Ma première pose (troisième séance)
Récit érotique écrit par Caroline de Savoie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Ma première pose (troisième séance)
Toute la semaine, je repensais sans arrêt à ce qui s’était passé lors de cette seconde séance.
Mon retour à la maison déjà, à l’issue de cette session si particulière, encore couverte de souillures, malgré mon nettoyage sommaire (je n’avais pu, sous la pression de David, qu’enlever avec mes doigts que j’avais ensuite léchée à la hâte, le plus gros du sperme étalé dans les cheveux ou coulant de mon visage). La honte de marcher ainsi dans la rue sans oser fixer les passants, l’ouverture angoissée de la porte de la maison familiale, mon passage en trombe dans le couloir et les escaliers, puis enfin un nettoyage plus sérieux sous la douche de la salle de bain.
Heureusement, personne ne semblait avoir remarqué mon entrée piteuse et mon empressement à me cacher. Même si, au diner et pendant toute la soirée, j’avais l’impression - forcément fausse vu la quantité de shampoing, de gel douche et de dentifrice que j’avais utilisée - de sentir encore le sperme de tous ces pervers, l’odeur sur ma peau et le relent en bouche.
Pendant les nuits qui suivirent, cela me revenait sans cesse en mémoire, entre cauchemar et rêve érotique. Je m’en voulais à chaque fois de ressentir ce trouble et cette excitation au fon de moi en repensant à ce qui était arrivé. Je me tançais intérieurement « Allons Caroline, tu as…sucer la moitié de ces pervers pendant que les autres te dessinaient, te regardait en commentant grassement ! Ils ont tous des petits films de cette horreur en plus, tu ne peux pas éprouver autre chose que de la honte et du dégout ! ». Mais malgré mes admonestations intérieures, je ne pouvais m’empêcher de finir par ressentir une excitation si aigue que je finissais inexorablement par me masturber, honteuse, jusqu’au plaisir, tout en me promettant que c’était la dernière fois.
Tous les jours aussi, je repensais aux dernières paroles de David (prononcés tandis que sel avec moi, apes le départ des autres participants, il se faisait sucer a son tour) : « j’ai oublié de te dire Caroline, chaque participant télécharge sur notre espace les clichés et films souvenir. Mais rassures toi, les règles du club te protègent. Tant que tu es modèle pour nous, ces images restent privées, mais bien sur nous réalisons en revanche de très larges expositions si tu n’es plus couverte par notre collaboration ». J’avais beau les tourner en tous sens dans ma tête, le message me paraissait toujours clair : si je ne revenais pas, ma déchéance serait exposée à tous. J’imaginais déjà dans mes mauvais rêves mes photos affichées sur les panneaux municipaux, mes films disponibles en téléchargement sur le site du club…,
Je croisais parfois dans la rue ou un commerce, un des « dessinateurs » amateurs des environs, qui avaient participé à la dernière séance. Toujours je répondais en bafouillant et rougissante, à leurs salutations, à la fois étrangement polies mais pleines de sourires en coins ou de sous-entendus. D‘autant que ces échanges se terminaient invariablement de leur part par un « A mercredi prochain alors… » appuyé. Mon collègue qui avait eu « l’honneur » de participer aussi continuait tous les jours où nous travaillions ensemble, à me saluer, sans rien mentionner explicitement, mais toujours avec un sourire que je trouvais pervers ou de petites allusions « tu as bien digéré l’apéritif de mercredi ?... Tu n’as pas ta queue de cheval aujourd’hui ? » qui suscitaient à ma grande honte des regards interrogatifs du reste de l’équipe. Je me demandais en permanence s’il en avait parler aux autres, ou qui sais s’il leur avait montré son film souvenir. Bien sûr je me contentais d‘un sourire forcé en retour et de dire que tout allait bien.
L’affichage de mes « performances » à venir, que j’avais pu apercevoir à l’espace communale, et l’évocation par David d’une autre affichette à la boulangerie, me taraudaient aussi. Si bien que je fini le dimanche matin (c’était à moi d’aller chercher les viennoiseries pour la famille) par me rendre à cette fameuse boulangerie, ou je n’étais pas repassée depuis (mes parent ou mon frère ramenant le pain en général sur leur trajet de retour à la maison). Lorsque j’entrai, le grand bonjour narquois du boulanger, me fis tout de suite soupçonner que David n’avait pas menti. La juste a coté de la caisse, tourner vers les clients onc aucun n’avait pu la rater, trônait la fameuse affichette, déjà vue à la salle. Sur le même fon bleuté, le club de dessin faisait publicité de ma qualité de « modèle nue » (un doux euphémisme) et précisait sous ma photo et mon nom, les modalités de participation.
J’en ressenti un frisson d‘horreur et de trouble intense, et tandis que je sortais précipitamment après avoir payée les croissants, sous l’inévitable « à mercredi alors. » goguenard, je réalisais pleinement que le bourg entier pour peu qu’il soit client de ce commerce, (nous n’avons que deux boulangeries ici), était susceptible de venir participer pour quelques euros aux « réjouissances ».
Le mercredi venu, a défaut ‘avoir trouver une échappatoire satisfaisante qui me permettrait de ne pas y aller sans risquer la diffusion de la session précédente, je me résolu la mort dans l’âme mais le feu au fond du ventre, à aller faire ma troisième séance de pose. Je respectai scrupuleusement encore une fois les instructions : Aucun dessous plusieurs heures avant pour éviter toute marque, mes escarpins les plus haut, et mes cheveux longs rassemblés en queue de cheval, pour, comme David l’avait prétendu la fois précédente, « dégager mon beau visage », mais comme je le savais aussi depuis lors, permettre qu’il soit bien visible sur toutes les prises de vue et permettre à ces pervers …d’avoir une bonne prise pour me tenir immobile.
Comme la fois précédente, je mentionnais rapidement en partant, que je buvais un pot avec des amies. Le regard mi-critique mi-amusé de mon père et mon frère sur mes seins qui pointaient sous ma robe, me firent me demander avec angoisse s’ils étaient passé cette semaine à la fameuse boulangerie.
Cette fois encore, j’eu l’impression pendant tout le trajet que ma déchéance était écrite sur mon visage. Partie un peu trop tard et ralentie par mes talons haut, J’arrivais à la salle communale, avec quelques minutes de retard. David n’était pas devant pour m’accueillir comme les fois précédentes, et je me pris a rêver que peut-être la séance avait été annulée. Mais dès mon entrée dans le hall, je sus qu’il n’en était rien. J’y repérais immédiatement plusieurs participants déjà vus la fois précédente, et en particulier ce porc de Mr Dupin, (mon ancien professeur de Français, qui avait pris tant de plaisir lors de la séance précédente, à se venger des moqueries que je lui avais faite endurer au lycée, en racontant ma vie scolaire et en m’aspergeant copieusement de son sperme répugnant).
A ma vue, me regardant de bas en haut comme un objet, il s’exclama « Ha mais moi qui croyais t’avoir inculqué les bonne manières la semaine dernière, je constate que pour la ponctualité, il va falloir sévir encore. » David surgit à cet instant, et après quelques secondes de réflexion, m’invita sans préambule et en tenant la main vers moi à retirer ma robe et à la lui la donner. Je tentais de protester, en bafouillant, que je le ferais dès que je serais dans la salle réservée, mais me barrant la route il lâcha un péremptoire « allez, à poil ne fais pas ta mijaurée, ou nous pourrions bien faire la séance dehors sur la place ! ». Paniquée, et ne sachant pas s’il plaisantait ou non je me hâtais de retirer ma petite robe et de la lui tendre, bien que nous ne soyons que dans le hall d‘entrée de la maison communale.
Il me l’arracha presque es mains, et cette fois encore la lança en boule par-dessus son épaule et je la vis disparaitre de main en main jusqu’à la perdre totalement de vue. Avec Mr Dupin, ils jouèrent encore à me faire peur, faisant mine d’hésiter en regardant le soleil extérieur, à faire vraiment la séance dehors. Mais après quelques minutes de ce manège, et tandis que toutes les personnes traversant le hall s’arrêtaient pour me regarder, il finit par me ire en me donnant une claque sonore sur les fesses « Allez file dans la salle, nous sommes vraiment trop gentils avec toi, il va falloir que ça change ! ». Je n’aurais jamais crue être finalement aussi contente de me hâter vers cette grande pièce ou pourtant j’avais déjà été si humiliée.
J’entrais, suivi des participants qui m’avaient accueillie, sous les murmures approbateurs de tous ceux déjà présents, saluant mon entrée nue. Je vis immédiatement qu’ils étaient aussi nombreux que la fois précédente, les pupitres serrés tout autour de l’estrade. Je reconnu hélas certains visages que j’aurais préférée ne pas voir, de voisins proches, de collègues et amis, déjà présents la fois précédentes ou nouveaux attirés par la rumeur…Certains n’attendirent même pas comme les fois précédentes les instructions de David pour extirper leurs portables de leurs poches et immortaliser l’instant.
Au moment ou je montais résignée sur le petit estrade, David vint vers moi et me jeta un petit tas de tissus que je n identifiais pas immédiatement. Presque heureuse en pensant que j’allais cette foi un peu vêtue, je déchantai vite en me rendant compte qu’il ne s’agissait que de lingerie, plus destinée à rendre encore plus suggestive ma nudité. Et pendant que je déroulais les bas noirs assortis au porte jarretelle qui les accompagnait, David m’intima de les passer promptement, précisant que cette « bonne idée » avait été suggéré par Mr Dupin.
Sous les regards, les objectifs et les commentaires de la salle, je fus donc contrainte de me déchausser pour passer ces accessoires, puis de renfiler mes talons. Je me sentais encore pire que nue, mon intimité toujours aussi exposée, les bas noirs soulignant juste le coté sexuel. Je pensais : « Me voilà en tenue de pute, c’est la totale ». David valida ma tenue en me faisant tourner sur place, tandis que j’entendis ce gros pervers de Dupin, jamais a cours d‘un mauvais tour, lancer à mes collègues du restaurant présent « Vous ne trouvez pas que ça ferait un joli uniforme de service ? ». La réponse se mon collègue tandis qu’il me prenait en photo ne me rassura pas : « bonne idée on en parlera au chef ».
Sous les rires gras de la salle à cette évocation, David me fit me replacer à 4 pattes comme les fois précédentes, toujours en insistant avec ses mains pour exagérer le coté humiliant et sexuel de ma posture : Cambrure exagérée fesses tenues, genoux et mains au sol écartées. Une fois « placée », j’attendis une minute, résignée, ne doutant pas que j’allais cette fois encore devoir prendre en bouche et recevoir le sperme d‘une bonne partie de l’assemblée.
Bien sûr, Mr Dupin tint à ouvrir le bal… et ma bouche par la même occasion. Cela devait être déjà négocié entre eux car il s’approcha de moi et j’eu rapidement la vision en gros plan de son vieux sexe violacé et très raide sous les yeux. Après l’avoir de nouveau intimé d’ouvrir la bouche, il me fourra sans hésitation la totalité de son membre au fond de la gorge, puis alors que je peinais a respirer, resta immobile devisant à nouveau avec l’assistance de mon mauvais comportement au lycée des années avant, et du fait qu’il était vraiment temps que mon éducation soit reprise en main et complétée. Je crois qu’il adorait vraiment m humilier ainsi, alors qu’incapable bien sûr de dire un mot je devais subir à mon tour, écarlate tant de honte que du manque d’air ses moqueries. Les soubresauts excités de son sexe contre la glotte me confirmaient le plaisir qu’il prenait à prendre sa revanche.
Lorsqu’il retira enfin après quelques minutes son sexe de ma bouche, je respirais enfin à grandes goulées, tout en me méfiant des jets qui ne tarderaient sans doute pas à jaillir sur moi.
Mais contre toute attente, il recula pour laisser la place, sans avoir joui. Comme je m’y attendais il fut immédiatement remplacé par un autre. Un voisin cette fois ci, trop content de pouvoir à son tour vérifier la rumeur « la fille Martin suce qui veut tous les mercredis au club de dessin ». Il cru bon de me gratifier ‘un sourire et d’un merci déplacé au moment même ou il me fourrait à son tour son membre déjà bien raide entre les lèvres. Timide au départ, et se contentant de faire de légers vas et vient en silence ans ma bouche, il s’enhardi vite sous les encouragements de la salle à plaisanter sur mon caractère « accueillant », sans doute de famille sous entendait il en évoquant ma mère sous les approbations d’autres voisins, ajoutant la encore a mon humiliation. Au bout de peu de temps plus du tout gêné il empoignant ma queue de cheval pour maintenir fermement ma tête pendant qu’il se faisait plaisir.
C’est à ce moment même, complètement immobilisée par ce salaud que je sentis un mouvement et un frôlement derrière moi. Une main alterna bientôt entre tapes et caresses sur mon dos, mes fesses et mes cuisses jusqu’à la lisière des bas. Impuissante j’émis jusque quelques « mhhhh mhhhh » dérisoires et étouffés par la queue dans ma bouche, alors même son propriétaire affermissait sa prise sur mes cheveux, me faisant comprendre que tout mouvement me ferait souffrir.
Je sentis une la main passer entre mes cuisses ouvertes et caresser sans ménagement cette fois ma vulve. Un doigt s’introduit d’un coup entre mes lèvres intimes et poussa inexorablement jusqu’à me pénétrer en entier. Je le sentie cambrée faire quelques allers-retours en moi puis se retirer. C’est à ce moment que je reconnus à nouveau la voix graveleuse de Mr Dupin résonner derrière moi et annoncer satisfait « elle mouille comme une salope ! j’en étais sûr, elle en veut plus ». Sans pouvoir le voir j’imaginais bien qu’il devait lever triomphalement l’index ou le majeur (je n’avais pas pu reconnaitre !) luisant à la salle. Car oui, je ne peux pas nier que à cet instant, j’étais largement trempée. Même si j’avais pu parler, mes dénégations mensongères n’auraient convaincue personne. Malgré ma situation et l’humiliation énorme que je ressentais, j’étais excitée comme jamais. Les cris émanant de la salle et les quelques noms peu flatteurs fusant autour de moi achevèrent de me faire prendre conscience que ma réputation était faite ici.
Je pensais mon infortune à son comble, mais alors que je pensais que ça n’irait pas plus loin, je sentis à nouveau quelqu’un (Mr Dupin pensai- je immédiatement) se positionner entre mes genoux, et alors que deux mains m’empoignaient fermement les hanches, je sentis un gland appuyer contre ma vulve et la pénétrer immédiatement. « Pas besoin de préliminaires ! » clama la voix réjouie dans mon dos tandis que son sexe m’ouvrait la chatte, me confirmant au passage que mon tortionnaire était bien mon ancien professeur.
La honte me submergeait d‘autant plus que je sentais dans mon bas ventre croitre les signes avant-coureurs de mon propre plaisir. Je résistais le plus que je pouvais pendant qu’il me prenait la chatte sans ménagement, essayant de visualiser son gros visage bouffis et son ventre répugnant pour me calmer. Chaque mouvement violent qu’il faisait en moi faisait claquer son gros ventre contre mes fesses et je l’entendais souffler, toujours en se moquant de moi. Sa main gauche venait régulièrement claquer mes fesses sèchement, tandis que la droite agrippait ma hanche, ajoutant à la douleur de mon cuir chevelu, toujours tiraillé par ma queue de cheval fermement tenue. Je ne voulais pas lui donner le plaisir d‘avoir raison alors qu’il m abreuvais de « alors, tu aimes ça ? Avoue-le, montre à tous la petite chienne que tu es ! » Mais, malgré la position inconfortable la honte a ma volonté de résister, compte tenu de mon excitation, de la vigueur inattendue et de la taille imposante de son sexe, mes efforts furent bientôt vains, et malgré toutes mes résistances je sentis ma jouissance approcher. Il dut sentir le bon moment, car alors même qu’exposait au fond de mon ventre un orgasme comme j’an avait rarement connu, il demanda à l’autre homme de libérer ma bouche, ce qui eu pour effet de me laisser exprimer ma jouissance bruyamment.
Et alors que ni les participant ni leurs maudits téléphones n’en perdaient une miette, la bouche ouverte haletante et mon bassin et mes bras posés au sol tremblant frénétiquement, je lâchais une succession de cris et de râles sans aucune ambiguïté. Je jouissais d‘un orgasme puissant et non retenu qui dura trois minutes, tandis qu’il continuait plus lentement son vas et vient dans ma chate trempée, dont on devait entendre distinctement les clapotis.
Je reprenais à peine mon souffle la tête un peu baissée, réalisant immédiatement qu’à la vue des images et à l’écoute de la « bande son » personne ne pourrait jamais croire que j’avais été forcée. Je sentis simultanément Mr Dupin retirer sa queue pourtant encore raide de ma chatte. « Il a renoncé a jouir ou n’en peut plus « pensais-je brièvement. Mais mon répit fut hélas de courte durée, car je sentis presque aussitôt un contact à la fois dur et visqueux contre mon anus alors même que ses eux mains m’écartaient les fesses. Je tentais de crier « Non ! » et d‘échapper a son étreinte, mais je senti immédiatement la main tenant mes cheveux se raidir relevant ma tet et empêchant tout mouvement, et le sexe qui frôlait encore mon visages engouffrer dans ma bouche ouverte pour protester, étouffant du même coup ma protestation et mes velléités de mouvement.
Ainsi livrée à mon tortionnaire, et pendant que je le l’entendais s’interroger tout haut sur le caractère plus ou moins étroit de mon anus je sentis horrifiée ce gros gland encore mouillé de moi forcer mon petit orifice et son membre tout entier s’introduire à la suite, sans plus de manière. Je savais que si je serrais les fesses je risquais d’avoir plus mal encore, alors résignée je m’efforçais de m’ouvrir pour accueillir au mieux les assauts de Mr Dupin. Satisfait il n’hésita pas à bientôt me sodomiser avec vigueur en clamant haut et fort que je devais bien aimer ça, vu la façon dont j’aidais à la manœuvre.
Surexcité par ses multiples turpitudes il jouit heureusement assez vite entre mes fesses, et se retira ensuite essuyant sans élégance son gros sexe a demi mou contre mes fesses. L’autre homme également très excité de ce qui s’était passé ne tarda pas à se vider au fond de ma gorge. Mais bien sûr, il avait à peine fini de se soulager que déjà un autre s’était installé entre mes cuisses.
La séance dura eux heures comme à chaque fois, l’assistance se lâchant complètement, persuadées par ma jouissance étalée à leurs yeux et par ma « collaboration active » à ma sodomie qu’en effet j’aimais ça et que j’en réclamais d‘avantage.
Je tentais mécaniquement de tenir le compte des sexes que je suçais, de ceux qui jouissaient dans ma bouche sur moi ou simplement venaient se « chauffer » avant de passer au plat de résistance, de ceux qui me prenaient la chatte ou le cul ou les deux selon leurs envies, toujours san le moindre préservatif, mais je perdis rapidement le fil me contentant de respirer lorsque je le pouvais, m‘éviter de m’étrangler et… par trois fois encore de jouir comme jamais.
Même si mes orgasmes venaient bien sur es multiples pénétrations que je subissais et de l’excitation générale que la situation générait en moi, malgré moi, ceux qui me pénétraient au moment de ces orgasmes le prenaient avec une fierté bruyante, prenant les autres a témoins de leur performance : ils avaient faite jouir la salope ! On aurait dit un concours, encouragé tout du long par David, ravi encourager cet esprit de compétition ont je faisais es frais. L’intégralité de mes épisodes de jouissance furent bien sûr soigneusement enregistré en de multiples exemplaires…
Comme la fois précédente, David se contenta d’une simple fellation après le départ des participants, m’indiquant méchamment que j’étais bien trop souillée à son gout mais qu’il prendrait soin de passer en premier la prochaine fois.
Cette fois encore j’eu un temps très (trop) court pour essayer tant bien que mal de me rendre une apparence présentable avant qu’il ne me jette dehors ma robe rendue au dernier moment a peine enfilée sur mon corp couvert de bleu et de sperme. Je rentrais donc à la maison dans un état encore pire que la fois précédente, en rasant les murs avec une démarche de zombie et ne voyant aucun moyen d‘échapper à la poursuite de ce que Mr Dupin avait appelé avant de partir « ma nouvelle vie enfin utile au service de la communauté »
Mon retour à la maison déjà, à l’issue de cette session si particulière, encore couverte de souillures, malgré mon nettoyage sommaire (je n’avais pu, sous la pression de David, qu’enlever avec mes doigts que j’avais ensuite léchée à la hâte, le plus gros du sperme étalé dans les cheveux ou coulant de mon visage). La honte de marcher ainsi dans la rue sans oser fixer les passants, l’ouverture angoissée de la porte de la maison familiale, mon passage en trombe dans le couloir et les escaliers, puis enfin un nettoyage plus sérieux sous la douche de la salle de bain.
Heureusement, personne ne semblait avoir remarqué mon entrée piteuse et mon empressement à me cacher. Même si, au diner et pendant toute la soirée, j’avais l’impression - forcément fausse vu la quantité de shampoing, de gel douche et de dentifrice que j’avais utilisée - de sentir encore le sperme de tous ces pervers, l’odeur sur ma peau et le relent en bouche.
Pendant les nuits qui suivirent, cela me revenait sans cesse en mémoire, entre cauchemar et rêve érotique. Je m’en voulais à chaque fois de ressentir ce trouble et cette excitation au fon de moi en repensant à ce qui était arrivé. Je me tançais intérieurement « Allons Caroline, tu as…sucer la moitié de ces pervers pendant que les autres te dessinaient, te regardait en commentant grassement ! Ils ont tous des petits films de cette horreur en plus, tu ne peux pas éprouver autre chose que de la honte et du dégout ! ». Mais malgré mes admonestations intérieures, je ne pouvais m’empêcher de finir par ressentir une excitation si aigue que je finissais inexorablement par me masturber, honteuse, jusqu’au plaisir, tout en me promettant que c’était la dernière fois.
Tous les jours aussi, je repensais aux dernières paroles de David (prononcés tandis que sel avec moi, apes le départ des autres participants, il se faisait sucer a son tour) : « j’ai oublié de te dire Caroline, chaque participant télécharge sur notre espace les clichés et films souvenir. Mais rassures toi, les règles du club te protègent. Tant que tu es modèle pour nous, ces images restent privées, mais bien sur nous réalisons en revanche de très larges expositions si tu n’es plus couverte par notre collaboration ». J’avais beau les tourner en tous sens dans ma tête, le message me paraissait toujours clair : si je ne revenais pas, ma déchéance serait exposée à tous. J’imaginais déjà dans mes mauvais rêves mes photos affichées sur les panneaux municipaux, mes films disponibles en téléchargement sur le site du club…,
Je croisais parfois dans la rue ou un commerce, un des « dessinateurs » amateurs des environs, qui avaient participé à la dernière séance. Toujours je répondais en bafouillant et rougissante, à leurs salutations, à la fois étrangement polies mais pleines de sourires en coins ou de sous-entendus. D‘autant que ces échanges se terminaient invariablement de leur part par un « A mercredi prochain alors… » appuyé. Mon collègue qui avait eu « l’honneur » de participer aussi continuait tous les jours où nous travaillions ensemble, à me saluer, sans rien mentionner explicitement, mais toujours avec un sourire que je trouvais pervers ou de petites allusions « tu as bien digéré l’apéritif de mercredi ?... Tu n’as pas ta queue de cheval aujourd’hui ? » qui suscitaient à ma grande honte des regards interrogatifs du reste de l’équipe. Je me demandais en permanence s’il en avait parler aux autres, ou qui sais s’il leur avait montré son film souvenir. Bien sûr je me contentais d‘un sourire forcé en retour et de dire que tout allait bien.
L’affichage de mes « performances » à venir, que j’avais pu apercevoir à l’espace communale, et l’évocation par David d’une autre affichette à la boulangerie, me taraudaient aussi. Si bien que je fini le dimanche matin (c’était à moi d’aller chercher les viennoiseries pour la famille) par me rendre à cette fameuse boulangerie, ou je n’étais pas repassée depuis (mes parent ou mon frère ramenant le pain en général sur leur trajet de retour à la maison). Lorsque j’entrai, le grand bonjour narquois du boulanger, me fis tout de suite soupçonner que David n’avait pas menti. La juste a coté de la caisse, tourner vers les clients onc aucun n’avait pu la rater, trônait la fameuse affichette, déjà vue à la salle. Sur le même fon bleuté, le club de dessin faisait publicité de ma qualité de « modèle nue » (un doux euphémisme) et précisait sous ma photo et mon nom, les modalités de participation.
J’en ressenti un frisson d‘horreur et de trouble intense, et tandis que je sortais précipitamment après avoir payée les croissants, sous l’inévitable « à mercredi alors. » goguenard, je réalisais pleinement que le bourg entier pour peu qu’il soit client de ce commerce, (nous n’avons que deux boulangeries ici), était susceptible de venir participer pour quelques euros aux « réjouissances ».
Le mercredi venu, a défaut ‘avoir trouver une échappatoire satisfaisante qui me permettrait de ne pas y aller sans risquer la diffusion de la session précédente, je me résolu la mort dans l’âme mais le feu au fond du ventre, à aller faire ma troisième séance de pose. Je respectai scrupuleusement encore une fois les instructions : Aucun dessous plusieurs heures avant pour éviter toute marque, mes escarpins les plus haut, et mes cheveux longs rassemblés en queue de cheval, pour, comme David l’avait prétendu la fois précédente, « dégager mon beau visage », mais comme je le savais aussi depuis lors, permettre qu’il soit bien visible sur toutes les prises de vue et permettre à ces pervers …d’avoir une bonne prise pour me tenir immobile.
Comme la fois précédente, je mentionnais rapidement en partant, que je buvais un pot avec des amies. Le regard mi-critique mi-amusé de mon père et mon frère sur mes seins qui pointaient sous ma robe, me firent me demander avec angoisse s’ils étaient passé cette semaine à la fameuse boulangerie.
Cette fois encore, j’eu l’impression pendant tout le trajet que ma déchéance était écrite sur mon visage. Partie un peu trop tard et ralentie par mes talons haut, J’arrivais à la salle communale, avec quelques minutes de retard. David n’était pas devant pour m’accueillir comme les fois précédentes, et je me pris a rêver que peut-être la séance avait été annulée. Mais dès mon entrée dans le hall, je sus qu’il n’en était rien. J’y repérais immédiatement plusieurs participants déjà vus la fois précédente, et en particulier ce porc de Mr Dupin, (mon ancien professeur de Français, qui avait pris tant de plaisir lors de la séance précédente, à se venger des moqueries que je lui avais faite endurer au lycée, en racontant ma vie scolaire et en m’aspergeant copieusement de son sperme répugnant).
A ma vue, me regardant de bas en haut comme un objet, il s’exclama « Ha mais moi qui croyais t’avoir inculqué les bonne manières la semaine dernière, je constate que pour la ponctualité, il va falloir sévir encore. » David surgit à cet instant, et après quelques secondes de réflexion, m’invita sans préambule et en tenant la main vers moi à retirer ma robe et à la lui la donner. Je tentais de protester, en bafouillant, que je le ferais dès que je serais dans la salle réservée, mais me barrant la route il lâcha un péremptoire « allez, à poil ne fais pas ta mijaurée, ou nous pourrions bien faire la séance dehors sur la place ! ». Paniquée, et ne sachant pas s’il plaisantait ou non je me hâtais de retirer ma petite robe et de la lui tendre, bien que nous ne soyons que dans le hall d‘entrée de la maison communale.
Il me l’arracha presque es mains, et cette fois encore la lança en boule par-dessus son épaule et je la vis disparaitre de main en main jusqu’à la perdre totalement de vue. Avec Mr Dupin, ils jouèrent encore à me faire peur, faisant mine d’hésiter en regardant le soleil extérieur, à faire vraiment la séance dehors. Mais après quelques minutes de ce manège, et tandis que toutes les personnes traversant le hall s’arrêtaient pour me regarder, il finit par me ire en me donnant une claque sonore sur les fesses « Allez file dans la salle, nous sommes vraiment trop gentils avec toi, il va falloir que ça change ! ». Je n’aurais jamais crue être finalement aussi contente de me hâter vers cette grande pièce ou pourtant j’avais déjà été si humiliée.
J’entrais, suivi des participants qui m’avaient accueillie, sous les murmures approbateurs de tous ceux déjà présents, saluant mon entrée nue. Je vis immédiatement qu’ils étaient aussi nombreux que la fois précédente, les pupitres serrés tout autour de l’estrade. Je reconnu hélas certains visages que j’aurais préférée ne pas voir, de voisins proches, de collègues et amis, déjà présents la fois précédentes ou nouveaux attirés par la rumeur…Certains n’attendirent même pas comme les fois précédentes les instructions de David pour extirper leurs portables de leurs poches et immortaliser l’instant.
Au moment ou je montais résignée sur le petit estrade, David vint vers moi et me jeta un petit tas de tissus que je n identifiais pas immédiatement. Presque heureuse en pensant que j’allais cette foi un peu vêtue, je déchantai vite en me rendant compte qu’il ne s’agissait que de lingerie, plus destinée à rendre encore plus suggestive ma nudité. Et pendant que je déroulais les bas noirs assortis au porte jarretelle qui les accompagnait, David m’intima de les passer promptement, précisant que cette « bonne idée » avait été suggéré par Mr Dupin.
Sous les regards, les objectifs et les commentaires de la salle, je fus donc contrainte de me déchausser pour passer ces accessoires, puis de renfiler mes talons. Je me sentais encore pire que nue, mon intimité toujours aussi exposée, les bas noirs soulignant juste le coté sexuel. Je pensais : « Me voilà en tenue de pute, c’est la totale ». David valida ma tenue en me faisant tourner sur place, tandis que j’entendis ce gros pervers de Dupin, jamais a cours d‘un mauvais tour, lancer à mes collègues du restaurant présent « Vous ne trouvez pas que ça ferait un joli uniforme de service ? ». La réponse se mon collègue tandis qu’il me prenait en photo ne me rassura pas : « bonne idée on en parlera au chef ».
Sous les rires gras de la salle à cette évocation, David me fit me replacer à 4 pattes comme les fois précédentes, toujours en insistant avec ses mains pour exagérer le coté humiliant et sexuel de ma posture : Cambrure exagérée fesses tenues, genoux et mains au sol écartées. Une fois « placée », j’attendis une minute, résignée, ne doutant pas que j’allais cette fois encore devoir prendre en bouche et recevoir le sperme d‘une bonne partie de l’assemblée.
Bien sûr, Mr Dupin tint à ouvrir le bal… et ma bouche par la même occasion. Cela devait être déjà négocié entre eux car il s’approcha de moi et j’eu rapidement la vision en gros plan de son vieux sexe violacé et très raide sous les yeux. Après l’avoir de nouveau intimé d’ouvrir la bouche, il me fourra sans hésitation la totalité de son membre au fond de la gorge, puis alors que je peinais a respirer, resta immobile devisant à nouveau avec l’assistance de mon mauvais comportement au lycée des années avant, et du fait qu’il était vraiment temps que mon éducation soit reprise en main et complétée. Je crois qu’il adorait vraiment m humilier ainsi, alors qu’incapable bien sûr de dire un mot je devais subir à mon tour, écarlate tant de honte que du manque d’air ses moqueries. Les soubresauts excités de son sexe contre la glotte me confirmaient le plaisir qu’il prenait à prendre sa revanche.
Lorsqu’il retira enfin après quelques minutes son sexe de ma bouche, je respirais enfin à grandes goulées, tout en me méfiant des jets qui ne tarderaient sans doute pas à jaillir sur moi.
Mais contre toute attente, il recula pour laisser la place, sans avoir joui. Comme je m’y attendais il fut immédiatement remplacé par un autre. Un voisin cette fois ci, trop content de pouvoir à son tour vérifier la rumeur « la fille Martin suce qui veut tous les mercredis au club de dessin ». Il cru bon de me gratifier ‘un sourire et d’un merci déplacé au moment même ou il me fourrait à son tour son membre déjà bien raide entre les lèvres. Timide au départ, et se contentant de faire de légers vas et vient en silence ans ma bouche, il s’enhardi vite sous les encouragements de la salle à plaisanter sur mon caractère « accueillant », sans doute de famille sous entendait il en évoquant ma mère sous les approbations d’autres voisins, ajoutant la encore a mon humiliation. Au bout de peu de temps plus du tout gêné il empoignant ma queue de cheval pour maintenir fermement ma tête pendant qu’il se faisait plaisir.
C’est à ce moment même, complètement immobilisée par ce salaud que je sentis un mouvement et un frôlement derrière moi. Une main alterna bientôt entre tapes et caresses sur mon dos, mes fesses et mes cuisses jusqu’à la lisière des bas. Impuissante j’émis jusque quelques « mhhhh mhhhh » dérisoires et étouffés par la queue dans ma bouche, alors même son propriétaire affermissait sa prise sur mes cheveux, me faisant comprendre que tout mouvement me ferait souffrir.
Je sentis une la main passer entre mes cuisses ouvertes et caresser sans ménagement cette fois ma vulve. Un doigt s’introduit d’un coup entre mes lèvres intimes et poussa inexorablement jusqu’à me pénétrer en entier. Je le sentie cambrée faire quelques allers-retours en moi puis se retirer. C’est à ce moment que je reconnus à nouveau la voix graveleuse de Mr Dupin résonner derrière moi et annoncer satisfait « elle mouille comme une salope ! j’en étais sûr, elle en veut plus ». Sans pouvoir le voir j’imaginais bien qu’il devait lever triomphalement l’index ou le majeur (je n’avais pas pu reconnaitre !) luisant à la salle. Car oui, je ne peux pas nier que à cet instant, j’étais largement trempée. Même si j’avais pu parler, mes dénégations mensongères n’auraient convaincue personne. Malgré ma situation et l’humiliation énorme que je ressentais, j’étais excitée comme jamais. Les cris émanant de la salle et les quelques noms peu flatteurs fusant autour de moi achevèrent de me faire prendre conscience que ma réputation était faite ici.
Je pensais mon infortune à son comble, mais alors que je pensais que ça n’irait pas plus loin, je sentis à nouveau quelqu’un (Mr Dupin pensai- je immédiatement) se positionner entre mes genoux, et alors que deux mains m’empoignaient fermement les hanches, je sentis un gland appuyer contre ma vulve et la pénétrer immédiatement. « Pas besoin de préliminaires ! » clama la voix réjouie dans mon dos tandis que son sexe m’ouvrait la chatte, me confirmant au passage que mon tortionnaire était bien mon ancien professeur.
La honte me submergeait d‘autant plus que je sentais dans mon bas ventre croitre les signes avant-coureurs de mon propre plaisir. Je résistais le plus que je pouvais pendant qu’il me prenait la chatte sans ménagement, essayant de visualiser son gros visage bouffis et son ventre répugnant pour me calmer. Chaque mouvement violent qu’il faisait en moi faisait claquer son gros ventre contre mes fesses et je l’entendais souffler, toujours en se moquant de moi. Sa main gauche venait régulièrement claquer mes fesses sèchement, tandis que la droite agrippait ma hanche, ajoutant à la douleur de mon cuir chevelu, toujours tiraillé par ma queue de cheval fermement tenue. Je ne voulais pas lui donner le plaisir d‘avoir raison alors qu’il m abreuvais de « alors, tu aimes ça ? Avoue-le, montre à tous la petite chienne que tu es ! » Mais, malgré la position inconfortable la honte a ma volonté de résister, compte tenu de mon excitation, de la vigueur inattendue et de la taille imposante de son sexe, mes efforts furent bientôt vains, et malgré toutes mes résistances je sentis ma jouissance approcher. Il dut sentir le bon moment, car alors même qu’exposait au fond de mon ventre un orgasme comme j’an avait rarement connu, il demanda à l’autre homme de libérer ma bouche, ce qui eu pour effet de me laisser exprimer ma jouissance bruyamment.
Et alors que ni les participant ni leurs maudits téléphones n’en perdaient une miette, la bouche ouverte haletante et mon bassin et mes bras posés au sol tremblant frénétiquement, je lâchais une succession de cris et de râles sans aucune ambiguïté. Je jouissais d‘un orgasme puissant et non retenu qui dura trois minutes, tandis qu’il continuait plus lentement son vas et vient dans ma chate trempée, dont on devait entendre distinctement les clapotis.
Je reprenais à peine mon souffle la tête un peu baissée, réalisant immédiatement qu’à la vue des images et à l’écoute de la « bande son » personne ne pourrait jamais croire que j’avais été forcée. Je sentis simultanément Mr Dupin retirer sa queue pourtant encore raide de ma chatte. « Il a renoncé a jouir ou n’en peut plus « pensais-je brièvement. Mais mon répit fut hélas de courte durée, car je sentis presque aussitôt un contact à la fois dur et visqueux contre mon anus alors même que ses eux mains m’écartaient les fesses. Je tentais de crier « Non ! » et d‘échapper a son étreinte, mais je senti immédiatement la main tenant mes cheveux se raidir relevant ma tet et empêchant tout mouvement, et le sexe qui frôlait encore mon visages engouffrer dans ma bouche ouverte pour protester, étouffant du même coup ma protestation et mes velléités de mouvement.
Ainsi livrée à mon tortionnaire, et pendant que je le l’entendais s’interroger tout haut sur le caractère plus ou moins étroit de mon anus je sentis horrifiée ce gros gland encore mouillé de moi forcer mon petit orifice et son membre tout entier s’introduire à la suite, sans plus de manière. Je savais que si je serrais les fesses je risquais d’avoir plus mal encore, alors résignée je m’efforçais de m’ouvrir pour accueillir au mieux les assauts de Mr Dupin. Satisfait il n’hésita pas à bientôt me sodomiser avec vigueur en clamant haut et fort que je devais bien aimer ça, vu la façon dont j’aidais à la manœuvre.
Surexcité par ses multiples turpitudes il jouit heureusement assez vite entre mes fesses, et se retira ensuite essuyant sans élégance son gros sexe a demi mou contre mes fesses. L’autre homme également très excité de ce qui s’était passé ne tarda pas à se vider au fond de ma gorge. Mais bien sûr, il avait à peine fini de se soulager que déjà un autre s’était installé entre mes cuisses.
La séance dura eux heures comme à chaque fois, l’assistance se lâchant complètement, persuadées par ma jouissance étalée à leurs yeux et par ma « collaboration active » à ma sodomie qu’en effet j’aimais ça et que j’en réclamais d‘avantage.
Je tentais mécaniquement de tenir le compte des sexes que je suçais, de ceux qui jouissaient dans ma bouche sur moi ou simplement venaient se « chauffer » avant de passer au plat de résistance, de ceux qui me prenaient la chatte ou le cul ou les deux selon leurs envies, toujours san le moindre préservatif, mais je perdis rapidement le fil me contentant de respirer lorsque je le pouvais, m‘éviter de m’étrangler et… par trois fois encore de jouir comme jamais.
Même si mes orgasmes venaient bien sur es multiples pénétrations que je subissais et de l’excitation générale que la situation générait en moi, malgré moi, ceux qui me pénétraient au moment de ces orgasmes le prenaient avec une fierté bruyante, prenant les autres a témoins de leur performance : ils avaient faite jouir la salope ! On aurait dit un concours, encouragé tout du long par David, ravi encourager cet esprit de compétition ont je faisais es frais. L’intégralité de mes épisodes de jouissance furent bien sûr soigneusement enregistré en de multiples exemplaires…
Comme la fois précédente, David se contenta d’une simple fellation après le départ des participants, m’indiquant méchamment que j’étais bien trop souillée à son gout mais qu’il prendrait soin de passer en premier la prochaine fois.
Cette fois encore j’eu un temps très (trop) court pour essayer tant bien que mal de me rendre une apparence présentable avant qu’il ne me jette dehors ma robe rendue au dernier moment a peine enfilée sur mon corp couvert de bleu et de sperme. Je rentrais donc à la maison dans un état encore pire que la fois précédente, en rasant les murs avec une démarche de zombie et ne voyant aucun moyen d‘échapper à la poursuite de ce que Mr Dupin avait appelé avant de partir « ma nouvelle vie enfin utile au service de la communauté »
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