Ma première fois partie 1
Récit érotique écrit par LTHKM [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma première fois partie 1
Outre les petites séances de léchouilles avec Anna et Fanny, que j’ai narré dans le récit précédent, je n’en menais pas moins la vie d’un ado en recherche de l’amour et du sexe…Il y avait Rafaella, une autre de mes cousines avec qui je flirtais depuis un petit moment. Rafaella avait 2 ans de plus que moi et je n’étais pas peu fier de me trouver dans ses bras. Elle était mince mais avec des formes de femmes déjà en pleine maturité.
Nous étions formellement ENSEMBLE depuis une semaine, et les petites séances de frottements ne nous suffisaient déjà plus, nous devions passer à l’étape supérieur. Je savais qu’elle n’était plus vierge car j’avais pu la doigter bien profondément contrairement à mes 2 deux acolytes avec qui je m’arrêtais aux caresses clitoridiennes. Je pense qu’elle ne se doutait pas que j’étais encore « puceau », mais ce détail n’avait sans doute aucun intérêt pour elle, car tout ce qui l’intéressait à l’époque, c’était de se faire baiser. En découvrant le mot nymphomane plus tard, je l’ai immédiatement associé à Rafaella car elle avait effectivement le sexe dans le sang.
Bref nous nous promenions un soir au clair de lune, et elle m’a conduit dans un petit cabanon au bout du village, les adultes se retrouvaient en fin d’après-midi pour jouer au domino et refaire le monde.
A peine entrés, elle a pris les choses en mains. Elle m’a assis sur un des bancs, s’est mise à califourchon sur moi et m’a chuchoté à l’oreille de la laisser agir. Ses baisers étaient langoureux et bien baveux, je me rappelle encore le goût sucré de sa langue. J’étais complètement sous son emprise, je répondais à ses caresses mais c’est bien elle qui menait le jeu.
Je bandais dur depuis déjà une demi-heure que nous étions sorti, mais là mon membre, qui sentait l’appel de sa chatte entre les cloisons de nos vêtements, était d’une dureté jamais atteinte. Quand Rafaella a plongé sa main dans mon survêtement et mon caleçon pour s’emparer de ma colonne de chair, je me sentis au porte du paradis… mais ça n’était encore comparé au moment où elle est descendu à genoux emportant avec quelle mes bas vers les chevilles.
Elle a commencé par des petits coup de langue sur mon scrotum, puis m’a enserré la peau de ce dernier pour bien faire ressortir mes couilles pour les sucer et les gober tout en me branlant. Moi qui n’était habitué qu’aux fellations débutantes de Fanny et Anna, je me suis rendu compte qu’il y a bien une expertise dans l’art de la fellation. Je pense aujourd’hui que c’est toute ma surprise de la technique de Rafaella qui m’a permis de tenir face à sa bouche. Et en matière de surprise, je n’en étais qu’au début. Après m’avoir bien bouffé les couilles, Rafaella s’est attaqué enfin à mon bâton.
D’abord en récupérant mon liquide pré séminal par le bout de la langue, elle s’en est servi pour humidifier le pourtour de mon gland, puis elle a gobé ce dernier et rappé mon frein de sa langue.
Elle a poursuivi son travail en avalant ma bite cm par cm, en remontant et redescendant toujours plus bas… et bien sur le summum a été la gorge profonde… j’étais en sueur, le plaisir qu’elle me procurait était inoui... pourtant, c’est ce jour-là que j’ai développé une habitude paradoxale, j’aime étudiant les techniques de fellations de mes diverses partenaires, ce qui me permet de toujours bien me retenir et de ne jouir que lorsque j’en ai moi-même envie... Ainsi, Rafaella à pomper pendant près de 15 minutes sans relâche et c’est seulement quand j’ai decidé de fermer les yeux et de me concentrer sur mes sensations que j’ai ressenti les soubresauts de ma reddition, je l’ai averti mais elle s’est acharné de plus belle jusqu’à l’explosion… et dernière surprise pour moi, elle n’a pas bronché mais à avaler mes rasades les unes à la suite des autres jusqu’à la dernière goute. Je suis resté en état de béatitude pendant au moins 5 min en la regardant toujours à mes genoux, et ma bite toujours en bouche et toujours bien dur.
Elle m’a sorti de ma léthargie en venant m’embrasser, me disant qu’il était tard et que nous devions rentrer… je bandais toujours ferme malgré le pied que je venais de prendre, mais elle m’a calmé en en promettant de me rejoindre le lendemain matin chez moi pour continuer la séance.
La suite à venir…
Nous étions formellement ENSEMBLE depuis une semaine, et les petites séances de frottements ne nous suffisaient déjà plus, nous devions passer à l’étape supérieur. Je savais qu’elle n’était plus vierge car j’avais pu la doigter bien profondément contrairement à mes 2 deux acolytes avec qui je m’arrêtais aux caresses clitoridiennes. Je pense qu’elle ne se doutait pas que j’étais encore « puceau », mais ce détail n’avait sans doute aucun intérêt pour elle, car tout ce qui l’intéressait à l’époque, c’était de se faire baiser. En découvrant le mot nymphomane plus tard, je l’ai immédiatement associé à Rafaella car elle avait effectivement le sexe dans le sang.
Bref nous nous promenions un soir au clair de lune, et elle m’a conduit dans un petit cabanon au bout du village, les adultes se retrouvaient en fin d’après-midi pour jouer au domino et refaire le monde.
A peine entrés, elle a pris les choses en mains. Elle m’a assis sur un des bancs, s’est mise à califourchon sur moi et m’a chuchoté à l’oreille de la laisser agir. Ses baisers étaient langoureux et bien baveux, je me rappelle encore le goût sucré de sa langue. J’étais complètement sous son emprise, je répondais à ses caresses mais c’est bien elle qui menait le jeu.
Je bandais dur depuis déjà une demi-heure que nous étions sorti, mais là mon membre, qui sentait l’appel de sa chatte entre les cloisons de nos vêtements, était d’une dureté jamais atteinte. Quand Rafaella a plongé sa main dans mon survêtement et mon caleçon pour s’emparer de ma colonne de chair, je me sentis au porte du paradis… mais ça n’était encore comparé au moment où elle est descendu à genoux emportant avec quelle mes bas vers les chevilles.
Elle a commencé par des petits coup de langue sur mon scrotum, puis m’a enserré la peau de ce dernier pour bien faire ressortir mes couilles pour les sucer et les gober tout en me branlant. Moi qui n’était habitué qu’aux fellations débutantes de Fanny et Anna, je me suis rendu compte qu’il y a bien une expertise dans l’art de la fellation. Je pense aujourd’hui que c’est toute ma surprise de la technique de Rafaella qui m’a permis de tenir face à sa bouche. Et en matière de surprise, je n’en étais qu’au début. Après m’avoir bien bouffé les couilles, Rafaella s’est attaqué enfin à mon bâton.
D’abord en récupérant mon liquide pré séminal par le bout de la langue, elle s’en est servi pour humidifier le pourtour de mon gland, puis elle a gobé ce dernier et rappé mon frein de sa langue.
Elle a poursuivi son travail en avalant ma bite cm par cm, en remontant et redescendant toujours plus bas… et bien sur le summum a été la gorge profonde… j’étais en sueur, le plaisir qu’elle me procurait était inoui... pourtant, c’est ce jour-là que j’ai développé une habitude paradoxale, j’aime étudiant les techniques de fellations de mes diverses partenaires, ce qui me permet de toujours bien me retenir et de ne jouir que lorsque j’en ai moi-même envie... Ainsi, Rafaella à pomper pendant près de 15 minutes sans relâche et c’est seulement quand j’ai decidé de fermer les yeux et de me concentrer sur mes sensations que j’ai ressenti les soubresauts de ma reddition, je l’ai averti mais elle s’est acharné de plus belle jusqu’à l’explosion… et dernière surprise pour moi, elle n’a pas bronché mais à avaler mes rasades les unes à la suite des autres jusqu’à la dernière goute. Je suis resté en état de béatitude pendant au moins 5 min en la regardant toujours à mes genoux, et ma bite toujours en bouche et toujours bien dur.
Elle m’a sorti de ma léthargie en venant m’embrasser, me disant qu’il était tard et que nous devions rentrer… je bandais toujours ferme malgré le pied que je venais de prendre, mais elle m’a calmé en en promettant de me rejoindre le lendemain matin chez moi pour continuer la séance.
La suite à venir…
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