Ma première queue dans la bouche - histoire érotique

J'ai sucé ma première pine vers l'age de 30 ans, j'ai mis du temps avant de franchir cette étape mais cela a changé ma vie et a ouvert des portes vers des perversions et expériences multiples que je vous raconterai dans le futur. Les femmes me font bander, j'ai toujours eu des conquêtes féminines qui aimaient le sexe sous toutes ses formes. Je suis un homme d'un mètre quatre vingt, 80 kilos et j'ai toujours pensé être hétéro. Je dis hétéro car j'aime les femmes alors que le corps des hommes ne m'attire pas, cependant j'ai toujours été fasciné par le sexe masculin, du coup bisexuel convient mieux. C'est mon secret; J'aime les bites, j'aime les voir bander, les voir se contracter pour faire gicler le sperme. J'ai souvent imaginé que je me retrouvait devant un glory hole ou des centaines de queues seraient exposées. Dans mes rêves, je les examine et les touche une par une. J'imagine que je caresse ces hampes flaccides jusqu’à les faire durcir. Je m'imagine en train de lécher délicatement la peau des burnes pour la faire se tendre. Passer ma langue sur le frein pour faire sortir une goutte de jus au bout du gland. Lécher le périnée, remonter au dessous des couilles du bout de la langue, là ou la peau est si douce, gober délicatement les testicules. M’imprégner de l'odeur des queues, des couilles et du sperme. Je voulais en toucher et en sucer, des belles et grosses de préférence. Je voulais traire des hommes et avaler leur semence, me transformer en pute à jus, en poubelle à foutre. Jusque là je n'avais jamais touché un pénis mais j'avais pleins de phantasmes très coquins en tète. Un jour j'ai décidé de passer le cap et de chercher un garçon qui m'offrirait son membre a déguster. J'ai aujourd'hui 45 ans et je vais vous dire comment j'ai sucé ma première queue.
Je circulait en voiture le long d'un boulevard réputé pour ses tapins homosexuels. Il était deux heures du matin lorsque j'ai vu un jeune maghrébin qui attendais sur le trottoir en tortillant des fesses. Je m’arrête devant lui et ouvre la fenêtre du passager.
Je l'interpelle et je lui dit que j'ai envie de le sucer. Il me répond qu'il est d'accord. J'ouvre la porte et il monte. Il s'assoit a coté de moi et je roule doucement vers un coin de rue discret. Il est petit, très mat de peau, les cheveux frisés. Je ne sais pas si il est africain ou sud américain mais je m'en fout. Ce qui m’intéresse à ce moment précis c'est de découvrir son chibre.
Je me gare dans une ruelle sombre et lorsque je me tourne vers lui je m’aperçoit qu'il a déjà baissé son froc et que sa bite se dresse devant moi. Il bande déjà, il est excité par l'idée qu'il va se faire pomper le nœud.
Il est circoncis, sa queue n’est pas très longue, environ 16cm mais il a un beau gland violacé de la taille d'une prune. Je me penche vers lui et attrape sa tige dans la main droite, il est dur comme du fer et je sent les veines sous la fine peau. Il a de petites couilles fermes que j'empoigne de ma main gauche. Son sexe sent fort, un mélange de sueur, de musc et de pisse. J'ouvre grand la bouche et gobe le gland palpitant. Je l'aspire, lèche le frein et enfonce finalement toute la longueur de sa queue au fond de ma gorge. Il gémit et me demande de lui mettre un doigt dans le cul. Je continue de le téter en cherchant l’entrée de son anus de ma main gauche. Sa raie est poisseuse, il a du se faire prendre le cul pas très longtemps auparavant. J'enfonce le majeur puis l'index dans son trou et commence a faire des va et viens, il est bien lubrifié et mes doigts s'enfoncent facilement dans son rectum souillé. Le garçon me traite de petite suceuse et il m'encourage a lui enfoncer un doigt supplémentaire. Ce que je fait, tout en lui léchant les noix, il est assez poilu et je n'arrive pas a lui gober les boules correctement alors je me contente de mordiller doucement la peau pendant que je me biffle avec son gros gland. Il mouille déjà et j'ai tout le visage luisant de son liquide séminal. Je porte l'odeur de ses couilles sur mes lèvres. Il me dit des mots vulgaires en se tordant de plaisir, il bande comme un taureau. Il dit qu'il peut me sucer pour 10 euros. Je décline l'offre et je lui dit que je veux qu'il jouisse dans ma bouche. Je le suce à fond tout en lui labourant le cul avec mes doigts. J'enfonce le bout de ma langue dans son trou à pisse et le titille, puis je le suce profondément, je veux le dégorger. Je sens son anus se contracter, sa bite se cambrer et il envoie sa première décharge au fond de ma gorge, un bon jet chaud et crémeux avalé d'un trait. C'est la première fois qu'on m’éjacule dans la bouche. Les jets suivants je les gardent sur ma langue, dans la bouche, cinq giclées consécutives de sperme brûlant et salé. Je garde la bite entre mes lèvres jusqu'au dernier spasme, j'ai la bouche remplie de foutre. J'ouvre la porte et crache le jus dans la ruelle. Je n’était pas préparé au goût et a la quantité, peut être que la prochaine fois j'avalerai tout. Le mec se rebraguette et il sort de la voiture. Je suis rentré chez moi et je me suis branlé en me rappelant ma soirée. Lorsque j'ai joui, je me suis cambré et j'ai approché ma tête au plus près pour recevoir mon propre jus en bouche. Lorsque je l'ai avalé, j'ai trouvé que celui de mon amant d'un soir avait plus de saveur. Je me souviens toujours de cette première goulée de sperme pâteux comme de la morve, le dégoût mémé a l'excitation, la puissance de cette queue palpitante. Aujourd'hui encore, je bande en écrivant ces lignes.