Ma première fois avec une autre femme
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Ma première fois avec une autre femme
Je suis mariée depuis 5 ans, nous baisons avec plaisir, ce qui est le moins. Je sais qu’il a une
amante, une copine à moi, je le laisse faire, au moins je sais avec qui il est. J’ai 30 ans, et
j’ai connu au cour de ma vie plusieurs amants qui m’ont toujours satisfaite. Ce que j’aime le plus
c’est pratiquer avec lui le 69: j’adore avoir dans ma bouche ce qui en fait un homme. Je pense le
surpasser en le tenant à ma merci: je pourrai l’émasculer d’un simple coup de dent. J’aime assez
quand il jouit dans ma bouche comme j’aime jouir sur la sienne. Quand je suis sur lui, que je le
domine, j’aime qu’il me caresse l’anus. Moi, je ne me contente pas de le lui caresser; je lui mets
volontiers deux ou trois doigt, selon mon degré d’excitation. J’aime sentir son anus quand il jouit.
J’aime aussi quand il me sodomise.
Depuis un peu plus d’un an, il essaie de me convaincre de participer à des « réunions »
d’échangistes. J’ai fait trainer les choses, jusqu’à il y a peu. Le première fois a été pour moi une
découverte: je pouvais choisir un autre amant que mon mari. Je ne m’en suis pas privée: j’ai été
baisée par 3 hommes dont l’un monté comme une âne. Et à un instant, j’ai fait une découverte
merveilleuse.
Un fille de mon âge qui me regardait depuis le début avec envie, s’est approchée de moi, m’a
embrassée sur la bouche. Ce premier baiser était aussi troublant pour moi que le premier avec un
garçon. Je me suis collée à elle. Je sentais ses seins contre les miens. Elle avait son pubis contre
moi. Une jambe est venue entre les miennes. Je ne sais comment j’ai eu envie de faire ce que je
faisais: je me caressais l’entre jambes contre elle. Je n’ai pris aucune autre initiative, elle m’a
fait assoir sur un des fauteuils libres. Sa bouche est revenue sur la mienne. Je ne pouvais plus
l’en empêcher, c’était trop agréable sa langue contre la mienne. Elle m’a pris les seins pour les
peloter. Mes tétons étaient sa cible principale. Je mouillais comme une fontaine. Elle s’est mise à
mes pieds, m’a fait facilement ouvrir mes jambes. Sans honte aucune je lui montrais tout mon sexe.
Elle me léchais l’intérieur des cuisses, depuis les genoux en venant très lentement vers mon minou.
Il me tardais qu’elle pose sa langue n’importe où à un des endroits qui me font jouir.
Elle était très proche et je lui tenais la tête de peur qu’elle me quitte. Elle ne m’a pas quitté:
enfin elle posait sa langue sur mon anus. Elle n’a pas cherché à y entrer, elle m’a simplement
effleurée. C’était délicieux. Je sentais enfin sur mes lèvres du minou sa trace. Elle est entrée
dans mon vagin. Là, je ne sais comment elle a procédé, elle m’a faite jouir deux fois en peu de
temps.
Enfin elle a pris mon clitoris entre ses lèvres, l’a relâcher pour finir par le lécher. Je jouissais
tellement que je serrai mes jambes autour de sa tête. Je me souviens encore du cri de jouissance que
j’ai poussé. Je doit l’avoir excitée encore plus: elle me demandait de lui rendre la pareille. Je ne
savais pas trop comment me mettre quand elle a pris ma place. J’étais comme une sotte debout, j’ai
pensé à lui rendre d’abord ce baiser. Nous sommes restées les lèvres collées un bon moment quand
elle m’a demandé de la sucer à mon tour. Comme elle j’étais accroupie, comme elle j’ai léché
l’intérieur de ses cuisses, J’ai osé comme elle passer ma langue sur son anus. Par contre je n’ai
pas du tout fait comme elle quand ma bouche était sur sa chatte: j’ai été directement sur son
clitoris. Je goûtais pour la première fois un sexe féminin, c’était bon, simplement bon. Je
comprenais pourquoi me mari aime me sucer. Quel clitoris: il était bien plus long et gros que le
mien. Je pensais avoir affaire à une bite pas encore bandée. Et pourtant dès que ma langue l’a
touché, elle s’est mise à trembler, à la fois d’excitation et de plaisir. Si je lui tenais la tête
pour ma première fois, elle se contentait de caresser mes cheveux. Pour être mieux léchée, elle
posait ses jambes sur mes épaules. J’avais mes mains sur le bas de ses cuisses. Je la sentais jouir
et jouir encore. Quand elle n’en pouvais plus, elle me demandait si j’aimerai recommencer encore
avec elle, ailleurs, chez elle par exemple. Elle me laissait ses coordonnées. J’étais trop prise
pas les orgasmes qu’elle m’avait donnés que j’acceptais.
En rentrant avec mon mari qui lui, avait baisé deux femmes en même temps, pratiquement toute la
nuit, je lui disait ce que j’avais ressenti avec une femme, comment j’avais trouvé agréable de me
faire sucer et de sucer une moule. Je lui disait même que j’avais rendrez vous avec cette femme pour
recommencer une bonne séance de baise, toutes les deux seules, comme un couple.
J’excitais mon époux à tel point qu’il bandait. Il voulais baiser en rentrant: je préférais rester
avec ma chatte envieuse d’une autre baise lesbienne. Je lui prenais la bite dans la bouche, son
gland d’abord entre mes lèvres, j’aime quand le gland s’arrête pour laisser le place au reste de la
biote. J’adore aller et veni juste à cet endroit qui comme tous les hommes il a très sensible. Ma
langue le léche un peu avant de l’avaler complètement. Je faisait aller et venir ma tête sur son
engin qui grossissait sans arrêt. Quand je sentais ses première contraction je le gardais dans la
bouche pour déguster et avaler son sperme.
Il n’étais pas contre ma relation avec une autre fille. Il aurai bien voulu me voir dans les bras
d’une autre. Pour moi il n’étais pas question qu’il assiste à mes baises particulière. Je savais
qu’il avait une relation assez suivi avec une de mes copines et jamais je ne lui avais demande de
venir moi aussi. Dès le surlendemain je prend contact avec Michelle. Nous prenons rendez vous pour
l’après midi même vers 15 heures jusqu’à 19 heures. Je me dis que baiser avec elle pendant 2
heures se doit être le pied. Je n’en parlerai à mon mari qu’après.
Je ne m’habille pas trop, juste une mini jupe en jean, et une chemise d’homme fermée pas un nœud à
la taille mes seins totalement libres, les tétons qui frottent sur la chemise. En voiture je suis
déjà excitée. Je sais que je mouille comme une fontaine. Je suis sur le point d’arrêter en route
pour me soulager. Non, finalement je réserve cet orgasme à Michelle.
Quand j’entre chez elle, elle est pratiquement nue: elle aussi m’attend avec impatience: elle ne
porte qu’un sous vêtement totalement transparent. Je vois ses seins, sa légère fourrure où j’ai déjà
passé ma langue. Nous nous embrassons longuement. Comme la première fois nos lèvres ne se lâchent
plus. Nos langues sont encore plus actives. Ce baiser nous fait mouiller encore plus. Il me donne
envie d’elle, alors que la première fois j’ignorais les délices d’une femme. Je comprends mieux les
hommes qui veulent baiser une femme en particulier: c’est mon cas actuellement. Cette fois c’est moi
qui prends la première la décision de lui enlever ce déshabillé. Je regarde sa nudité, elle me
semble plus attirante que la première fois. Elle s’affaire à me mettre nue, ce qui n’est pas long. A
peine déshabillée, elle me met une main entre les jambes que j’écarte en signe de soumission. Elle
n’attend pas longtemps pour me caresser les seins. Mes tétons l’attirent particulièrement. Elle les
lèche et moi je frémis; il me tarde de sentir quelque chose sur ma chatte. Elle le sait et fait tout
pour retarder ma satisfaction.
Détends toi, nous en avons pour deux heures, nous avons un peu de temps avant de baiser comme il
faut: je te montrerai des choses que tu n’imagine même pas. Nous sommes toujours debout quand enfin
elle me mets sa main sur mon clitoris: elle le caresse très lentement pour aller de plus en plus
vite. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je ne peux plus tenir debout: Elle m’entraine dans
sa chambre. Nous nous tenons par la taille: devant le miroir, je me vois avec elle: nous formons un
tableaux coquin du XVIII° siècle. Elle me fait coucher. Tant mieux, au moins maintenant elle peu
faire ce qu’elle veux, je suis prête: j’écarte les jambes pour qu’elle revienne me tripoter le
clitoris. Exquise caresse, c’est sa langue qui est sur lui. Elle le lèche sans arrêt jusqu’à ce que
je jouisse encore. Je ne sais comment la remercier: je veux moi aussi la sucer. Elle vient poser sa
moule sur ma figure: j’ai le choix. Cette fois je vais essayer pour savoir ce que ça peut lui faire
de passer la langue que son anus et même d’y entrer un peu. Je trouve que son anus est déjà ouvert.
Elle me dit qu’elle n’aime que se faire sodomiser par une bite. C’est pourquoi j’entre facilement.
Quel plaisir que de ramoner le début de son cul. Je vais et viens facilement en elle. Je la sens
jouir quand son anus a des crispations. Je vais ailleurs: je lèche ses lèvres avant de venir dans
son vagin. Je fais coulisser ma langue le plus possible. Je recueille sa cyprine très différente de
ce que je sentais dans son cul. Pour finir je prend son clitoris entre mes lèvres, j’aspire le plus
possible et ne lèche que le bout qui me semble plus sensible à l’intérieur de ma bouche.
Elle se lève pour me rendre en partie ce que je lui ai donné. Elle me lèche encore le bouton. Elle
arrive à le mordiller ce qui me donne un plaisir plus violent. Nous nous mettons en 69: quel plaisir
de sucer et être sucée pas une autre femme: c’et bien meilleur qu’avec mon mari. Elle en profite
pour me mettre un doigt dans le cul. J’aime bien cette façon d’être sucer: même mon mari me la fait
et j’aime. Nous arrêtons un moment:
- As-tu un gode ?
- Bien sur que j’en ai un à la maison: mon mari me l’a offert la première fois qu’il avait baiser
une copine.
- Tu aimes t’en servir ?
- Bien sur je me branle souvent et quelque fois je n’en sert, pas à tous les coup, mais j’aime me le
mettre souvent dans le cul.
- J’en ai un de particulier, te veux le voir ?
- Bien sur, il doit être agréable.
Elle sort de sa table de nuit un gode comme je n’en avais jamais vu: il est double, permet de se
faire soit même des doubles pénétrations ou d’entrer dans des orifices différents donc pour deux
femmes.
Elle me fait coucher mes fesses presque contre les siennes, entre un bout du gode dans son vagin, le
fait un peu coulisser en fermant les yeux et me met l’autre bout dans ma chatte. Elle commence des
allers et venues qui me donnent un plaisir grandissant: c’est la première fois qu’une femme me baise
et qui se baise aussi. Je nous regardent dans le miroir. Je vois ces deux corps féminins, allongées
reliées par un simple plastique qui nous donnent beaucoup de plaisir.
Nous jouissons, et elles change d’ouverture: elle me met la chose dans mon cul et s’encule comme
elle me le fait. Je ne peux pas m’empêcher de me branler pendant la sodomie. Elle aussi se caresse
le clitoris.
Quand nous jouissons nous sommes totalement crevées. Nous devons nous revoir tous les vendredi après
midi. Elle me rhabille; c’est vite fait, m’embrasse encore une fois: nos langues se quittent à
regret. Vivement la prochaine fois; j’aime faire l’amour avec elle et sans doute avec d’autre
femmes.
Quand je rentre mon mari m’attend. Il me demande d’où je viens: je viens de baiser avec une femme
et je ne vais pas me priver de ces orgasmes et étreintes féminines. Il attendra ce soir pour baiser
avec moi.
Maintenant il me laisse baiser avec des lesbiennes, même à la maison, sans qu’il y participe. J’ai
horreur des mélanges: j’aime les femmes comme j’aime me faire mettre par mon homme.
amante, une copine à moi, je le laisse faire, au moins je sais avec qui il est. J’ai 30 ans, et
j’ai connu au cour de ma vie plusieurs amants qui m’ont toujours satisfaite. Ce que j’aime le plus
c’est pratiquer avec lui le 69: j’adore avoir dans ma bouche ce qui en fait un homme. Je pense le
surpasser en le tenant à ma merci: je pourrai l’émasculer d’un simple coup de dent. J’aime assez
quand il jouit dans ma bouche comme j’aime jouir sur la sienne. Quand je suis sur lui, que je le
domine, j’aime qu’il me caresse l’anus. Moi, je ne me contente pas de le lui caresser; je lui mets
volontiers deux ou trois doigt, selon mon degré d’excitation. J’aime sentir son anus quand il jouit.
J’aime aussi quand il me sodomise.
Depuis un peu plus d’un an, il essaie de me convaincre de participer à des « réunions »
d’échangistes. J’ai fait trainer les choses, jusqu’à il y a peu. Le première fois a été pour moi une
découverte: je pouvais choisir un autre amant que mon mari. Je ne m’en suis pas privée: j’ai été
baisée par 3 hommes dont l’un monté comme une âne. Et à un instant, j’ai fait une découverte
merveilleuse.
Un fille de mon âge qui me regardait depuis le début avec envie, s’est approchée de moi, m’a
embrassée sur la bouche. Ce premier baiser était aussi troublant pour moi que le premier avec un
garçon. Je me suis collée à elle. Je sentais ses seins contre les miens. Elle avait son pubis contre
moi. Une jambe est venue entre les miennes. Je ne sais comment j’ai eu envie de faire ce que je
faisais: je me caressais l’entre jambes contre elle. Je n’ai pris aucune autre initiative, elle m’a
fait assoir sur un des fauteuils libres. Sa bouche est revenue sur la mienne. Je ne pouvais plus
l’en empêcher, c’était trop agréable sa langue contre la mienne. Elle m’a pris les seins pour les
peloter. Mes tétons étaient sa cible principale. Je mouillais comme une fontaine. Elle s’est mise à
mes pieds, m’a fait facilement ouvrir mes jambes. Sans honte aucune je lui montrais tout mon sexe.
Elle me léchais l’intérieur des cuisses, depuis les genoux en venant très lentement vers mon minou.
Il me tardais qu’elle pose sa langue n’importe où à un des endroits qui me font jouir.
Elle était très proche et je lui tenais la tête de peur qu’elle me quitte. Elle ne m’a pas quitté:
enfin elle posait sa langue sur mon anus. Elle n’a pas cherché à y entrer, elle m’a simplement
effleurée. C’était délicieux. Je sentais enfin sur mes lèvres du minou sa trace. Elle est entrée
dans mon vagin. Là, je ne sais comment elle a procédé, elle m’a faite jouir deux fois en peu de
temps.
Enfin elle a pris mon clitoris entre ses lèvres, l’a relâcher pour finir par le lécher. Je jouissais
tellement que je serrai mes jambes autour de sa tête. Je me souviens encore du cri de jouissance que
j’ai poussé. Je doit l’avoir excitée encore plus: elle me demandait de lui rendre la pareille. Je ne
savais pas trop comment me mettre quand elle a pris ma place. J’étais comme une sotte debout, j’ai
pensé à lui rendre d’abord ce baiser. Nous sommes restées les lèvres collées un bon moment quand
elle m’a demandé de la sucer à mon tour. Comme elle j’étais accroupie, comme elle j’ai léché
l’intérieur de ses cuisses, J’ai osé comme elle passer ma langue sur son anus. Par contre je n’ai
pas du tout fait comme elle quand ma bouche était sur sa chatte: j’ai été directement sur son
clitoris. Je goûtais pour la première fois un sexe féminin, c’était bon, simplement bon. Je
comprenais pourquoi me mari aime me sucer. Quel clitoris: il était bien plus long et gros que le
mien. Je pensais avoir affaire à une bite pas encore bandée. Et pourtant dès que ma langue l’a
touché, elle s’est mise à trembler, à la fois d’excitation et de plaisir. Si je lui tenais la tête
pour ma première fois, elle se contentait de caresser mes cheveux. Pour être mieux léchée, elle
posait ses jambes sur mes épaules. J’avais mes mains sur le bas de ses cuisses. Je la sentais jouir
et jouir encore. Quand elle n’en pouvais plus, elle me demandait si j’aimerai recommencer encore
avec elle, ailleurs, chez elle par exemple. Elle me laissait ses coordonnées. J’étais trop prise
pas les orgasmes qu’elle m’avait donnés que j’acceptais.
En rentrant avec mon mari qui lui, avait baisé deux femmes en même temps, pratiquement toute la
nuit, je lui disait ce que j’avais ressenti avec une femme, comment j’avais trouvé agréable de me
faire sucer et de sucer une moule. Je lui disait même que j’avais rendrez vous avec cette femme pour
recommencer une bonne séance de baise, toutes les deux seules, comme un couple.
J’excitais mon époux à tel point qu’il bandait. Il voulais baiser en rentrant: je préférais rester
avec ma chatte envieuse d’une autre baise lesbienne. Je lui prenais la bite dans la bouche, son
gland d’abord entre mes lèvres, j’aime quand le gland s’arrête pour laisser le place au reste de la
biote. J’adore aller et veni juste à cet endroit qui comme tous les hommes il a très sensible. Ma
langue le léche un peu avant de l’avaler complètement. Je faisait aller et venir ma tête sur son
engin qui grossissait sans arrêt. Quand je sentais ses première contraction je le gardais dans la
bouche pour déguster et avaler son sperme.
Il n’étais pas contre ma relation avec une autre fille. Il aurai bien voulu me voir dans les bras
d’une autre. Pour moi il n’étais pas question qu’il assiste à mes baises particulière. Je savais
qu’il avait une relation assez suivi avec une de mes copines et jamais je ne lui avais demande de
venir moi aussi. Dès le surlendemain je prend contact avec Michelle. Nous prenons rendez vous pour
l’après midi même vers 15 heures jusqu’à 19 heures. Je me dis que baiser avec elle pendant 2
heures se doit être le pied. Je n’en parlerai à mon mari qu’après.
Je ne m’habille pas trop, juste une mini jupe en jean, et une chemise d’homme fermée pas un nœud à
la taille mes seins totalement libres, les tétons qui frottent sur la chemise. En voiture je suis
déjà excitée. Je sais que je mouille comme une fontaine. Je suis sur le point d’arrêter en route
pour me soulager. Non, finalement je réserve cet orgasme à Michelle.
Quand j’entre chez elle, elle est pratiquement nue: elle aussi m’attend avec impatience: elle ne
porte qu’un sous vêtement totalement transparent. Je vois ses seins, sa légère fourrure où j’ai déjà
passé ma langue. Nous nous embrassons longuement. Comme la première fois nos lèvres ne se lâchent
plus. Nos langues sont encore plus actives. Ce baiser nous fait mouiller encore plus. Il me donne
envie d’elle, alors que la première fois j’ignorais les délices d’une femme. Je comprends mieux les
hommes qui veulent baiser une femme en particulier: c’est mon cas actuellement. Cette fois c’est moi
qui prends la première la décision de lui enlever ce déshabillé. Je regarde sa nudité, elle me
semble plus attirante que la première fois. Elle s’affaire à me mettre nue, ce qui n’est pas long. A
peine déshabillée, elle me met une main entre les jambes que j’écarte en signe de soumission. Elle
n’attend pas longtemps pour me caresser les seins. Mes tétons l’attirent particulièrement. Elle les
lèche et moi je frémis; il me tarde de sentir quelque chose sur ma chatte. Elle le sait et fait tout
pour retarder ma satisfaction.
Détends toi, nous en avons pour deux heures, nous avons un peu de temps avant de baiser comme il
faut: je te montrerai des choses que tu n’imagine même pas. Nous sommes toujours debout quand enfin
elle me mets sa main sur mon clitoris: elle le caresse très lentement pour aller de plus en plus
vite. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je ne peux plus tenir debout: Elle m’entraine dans
sa chambre. Nous nous tenons par la taille: devant le miroir, je me vois avec elle: nous formons un
tableaux coquin du XVIII° siècle. Elle me fait coucher. Tant mieux, au moins maintenant elle peu
faire ce qu’elle veux, je suis prête: j’écarte les jambes pour qu’elle revienne me tripoter le
clitoris. Exquise caresse, c’est sa langue qui est sur lui. Elle le lèche sans arrêt jusqu’à ce que
je jouisse encore. Je ne sais comment la remercier: je veux moi aussi la sucer. Elle vient poser sa
moule sur ma figure: j’ai le choix. Cette fois je vais essayer pour savoir ce que ça peut lui faire
de passer la langue que son anus et même d’y entrer un peu. Je trouve que son anus est déjà ouvert.
Elle me dit qu’elle n’aime que se faire sodomiser par une bite. C’est pourquoi j’entre facilement.
Quel plaisir que de ramoner le début de son cul. Je vais et viens facilement en elle. Je la sens
jouir quand son anus a des crispations. Je vais ailleurs: je lèche ses lèvres avant de venir dans
son vagin. Je fais coulisser ma langue le plus possible. Je recueille sa cyprine très différente de
ce que je sentais dans son cul. Pour finir je prend son clitoris entre mes lèvres, j’aspire le plus
possible et ne lèche que le bout qui me semble plus sensible à l’intérieur de ma bouche.
Elle se lève pour me rendre en partie ce que je lui ai donné. Elle me lèche encore le bouton. Elle
arrive à le mordiller ce qui me donne un plaisir plus violent. Nous nous mettons en 69: quel plaisir
de sucer et être sucée pas une autre femme: c’et bien meilleur qu’avec mon mari. Elle en profite
pour me mettre un doigt dans le cul. J’aime bien cette façon d’être sucer: même mon mari me la fait
et j’aime. Nous arrêtons un moment:
- As-tu un gode ?
- Bien sur que j’en ai un à la maison: mon mari me l’a offert la première fois qu’il avait baiser
une copine.
- Tu aimes t’en servir ?
- Bien sur je me branle souvent et quelque fois je n’en sert, pas à tous les coup, mais j’aime me le
mettre souvent dans le cul.
- J’en ai un de particulier, te veux le voir ?
- Bien sur, il doit être agréable.
Elle sort de sa table de nuit un gode comme je n’en avais jamais vu: il est double, permet de se
faire soit même des doubles pénétrations ou d’entrer dans des orifices différents donc pour deux
femmes.
Elle me fait coucher mes fesses presque contre les siennes, entre un bout du gode dans son vagin, le
fait un peu coulisser en fermant les yeux et me met l’autre bout dans ma chatte. Elle commence des
allers et venues qui me donnent un plaisir grandissant: c’est la première fois qu’une femme me baise
et qui se baise aussi. Je nous regardent dans le miroir. Je vois ces deux corps féminins, allongées
reliées par un simple plastique qui nous donnent beaucoup de plaisir.
Nous jouissons, et elles change d’ouverture: elle me met la chose dans mon cul et s’encule comme
elle me le fait. Je ne peux pas m’empêcher de me branler pendant la sodomie. Elle aussi se caresse
le clitoris.
Quand nous jouissons nous sommes totalement crevées. Nous devons nous revoir tous les vendredi après
midi. Elle me rhabille; c’est vite fait, m’embrasse encore une fois: nos langues se quittent à
regret. Vivement la prochaine fois; j’aime faire l’amour avec elle et sans doute avec d’autre
femmes.
Quand je rentre mon mari m’attend. Il me demande d’où je viens: je viens de baiser avec une femme
et je ne vais pas me priver de ces orgasmes et étreintes féminines. Il attendra ce soir pour baiser
avec moi.
Maintenant il me laisse baiser avec des lesbiennes, même à la maison, sans qu’il y participe. J’ai
horreur des mélanges: j’aime les femmes comme j’aime me faire mettre par mon homme.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Suite à ton commentaire sur mon récit, j'ai commençé à lire les tiens, très excitants,
je vais continuer ma lecture.
je vais continuer ma lecture.
Voici une histoire très vraisemblable, intéressant e et pas trop longue. je l'ai aimée car elle m'a fait bander. J'aurais bien voulu assister.
oui pas mal du tout, j'ai vecu mieux mais c'est pas mal du tout,
superbe, j'ai expérimenté ce type de liaison, je m'y retrouve bien, mais moi je ne suis pas mariée il n'y a que ma soumise qui aie mes confidences et la plaisir de me faire jouir...
Merci de ce récit lesbien chère Huguette !..
Merci de ce récit lesbien chère Huguette !..
Ca commence bien, c'est chaud bouillant mais malheureusement, trop long