es, c'est quand même incroyable !
- Je...heu...je suis désolé Madame.
Tu rigoles ? Pourquoi es tu désolé ? Moi je trouve ça adorable.
Elle se tut quelques secondes puis elle sourit bizarrement et me demanda de venir me mettre en face d'elle. Toujours gêné par une érection douloureuse, je contournai maladroitement son fauteuil pour venir me placer face à elle, m'appuyant sur sa coiffeuse et essayant de cacher l'agitation dans mon caleçon en plaçant mon bras devant moi.
Elle continua de me sourire et me demanda de poser le tube de crème. Puis elle croisa les jambes, me coupant ainsi la vue de sa délicieuse petite culotte. Gardant un bras sur sa poitrine elle me demanda si elle était la première femme nue que je voyais. Je fis oui de la tête en avalant ma salive.
Elle rit de nouveau :
- Ce n'est pas tout à fait vrai ce que tu me dis. J'ai eu l'occasion d'apercevoir les revues que tu caches dans ton sac et je crois qu'elles sont remplies de photos de femmes nues.
Je rougis encore plus, une nouvelle fois pris en faute.
- Je veux bien te croire si tu dis que tu n'as jamais vu de femme nue autrement que sur du papier glacé. J'approuvai de la tête.
- Je te propose un marché, reprit-elle on va faire comme les enfants curieux des écoles primaires, tu me montres l'engin que tu caches dans ton pantalon et je te laisse regarder mes seins.
J'ai cru tomber raide mort ou alors que j'allais me réveiller seul dans mon lit, frustré de n'avoir encore vécu une telle expérience qu'en rêve. Mais c'était la réalité, et cette femme de rêve était bien devant moi et me faisait réellement cette proposition. Mon hésitation sembla l'ennuyer ou tout au moins elle souhaitait me pousser à surmonter ma gêne.
- Je te laisse 30 secondes, dit-elle Si tu n'as pas sorti ton engin dans ce délai je te demanderai de quitter ma chambre.
Impossible de laisser passer une telle occasion, je me fous de ce qui peut bien arriver. Tout ce que je voulais c'était pouvoir mater de nouveau ses beaux nichons. Je commençai à déboutonner mon pantalon mais elle me demanda d'enlever mon T-shirt d'abord. Ce que je fis. Puis je continuai d'ouvrir mon pantalon et finalement n'y tenant plus je fis jaillir ma queue raide de mon caleçon.
Elle sourit et écartant son bras elle me donna une vue totale de ses magnifiques seins en forme de poires il semblait fermes et je mourais d'envie de plonger ma tête au milieu pour les caresser, les lécher, les mordre, pour faire courir ma langue sur ses mamelons bruns et sucer les deux tétons. Je devais aussi me retenir de prendre ma verge dans une main pour me branler devant ce spectacle.
- Tu as envie de mes seins ? me demanda-t-elle. Peut-être pourras tu les toucher plus tard. En attendant on va pousser un petit peu plus loin. Tu es puceau mais par contre tu dois être un expert en masturbation, non ? Commence à te branler doucement comme tu le fais en feuilletant tes magazines et je te donne une vue plongeante sur mon minou, ok ?
Pas d'hésitation cette fois, je pris ma tige dans la main et commençai un mouvement rapide de va-et-vient.
- Oh là, doucement , fit-elle ou alors tu vas jouir avant d'avoir pu en profiter.
Je ralentis le rythme et décroisant les jambes, elle fit glisser sa culotte jusqu'à ces pieds puis, elle se laissa glisser dans le fauteuil et, en écartant les jambes elle les plaça de part et d'autre des deux bras de son fauteuil, me donnant une vue incroyable sur sa toison brune et sur sa vulve.
Moi, je continuais à m'astiquer la verge, retenant mon désir de venir lécher chaque centimètre du corps de cette femme, le spectacle devint plus excitant encore lorsqu'elle commença à caresser ses seins avec sa main gauche pendant que sa main droite descendait le long de son ventre jusqu'à son minou. Ses yeux posés sur les miens, elle me rejoignit dans les délices du plaisir solitaire, une main parcourant sa vulve pendant qu'avec son autre main elle pétrissait ses seins. Mon excitation était à si forte que je pouvais pas me retenir plus longtemps, j'annonçai à Sophie que j'allais éjaculer.
- Rapproche-toi mon grand me dit-elle.
Elle saisit ma verge avec sa main gauche, la droite toujours occupée sur son bouton. Elle commença à me branler en quelques secondes je sentis le sperme monter le long de mon membre. Elle posa mon gland sur sa poitrine et je lâchai ma semence sur ses nichons. Sophie donna quelques coups de langue sur ses beaux seins pour goûter mon sperme.
- Huuummm fit-elle c'est agréable d'y goûter quand cela vient d'un beau jeune homme comme toi.
Ma bite ne perdit presque pas de sa vigueur et lorsqu'elle l'approcha de sa bouche et commença à la parcourir avec sa langue, il ne fallut que quelques secondes pour que je bande de nouveau. Elle mit mon gland dans sa bouche pour finir de le nettoyer puis elle me regarda dans les yeux et en souriant me demanda si cela n'était pas mieux que de se branler en feuilletant des revues pornos. Je ne savais quoi dire, tout ce que je savais c'était que j'avais envie de toucher et de lécher tout son corps.
- Laisse moi encore gouter un ta queue bien raide de jeune poulain après tu pourra gouter mon Corp..
Aussitôt, elle reprit ma verge dans sa bouche avec son pouce et son index pendant qu'elle me caressait les testicules avec son autre main. Je nageais de plaisir grâce à la douceur de sa bouche. La précision de ses caresses buccales et manuelles me fit de nouveau rapidement éjaculer.
Cette fois, elle me garda dans sa bouche et, pendant que j'accédais une nouvelle fois au septième ciel, elle plaça un doigt à l'entrée de mon anus et le fit pénétrer, ce qui décupla encore plus ma jouissance. Je poussai un râle en expulsant mon sperme dans sa gorge. Alors que mon sperme finissait de couler dans sa bouche, je sentis mes jambes trembler et je dus poser mes mains sur ses épaules pour m'empêcher de tomber. Elle finit par libérer ma verge de sa bouche et me souriant de nouveau, elle m'avoua :
- Huummm ! Cela fait du bien de sucer une queue bien raide comme la tienne. Je crois que maintenant tu mérites une petite récompense, tu peux toucher mes seins et toutes les parties de mon corps que tu souhaites.
J'avais la tête qui tournait mais pas suffisamment pour m'empêcher de faire ce que je souhaitais depuis un moment. Je posai mes mains sur ses nichons et commençai à les caresser et les masser doucement. J'eus vite envie de les goûter et j'approchai ma bouche de l'une de ces deux grosses collines pour y déposer quelques baisers. Après une ou deux minutes, je passai à l'autre sein et de nouveau entrepris de lécher celui-ci avec autant d'application que le premier. Je sentais encore sous ma langue le goût de mon sperme que j'avais lâché sur sa poitrine.
Pendant ce temps, Sophie avait repris son activité sur son minou, un doigt caressant son petit bouton pendant que son majeur et son index fouillaient sa fente humide. Sa respiration était plus forte et elle me donnait des mots d'encouragement entrecoupés par de petits cris et gémissements de plaisir. Cela m'excitait énormément et je sentais de nouveau ma bite retrouver une certaine vigueur.
Après avoir bien léché ses deux beaux seins, je pris l'un après l'autre ses tétons très durs dans ma bouche pour les sucer et les mordiller avec la même application. Je ne parvenais pas à enlever ma bouche et mes mains de sa poitrine. J'avais passé tellement de temps à fantasmer sur les gros seins des filles des magazines que je ne pouvais m'arrêter de goûter ceux de ma Sophie.
Mon inexpérience face au corps des femmes était complète, je n'avais qu'une idée floue de ce qu'elles aimaient et de ce qui leur donnait du plaisir. Malgré mon attirance pour sa chatte de femme épanouie, j'hésitai donc à me laisser glisser entre ses cuisses de peur de ne pas savoir où et comment lécher. C'est Sophie qui prit les devants et me guida avec ses mots et ses mains le long de son corps jusqu'à ce que je me retrouve à genoux entre ses cuisses.
Elle me demanda de la lécher partout autour de sa chatte et notamment à l'intérieur de ses cuisses. Elle écarta de plus en plus celles-ci avant de me demander d'effleurer ses lèvres avec ma langue puis de les lécher un peu plus fortement. Elle soupira un moment puis me dit :
- huummm ! Oui vas y mon grand, continue sur les lèvres en montant et descendant avec ta langue, oui comme ça. Oh oui, c'est bon, c'est tellement bon, mets ta langue au-dessus de mon anus en dessous de ma chatte, oui là remonte avec ta langue jusqu'à ma fente, oh oui, hummmm, tu es doué pour un puceau. Oui, vas y, entre avec ta langue dans ma fente mouillée. Goûte mon jus.
Je sentais son jus couler dans ma bouche et pour la première fois je connaissais ce goût exquis que je ne me suis jamais lassé depuis d'apprécier. J'étais très attentif à ses paroles tout en appréciant chaque millimètre de sa chatte et chaque goutte de son miel exquis.
- Maintenant remonte avec ta langue " continuait elle en écartant sa chatte avec deux doigts" remonte encore, tu vas sentir quelque chose de dur, làààà ouiiiii.... hummm.... recommence, vas y suce plus fort... oui... oui... hummmm... encore, prends dans ta bouche.
Pendant que je tenais son bouton dans ma bouche en le suçant, j'introduisis, cette fois sans sa demande, deux doigts dans sa fente et je la sentis aussitôt se contracter, puis se relâcher par vagues pendant que le plaisir inondait tout son corps. Plus aucune consigne ne sortait de sa bouche, seulement un long râle de plaisir alors qu'elle serrait ma tête entre ses cuisses en la poussant d'une main contre sa vulve pour éviter que je ne relâche mon attention.
Pour rien au monde je n'aurais voulu manquer une goutte de son jus délicieux. Son corps fut encore agité de quelques soubresauts puis elle finit par relâcher sa pression sur ma tête. Elle m'aida à me laisser glisser le long de son corps jusqu'à sa bouche et me donna un long baiser. Le premier de toute ma vie. Ma verge était de nouveau raide et prête à éclater. Sophie s'en rendit compte et sourit :
- C'est un bonheur d'avoir un jeune poulain comme toi, toujours prêt. Tu vas me faire mourir de plaisir.
Elle me repoussa légèrement pour que je me mette debout puis reprit ma verge dans une main et l'attira à elle. Elle emprisonna ma queue entre ses deux seins et s'appliqua à me branler avec ceux-ci. Encore une fois, il ne fallut que quelques secondes pour que je décharge à nouveau entre ses prodigieux nichons. J'avais éjaculé à trois reprises en une quarantaine de minutes. Sans même avoir l'occasion de la pénétrer. Mais si nous nous accordâmes alors un peu de répit, Sophie se décida à reprendre en main mon éducation sexuelle dès le même après-midi et durant tous les jours suivants.
J'eus droit à tous les plaisirs que son corps pouvait m'offrir, et bien sûr, pour la première fois, à l'exquise chaleur ressentie par ma verge dans sa chatte. Elle m'accorda tous les plaisirs, toutes les positions. Je la pris par devant, par derrière, par en haut, par en bas. Je découvris que son cul plein n'avait rien à envier à ses superbes nichons, et qu'il pouvait procurer des plaisirs aussi intenses.
Elle m'apprit toutes les choses qu'apprécient en général les femmes. Ainsi, le mois suivant fut une véritable orgie de sexe et chaque jour, en l'absence de son mari, je découvrais de nouveaux plaisirs et j'apprenais à la faire jouir avec plus d'assurance.
Le mois suivant, comme par hasard, le classement des cartons prit plus longtemps que prévu.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jean-Pierre
9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'était très excitant... J'ai jouis une fois, mais longuement, c'est le gente de récit
sexuel qui me fait beaucoup plaisir... J'espère que ce n'est pas un fake...
sexuel qui me fait beaucoup plaisir... J'espère que ce n'est pas un fake...
attention aux fautes d'orthographe sti.. ton commentaire enlève tout le plasir du
texte.. est ce que tu es un ancien moine?
texte.. est ce que tu es un ancien moine?
Oh trop bon ce texte, j'ai bien mouillé !
g jouie 2 foien lisant ce texte. Mon dieu mon mec ma fe un, deux puis trois cunni en
lisant cette histore a voix haute.Je lai succer 4 fois et quatre fois il jouis dans
mon minou tout en feux, il m'a ossi jouidans la boche une fois. Apres ca nous avons
fela positions du missionairenchenee avec une position 69 qui a duree 1h30.Ilma
enfonce mon gode ,lapin dans mon trous de balle et jai jouus comme une chienne 2 foi
en 2 minute. Apresnussommesmonter sur notre balancoire specia sexe et nous avons joyi
tellement fort que levoisin a debarquer en croyiant quil y avait un probleme. il est
venu avec son frere dans laoartdemon boy. je les ai sucer. apres il ce sint
acharnersurmon minou les deux voisins ce son placer dans mon vagin etmon mec dans mon
anus. g joui quatre foi comme un chienneetg reveiller tout le quartier. Voila ce que
cette histoire ma procurer avec mon boy. mon cosin est entrer etlui ma bouffer ma
chatte en chaleur. il etait 2 dans chaque trous et la jai jouis puis je me suis
evanoui. Le meilleure recit. totalement vrais dans les moindre details.
ps: cetait ma premiere fois. best story ever
lisant cette histore a voix haute.Je lai succer 4 fois et quatre fois il jouis dans
mon minou tout en feux, il m'a ossi jouidans la boche une fois. Apres ca nous avons
fela positions du missionairenchenee avec une position 69 qui a duree 1h30.Ilma
enfonce mon gode ,lapin dans mon trous de balle et jai jouus comme une chienne 2 foi
en 2 minute. Apresnussommesmonter sur notre balancoire specia sexe et nous avons joyi
tellement fort que levoisin a debarquer en croyiant quil y avait un probleme. il est
venu avec son frere dans laoartdemon boy. je les ai sucer. apres il ce sint
acharnersurmon minou les deux voisins ce son placer dans mon vagin etmon mec dans mon
anus. g joui quatre foi comme un chienneetg reveiller tout le quartier. Voila ce que
cette histoire ma procurer avec mon boy. mon cosin est entrer etlui ma bouffer ma
chatte en chaleur. il etait 2 dans chaque trous et la jai jouis puis je me suis
evanoui. Le meilleure recit. totalement vrais dans les moindre details.
ps: cetait ma premiere fois. best story ever
très réaliste ...
j'adore cette histoire. Elle est superbe. Bravo en core une fois Jean - Pierre ! Tu est un écrivain excquis !
trop bien c une histoire vrai ?
EXCITANT
Très bon mais attention aux fautes d'orthographe !