Ma premiere relation sexuelle
Récit érotique écrit par Maria-denisa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Maria-denisa ont reçu un total de 23 632 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2015 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 23 632 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma premiere relation sexuelle
Je m’appelle Mirabela, j’ai maintenant 24 ans. Je voudrais raconter une partie de ma vie sexuelle. Je suis originaire de la Roumanie, dans un petit village de l’est du pays. J’ai été élevée par ma grand-mere, ma mere étant partie a l’étranger quand j’avais 7 ans et mon père vivant dans un autre village avec une autre femme et d’autre enfants. J’aime beaucoup le français et je suis très assidue avec cette langue qui me passionne, et c’est bien la mon seul coté intellectuelle. Je suis brune de 1,60m avec des seins 85C et d’assez longues jambes, j’ai des yeux bleus et un teint créole.
Tout a commencé a l’age de 14 ans, j’étais déjà très développée au niveau des seins et du corps en général et les garçons de ma classe me regardaient beaucoup. J’habitais dans une zone très rurale, loin de la ville, ou la sécurité n’était pas très assurée. Quand j’ai eu 15 ans, j’ai du changer d’école pour aller dans un lycée situé a 6 kilomètres du village ou j’habitais… Je vivais chez ma grand-mere, mon père vivant dans un autre village depuis son divorce d’avec ma mere qui travaillait en Turquie, ce qui faisait que j’avais pratiquement personne pour m’accompagner au lycée… Je devais toujours demander à un voisin de m’accompagner en char tiré par des chevaux ou faire de l’autostop avec les rares voitures quittant mon village pour le chef-lieu. Souvent, je devais faire plusieurs heures de route a pied, et je craignais toujours d’être agressée. Cette situation s’est également aggravée quand ma mère nous a envoyé un colis de Turquie avec de nombreux vêtements et objets domestiques, car de nombreux voyous du villages ont pensé que je pouvais avoir aussi reçu de l’argent. Plusieurs fois, je failli être agressée sur le chemin de terre passant dans les champs, mais j’eu toujours la chance de voir apparaitre un paysan ou une voiture de gens qui vinrent à mon secours. Mais il était clair que la situation ne pouvait pas continuer comme ça.
Un jour, je décida de rester au chef-lieu après le lycée, pour boire un cola et voir si je pouvais trouver quelqu’un pour me ramener chez moi. J’y tenais car je savais que trois frères voyous de mon village venaient de sortir de prison et zonaient dans les environs. J’étais terrorisée à l’idée qu’ils puissent m’attaquer, car ils avaient déjà presque tué plusieurs personnes et défiguré certains lors de bagarres. J’entrais donc seule dans un petit bar-épicerie près de mon lycée et je demandais à la vendeuse que je connaissais un peu si elle ne connaissait pas quelqu’un pouvant me ramener. Elle me présenta alors un monsieur d’un certain age, retraité, qui me dit qu’il me raccompagnerais volontiers mais qu’il avais besoin de payer l’essence pour sa vieille Dacia car elle était à sec… N’ayant pas d’argent, j’étais désespérée… Je sorti du bar en pleurant et m’apprêtais à rentrer à pied avec tous les risques que cela supposait pour moi. Après quelques mètres parcourus, une voiture s’arrêta à coté de moi. Je reconnu un homme d’une quarantaine d’année, brun, avec un peu d’embonpoint, que j’avais déjà vu à plusieurs reprise dans mon village comme dans le chef-lieu. Il m’adressa la parole :
- Petite… viens par ici.
- Bonjour…
- J’ai entendu ta discussion au bar avec Monsieur Vitrescu, et je comprends que tu aies très peur. Si tu veux je peux t’emmener car je travaille à refaire l’installation électrique d’une maison d’un de tes voisins dans ton village. Ça ne me dérange pas…
J’étais tellement soulagée que je sautais littéralement dans la voiture, sans même réfléchir. Il est vrai que j’avais aussi envie de monter dans cette voiture, meme si ca n’était qu’une vieille Golf IV, on n’en voyait tellement peu dans la region à cette époque que pour moi c’était une aventure incroyable. Tout en roulant, la discussion reprit entre l’homme et moi.
- Je m’appelle Mitica, je suis électricien, toi comment tu t’appelle ? me demanda-t-il d’un air parfaitement innocent.
- Je suis Mirabela, mais tu peux m’appeler Mira.
- Je suis ravis de te connaitre Mira. C’est toi qui habite avec ta grand-mere dans la vieille maison peinte en vert ?
- Oui, c’est moi…
- Je t’ai déjà remarqué souvent quand tu t’occupe du potager, ca doit être dur pour toi… Il n’y a personne qui vient vous aider ?
- Souvent mon oncle vient nous rendre visite, il nous aide pour l’argent, mais il ne reste jamais beaucoup. Il habite à la ville…
- Et comment ca va le lycée ?
- Ca va, si seulement il était plus près de chez moi…
- Je te comprends, ca doit pas être facile pour une jeune fille seule comme toi de faire une route comme ca tous les jours. Tu n’as pas un fiancé ? Ou un amis ?
- Non… c’est très difficile avec les gens du villages, surtout les jeunes, la plupart sont des voyous. Et ma grand-mere m’a toujours dit de faire bien attention à eux.
- Elle a raison… Si tu veux, et que ta grand-mère est d’accord, je peux t’aider en t’amenant le matin au lycée et en revenant te chercher le soir. Pour moi ça ne fait pas beaucoup de kilomètres en plus, de toute manière, je fais beaucoup de kilomètre pour mon travail car j’ai mon poste dans la grande ville, à 40 kilomètres.
- Vraiment ??? Ca serait vraiment chic… mais comment je pourrais vous remercier ? Nous n’avons pratiquement pas d’argent…
- Tu sais, c’est pas grave… Je suis célibataire, ma fiancée m’a quitté il y a plusieurs années et mes parents sont morts. Mon frère habite en allemagne… Je m’ennuie aussi, donc ca me fait de la compagnie si tu veux bien rester de temps en temps avec moi pour qu’on parle ensemble…
Apres avoir parler avec ma grand-mère quelques instants, il fut convenu que tout fonctionnerait comme ca et elle lui donna meme quelques litres de vin qu’elles faisait elle-même et quelques poule pour le remercier.
Petit à petit, les mois passèrent et je fêta mes 16 ans, puis mes 17 ans... Mitica venait me chercher tous les jours. Il était très gentil avec moi, il m’emmenait de temps en temps faire un pic-nic dans la forêt toute proche et m’amenait même des vêtements et des cadeaux de la ville parfois. Je pris confiance en lui, et j’avais du plaisir à le voir. Malgré ses 43 ans et le fait qu’il était un peu enveloppé, je ne le trouvais pas vilain.Il était plutôt grand, 1,80 je crois et Il avait de grands yeux verts qui me plaisaient… Son nez était un peu trop gros, mais son visage rond était jovial et il avait l’air sympathique.
Un jour, ma grand-mère lui demanda s’il pouvait aller chercher à la gare routière un colis que ma mère avait envoyé pour nous. Il acquiesça et proposa de me prendre avec lui afin que réceptionne moi-même le colis, celui-ce m’étant adressé à mon nom et celui de ma grand-mère. L’autobus devait arriver dans la nuit. Nous partimes donc de mon village pour la ville, c’était la première fois que je sortait de ma région pour aller dans la grande ville et j’étais très excitée…
Sur la route, Mitica parla avec moi :
- Tu es contente de connaitre la ville Mira ?
- Oh oui, je suis vraiment très heureuse…
- Je voudrais te faire une surprise ce soir, que ca soit une soirée mémorable pour toi…
- Non, Mitica, il ne faut pas. Vous avez déjà fait tellement pour moi. Je me sens très gênée vis-à-vis de vous.
- Mira, tu ne dois pas te sentir gênée parce que je vais avoir autant de plaisir que toi à la surprise de ce soir.
J’étais un petit peu étonnée de sa réponse, mais je n’y accordais pas d’attention tellement j’étais excitée de connaitre enfin la ville.
En arrivant en ville, Mitica m’invita chez lui. Il habitait un petit studio dans un quartier ouvrier, mais ce dernier avait été refait complètement à neuf et était, à mes yeux d’alors, très luxueux. Il avait des meubles neufs et une television plasma, ce que je n’avais jamais vu avant… Aussi un très belle salle de bain avec une cabine de douche. Cela m’a beaucoup impressionnée, il faut dire que je n’ai pas l’eau courante chez ma grand-mere, il faut aller chercher l’eau au puis, et les rares salles de bains que j’ai vu dans ma vie étaient dans le style communiste. Je ne pu resister à l’idée de demander si je pouvais essayer de faire une douche, et bien sur Mitica me dit que oui… Avant que je commence à me doucher, il me dit qu’il avait une surprise pour moi. Il me prit donc par la main et me donna un sac qui contenait un jolie robe rouge, plutôt courte, et des bas-jarretelles noirs. Il m’avait aussi acheté des chaussures vernies à talon moyen, plutôt office que sexy. Il me dit enfin qu’il voulait m’inviter au restaurant ce soir et donc qu’il fallait que j’aie de quoi m’habiller de circonstance. Il est vrai que je n’avais dans ma garderobe de lycéenne que des vêtement genre jeans et sport, et comme chaussures que des tennis. Sincèrement, je ne savais trop quoi dire. J’étais très heureuse d’être invitée à diner au restaurant en ville, ce que je n’avais jamais fait de ma vie, mais je me sentais vraiment gênée vis-à-vis de Mitica. Surtout, je ne comprenais pas bien pourquoi il faisait tout cela pour moi.
Je me rendis dans la douche pour essayer la cabine, c’était vraiment un grand plaisir pour moi… J’étais deja à moitié déshabillée quand Mitica entra dans la salle de bain sans prévenir. Il s’excusa et prétexta qu’il avait oublié de me donner en cadeau un petit set avec un gel de douche et une eau de toilette et que j’en aurais certainement besoin pour faire ma douche. Je me cachais un petit peu avec la serviette que je tenais dans une main et ma blouse dans l’autre, mais étais déjà seins nu et ça ne cachait pas grand chose. Il y eu un long moment de silence et je vis que Mitica m’observa attentivement. Puis il me dit :
- Tu es une vraie femme Mira, une femme magnifique. Excuse moi de te dire ça, et excuse moi de t’avoir regardé vraiment avec tant d’insistance. Mais ça fait longtemps que je n’ai pas vu une femme, et jamais aussi belle que toi.
Je rougis immédiatement, mais je n’eu aucun courage de répondre quoi que ce soit d’autre qu’un « merci » bredouillé.
Mitica sorti de la salle de bain et je pris ma douche avec délectation avant de m’habiller avec les vêtement qu’il m’avait offert.
En sortant de la salle de bain, Mitica me complimenta sur ma tenue. J’avoue que j’étais moi-même très fier de moi et je me sentais pour la première fois de ma vie belle et fière de moi. Ensuite, nous sortimes dans un restaurant de bonne catégorie avec une très belle terrasse. Je ne mangea presque rien, me sentant vraiment nouée dans l’estomac. Par contre, je bu deux ou trois verres de vin, ce dont je n’avais absolument pas l’habitude. Je n’étais pas saoule, mais un peu joyeuse. Mitica me parla beaucoup de son metier, de sa vie, et de ses projets. Je parla à mon tour de mon lycée et de quelques idée sur mon avenir que je voyais difficile.
Vers minuit, nous rentrames au studio de Mitica. Il me dit qu’il restait plus de 5 heures avant que l’autobus arrive à la gare routière et que c’était probablement trop de temps pour déjà nous y rendre, et trop peu pour dormir vraiment. Il me proposa de nous mettre un film, un de ses films favoris me dit-il. J’accepta bien volontiers, étant très heureuse de pouvoir voir cette très belle television plasma fonctionner. Avant de mettre le film, il se servit un verre de whiskey, et il m’en proposa également. Je ne sais pas pourquoi, j’accepta immédiatement et avec plaisir. Je bu le verre en parlant de la ville et de mon village. Je n’étais pas vraiment saoule, mais j’étais déjà bien « désinhibée » de mon education stricte.
Mitica se leva et alla chercher un dvd qu’il mit dans le lecteur. Il lança le film.
Je fut très surprise de voir qu’il s’agissait d’un film érotique. Il n’était pas « pornographique » car il était clair que les acteurs faisaient « semblant », mais étais néanmoins très surprise. J’étais d’un côté très stressée, mais comme je n’avais jamais vu ça, je le regarda sans qu’un mot sorte de ma bouche. Il y eu un passage très cru à la fin du film ou un couple d’amoureux trentenaire faisaient l’amour dans une belle chambre à l’américaine, et je dois avouer que cela m’excita quelque peu. Le film fini, Mitica demanda à parler avec moi :
- Mira, dit-il d’un ton très sérieux, tu sais je me sens vraiment très seul et c’est pour ça que je regarde des films comme celui-la. Qu’en penses-tu ?
- Je ne sais pas, si ça vous fait plaisir. Dis-je comme ça, sans trop quoi savoir répondre.
- Tu vois, comme à la fin du film, c’est comme ça que les amis et les gens qui s’aiment prennent du plaisir, et ça fait très longtemps que je n’ai plus pris de plaisir.
- … , je ne su quoi répondre.
- Mira, je voudrais t’embrasser comme j’embrassais la femme que j’aimais, je peux ?
Pour une raison que j’ignore, j’acquiesça et Mitica m’embrassa langoureusement. J’étais à la fois émoustillée et apeurée… Après m’avoir embrassé et peloter pendant au moins 10 minutes, Mitica recommença à parler.
- Je voudrais que nous prenions un peu de plaisir ensemble tout les deux ce soir, juste comme ca, en amis. Est-ce que tu es d’accord ?
J’étais très embarrassée, j’avais peur, mais j’étais aussi un peu excitée et je me sentais redevable vis-à-vis de lui. D’une voix tremblante, je lui répondis :
- Monsieur Mitica, excusez moi… Je comprends ce que vous voulez… peut être que ca n’est méchant… mais je suis encore vierge… et ma grand-mère me tuerait si je perdait ma virginité… Et j ai peur, je ne veux pas être enceinte… S’il vous plait, je ne peux pas…
- Ma petite Mira, il ne faut pas avoir peur de moi… Tu sais que je ne te veux pas de mal, me dit-il d’une voix mielleuse.
Je restais silencieuse, puis, d’un ton plus sérieux et plus direct il me dit :
- Tu as aimer comme on s’est embrassé ? Tu as aimé que nos langues se mêlent ??
- Oui… jamais je… mais il ne me laissa pas le temps de répondre.
- Eh bien je voudrais bien t’embrasser entre les jambes comme on a fait maintenant… Ca me ferait vraiment plaisir. Et je te promets, que je ne toucherai pas à ta virginité, je connais d’autres moyen d’avoir du plaisir.
- Quelles autres moyens ? Demandais-je un peu intriguée.
- Je te dirai un peu plus tard, mais d’abord, est-ce que tu as été faire caca ?
J’étais très surprise par cette question, et je répondis d’un air gêné.
- Pas aujourd’hui…
- Eh bien, va aux toilettes, c’est plus propre avant que je t’embrasse dans l’entre-jambe…
Bien que je sache que cette phrase était un phrase piège et qu’en allant aux toilettes c’est comme si j’acceptai qu’il m’embrasse l’entre-jambe, je me leva et me rendis directement aux toilettes.
Sur les WC, je réfléchissais, quoi faire ??? Fuir ? J’étais en pleine ville que je ne connaissais pas, sans argent, et sans personne à contacter. En plus, Monsieur Mitica ne m’a jamais forcé à faire quoi que ce soit et il m’a toujours aidé. Pourquoi ne pas lui faire un petit plaisir en le laissant m’embrasser. Je me sentais mieux en sortant des toilette, plus sure de mois, j’allais juste laisser Monsieur Mitica m’embrasser l’entre-jambe quelques minutes, cela resterait entre nous et c’est tout. J’allais donc m’asseoir sur le canapé aux cotés de Monsieur Mitica, et je lui dit d’un air sur de moi :
- Je propre si vous voulez m’embrasser l’entre-jambe, je veux bien vous faire ce plaisir…
Il me remercia et commença à m’embrasser sur la bouche avec une grande passion.
Tout en m’embrassant, il me déshabilla, ce qui était chose facile vu que je n’avais rien d’autre que mon string sous la robe qu’il m’avais offerte. Il commença doucement à m’embrasser les seins et à me caresser. Il enleva également sa chemise et son pantalon. Comme un réflexe, je me mis également à le caresser et à l’embrasser. Je dois bien avouer que j’étais très curieuse de découvrir le corps d’un homme, surtout un homme de cette age. Mitica sorti également un petit pot d’huile de massage, il s’agissait d’une huile d’amande, très douce et très grasse, qui sentait très bon.
Il me retira également mes bas et mes chaussures et commença à me masser partout, en me recouvrant d’huile… La tension montait et je commençais à me perdre et à être vraiment excitée. Assez rapidement il me retira mon string et commença à me masser aussi l’entre-jambe. Ma chatte commençait à couler quand il approcha ses lèvres et commença à me lecher le clitoris… Tout en me léchant, je vis que d’une main il avait enlever son slip et qu’il commençait à caresser son sexe.
Je regardais attentivement. Etant accoutumée à voir les animaux de la campagne s’accoupler, je compris rapidement comment cela fonctionnait. Le penis, les testicule… Ça me paraissait clair et, curieusement, ça me rassurait de comprendre. Son sexe était beaucoup plus foncé et gris que le reste de son corps, de plus, il était très poilu… Mais cette vision m’excitait de voir sa main aller et venir sur son sexe pendant qu’il léchait, suçait et titillait mon clitoris.
Je ne tarda pas à ressentir les préludes de l’orgasme, mais, sans doute avec un assez grande experience, Mitica diminua l’intensité de son baiser intime pour ne pas me laisser avoir l’orgasme maintenant… La main qui caressait son sexe, après s’être huilé à outrance, vin directement commencer à me masser l’anus.
J’eu comme un choc… En quelques seconde je compris le motif réel du « as-tu été faire caca »… J’avais très peur, mais j’étais déjà beaucoup trop excitée pour reculer. Son doigt commença à me pénétrer l’anus. Il était très doux, et je dois avouer qu’il me donnait beaucoup de plaisir tout en me léchant le clitoris en même temps.
Au bout de quelques minutes, j’eu un orgasme véritablement dévastateur, à telle point que je m’imaginais dans les étoiles, sur une autre planète.
Rapidement, il me retourna et me coucha à plat-ventre sur le canapé. J’étais un petit peu apeurée, mais trop léthargique pour réagir…Je sentis sa main gauche m’enlacer le torse et sa main droite se glisser sous mon ventre. Et tout d’un coup, je sentis comme un très gros doigt me pénétrer l’anus. Il est vrai que la chose était assez facile, j’étais très dilatée de ses caresses avec son doigt pendant qu’il me léchait, et à moitié remplie d’huile. Je comprenait instantanément que le doigt qui me pénétrait était en fait son pénis.
Je sentais une douleur très chaude dans mon anus, mais elle s’estompait rapidement, principalement parce que sa main droite reposait juste sur mon clitoris que que son doigt s’affairait à le stimuler. Je hurlais presque, à moitié de douleur, à moitié de désir… Puis, en quelques minutes, mon clitoris encore très sensibilisé de mon premier orgasme m’en apporta un deuxième… Cette fois si, l’orgasme était très différent, beaucoup plus court mais il me provoqua des contraction dans le rectum et c’est comme si je sentis millimètre par millimètre le sexe qui me pénétrait…
Je commença à me sentir bien… Après deux orgasmes, tant de plaisir et une si belle journée… Je sentais également les testicules de Mitica cogner contre mon vagin à chaque fois que son membre s’enfonçait dans mon ventre… Tout d’un coup, j’eu envie qu’il prenne son plaisir lui aussi. Je me rappela l’accouplement d’une vache que nous avions dans la famille, et que j’avais amené avec ma grand-mere chez un voisin pour la saillie. Je me souvint du toro, de ses mouvements, et du sexe de ma vache dégoulinant de la semence du toro… J’avais envie moi aussi de ressentir cela dans ma vie… Sentir un mâle éclater et prendre son pied en moi… De plus, je me sentais très rassurée de sentir ce sexe dans mon anus et non dans mon vagin, la, au moins, je ne perdrai pas ma virginité ni ne risquerai de devenir grosse… Je sentais l’envie de Mitica monter alors que je ressentais les pulsation de son coeur battre dans son sexe… Je lui dis :
- Viens…
Il fut un petit peu interloqué de me voir parler…et diminua la fréquence de ses va-et-viens.
- Donne moi ! lui dis-je à nouveau…
- Comment ? me dit-il en tremblant à mon oreille.
- Remplis-moi, répétais-je.
- Tu veux que j’éjacule en toi ? me répondit-il d’un air très surpris.
- Oui… je veux ton sperme dans mon ventre…
Il reprit alors un rythme plus soutenu tout en me caressant avec insistance…
Il me pénétrait vraiment profondément, et tout d’un coup, il s’arrêta. Je ressenti comme deux grand spasmes dans son sexe que je me mis à serrer dans mon muscle anal très fort et je ressenti immédiatement un très grande chaleur, presque un brulure. Cette douleur-plaisir combinée me donna quasiment instantanément un orgasme. Je venais de ressentir un homme s’epandre dans mon ventre en prenant son plaisir… Je me sentais bien, très bien…
Je m’endormis dans la position ou j’étais, et lorsque Mitica me réveilla pour me dire de me préparer car nous devions aller à la gare routière, je pensais que tout cela avait été un rêve. Mais tout cela était bien réel.
C’était ma première expérience sexuelle, je vous raconterai bientôt la suite.
BIZZZZ
Mira
Tout a commencé a l’age de 14 ans, j’étais déjà très développée au niveau des seins et du corps en général et les garçons de ma classe me regardaient beaucoup. J’habitais dans une zone très rurale, loin de la ville, ou la sécurité n’était pas très assurée. Quand j’ai eu 15 ans, j’ai du changer d’école pour aller dans un lycée situé a 6 kilomètres du village ou j’habitais… Je vivais chez ma grand-mere, mon père vivant dans un autre village depuis son divorce d’avec ma mere qui travaillait en Turquie, ce qui faisait que j’avais pratiquement personne pour m’accompagner au lycée… Je devais toujours demander à un voisin de m’accompagner en char tiré par des chevaux ou faire de l’autostop avec les rares voitures quittant mon village pour le chef-lieu. Souvent, je devais faire plusieurs heures de route a pied, et je craignais toujours d’être agressée. Cette situation s’est également aggravée quand ma mère nous a envoyé un colis de Turquie avec de nombreux vêtements et objets domestiques, car de nombreux voyous du villages ont pensé que je pouvais avoir aussi reçu de l’argent. Plusieurs fois, je failli être agressée sur le chemin de terre passant dans les champs, mais j’eu toujours la chance de voir apparaitre un paysan ou une voiture de gens qui vinrent à mon secours. Mais il était clair que la situation ne pouvait pas continuer comme ça.
Un jour, je décida de rester au chef-lieu après le lycée, pour boire un cola et voir si je pouvais trouver quelqu’un pour me ramener chez moi. J’y tenais car je savais que trois frères voyous de mon village venaient de sortir de prison et zonaient dans les environs. J’étais terrorisée à l’idée qu’ils puissent m’attaquer, car ils avaient déjà presque tué plusieurs personnes et défiguré certains lors de bagarres. J’entrais donc seule dans un petit bar-épicerie près de mon lycée et je demandais à la vendeuse que je connaissais un peu si elle ne connaissait pas quelqu’un pouvant me ramener. Elle me présenta alors un monsieur d’un certain age, retraité, qui me dit qu’il me raccompagnerais volontiers mais qu’il avais besoin de payer l’essence pour sa vieille Dacia car elle était à sec… N’ayant pas d’argent, j’étais désespérée… Je sorti du bar en pleurant et m’apprêtais à rentrer à pied avec tous les risques que cela supposait pour moi. Après quelques mètres parcourus, une voiture s’arrêta à coté de moi. Je reconnu un homme d’une quarantaine d’année, brun, avec un peu d’embonpoint, que j’avais déjà vu à plusieurs reprise dans mon village comme dans le chef-lieu. Il m’adressa la parole :
- Petite… viens par ici.
- Bonjour…
- J’ai entendu ta discussion au bar avec Monsieur Vitrescu, et je comprends que tu aies très peur. Si tu veux je peux t’emmener car je travaille à refaire l’installation électrique d’une maison d’un de tes voisins dans ton village. Ça ne me dérange pas…
J’étais tellement soulagée que je sautais littéralement dans la voiture, sans même réfléchir. Il est vrai que j’avais aussi envie de monter dans cette voiture, meme si ca n’était qu’une vieille Golf IV, on n’en voyait tellement peu dans la region à cette époque que pour moi c’était une aventure incroyable. Tout en roulant, la discussion reprit entre l’homme et moi.
- Je m’appelle Mitica, je suis électricien, toi comment tu t’appelle ? me demanda-t-il d’un air parfaitement innocent.
- Je suis Mirabela, mais tu peux m’appeler Mira.
- Je suis ravis de te connaitre Mira. C’est toi qui habite avec ta grand-mere dans la vieille maison peinte en vert ?
- Oui, c’est moi…
- Je t’ai déjà remarqué souvent quand tu t’occupe du potager, ca doit être dur pour toi… Il n’y a personne qui vient vous aider ?
- Souvent mon oncle vient nous rendre visite, il nous aide pour l’argent, mais il ne reste jamais beaucoup. Il habite à la ville…
- Et comment ca va le lycée ?
- Ca va, si seulement il était plus près de chez moi…
- Je te comprends, ca doit pas être facile pour une jeune fille seule comme toi de faire une route comme ca tous les jours. Tu n’as pas un fiancé ? Ou un amis ?
- Non… c’est très difficile avec les gens du villages, surtout les jeunes, la plupart sont des voyous. Et ma grand-mere m’a toujours dit de faire bien attention à eux.
- Elle a raison… Si tu veux, et que ta grand-mère est d’accord, je peux t’aider en t’amenant le matin au lycée et en revenant te chercher le soir. Pour moi ça ne fait pas beaucoup de kilomètres en plus, de toute manière, je fais beaucoup de kilomètre pour mon travail car j’ai mon poste dans la grande ville, à 40 kilomètres.
- Vraiment ??? Ca serait vraiment chic… mais comment je pourrais vous remercier ? Nous n’avons pratiquement pas d’argent…
- Tu sais, c’est pas grave… Je suis célibataire, ma fiancée m’a quitté il y a plusieurs années et mes parents sont morts. Mon frère habite en allemagne… Je m’ennuie aussi, donc ca me fait de la compagnie si tu veux bien rester de temps en temps avec moi pour qu’on parle ensemble…
Apres avoir parler avec ma grand-mère quelques instants, il fut convenu que tout fonctionnerait comme ca et elle lui donna meme quelques litres de vin qu’elles faisait elle-même et quelques poule pour le remercier.
Petit à petit, les mois passèrent et je fêta mes 16 ans, puis mes 17 ans... Mitica venait me chercher tous les jours. Il était très gentil avec moi, il m’emmenait de temps en temps faire un pic-nic dans la forêt toute proche et m’amenait même des vêtements et des cadeaux de la ville parfois. Je pris confiance en lui, et j’avais du plaisir à le voir. Malgré ses 43 ans et le fait qu’il était un peu enveloppé, je ne le trouvais pas vilain.Il était plutôt grand, 1,80 je crois et Il avait de grands yeux verts qui me plaisaient… Son nez était un peu trop gros, mais son visage rond était jovial et il avait l’air sympathique.
Un jour, ma grand-mère lui demanda s’il pouvait aller chercher à la gare routière un colis que ma mère avait envoyé pour nous. Il acquiesça et proposa de me prendre avec lui afin que réceptionne moi-même le colis, celui-ce m’étant adressé à mon nom et celui de ma grand-mère. L’autobus devait arriver dans la nuit. Nous partimes donc de mon village pour la ville, c’était la première fois que je sortait de ma région pour aller dans la grande ville et j’étais très excitée…
Sur la route, Mitica parla avec moi :
- Tu es contente de connaitre la ville Mira ?
- Oh oui, je suis vraiment très heureuse…
- Je voudrais te faire une surprise ce soir, que ca soit une soirée mémorable pour toi…
- Non, Mitica, il ne faut pas. Vous avez déjà fait tellement pour moi. Je me sens très gênée vis-à-vis de vous.
- Mira, tu ne dois pas te sentir gênée parce que je vais avoir autant de plaisir que toi à la surprise de ce soir.
J’étais un petit peu étonnée de sa réponse, mais je n’y accordais pas d’attention tellement j’étais excitée de connaitre enfin la ville.
En arrivant en ville, Mitica m’invita chez lui. Il habitait un petit studio dans un quartier ouvrier, mais ce dernier avait été refait complètement à neuf et était, à mes yeux d’alors, très luxueux. Il avait des meubles neufs et une television plasma, ce que je n’avais jamais vu avant… Aussi un très belle salle de bain avec une cabine de douche. Cela m’a beaucoup impressionnée, il faut dire que je n’ai pas l’eau courante chez ma grand-mere, il faut aller chercher l’eau au puis, et les rares salles de bains que j’ai vu dans ma vie étaient dans le style communiste. Je ne pu resister à l’idée de demander si je pouvais essayer de faire une douche, et bien sur Mitica me dit que oui… Avant que je commence à me doucher, il me dit qu’il avait une surprise pour moi. Il me prit donc par la main et me donna un sac qui contenait un jolie robe rouge, plutôt courte, et des bas-jarretelles noirs. Il m’avait aussi acheté des chaussures vernies à talon moyen, plutôt office que sexy. Il me dit enfin qu’il voulait m’inviter au restaurant ce soir et donc qu’il fallait que j’aie de quoi m’habiller de circonstance. Il est vrai que je n’avais dans ma garderobe de lycéenne que des vêtement genre jeans et sport, et comme chaussures que des tennis. Sincèrement, je ne savais trop quoi dire. J’étais très heureuse d’être invitée à diner au restaurant en ville, ce que je n’avais jamais fait de ma vie, mais je me sentais vraiment gênée vis-à-vis de Mitica. Surtout, je ne comprenais pas bien pourquoi il faisait tout cela pour moi.
Je me rendis dans la douche pour essayer la cabine, c’était vraiment un grand plaisir pour moi… J’étais deja à moitié déshabillée quand Mitica entra dans la salle de bain sans prévenir. Il s’excusa et prétexta qu’il avait oublié de me donner en cadeau un petit set avec un gel de douche et une eau de toilette et que j’en aurais certainement besoin pour faire ma douche. Je me cachais un petit peu avec la serviette que je tenais dans une main et ma blouse dans l’autre, mais étais déjà seins nu et ça ne cachait pas grand chose. Il y eu un long moment de silence et je vis que Mitica m’observa attentivement. Puis il me dit :
- Tu es une vraie femme Mira, une femme magnifique. Excuse moi de te dire ça, et excuse moi de t’avoir regardé vraiment avec tant d’insistance. Mais ça fait longtemps que je n’ai pas vu une femme, et jamais aussi belle que toi.
Je rougis immédiatement, mais je n’eu aucun courage de répondre quoi que ce soit d’autre qu’un « merci » bredouillé.
Mitica sorti de la salle de bain et je pris ma douche avec délectation avant de m’habiller avec les vêtement qu’il m’avait offert.
En sortant de la salle de bain, Mitica me complimenta sur ma tenue. J’avoue que j’étais moi-même très fier de moi et je me sentais pour la première fois de ma vie belle et fière de moi. Ensuite, nous sortimes dans un restaurant de bonne catégorie avec une très belle terrasse. Je ne mangea presque rien, me sentant vraiment nouée dans l’estomac. Par contre, je bu deux ou trois verres de vin, ce dont je n’avais absolument pas l’habitude. Je n’étais pas saoule, mais un peu joyeuse. Mitica me parla beaucoup de son metier, de sa vie, et de ses projets. Je parla à mon tour de mon lycée et de quelques idée sur mon avenir que je voyais difficile.
Vers minuit, nous rentrames au studio de Mitica. Il me dit qu’il restait plus de 5 heures avant que l’autobus arrive à la gare routière et que c’était probablement trop de temps pour déjà nous y rendre, et trop peu pour dormir vraiment. Il me proposa de nous mettre un film, un de ses films favoris me dit-il. J’accepta bien volontiers, étant très heureuse de pouvoir voir cette très belle television plasma fonctionner. Avant de mettre le film, il se servit un verre de whiskey, et il m’en proposa également. Je ne sais pas pourquoi, j’accepta immédiatement et avec plaisir. Je bu le verre en parlant de la ville et de mon village. Je n’étais pas vraiment saoule, mais j’étais déjà bien « désinhibée » de mon education stricte.
Mitica se leva et alla chercher un dvd qu’il mit dans le lecteur. Il lança le film.
Je fut très surprise de voir qu’il s’agissait d’un film érotique. Il n’était pas « pornographique » car il était clair que les acteurs faisaient « semblant », mais étais néanmoins très surprise. J’étais d’un côté très stressée, mais comme je n’avais jamais vu ça, je le regarda sans qu’un mot sorte de ma bouche. Il y eu un passage très cru à la fin du film ou un couple d’amoureux trentenaire faisaient l’amour dans une belle chambre à l’américaine, et je dois avouer que cela m’excita quelque peu. Le film fini, Mitica demanda à parler avec moi :
- Mira, dit-il d’un ton très sérieux, tu sais je me sens vraiment très seul et c’est pour ça que je regarde des films comme celui-la. Qu’en penses-tu ?
- Je ne sais pas, si ça vous fait plaisir. Dis-je comme ça, sans trop quoi savoir répondre.
- Tu vois, comme à la fin du film, c’est comme ça que les amis et les gens qui s’aiment prennent du plaisir, et ça fait très longtemps que je n’ai plus pris de plaisir.
- … , je ne su quoi répondre.
- Mira, je voudrais t’embrasser comme j’embrassais la femme que j’aimais, je peux ?
Pour une raison que j’ignore, j’acquiesça et Mitica m’embrassa langoureusement. J’étais à la fois émoustillée et apeurée… Après m’avoir embrassé et peloter pendant au moins 10 minutes, Mitica recommença à parler.
- Je voudrais que nous prenions un peu de plaisir ensemble tout les deux ce soir, juste comme ca, en amis. Est-ce que tu es d’accord ?
J’étais très embarrassée, j’avais peur, mais j’étais aussi un peu excitée et je me sentais redevable vis-à-vis de lui. D’une voix tremblante, je lui répondis :
- Monsieur Mitica, excusez moi… Je comprends ce que vous voulez… peut être que ca n’est méchant… mais je suis encore vierge… et ma grand-mère me tuerait si je perdait ma virginité… Et j ai peur, je ne veux pas être enceinte… S’il vous plait, je ne peux pas…
- Ma petite Mira, il ne faut pas avoir peur de moi… Tu sais que je ne te veux pas de mal, me dit-il d’une voix mielleuse.
Je restais silencieuse, puis, d’un ton plus sérieux et plus direct il me dit :
- Tu as aimer comme on s’est embrassé ? Tu as aimé que nos langues se mêlent ??
- Oui… jamais je… mais il ne me laissa pas le temps de répondre.
- Eh bien je voudrais bien t’embrasser entre les jambes comme on a fait maintenant… Ca me ferait vraiment plaisir. Et je te promets, que je ne toucherai pas à ta virginité, je connais d’autres moyen d’avoir du plaisir.
- Quelles autres moyens ? Demandais-je un peu intriguée.
- Je te dirai un peu plus tard, mais d’abord, est-ce que tu as été faire caca ?
J’étais très surprise par cette question, et je répondis d’un air gêné.
- Pas aujourd’hui…
- Eh bien, va aux toilettes, c’est plus propre avant que je t’embrasse dans l’entre-jambe…
Bien que je sache que cette phrase était un phrase piège et qu’en allant aux toilettes c’est comme si j’acceptai qu’il m’embrasse l’entre-jambe, je me leva et me rendis directement aux toilettes.
Sur les WC, je réfléchissais, quoi faire ??? Fuir ? J’étais en pleine ville que je ne connaissais pas, sans argent, et sans personne à contacter. En plus, Monsieur Mitica ne m’a jamais forcé à faire quoi que ce soit et il m’a toujours aidé. Pourquoi ne pas lui faire un petit plaisir en le laissant m’embrasser. Je me sentais mieux en sortant des toilette, plus sure de mois, j’allais juste laisser Monsieur Mitica m’embrasser l’entre-jambe quelques minutes, cela resterait entre nous et c’est tout. J’allais donc m’asseoir sur le canapé aux cotés de Monsieur Mitica, et je lui dit d’un air sur de moi :
- Je propre si vous voulez m’embrasser l’entre-jambe, je veux bien vous faire ce plaisir…
Il me remercia et commença à m’embrasser sur la bouche avec une grande passion.
Tout en m’embrassant, il me déshabilla, ce qui était chose facile vu que je n’avais rien d’autre que mon string sous la robe qu’il m’avais offerte. Il commença doucement à m’embrasser les seins et à me caresser. Il enleva également sa chemise et son pantalon. Comme un réflexe, je me mis également à le caresser et à l’embrasser. Je dois bien avouer que j’étais très curieuse de découvrir le corps d’un homme, surtout un homme de cette age. Mitica sorti également un petit pot d’huile de massage, il s’agissait d’une huile d’amande, très douce et très grasse, qui sentait très bon.
Il me retira également mes bas et mes chaussures et commença à me masser partout, en me recouvrant d’huile… La tension montait et je commençais à me perdre et à être vraiment excitée. Assez rapidement il me retira mon string et commença à me masser aussi l’entre-jambe. Ma chatte commençait à couler quand il approcha ses lèvres et commença à me lecher le clitoris… Tout en me léchant, je vis que d’une main il avait enlever son slip et qu’il commençait à caresser son sexe.
Je regardais attentivement. Etant accoutumée à voir les animaux de la campagne s’accoupler, je compris rapidement comment cela fonctionnait. Le penis, les testicule… Ça me paraissait clair et, curieusement, ça me rassurait de comprendre. Son sexe était beaucoup plus foncé et gris que le reste de son corps, de plus, il était très poilu… Mais cette vision m’excitait de voir sa main aller et venir sur son sexe pendant qu’il léchait, suçait et titillait mon clitoris.
Je ne tarda pas à ressentir les préludes de l’orgasme, mais, sans doute avec un assez grande experience, Mitica diminua l’intensité de son baiser intime pour ne pas me laisser avoir l’orgasme maintenant… La main qui caressait son sexe, après s’être huilé à outrance, vin directement commencer à me masser l’anus.
J’eu comme un choc… En quelques seconde je compris le motif réel du « as-tu été faire caca »… J’avais très peur, mais j’étais déjà beaucoup trop excitée pour reculer. Son doigt commença à me pénétrer l’anus. Il était très doux, et je dois avouer qu’il me donnait beaucoup de plaisir tout en me léchant le clitoris en même temps.
Au bout de quelques minutes, j’eu un orgasme véritablement dévastateur, à telle point que je m’imaginais dans les étoiles, sur une autre planète.
Rapidement, il me retourna et me coucha à plat-ventre sur le canapé. J’étais un petit peu apeurée, mais trop léthargique pour réagir…Je sentis sa main gauche m’enlacer le torse et sa main droite se glisser sous mon ventre. Et tout d’un coup, je sentis comme un très gros doigt me pénétrer l’anus. Il est vrai que la chose était assez facile, j’étais très dilatée de ses caresses avec son doigt pendant qu’il me léchait, et à moitié remplie d’huile. Je comprenait instantanément que le doigt qui me pénétrait était en fait son pénis.
Je sentais une douleur très chaude dans mon anus, mais elle s’estompait rapidement, principalement parce que sa main droite reposait juste sur mon clitoris que que son doigt s’affairait à le stimuler. Je hurlais presque, à moitié de douleur, à moitié de désir… Puis, en quelques minutes, mon clitoris encore très sensibilisé de mon premier orgasme m’en apporta un deuxième… Cette fois si, l’orgasme était très différent, beaucoup plus court mais il me provoqua des contraction dans le rectum et c’est comme si je sentis millimètre par millimètre le sexe qui me pénétrait…
Je commença à me sentir bien… Après deux orgasmes, tant de plaisir et une si belle journée… Je sentais également les testicules de Mitica cogner contre mon vagin à chaque fois que son membre s’enfonçait dans mon ventre… Tout d’un coup, j’eu envie qu’il prenne son plaisir lui aussi. Je me rappela l’accouplement d’une vache que nous avions dans la famille, et que j’avais amené avec ma grand-mere chez un voisin pour la saillie. Je me souvint du toro, de ses mouvements, et du sexe de ma vache dégoulinant de la semence du toro… J’avais envie moi aussi de ressentir cela dans ma vie… Sentir un mâle éclater et prendre son pied en moi… De plus, je me sentais très rassurée de sentir ce sexe dans mon anus et non dans mon vagin, la, au moins, je ne perdrai pas ma virginité ni ne risquerai de devenir grosse… Je sentais l’envie de Mitica monter alors que je ressentais les pulsation de son coeur battre dans son sexe… Je lui dis :
- Viens…
Il fut un petit peu interloqué de me voir parler…et diminua la fréquence de ses va-et-viens.
- Donne moi ! lui dis-je à nouveau…
- Comment ? me dit-il en tremblant à mon oreille.
- Remplis-moi, répétais-je.
- Tu veux que j’éjacule en toi ? me répondit-il d’un air très surpris.
- Oui… je veux ton sperme dans mon ventre…
Il reprit alors un rythme plus soutenu tout en me caressant avec insistance…
Il me pénétrait vraiment profondément, et tout d’un coup, il s’arrêta. Je ressenti comme deux grand spasmes dans son sexe que je me mis à serrer dans mon muscle anal très fort et je ressenti immédiatement un très grande chaleur, presque un brulure. Cette douleur-plaisir combinée me donna quasiment instantanément un orgasme. Je venais de ressentir un homme s’epandre dans mon ventre en prenant son plaisir… Je me sentais bien, très bien…
Je m’endormis dans la position ou j’étais, et lorsque Mitica me réveilla pour me dire de me préparer car nous devions aller à la gare routière, je pensais que tout cela avait été un rêve. Mais tout cela était bien réel.
C’était ma première expérience sexuelle, je vous raconterai bientôt la suite.
BIZZZZ
Mira
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Maria-denisa
7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Very nice story!!!
excellent
Bonjour,
Récit très excitant. J'aimerai beaucoup admirer ton joli corps au travers de photo et pourquoi pas le voir en vrai à Paris...
Intéressée?
Récit très excitant. J'aimerai beaucoup admirer ton joli corps au travers de photo et pourquoi pas le voir en vrai à Paris...
Intéressée?
Beau premier récit :)
J’apprécie la tendresse, c'est comme une porte qui ouvre ensuite vers douce folie ou l'on perd ses repères pour s'offrir à la domination du mâle et du mal.
Même si on regrette juste après, c'est vraiment trop bon par la suite.
Même si on regrette juste après, c'est vraiment trop bon par la suite.
Belle histoire, qui m'a bien fait mouiller car elle me rappelle mes premieres amours....
Continue!
Continue!
Jolie histoire.
La suite ?
La suite ?