Ma première fois avec une femme.
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2010 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma première fois avec une femme.
Le lendemain après cette première aventure avec ma relation secrète, je me suis réveillé d’une manière étrange. J’étais allongé, nu sans le draps sur moi mais avec Catherine qui suçait mon sexe a moitié dure.
Elle était comme hier, à genoux recroquevillé sur mon sexe. Ses cheveux cachait son visage. J’entendais juste les bruits de succions. J’ai caressé son crâne, elle c’est arrêté quelque seconde pour me sourire et me dire :
- Je t’avais dit que je te réveillerais.
- Tu devrais te dépêcher par contre…
Elle acquiesça et se remit à l’œuvre. Je dois avouer que se faire réveiller de cette façon est magnifique. Sa langue était toujours si experte. Je la sentais tournoyer autour de mon gland. Je lui chuchotais de continuer, elle accéléra. Je me contentais de fermer les yeux et d’apprécier cette friandise. Rapidement le sperme monta :
- Je vais jouir Catherine…Je me crispais à chaque secousse que je sentais monter. Je ne pouvais laisser échapper quelques soupirs. Je la sentais s’appliquer et aller vraiment vite, aussi vite qu’elle pouvait.
Une bonne trentaine de seconde après j’ai libéré plusieurs jets de sperme au fond de sa bouche qu’elle n’eu pas peur d’avaler. Pouvoir déverser le contenu de ses couilles dans la bouche d’une femme mûre était vraiment jouissif. A peine réveillé mon corps c’était réchauffé et mes muscles semblaient déjà d’attaque. Toute contente elle s’allongea sur moi pour m’embrasser :
- Bonjour toi…Ses lèvres étaient tièdes, la même température que mon sexe auparavant. Elle se mit a caresser mon torse du doigt, elle semblait gêner.
Ne me prends pas pour cochonne mais ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu de rapport avec un homme…
- T’en fais pas je comprends.
- Es ce que…tu me feras rattraper le temps perdu Emmanuel ?
- Oui madame, je m’occuperais de vous quand on aura du temps pour nous.
- Même si tu étais pris de remords ne dit surtout rien à mon fils.
- Je risque pas, ne vous inquiétez pas. Je vais devoir retourner en bas ok ? On se verra mercredi alors ?
- Oui.
Nous avons échangé nos numéros de portable. Je me suis rhabillé rapidement et silencieusement. J’avais peur que Marie me surprenne encore, l’excuse des toilettes ne marcherait pas deux fois. Nous nous embrassâmes quelques secondes. Un baiser passionné, ça lui manquait vraiment ça se voyait. Je descendis toujours si lentement et prudemment puis j’ai pu regagner la chambre sans encombre. Pendant les deux jours d’attente, je communiquais par sms avec la mère et la fille. Les deux était aussi adorable l’une que l’autre. Je ne croyais pas que la situation que je vivais était réelle.
Mercredi approchant je me suis épilé où il fallait pour ma première fois avec une femme. On s’était donné rendez vous devant un parc, les enfants jouaient et je la voyait attendre dans la voiture. Montés à bord nous nous firent un petit baiser de peur qu’un passant nous voient. On discutait de tout et de rien. De temps en temps elle posait sa main sur ma cuisse, me souriait, me disait que j’étais beau. Je faisais de même, je la complimentais sur son visage, son corps. La conversation devenait de plus en plus chaude. On a du roulé peut-être 30 minutes. Elle voulait un hôtel discret loin de notre ville, elle avait raison vaut mieux ne pas se faire repérer.
A l’accueil on pris une chambre. Quelle gêne quand même quand la réceptionniste voyait une femme mûre et un jeune homme prendre une chambre en pleine après-midi. Mais bon elle a du voir pire.
Catherine portait une sorte de pull-robe marron très moulante qui lui arrivait à mi-cuisses, collants et des petits talons. Elle était vraiment gracieuse, dans l’escalier sa robe moulait ses fesses quand même bien bombées. On entra, elle verrouilla. Tout les deux sur le lit elle m’enlaça :
- Ah enfin tout les deux !
- Eh oui !
- Au moins déjà personne nous dérangera ou nous entendra.
- T’es bruyante quand tu fais l’amour ? Je caressais sa cuisse lentement.
- Eh bien avec mon ex mari je faisais semblant pour lui faire plaisir mais sinon je sais être bruyante et discrète. Tout dépend de l’engin.
- Et avec moi ?
- Avec toi…je crois que tu vas devoir me mettre l’oreiller sur le visage…
- T’exagères !
- On la mesurera quand on sera chez moi.
On s’embrassa passionnément à nouveau se caressant de partout, nos langues se mélangèrent. Elle déboutonnait mon jean et pendant que je retirais mon haut rapidement :
- Promet moi d’être doux chéri. Ca fait des années tu sais que…personne ne ma visité. Elle rougit et enfoui sa tête dans mon caleçon pour l’embrasser.
- Je te promets. Mais guide moi aussi, tu sais bien que c’est ma première fois…
- Non je veux te laisser faire. C’est important que tu impose ton rythme.
Elle baissa mon caleçon et engloutit mon sexe bien dressé. Je me laissais faire à nouveau. Elle était remplie de fougue ! J’avais l’impression qu’a chaque va et viens elle allait de plus en plus profond. Après 10 bonnes minutes, elle me mit nu, enfin ce qui restait ; jean, caleçon et s’amusait à retirer mes chaussettes avec ses dents. D’une manière féline elle revient à mon niveau, nos bouches se collèrent encore. Je souleva sa robe pour constater que c’était des bas qu’elle portait et non des collants, le tout avec un petit string ficelle bleu foncé. Ses fesses étaient vraiment fermes, y a pas à dire. Elles semblaient aussi assez grosses, je pouvais pétrire la graisse, c’était trop excitant.
Je lui retirais sa robe par le haut et à ma surprise, elle ne portait pas de soutien-gorge. Sans perdre une minute, je les embrassais à nouveau, les pétrissait tendrement, elle me regardait faire. Je me mis à les lécher en les pressant l’un contre l’autre puis les sucer doucement.
- Oh oui têtes le bon lait à maman mon amour. Me dit elle d’une voix maternelle.
Elle caressais mes cheveux et mon visage, puis m’enlaçais contre elle ce qui fit que nous roulâmes sur le côté. Elle avait ses jambes autour des miennes et me serrait contre elle. Les yeux fermés je me régalais de ses seins, les mordiller et les pétrir. Mon sexe toujours dressé était posé sur sa cuisse.
- Allez tu vas faire plaisir à maman mon chéri. Elle prenait le ton que les mères prenait pour aller endormir leurs bébés ou faire leur rot.
Elle passa sa main derrière elle en soulevant sa cuisse, puis saisi mon gland et le présenta à l’entrée de sa chatte. Ca glissais comme sur du beurre, elle mouillait énormément. Quand mon gland fut bien posé sur l’entrée, elle repassa sa main sur mes fesses et me faisait appuyer. Le peu de force qu’elle exerçait, fit enfoncer mon gland dans son antre. C’était brûlant, vraiment très chaud ! sur le coup elle lâcha un soupir de soulagement. Puis je du reprendre la pénétration et l’enfoncer doucement comme je lui avait promis. Je la regardais les yeux mi-clos, elle aussi, sa bouche était entre ouverte. Je ne voulais pas lui faire du mal alors j’allais doucement jusqu’au fond. Tout le long elle lâcha ce fameux soupir. Son sexe était plus que lubrifié et assez étroit mais si bon…
Je commençais donc un va et viens lent qui la faisais gémir en rythme. Je m’agrippais à ces fesses pour que la pénétration soit mieux contrôlée et plus profonde. Elle gémissait de plus en plus fort sans que je modifie ma vitesse. Elle me caressais les fesses qui se contractaient à chaque coups, mon dos, mes bras, mes cuisses. Elle semblait revivre le passé.
J’accélérais donc la cadence progressivement, sa voix suivait. A nouveau nous roulâmes et je me suis retrouvé en missionnaire sur elle, toujours ses jambes autour des miennes elle me regardait m’enlaçant par la nuque.
- Vas-y mon amour c’est vraiment trop bon.
Je lui obéissais donc continuant mon doux mouvement sans forcer d’une allure. je dois avouer que obéir à une femme plus âgée, plus grande que moi en taille et plus large m’excitais énormément ! Allongé sur elle mes avant-bras de chaque coté de son visage, j’allais et venais. Je sentais progressivement que mes couilles tapaient contre ses fesses, elles devaient devenir plus molles avec la chaleur. Le temps passait mais pas le plaisir. Surtout quand elle se mit en levrette.
- Vas-y mon lapin saute sur ta maman.
Elle était là, les genoux bien écartées, le dos cambré appuyée les avant-bras. La tête sur le coté, ses longs cheveux bruns réunis derrière son oreille, elle me regardait impatience. Offerte à sou nouvel homme elle n’attendait que ça. Sa chatte était magnifique elle aussi : un petit ticket de métro fin pas plus de 5 centimètres. Ses grande lèvres étaient pulpeuses, et ses petites lèvres discrète. Comme elle était bien écartée et cambrée je pouvais distinguer son petit anus marron.
N’attendant plus, j’enfonça mon sexe brillant de mouille dans sa fente. Toujours si chaude sa chatte m’accueillit sans difficulté jusqu’au fond. Accélérant plus franchement, je la voyais titiller son clitoris de sa main droite. Elle gémissait de plus en plus fort, et moi aussi. Pour une fois qu’on pouvait ne pas se retenir !
De son autre main je la voyais agripper le draps et mordre son oreiller, que c’était bon de voir la graisse de ses fesses ondulée à chaque coup.
- Encore un peu plus fort mon petit, je sens que ça vient !
Je m’agrippais à ces reins pour en finir, je voulais vraiment jouir en elle savoir ce que ça fait de jouir en un femme. Je commençais donc à donner le meilleur de moi-même. Mes coups devenaient plus brutaux et sec, j’étais si excité que je n’avais plus peur de lui faire du mal.
Ma chère mère de famille ne gémissait plus mais criait et se contracta toute entière. Ses cris m’excitèrent au point de me faire jouir. Je me crispa soudainement en pleine défonce pour libérer de long jets de sperme en elle.
Totalement affaiblis, je m’effondras sur elle, son dos était chaud. Elle soupirait rapidement, mon cœur battait fort et vite contre elle.
- Humm mon ange, je vois que tu t’es donné énormément…
- Hum ?
- Je sens ton cœur battre.
Elle se retourna vers moi, nous nous embrassâmes encore. On devait être en fin de journée vu que le soleil se couchait. Deux ou trois heures avaient du passer. Je me reposais sur sa poitrine. On a du s’endormir car elle ma réveillé.
- Réveille toi mon amour, faut y aller, les enfants m’attendent.
- Ca t’a plu ?
- Tu m’as fait jouir comme jamais tu sais..
- Pourtant c’était ma première fois.
- Tu es très doué mais…tu veux que ça continue entre nous ?
- Comment ça ?
- J’ai toujours aimé appartenir à un seul homme. Tu voudrais continuer notre petite histoire ?
- Il faut que ça reste secret.
- Tu me plait beaucoup Emmanuel.
- Vous me plaisez aussi Madame, vous êtes si belle. Je la fit rougir.
- Reviens dormir ce week-end chez moi, on essayera d’être silencieux.
- C’est très risqué pour moi à chaque fois. Y a beaucoup de grève dans mon lycée en ce moment et un prof en arrêt maladie. Je pourrais venir dans la journée mais faudrait savoir quand finit Marc et Marie.
- Oui je vois. Tu me diras quand tu es libre et je me libérerais pour toi. Elle me caressait les cheveux.
Ca te plait de sortir avec la mère de ton meilleur ami ?
- Eh bien oui. C’est salaud je m’en doute mais vous me plaisez depuis trop longtemps.
- Faire l’amour à une femme qui as 27 ans de plus que toi ça doit beaucoup t’exciter je parie.
- Ca oui, surtout quand c’est la mère de mon ami. Il ne se doute pas une seconde que l’on couche ensemble.
- Il ne me voit pas comme ça. Il me voit comme la simple mère de famille qui n’a aucun désir sexuel.
- Eh bien c’est chose faite désormais et de toute façon, ça ne regarde que nous !
Apres un petit câlin nous nous rhabillâmes tranquillement et rentrèrent chez nous. Comme toujours dans la voiture je la faisais rire. Elle était vraiment jeune d’esprit et me racontait ses expériences et débuts sexuels. Elles en avait eu un paquet. Elle était d’origine marocaine et donc avait une éducation stricte étant jeune. Mais dés qu’elle a pu elle a connu le sexe et les histoires qu’elle me racontait me laisser croire que de un : c’était une jeune femme très coquine, et de deux : qu’elle avait l’air d’aimer le sexe.
Elle avait divorcée car son mari la délaissait sur tout les plans et cela créerait des disputes. Arrivés chez moi nous nous sommes dit au revoir. Ses lèvres étaient douces, toujours douces, ainsi que sa voix et son comportement. C’est ce qui me plaisait chez elle.
La beauté d’une femme mûre ainsi que le sexe-appeal. Une mentalité qui me plaisais, douce, tendre, coquine, cultivée, mature, et drôle. Le soucis est que tout ce j’aimais chez une femme, je le trouvais que chez des personnes plus âgées. Mais il y avait aussi sa fille.
La même personnalité sauf qu’elle était de temps à autre gamine, mais on peut pas lui en vouloir. Une beauté différente mais tout aussi sexy. Quand je l’ai eu au téléphone le soir même à l’abris des oreilles de son frère, je lui ai dit que j’ai profité de ma demi-journée pour faire un peu de sport…
Elle voulait vraiment qu’on se voient en dehors de chez elle, pour passer du temps ensemble.
J’ai accepté pour samedi après-midi quand elle aura quitté le lycée.
Elle était comme hier, à genoux recroquevillé sur mon sexe. Ses cheveux cachait son visage. J’entendais juste les bruits de succions. J’ai caressé son crâne, elle c’est arrêté quelque seconde pour me sourire et me dire :
- Je t’avais dit que je te réveillerais.
- Tu devrais te dépêcher par contre…
Elle acquiesça et se remit à l’œuvre. Je dois avouer que se faire réveiller de cette façon est magnifique. Sa langue était toujours si experte. Je la sentais tournoyer autour de mon gland. Je lui chuchotais de continuer, elle accéléra. Je me contentais de fermer les yeux et d’apprécier cette friandise. Rapidement le sperme monta :
- Je vais jouir Catherine…Je me crispais à chaque secousse que je sentais monter. Je ne pouvais laisser échapper quelques soupirs. Je la sentais s’appliquer et aller vraiment vite, aussi vite qu’elle pouvait.
Une bonne trentaine de seconde après j’ai libéré plusieurs jets de sperme au fond de sa bouche qu’elle n’eu pas peur d’avaler. Pouvoir déverser le contenu de ses couilles dans la bouche d’une femme mûre était vraiment jouissif. A peine réveillé mon corps c’était réchauffé et mes muscles semblaient déjà d’attaque. Toute contente elle s’allongea sur moi pour m’embrasser :
- Bonjour toi…Ses lèvres étaient tièdes, la même température que mon sexe auparavant. Elle se mit a caresser mon torse du doigt, elle semblait gêner.
Ne me prends pas pour cochonne mais ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu de rapport avec un homme…
- T’en fais pas je comprends.
- Es ce que…tu me feras rattraper le temps perdu Emmanuel ?
- Oui madame, je m’occuperais de vous quand on aura du temps pour nous.
- Même si tu étais pris de remords ne dit surtout rien à mon fils.
- Je risque pas, ne vous inquiétez pas. Je vais devoir retourner en bas ok ? On se verra mercredi alors ?
- Oui.
Nous avons échangé nos numéros de portable. Je me suis rhabillé rapidement et silencieusement. J’avais peur que Marie me surprenne encore, l’excuse des toilettes ne marcherait pas deux fois. Nous nous embrassâmes quelques secondes. Un baiser passionné, ça lui manquait vraiment ça se voyait. Je descendis toujours si lentement et prudemment puis j’ai pu regagner la chambre sans encombre. Pendant les deux jours d’attente, je communiquais par sms avec la mère et la fille. Les deux était aussi adorable l’une que l’autre. Je ne croyais pas que la situation que je vivais était réelle.
Mercredi approchant je me suis épilé où il fallait pour ma première fois avec une femme. On s’était donné rendez vous devant un parc, les enfants jouaient et je la voyait attendre dans la voiture. Montés à bord nous nous firent un petit baiser de peur qu’un passant nous voient. On discutait de tout et de rien. De temps en temps elle posait sa main sur ma cuisse, me souriait, me disait que j’étais beau. Je faisais de même, je la complimentais sur son visage, son corps. La conversation devenait de plus en plus chaude. On a du roulé peut-être 30 minutes. Elle voulait un hôtel discret loin de notre ville, elle avait raison vaut mieux ne pas se faire repérer.
A l’accueil on pris une chambre. Quelle gêne quand même quand la réceptionniste voyait une femme mûre et un jeune homme prendre une chambre en pleine après-midi. Mais bon elle a du voir pire.
Catherine portait une sorte de pull-robe marron très moulante qui lui arrivait à mi-cuisses, collants et des petits talons. Elle était vraiment gracieuse, dans l’escalier sa robe moulait ses fesses quand même bien bombées. On entra, elle verrouilla. Tout les deux sur le lit elle m’enlaça :
- Ah enfin tout les deux !
- Eh oui !
- Au moins déjà personne nous dérangera ou nous entendra.
- T’es bruyante quand tu fais l’amour ? Je caressais sa cuisse lentement.
- Eh bien avec mon ex mari je faisais semblant pour lui faire plaisir mais sinon je sais être bruyante et discrète. Tout dépend de l’engin.
- Et avec moi ?
- Avec toi…je crois que tu vas devoir me mettre l’oreiller sur le visage…
- T’exagères !
- On la mesurera quand on sera chez moi.
On s’embrassa passionnément à nouveau se caressant de partout, nos langues se mélangèrent. Elle déboutonnait mon jean et pendant que je retirais mon haut rapidement :
- Promet moi d’être doux chéri. Ca fait des années tu sais que…personne ne ma visité. Elle rougit et enfoui sa tête dans mon caleçon pour l’embrasser.
- Je te promets. Mais guide moi aussi, tu sais bien que c’est ma première fois…
- Non je veux te laisser faire. C’est important que tu impose ton rythme.
Elle baissa mon caleçon et engloutit mon sexe bien dressé. Je me laissais faire à nouveau. Elle était remplie de fougue ! J’avais l’impression qu’a chaque va et viens elle allait de plus en plus profond. Après 10 bonnes minutes, elle me mit nu, enfin ce qui restait ; jean, caleçon et s’amusait à retirer mes chaussettes avec ses dents. D’une manière féline elle revient à mon niveau, nos bouches se collèrent encore. Je souleva sa robe pour constater que c’était des bas qu’elle portait et non des collants, le tout avec un petit string ficelle bleu foncé. Ses fesses étaient vraiment fermes, y a pas à dire. Elles semblaient aussi assez grosses, je pouvais pétrire la graisse, c’était trop excitant.
Je lui retirais sa robe par le haut et à ma surprise, elle ne portait pas de soutien-gorge. Sans perdre une minute, je les embrassais à nouveau, les pétrissait tendrement, elle me regardait faire. Je me mis à les lécher en les pressant l’un contre l’autre puis les sucer doucement.
- Oh oui têtes le bon lait à maman mon amour. Me dit elle d’une voix maternelle.
Elle caressais mes cheveux et mon visage, puis m’enlaçais contre elle ce qui fit que nous roulâmes sur le côté. Elle avait ses jambes autour des miennes et me serrait contre elle. Les yeux fermés je me régalais de ses seins, les mordiller et les pétrir. Mon sexe toujours dressé était posé sur sa cuisse.
- Allez tu vas faire plaisir à maman mon chéri. Elle prenait le ton que les mères prenait pour aller endormir leurs bébés ou faire leur rot.
Elle passa sa main derrière elle en soulevant sa cuisse, puis saisi mon gland et le présenta à l’entrée de sa chatte. Ca glissais comme sur du beurre, elle mouillait énormément. Quand mon gland fut bien posé sur l’entrée, elle repassa sa main sur mes fesses et me faisait appuyer. Le peu de force qu’elle exerçait, fit enfoncer mon gland dans son antre. C’était brûlant, vraiment très chaud ! sur le coup elle lâcha un soupir de soulagement. Puis je du reprendre la pénétration et l’enfoncer doucement comme je lui avait promis. Je la regardais les yeux mi-clos, elle aussi, sa bouche était entre ouverte. Je ne voulais pas lui faire du mal alors j’allais doucement jusqu’au fond. Tout le long elle lâcha ce fameux soupir. Son sexe était plus que lubrifié et assez étroit mais si bon…
Je commençais donc un va et viens lent qui la faisais gémir en rythme. Je m’agrippais à ces fesses pour que la pénétration soit mieux contrôlée et plus profonde. Elle gémissait de plus en plus fort sans que je modifie ma vitesse. Elle me caressais les fesses qui se contractaient à chaque coups, mon dos, mes bras, mes cuisses. Elle semblait revivre le passé.
J’accélérais donc la cadence progressivement, sa voix suivait. A nouveau nous roulâmes et je me suis retrouvé en missionnaire sur elle, toujours ses jambes autour des miennes elle me regardait m’enlaçant par la nuque.
- Vas-y mon amour c’est vraiment trop bon.
Je lui obéissais donc continuant mon doux mouvement sans forcer d’une allure. je dois avouer que obéir à une femme plus âgée, plus grande que moi en taille et plus large m’excitais énormément ! Allongé sur elle mes avant-bras de chaque coté de son visage, j’allais et venais. Je sentais progressivement que mes couilles tapaient contre ses fesses, elles devaient devenir plus molles avec la chaleur. Le temps passait mais pas le plaisir. Surtout quand elle se mit en levrette.
- Vas-y mon lapin saute sur ta maman.
Elle était là, les genoux bien écartées, le dos cambré appuyée les avant-bras. La tête sur le coté, ses longs cheveux bruns réunis derrière son oreille, elle me regardait impatience. Offerte à sou nouvel homme elle n’attendait que ça. Sa chatte était magnifique elle aussi : un petit ticket de métro fin pas plus de 5 centimètres. Ses grande lèvres étaient pulpeuses, et ses petites lèvres discrète. Comme elle était bien écartée et cambrée je pouvais distinguer son petit anus marron.
N’attendant plus, j’enfonça mon sexe brillant de mouille dans sa fente. Toujours si chaude sa chatte m’accueillit sans difficulté jusqu’au fond. Accélérant plus franchement, je la voyais titiller son clitoris de sa main droite. Elle gémissait de plus en plus fort, et moi aussi. Pour une fois qu’on pouvait ne pas se retenir !
De son autre main je la voyais agripper le draps et mordre son oreiller, que c’était bon de voir la graisse de ses fesses ondulée à chaque coup.
- Encore un peu plus fort mon petit, je sens que ça vient !
Je m’agrippais à ces reins pour en finir, je voulais vraiment jouir en elle savoir ce que ça fait de jouir en un femme. Je commençais donc à donner le meilleur de moi-même. Mes coups devenaient plus brutaux et sec, j’étais si excité que je n’avais plus peur de lui faire du mal.
Ma chère mère de famille ne gémissait plus mais criait et se contracta toute entière. Ses cris m’excitèrent au point de me faire jouir. Je me crispa soudainement en pleine défonce pour libérer de long jets de sperme en elle.
Totalement affaiblis, je m’effondras sur elle, son dos était chaud. Elle soupirait rapidement, mon cœur battait fort et vite contre elle.
- Humm mon ange, je vois que tu t’es donné énormément…
- Hum ?
- Je sens ton cœur battre.
Elle se retourna vers moi, nous nous embrassâmes encore. On devait être en fin de journée vu que le soleil se couchait. Deux ou trois heures avaient du passer. Je me reposais sur sa poitrine. On a du s’endormir car elle ma réveillé.
- Réveille toi mon amour, faut y aller, les enfants m’attendent.
- Ca t’a plu ?
- Tu m’as fait jouir comme jamais tu sais..
- Pourtant c’était ma première fois.
- Tu es très doué mais…tu veux que ça continue entre nous ?
- Comment ça ?
- J’ai toujours aimé appartenir à un seul homme. Tu voudrais continuer notre petite histoire ?
- Il faut que ça reste secret.
- Tu me plait beaucoup Emmanuel.
- Vous me plaisez aussi Madame, vous êtes si belle. Je la fit rougir.
- Reviens dormir ce week-end chez moi, on essayera d’être silencieux.
- C’est très risqué pour moi à chaque fois. Y a beaucoup de grève dans mon lycée en ce moment et un prof en arrêt maladie. Je pourrais venir dans la journée mais faudrait savoir quand finit Marc et Marie.
- Oui je vois. Tu me diras quand tu es libre et je me libérerais pour toi. Elle me caressait les cheveux.
Ca te plait de sortir avec la mère de ton meilleur ami ?
- Eh bien oui. C’est salaud je m’en doute mais vous me plaisez depuis trop longtemps.
- Faire l’amour à une femme qui as 27 ans de plus que toi ça doit beaucoup t’exciter je parie.
- Ca oui, surtout quand c’est la mère de mon ami. Il ne se doute pas une seconde que l’on couche ensemble.
- Il ne me voit pas comme ça. Il me voit comme la simple mère de famille qui n’a aucun désir sexuel.
- Eh bien c’est chose faite désormais et de toute façon, ça ne regarde que nous !
Apres un petit câlin nous nous rhabillâmes tranquillement et rentrèrent chez nous. Comme toujours dans la voiture je la faisais rire. Elle était vraiment jeune d’esprit et me racontait ses expériences et débuts sexuels. Elles en avait eu un paquet. Elle était d’origine marocaine et donc avait une éducation stricte étant jeune. Mais dés qu’elle a pu elle a connu le sexe et les histoires qu’elle me racontait me laisser croire que de un : c’était une jeune femme très coquine, et de deux : qu’elle avait l’air d’aimer le sexe.
Elle avait divorcée car son mari la délaissait sur tout les plans et cela créerait des disputes. Arrivés chez moi nous nous sommes dit au revoir. Ses lèvres étaient douces, toujours douces, ainsi que sa voix et son comportement. C’est ce qui me plaisait chez elle.
La beauté d’une femme mûre ainsi que le sexe-appeal. Une mentalité qui me plaisais, douce, tendre, coquine, cultivée, mature, et drôle. Le soucis est que tout ce j’aimais chez une femme, je le trouvais que chez des personnes plus âgées. Mais il y avait aussi sa fille.
La même personnalité sauf qu’elle était de temps à autre gamine, mais on peut pas lui en vouloir. Une beauté différente mais tout aussi sexy. Quand je l’ai eu au téléphone le soir même à l’abris des oreilles de son frère, je lui ai dit que j’ai profité de ma demi-journée pour faire un peu de sport…
Elle voulait vraiment qu’on se voient en dehors de chez elle, pour passer du temps ensemble.
J’ai accepté pour samedi après-midi quand elle aura quitté le lycée.
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