Ma première rencontre avec deux hommes ( partie 6. Les débuts de ma nouvelle vie avec mon chéri obligé)
Récit érotique écrit par Petite Laura [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma première rencontre avec deux hommes ( partie 6. Les débuts de ma nouvelle vie avec mon chéri obligé)
Ho ! Oui, Rémi m’embrasse bien… Il a commencé par un petit bisou sur ma bouche fermée puis il a inséré le bout de sa langue entre mes lèvres pour les ouvrir. Maintenant il suce ma lèvre supérieure. J’aime ça et j’entrouvre la bouche ! sa langue entre à l’intérieur et glisse sur la mienne… Tout compte fait, cela ne me dérange pas. Je n’en suis pas, pas encore à le considérer comme mon chéri… Je dois faire abstraction de son physique pas très reluisant. A voir sa tête, Il semble être un peu plus jeune que les Maîtres tandis que son corps semble avoir subi des temps difficiles. Totalement imberbe, des cicatrices visibles, des jambes musclées, un sexe à peine plus grand que le mien mais encore mou. Il n’a pas de cage…. Son baiser est passionné, presque amoureux… Je me demande depuis combien de temps il n’a pas eu cette position de mâle ? Les Maîtres lui offrent une jeune proie… Il en profite en investissant ma bouche. Ses lèvres sucent les miennes, sa langue visite ma bouche, caresse l’intérieur de mes joues, encercle ma langue... Pensait-il avoir autant de chance lorsqu’il m’a vue arriver au domaine ? C’est Gilbert qui rompt l’intimité qui se crée.
-Regarde Renaud, on dirait qu’il bande !
-Oh oui comme c’est mignon…tu crois qu’il sait encore s’en servir depuis le temps ?
-Je n’en sais rien, on a qu’à le tester…
-Bonne idée, cela renforcera leur union !
Gilbert nous sépare de force, me laisse à genoux et sur les mains… Il prend Rémi par l’oreille et le tire vers mon cul offert…
-Allez lopette, montre-nous ce que tu sais encore faire… Avec la langue d’abord !
Il doit être sur son petit nuage et ne se fait pas prier. Il pose ses mains sur mes fesses pour les écarter. Je sens son souffle passer entre me lobes. Il plonge ensuite entre mes fesses, son nez touche en premier le fond de ma raie puis je sens sa langue lécher ma rosette… Que c’est bon, que c’est agréable ! Il est doué le cochon, sans doute une habitude acquise de longue date. On dirait qu’il le fait avec passion ! Avec amour peut-être… Je remue ma croupe comme pour mieux l’accueillir, l’aspirer en moi…. Le bout de sa langue pointe l’orifice, pousse et entre, toute chaude, humm... C’est bon !
-Branle toi en même temps… Ordonne Renaud.
Je sens que Rémi bouge derrière moi. Avec une main sur sa queue, sa langue est moins agile.
-Allez, prends ta petite femme maintenant….
Sa langue sort... Je sens à nouveau ses deux mains sur mes hanches… Son gland frotte mon petit trou… Il bande encore mou et doit s’aider de sa main pour, tant bien que mal essayer de rentrer dans ma chatte de Sissy… Ça entre un peu, glisse dehors… Le malheureux fait de son mieux semble-t-il. Nos propriétaires se moquent de lui….
- Même pas capable d’honorer sa copine dit Gilbert.
-Une vraie tantouse réplique Renaud
Ce dernier s’accroupit devant moi, sort son sexe et me le glisse en bouche… Ça, c’est de la bite dit-il… Derrière moi, le chéri que m’ont choisi les Maîtres essaye encore… Entourant sa tige de sa main, il introduit un centimètre, deux et puis plouf, ça sort… Sa langue me faisait plus d’effet ! Au pire, j’aurais pris plus de plaisir avec son annulaire… Je suce avidement le sexe de Maître Renaud qui s’est rapidement mise au garde à vous…. Il se retire alors !
-Allez bouge-toi de là le cocu !
Et d’un coup sec, Renaud m’encule… Hahn, c’est fort ! C’est fort et c’est trop bon… Il me laboure les reins… Presque bestialement… J’aime sa queue entre mes fesses… Ses vas et vient me chauffent le tunnel. Son engin grossit encore et son bout bute au fond de ma caverne ! Ça ne dure pas trop longtemps. Il sort, éjacule sur le bas de mon dos et sur mon cul dans un râle de plaisir…
-Qu’elle est bonne ta femme… dit-il à Rémi. Lèche et nettoie tout…
La langue de Rémi entre en action et lèche tout le bon jus de Renaud…
-Juste bonne à ça la chienne… lécher le sperme des vrais hommes…
-Pardon Mes Maîtres…
-Ce n’est pas à nous que tu dois présenter tes excuses mais à Laura… Que veux-tu qu’elle fasse avec une merde comme toi ?
-Pardon ma chérie…
Il est dépité le pauvre…. J’ai presque de la compassion, de la pitié envers lui…
Mes mots sortent presque naturellement …
-Ce n’est rien mon chéri…
-Bon, au travail les lopettes… Tu fais visiter le domaine à Laura et tu lui expliques tout ce qu’elle a besoin de savoir pour commencer toute seule après-demain. Compris ?
Rémi baisse la tête, encore honteux de sa piètre performance.
-Oui Maître…
Gilbert continue en terminant son verre.
-Laura, tu ramasses tes affaires. Tu les mettras dans ton sac, il te dira où le ranger !
-Oui tonton
C’est étrange, il lui parle sèchement, presque brutalement, d’une façon rabaissante tandis que à moi, les mots sont plus doux, plus gentils….
Je ramasse mes vêtements, Rémi m’aide gentiment, on les dépose dans mon petit sac. Il le ferme et va le mettre dans une armoire dans le hall d’entrée qu’il ferme à clé en disant !
-Je vais rendre la clé aux Maîtres.
-Il y a ma trousse de toilettes dedans mon chéri….
-Ne t’inquiètes pas ma chérie, les Maîtres s’occupent de tout.
Je commence à l’apprécier, pas physiquement mais émotionnellement.
-excuse-moi pour tantôt ma chérie , je suis vraiment désolé, j’avais très envie de te faire l’amour mais avec le traitement que je suis, c’est pas évident…
-c’est rien mon chéri, j’ai bien aimé ta langue entre mes fesses…
Je ne ment même pas, j’ai adoré ça..et puis, j’ai quand même été baisée par tonton Renaud après…
-c’est quoi ce traitement ?
Un sifflement vient de la terrasse.
-je t’expliquerai… dépêche-toi, ils nous appellent….
Nous appeler, nous appeler, drôle de façon. Ils nous sifflent plutôt comme ils feraient pour faire venir leurs chiens.
Tonton Renaud est sur le départ, Gilbert lit un livre. On arrive , Rémi dépose un baiser sur les pieds de Renaud puis sur ceux de Gilbert pour enfin se placer à genoux et attendre. Je veux faire la même chose quand tonton Gilbert m’arrête .
-pas toi pupuce, toi, quand tu te présentes, tu te tiens debout et tu attends.
-euh, d’accord tonton.
Il s’est levé, a mis une menotte à mon poignet droit .
-debout la lope
Et il attache l’autre menotte à son poignet gauche…
-vous voilà unis….
-attends, on va ajouter quelque chose…
Renaud va chercher une autre paire de menottes mais avec une chaîne plus longue…
-et voilà, pieds et poings liés, inséparables pour 48 heures…
48 heures, ça veut dire qu’on sera presque collés l’un à l’autre pour tout faire…. travailler, dormir, manger, se laver et aller aux toilettes aussi….surtout ça. 48 heures, c’est le temps qu’il lui laisse pour tout m’apprendre….
Pas facile de se déplacer, attachés l’un à l’autre. On doit synchroniser nos pas, nos mouvements de bras. En plus, il est plus grand que moi. Mais ça va, on s’adapte…
Cette histoire de traitement m’intrigue.
J’essaye d’en savoir plus mais il reste vague, me disant juste que c’est un ami médecin du couple qui s’en occupe. Des injections d’œstrogènes qui diminue la puissance sexuelle et qui donnent un peu de poitrine, enfin quelque chose comme ça….
-et ils vont faire ça avec moi mon chéri ?
-tu es encore jeune toi, je crois qu’ils envisagent autre chose… tu verras bien…
Ou bien il a reçu des instructions pour ne pas en dire plus ou bien il est sincère en disant qu’il ne sait rien d’autre…
On se déplace de pièces en pièces, son petit sexe bouge au fil de nos pas, c’est presque rigolo… tout comme le mien toujours enfermé dans la cage. J’y fais même plus attention . Elle fait partie de moi. Il commence par le rez-de-chaussée, la buanderie, la cuisine, le salon, la salle à manger. Tout est nickel, à moi que tout cela reste comme ça. Il me montre tout, les produits d’entretien, m’explique ce que sera mon nouveau métier. Préparer le petit déjeuner des Maîtres, la lessive, le repassage, les courses, dresser la table, le nettoyage de tout l’intérieur, la vaisselle. Enfin, un travail de bonne à tout faire. L’aménagement des pièces est super, les affaires ont l’air de bien marcher…Pour ce qui est des repas, soit ils se font livrer par un traiteur, soit ce sera à moi de préparer des choses simples, soit le plus souvent, ils s’en occupent eux, passionnés qu’ils sont tous les deux d’art culinaire.
Je dois faire pipi, je ne saurai plus me retenir longtemps mais je redoute le moment où j’irai me soulager avec Rémi à mes côtés. Ça devient trop urgent…
-je dois aller aux toilettes mon chéri.
Pas facile de rentrer à deux même si elle n’est pas minuscule. La règle 6 écrite dans mon cahier. Faire pipi assise. Il se fait le plus discret possible. Mais bon, il est là. Je parviens quand même à vider ma vessie. Je suis soulagée. Gentiment, il prend une lingette humide et essuie ma cage. Nos regards se croisent. Il a des yeux de chien battu . Quelque chose se passe. En moi, je me dit que si on est condamnés à passer beaucoup de temps ensemble , autant prendre les choses du bon côté.
-tu crois qu’on peut s’embrasser mon chéri, tu embrasses bien.
-oh ma chérie, je n’attendais que ça. Cela fait si longtemps pour moi tu sais… et puis, tu as entendu ce qu’ils ont dit, on est en couple maintenant… encore pardon pour tantôt…
-tais-toi….
Oui, nous sommes un couple obligé et j’ai l’impression que je prends le dessus..
Ses lèvres s’approchent, sa langue entre dans ma bouche. Oui, c’est vrai il embrasse bien…
Un sifflement arrête notre baiser…
A regret, on se sépare, on sort de la toilette. Ça vient de la terrasse. Gilbert est là, installé sur un relax , torse nu au soleil…
Rémi s’approche, dépose ses lèvres sur ses pieds nus, s’agenouille, tête baissée. Je reste debout.
-un verre d’eau !
Ce sont les seuls mots de tonton Gilbert…
Attachés comme nous le sommes, il doit garder le bras gauche un peu en l’air…
Il boit son verre , se désintéresse de nous… téléphone à son compagnon , lui parle d’un problème de livraison qui devait arriver de Nouvelle-Zélande et qui aura un fameux retard. Il raccroche , se lève, s’approche de nous.
-il t’explique bien?
-oui tonton, ça va.
-il y a intérêt, dès que tu prendras ton service toute seule, chaque erreur sera sanctionnée et lui, il en prendra le double.
-je ferai de mon mieux tonton
-on verra ça. N’hésites pas à le faire répéter .
-promis tonton.
Doucement, il caresse ma joue. Hmmm, je frisonne.
-suce-moi, ma queue adore ta petite bouche de pute..
Ce sont le genre de chose qu’il ne doit pas me répéter deux fois, je m’agenouille, baisse son short, sort ce sexe que j’adore.
Avec ma main droite libre de toute entrave, je le guide vers ma bouche et prend énormément de plaisir à le faire grossir. Il me laisse faire, caresse mes cheveux.
-je te verrais bien en rousse, j’en parlerai à Renaud.
Je ne dis rien, fais mon travail. De toutes façons, si ils me veulent rousse, je deviendrai rousse.
Son sexe grossit comme j’aime. Autre chose que celle de mon chéri obligé. J’y prend du plaisir, beaucoup de plaisir. J’aspire son gland, lèche ses belles couilles, l’enfonce le plus loin possible dans ma gorge. Tout d’un coup, il sort sans prévenir et se branle frénétiquement à cinq centimètres de mon visage pour éjaculer sur ma figure. Des gros flocons s’écrasent sur mon nez, mes yeux, mes joues. J’aurais aimé qu’il me laisse le boire . Il en a décidé autrement, se rhabille et nous renvoie à nos occupations.
Le sperme a séché sur ma tête, mon chéri continue la visite ou plutôt recommence le bas de la bâtisse à ma demande. Ça va, ça va aller. Tout est clean.
-c’est toi qui faisais le ménage mon chéri ?
-oh non ma chérie, une femme à journée venait 2 fois par semaine, Ils ont arrêté avec elle quand ils t’ont trouvée. En plus, ça l’arrangeait, elle allait déménager.
-et elle savait pour toi?
-non, je le l’ai jamais vue et elle ne m’a jamais vu. Quand elle venait, j’étais enfermé dans la cabane au fond du jardin. Excuse-moi mais je dois faire aussi pipi.
Et nous voilà au petit coin, avec les menottes aux poignets et aux chevilles. Il fait son besoin, c’est vraiment pas amusant. Et là, je me dis que pour le pipi c’est pas marrant mais qu’est-ce que ce sera pour la grosse commission. Les maîtres ont bien dit 48 heures. Pensons à autre chose…
En route vers la partie supérieure de la maison. Je ne savais pas qu’un moulin pouvait être si grand de l’intérieur. Un escalier en colimaçon vers le premier étage. Trois portes. Rémi ouvre la première.
-ici c’est la chambre de Maître Renaud.
Assez vaste, un décor moderne, avec sa salle de bain.
-ici la chambre de Maitre Gilbert..
Un peu plus petite , plus conventionnelle mais superbe aussi, bien rangée, un dressing et encore une salle d’eau.
-et là, c’était ma chambre qui est maintenant notre chambre ma chérie.
Le changement est radical. Aucun luxe. Des murs blancs, un lavabo, trois lourdes armoires en métal, une toilette, une ampoule nue qui pend du plafond. Et le lit, ce fameux lit dans lequel je devrai passer toutes mes nuits dans le futur avec « mon chéri ». Une armature des plus basiques en métal , un sommier dans la même matière et un matelas une personne…
-ils ont commandé un plus grand lit , il doit arriver dans la semaine dit-il simplement.
-et ça, c’est quoi?
Une demi boule au plafond.
-une caméra ajoute-t-il
-et la porte là ?
Il l’ouvre, un cagibi tout vide.
-une cellule pour réfléchir.
Aucun confort, juste le strict nécessaire, aucune intimité.
On ressort, l’escalier monte plus haut.
-en haut, c’est un peu comme la salle de gym de leur appartement , tu y as sûrement été, non?
-oui.
-c’est le même style mais bien mieux équipé.
-viens, je dois t’habiller.
Il retourne dans notre chambre, ouvre une armoire. Oups, une véritable garde-robe de sissy…il en sort une sorte de tenue de soubrette qui peut être mise sans passer par la tête. Et me voilà habillée. Le haut s’arrête sous les bras et le bas au milieu des fesses. La petite cage de chasteté est bien visible, ça frise le ridicule, enfin je ne sais pas. Deux fines bretelles passent sur mes épaules. Un sifflement… Tonton Gilbert nous appelle.
-Regarde Renaud, on dirait qu’il bande !
-Oh oui comme c’est mignon…tu crois qu’il sait encore s’en servir depuis le temps ?
-Je n’en sais rien, on a qu’à le tester…
-Bonne idée, cela renforcera leur union !
Gilbert nous sépare de force, me laisse à genoux et sur les mains… Il prend Rémi par l’oreille et le tire vers mon cul offert…
-Allez lopette, montre-nous ce que tu sais encore faire… Avec la langue d’abord !
Il doit être sur son petit nuage et ne se fait pas prier. Il pose ses mains sur mes fesses pour les écarter. Je sens son souffle passer entre me lobes. Il plonge ensuite entre mes fesses, son nez touche en premier le fond de ma raie puis je sens sa langue lécher ma rosette… Que c’est bon, que c’est agréable ! Il est doué le cochon, sans doute une habitude acquise de longue date. On dirait qu’il le fait avec passion ! Avec amour peut-être… Je remue ma croupe comme pour mieux l’accueillir, l’aspirer en moi…. Le bout de sa langue pointe l’orifice, pousse et entre, toute chaude, humm... C’est bon !
-Branle toi en même temps… Ordonne Renaud.
Je sens que Rémi bouge derrière moi. Avec une main sur sa queue, sa langue est moins agile.
-Allez, prends ta petite femme maintenant….
Sa langue sort... Je sens à nouveau ses deux mains sur mes hanches… Son gland frotte mon petit trou… Il bande encore mou et doit s’aider de sa main pour, tant bien que mal essayer de rentrer dans ma chatte de Sissy… Ça entre un peu, glisse dehors… Le malheureux fait de son mieux semble-t-il. Nos propriétaires se moquent de lui….
- Même pas capable d’honorer sa copine dit Gilbert.
-Une vraie tantouse réplique Renaud
Ce dernier s’accroupit devant moi, sort son sexe et me le glisse en bouche… Ça, c’est de la bite dit-il… Derrière moi, le chéri que m’ont choisi les Maîtres essaye encore… Entourant sa tige de sa main, il introduit un centimètre, deux et puis plouf, ça sort… Sa langue me faisait plus d’effet ! Au pire, j’aurais pris plus de plaisir avec son annulaire… Je suce avidement le sexe de Maître Renaud qui s’est rapidement mise au garde à vous…. Il se retire alors !
-Allez bouge-toi de là le cocu !
Et d’un coup sec, Renaud m’encule… Hahn, c’est fort ! C’est fort et c’est trop bon… Il me laboure les reins… Presque bestialement… J’aime sa queue entre mes fesses… Ses vas et vient me chauffent le tunnel. Son engin grossit encore et son bout bute au fond de ma caverne ! Ça ne dure pas trop longtemps. Il sort, éjacule sur le bas de mon dos et sur mon cul dans un râle de plaisir…
-Qu’elle est bonne ta femme… dit-il à Rémi. Lèche et nettoie tout…
La langue de Rémi entre en action et lèche tout le bon jus de Renaud…
-Juste bonne à ça la chienne… lécher le sperme des vrais hommes…
-Pardon Mes Maîtres…
-Ce n’est pas à nous que tu dois présenter tes excuses mais à Laura… Que veux-tu qu’elle fasse avec une merde comme toi ?
-Pardon ma chérie…
Il est dépité le pauvre…. J’ai presque de la compassion, de la pitié envers lui…
Mes mots sortent presque naturellement …
-Ce n’est rien mon chéri…
-Bon, au travail les lopettes… Tu fais visiter le domaine à Laura et tu lui expliques tout ce qu’elle a besoin de savoir pour commencer toute seule après-demain. Compris ?
Rémi baisse la tête, encore honteux de sa piètre performance.
-Oui Maître…
Gilbert continue en terminant son verre.
-Laura, tu ramasses tes affaires. Tu les mettras dans ton sac, il te dira où le ranger !
-Oui tonton
C’est étrange, il lui parle sèchement, presque brutalement, d’une façon rabaissante tandis que à moi, les mots sont plus doux, plus gentils….
Je ramasse mes vêtements, Rémi m’aide gentiment, on les dépose dans mon petit sac. Il le ferme et va le mettre dans une armoire dans le hall d’entrée qu’il ferme à clé en disant !
-Je vais rendre la clé aux Maîtres.
-Il y a ma trousse de toilettes dedans mon chéri….
-Ne t’inquiètes pas ma chérie, les Maîtres s’occupent de tout.
Je commence à l’apprécier, pas physiquement mais émotionnellement.
-excuse-moi pour tantôt ma chérie , je suis vraiment désolé, j’avais très envie de te faire l’amour mais avec le traitement que je suis, c’est pas évident…
-c’est rien mon chéri, j’ai bien aimé ta langue entre mes fesses…
Je ne ment même pas, j’ai adoré ça..et puis, j’ai quand même été baisée par tonton Renaud après…
-c’est quoi ce traitement ?
Un sifflement vient de la terrasse.
-je t’expliquerai… dépêche-toi, ils nous appellent….
Nous appeler, nous appeler, drôle de façon. Ils nous sifflent plutôt comme ils feraient pour faire venir leurs chiens.
Tonton Renaud est sur le départ, Gilbert lit un livre. On arrive , Rémi dépose un baiser sur les pieds de Renaud puis sur ceux de Gilbert pour enfin se placer à genoux et attendre. Je veux faire la même chose quand tonton Gilbert m’arrête .
-pas toi pupuce, toi, quand tu te présentes, tu te tiens debout et tu attends.
-euh, d’accord tonton.
Il s’est levé, a mis une menotte à mon poignet droit .
-debout la lope
Et il attache l’autre menotte à son poignet gauche…
-vous voilà unis….
-attends, on va ajouter quelque chose…
Renaud va chercher une autre paire de menottes mais avec une chaîne plus longue…
-et voilà, pieds et poings liés, inséparables pour 48 heures…
48 heures, ça veut dire qu’on sera presque collés l’un à l’autre pour tout faire…. travailler, dormir, manger, se laver et aller aux toilettes aussi….surtout ça. 48 heures, c’est le temps qu’il lui laisse pour tout m’apprendre….
Pas facile de se déplacer, attachés l’un à l’autre. On doit synchroniser nos pas, nos mouvements de bras. En plus, il est plus grand que moi. Mais ça va, on s’adapte…
Cette histoire de traitement m’intrigue.
J’essaye d’en savoir plus mais il reste vague, me disant juste que c’est un ami médecin du couple qui s’en occupe. Des injections d’œstrogènes qui diminue la puissance sexuelle et qui donnent un peu de poitrine, enfin quelque chose comme ça….
-et ils vont faire ça avec moi mon chéri ?
-tu es encore jeune toi, je crois qu’ils envisagent autre chose… tu verras bien…
Ou bien il a reçu des instructions pour ne pas en dire plus ou bien il est sincère en disant qu’il ne sait rien d’autre…
On se déplace de pièces en pièces, son petit sexe bouge au fil de nos pas, c’est presque rigolo… tout comme le mien toujours enfermé dans la cage. J’y fais même plus attention . Elle fait partie de moi. Il commence par le rez-de-chaussée, la buanderie, la cuisine, le salon, la salle à manger. Tout est nickel, à moi que tout cela reste comme ça. Il me montre tout, les produits d’entretien, m’explique ce que sera mon nouveau métier. Préparer le petit déjeuner des Maîtres, la lessive, le repassage, les courses, dresser la table, le nettoyage de tout l’intérieur, la vaisselle. Enfin, un travail de bonne à tout faire. L’aménagement des pièces est super, les affaires ont l’air de bien marcher…Pour ce qui est des repas, soit ils se font livrer par un traiteur, soit ce sera à moi de préparer des choses simples, soit le plus souvent, ils s’en occupent eux, passionnés qu’ils sont tous les deux d’art culinaire.
Je dois faire pipi, je ne saurai plus me retenir longtemps mais je redoute le moment où j’irai me soulager avec Rémi à mes côtés. Ça devient trop urgent…
-je dois aller aux toilettes mon chéri.
Pas facile de rentrer à deux même si elle n’est pas minuscule. La règle 6 écrite dans mon cahier. Faire pipi assise. Il se fait le plus discret possible. Mais bon, il est là. Je parviens quand même à vider ma vessie. Je suis soulagée. Gentiment, il prend une lingette humide et essuie ma cage. Nos regards se croisent. Il a des yeux de chien battu . Quelque chose se passe. En moi, je me dit que si on est condamnés à passer beaucoup de temps ensemble , autant prendre les choses du bon côté.
-tu crois qu’on peut s’embrasser mon chéri, tu embrasses bien.
-oh ma chérie, je n’attendais que ça. Cela fait si longtemps pour moi tu sais… et puis, tu as entendu ce qu’ils ont dit, on est en couple maintenant… encore pardon pour tantôt…
-tais-toi….
Oui, nous sommes un couple obligé et j’ai l’impression que je prends le dessus..
Ses lèvres s’approchent, sa langue entre dans ma bouche. Oui, c’est vrai il embrasse bien…
Un sifflement arrête notre baiser…
A regret, on se sépare, on sort de la toilette. Ça vient de la terrasse. Gilbert est là, installé sur un relax , torse nu au soleil…
Rémi s’approche, dépose ses lèvres sur ses pieds nus, s’agenouille, tête baissée. Je reste debout.
-un verre d’eau !
Ce sont les seuls mots de tonton Gilbert…
Attachés comme nous le sommes, il doit garder le bras gauche un peu en l’air…
Il boit son verre , se désintéresse de nous… téléphone à son compagnon , lui parle d’un problème de livraison qui devait arriver de Nouvelle-Zélande et qui aura un fameux retard. Il raccroche , se lève, s’approche de nous.
-il t’explique bien?
-oui tonton, ça va.
-il y a intérêt, dès que tu prendras ton service toute seule, chaque erreur sera sanctionnée et lui, il en prendra le double.
-je ferai de mon mieux tonton
-on verra ça. N’hésites pas à le faire répéter .
-promis tonton.
Doucement, il caresse ma joue. Hmmm, je frisonne.
-suce-moi, ma queue adore ta petite bouche de pute..
Ce sont le genre de chose qu’il ne doit pas me répéter deux fois, je m’agenouille, baisse son short, sort ce sexe que j’adore.
Avec ma main droite libre de toute entrave, je le guide vers ma bouche et prend énormément de plaisir à le faire grossir. Il me laisse faire, caresse mes cheveux.
-je te verrais bien en rousse, j’en parlerai à Renaud.
Je ne dis rien, fais mon travail. De toutes façons, si ils me veulent rousse, je deviendrai rousse.
Son sexe grossit comme j’aime. Autre chose que celle de mon chéri obligé. J’y prend du plaisir, beaucoup de plaisir. J’aspire son gland, lèche ses belles couilles, l’enfonce le plus loin possible dans ma gorge. Tout d’un coup, il sort sans prévenir et se branle frénétiquement à cinq centimètres de mon visage pour éjaculer sur ma figure. Des gros flocons s’écrasent sur mon nez, mes yeux, mes joues. J’aurais aimé qu’il me laisse le boire . Il en a décidé autrement, se rhabille et nous renvoie à nos occupations.
Le sperme a séché sur ma tête, mon chéri continue la visite ou plutôt recommence le bas de la bâtisse à ma demande. Ça va, ça va aller. Tout est clean.
-c’est toi qui faisais le ménage mon chéri ?
-oh non ma chérie, une femme à journée venait 2 fois par semaine, Ils ont arrêté avec elle quand ils t’ont trouvée. En plus, ça l’arrangeait, elle allait déménager.
-et elle savait pour toi?
-non, je le l’ai jamais vue et elle ne m’a jamais vu. Quand elle venait, j’étais enfermé dans la cabane au fond du jardin. Excuse-moi mais je dois faire aussi pipi.
Et nous voilà au petit coin, avec les menottes aux poignets et aux chevilles. Il fait son besoin, c’est vraiment pas amusant. Et là, je me dis que pour le pipi c’est pas marrant mais qu’est-ce que ce sera pour la grosse commission. Les maîtres ont bien dit 48 heures. Pensons à autre chose…
En route vers la partie supérieure de la maison. Je ne savais pas qu’un moulin pouvait être si grand de l’intérieur. Un escalier en colimaçon vers le premier étage. Trois portes. Rémi ouvre la première.
-ici c’est la chambre de Maître Renaud.
Assez vaste, un décor moderne, avec sa salle de bain.
-ici la chambre de Maitre Gilbert..
Un peu plus petite , plus conventionnelle mais superbe aussi, bien rangée, un dressing et encore une salle d’eau.
-et là, c’était ma chambre qui est maintenant notre chambre ma chérie.
Le changement est radical. Aucun luxe. Des murs blancs, un lavabo, trois lourdes armoires en métal, une toilette, une ampoule nue qui pend du plafond. Et le lit, ce fameux lit dans lequel je devrai passer toutes mes nuits dans le futur avec « mon chéri ». Une armature des plus basiques en métal , un sommier dans la même matière et un matelas une personne…
-ils ont commandé un plus grand lit , il doit arriver dans la semaine dit-il simplement.
-et ça, c’est quoi?
Une demi boule au plafond.
-une caméra ajoute-t-il
-et la porte là ?
Il l’ouvre, un cagibi tout vide.
-une cellule pour réfléchir.
Aucun confort, juste le strict nécessaire, aucune intimité.
On ressort, l’escalier monte plus haut.
-en haut, c’est un peu comme la salle de gym de leur appartement , tu y as sûrement été, non?
-oui.
-c’est le même style mais bien mieux équipé.
-viens, je dois t’habiller.
Il retourne dans notre chambre, ouvre une armoire. Oups, une véritable garde-robe de sissy…il en sort une sorte de tenue de soubrette qui peut être mise sans passer par la tête. Et me voilà habillée. Le haut s’arrête sous les bras et le bas au milieu des fesses. La petite cage de chasteté est bien visible, ça frise le ridicule, enfin je ne sais pas. Deux fines bretelles passent sur mes épaules. Un sifflement… Tonton Gilbert nous appelle.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chère Petite Laura. Pourquoi as tu disparu ? Pourquoi ne nous donnes tu pas à lire la suite de ton histoire ? Bises. A bientôt ici et par mail je l'espère.
Vivement la suite c'est magnifique et bien écrit.