Ma première fois sous la pluie et plus...
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2009 dans la catégorie Plus on est
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Ma première fois sous la pluie et plus...
Depuis toujours je vais en vacances chez ma grand-mère, une vieille femme très gentille quoiqu'un peu dépassée par la modernité. Elle a au moins la télévision. Si je n'avais que ça pour passer mes vacances je ne pourrai pas rester plus de deux jours. Heureusement qu'il y a des voisins avec des jeunes de mon âge. Je peux sortir sans problème, nous nous connaissons depuis toujours et tous sont sympas.
Pour aujourd'hui nous avons décidé d'aller piqueniquer au bord d'une rivière pas du tout polluée pour nous baigner. Nous sommes 6, trois garçons et trois filles, et en chahutant comme toujours nous voilà partis munis de nos sacs de sport. Nous sommes légers: juste de quoi casser la croute, un maillot et pour la plus prévoyante une nappe, sans oublier ce qui fait le charme de nos escapades une bouteille de bon vin comme il s'en fait dans la région.
Nous arrivons à notre rivière vers 11 heures 30, largement le temps de prendre un bain avant de déjeuner. Les filles vont se cacher pour se changer. Les garçons restent seuls, après tout être nus entre nous n'a strictement aucune importance. Nous nous connaissons depuis toujours. Par contre nous aimerions voir les filles un peu plus nues. Nous ne sommes plus vierges depuis longtemps, tant les filles que nous. Mais tout est dans les convenances.
Enfin avec nos maillots nous allons chahuter dans l'eau: rires, fous rires sans fin. La fille la plus "sage" décide que nous devons manger: à nous les œufs durs et autre saucisson.
Nous attendons pour rentrer dans l'eau froide un bon moment passé au soleil. Soudain de gros nuages arrivent insouciants nous restons quand brusquement un grondement de tonnerre et sans autre avis, la pluie tombe drue, comme toujours dans les orages d'été.
Nous sommes trempés, en maillot ce n'est pas grave, par contre ce qui l'est ce sont nos vêtements complètement mouillés. La fille "sérieuse" décide que nous devons trouver un refuge: celui où avec nos copines elles se sont changées: direction la cabane assez grande pour nous contenir tous.
Que faire quand nous sommes obligés de cohabiter, garçons et filles, trempés comme des soupes. Nous déshabiller. C’est comme ça que tout a commencé. Une fille sans trop de pudeur se met directement nue: tous nous admirons son corps jeune et plein de bonnes formes, dont des seins encore juvéniles mais tout à fait attirant. J'ai le béguin pour elle: nous couchons ensemble quelques fois. Je connais ses talents et ne voudrais pas les partager, enfin pas encore. Pourtant nous sortons et sous la pluie nous nous enlaçons pour nous embrasser, collés ensemble. Je bande: elle en profite la coquine pour me branler avec son ventre. Nous nous éloignons encore un peu et sur la mousse du sous bois nous nous couchons. Je lui embrasse les seins comme elle aime et enfin je lui suce le clitoris directement. Elle jouit facilement. A son tour elle veut que je jouisse mais en elle: elle me donne son con mouillé et j'y rentre avec un plaisir que je ne dissimule nullement. Nous baisons lentement. Nous faisons durer le plaisir jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir et que je jouisse en me retirant et lâchant mon sperme sur son ventre: elle s'en sert comme d'une crème de beauté: c'est parait-il bon pour la peau. Nous retournons à la cabane. les autres n'ont pas eu la même pudeur que nous: ils font pratiquement une partouze. Nous les regardons les corps plus ou moins mélangés, des cons remplis de bites ou de bouche d'une fille sur le con d'une autre. Excités comme si nous ne venions pas de baiser, nous allons nous mêler aux copains, copines.
Ma maîtresse en titre est attirée par une autre fille et commencent à se faire l'amour. Mes deux copains aussi, attirés l'un vers l'autre commencent un 69. Je me retrouve seul avec deux filles qui me semblent aussi excitées qu'un troupeau de puces.
Que faire dans ce cas. Je suis encore jeune et je me demande si je vais arriver à les baiser l'une après l'autre ou les deux à la fois. Je n'ai pas le temps de réfléchir: elles l'ont fait pour moi. Elles me couchent sur le dos, une m'embrasse pendant que l'autre attaque directement ma queue en me faisant une bonne fellation qu'elle arrête quand celle qui m'embrasse veut à son tour quelque chose. Je ne sais d'où me vient l'idée qui me servira encore pas mal pendant les vacances : une sur ma bouche et l'autre s'enfile direct sur ma queue. Elles sont très chaudes et jouissent très vite. Changement de fille: le goût du con change un peu mais le résultat est le même: je lèche un clitoris. Enfin elles jouissent. Pour me contenter elles me sucent à deux en se disputant ma bite qui change de bouche sans arrêt quand pour mettre tout le monde d'accord, ma maîtresse habituelle revient et se couche sur moi et nous jouissons ensemble, cette fois je jouis en elle: c'est quand même meilleur que sur son ventre. Les deux autres filles se branlent sans trop de pudeur.
La fin des vacances approche: nous organisons une grande fête entre nous: baise à volonté. Pourtant presque tous les jours les une ou les autre pouvaient baiser, moi en particulier dans un pré devant la maison familiale. Pendant que grand-mère regardait je ne sais quoi, avec mon amie nous faisions un autre cinéma, visible le samedi soir sur Canal +
Pour aujourd'hui nous avons décidé d'aller piqueniquer au bord d'une rivière pas du tout polluée pour nous baigner. Nous sommes 6, trois garçons et trois filles, et en chahutant comme toujours nous voilà partis munis de nos sacs de sport. Nous sommes légers: juste de quoi casser la croute, un maillot et pour la plus prévoyante une nappe, sans oublier ce qui fait le charme de nos escapades une bouteille de bon vin comme il s'en fait dans la région.
Nous arrivons à notre rivière vers 11 heures 30, largement le temps de prendre un bain avant de déjeuner. Les filles vont se cacher pour se changer. Les garçons restent seuls, après tout être nus entre nous n'a strictement aucune importance. Nous nous connaissons depuis toujours. Par contre nous aimerions voir les filles un peu plus nues. Nous ne sommes plus vierges depuis longtemps, tant les filles que nous. Mais tout est dans les convenances.
Enfin avec nos maillots nous allons chahuter dans l'eau: rires, fous rires sans fin. La fille la plus "sage" décide que nous devons manger: à nous les œufs durs et autre saucisson.
Nous attendons pour rentrer dans l'eau froide un bon moment passé au soleil. Soudain de gros nuages arrivent insouciants nous restons quand brusquement un grondement de tonnerre et sans autre avis, la pluie tombe drue, comme toujours dans les orages d'été.
Nous sommes trempés, en maillot ce n'est pas grave, par contre ce qui l'est ce sont nos vêtements complètement mouillés. La fille "sérieuse" décide que nous devons trouver un refuge: celui où avec nos copines elles se sont changées: direction la cabane assez grande pour nous contenir tous.
Que faire quand nous sommes obligés de cohabiter, garçons et filles, trempés comme des soupes. Nous déshabiller. C’est comme ça que tout a commencé. Une fille sans trop de pudeur se met directement nue: tous nous admirons son corps jeune et plein de bonnes formes, dont des seins encore juvéniles mais tout à fait attirant. J'ai le béguin pour elle: nous couchons ensemble quelques fois. Je connais ses talents et ne voudrais pas les partager, enfin pas encore. Pourtant nous sortons et sous la pluie nous nous enlaçons pour nous embrasser, collés ensemble. Je bande: elle en profite la coquine pour me branler avec son ventre. Nous nous éloignons encore un peu et sur la mousse du sous bois nous nous couchons. Je lui embrasse les seins comme elle aime et enfin je lui suce le clitoris directement. Elle jouit facilement. A son tour elle veut que je jouisse mais en elle: elle me donne son con mouillé et j'y rentre avec un plaisir que je ne dissimule nullement. Nous baisons lentement. Nous faisons durer le plaisir jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir et que je jouisse en me retirant et lâchant mon sperme sur son ventre: elle s'en sert comme d'une crème de beauté: c'est parait-il bon pour la peau. Nous retournons à la cabane. les autres n'ont pas eu la même pudeur que nous: ils font pratiquement une partouze. Nous les regardons les corps plus ou moins mélangés, des cons remplis de bites ou de bouche d'une fille sur le con d'une autre. Excités comme si nous ne venions pas de baiser, nous allons nous mêler aux copains, copines.
Ma maîtresse en titre est attirée par une autre fille et commencent à se faire l'amour. Mes deux copains aussi, attirés l'un vers l'autre commencent un 69. Je me retrouve seul avec deux filles qui me semblent aussi excitées qu'un troupeau de puces.
Que faire dans ce cas. Je suis encore jeune et je me demande si je vais arriver à les baiser l'une après l'autre ou les deux à la fois. Je n'ai pas le temps de réfléchir: elles l'ont fait pour moi. Elles me couchent sur le dos, une m'embrasse pendant que l'autre attaque directement ma queue en me faisant une bonne fellation qu'elle arrête quand celle qui m'embrasse veut à son tour quelque chose. Je ne sais d'où me vient l'idée qui me servira encore pas mal pendant les vacances : une sur ma bouche et l'autre s'enfile direct sur ma queue. Elles sont très chaudes et jouissent très vite. Changement de fille: le goût du con change un peu mais le résultat est le même: je lèche un clitoris. Enfin elles jouissent. Pour me contenter elles me sucent à deux en se disputant ma bite qui change de bouche sans arrêt quand pour mettre tout le monde d'accord, ma maîtresse habituelle revient et se couche sur moi et nous jouissons ensemble, cette fois je jouis en elle: c'est quand même meilleur que sur son ventre. Les deux autres filles se branlent sans trop de pudeur.
La fin des vacances approche: nous organisons une grande fête entre nous: baise à volonté. Pourtant presque tous les jours les une ou les autre pouvaient baiser, moi en particulier dans un pré devant la maison familiale. Pendant que grand-mère regardait je ne sais quoi, avec mon amie nous faisions un autre cinéma, visible le samedi soir sur Canal +
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