Ma première soumission 2 - histoire érotique

J’ai été le premier réveillé ce Samedi matin, je ne savais pas vraiment l’heure mais
ce n’était pas tôt, il y avait du soleil déjà. Je suis resté allongé sur le canapé en
attendant … et ça a été long. Je me sentais bien mais un peu endolori au niveau de la
bouche et des fesses ! Assez rapidement en me regardant habillé comme ça et en
repensant à ce qui s’était passé hier soir je me suis mis à bander, j’ai relevé la
jupe pour voir mon sexe sortir du string rouge. Il était très clair que j’en avais
encore envie ! Ca a été long, très long d’attendre avec cette furieuse envie de
prendre mon sexe dans ma main mais j’ai réussi à essayer de penser à autre chose pour
ne pas craquer.

D’un coup ça s’est accéléré, il est sorti en vrac de sa chambre :
- « Putain je suis à la bourre, envoies une cafetière de café et descends
m’acheter du pain et 2 croissants, il y a 10 euros sur le buffet de l’entrée. Tu
t’habilles comme tu veux mais tu gardes ce que tu as dessous. Magne-toi ! »

J’ai sauté du canapé et une fois dans la cuisine j’ai ouvert tous les tiroirs pour
trouver de quoi faire du café (et ça me fera du bien aussi !). Une fois la cafetière
en marche j’ai enfilé mon jeans, les chaussures et la petite veste avec lesquels
j’étais arrivé la veille et je suis descendu. J’étais tellement dans mon trip que je
n’ai même vu que le chemisier blanc était vraiment visible sous ma veste. Je me suis
retrouvé dans la rue à chercher une boulangerie, heureusement qu’il habitait en centre
ville. J’ai acheté rapidement ce qu’il voulait et je suis remonté.

Quand il est sorti de la douche le petit déjeuner était servi, café chaud, croissants
et pain frais. Il était nu quand il est rentré dans la cuisine, sans rien dire il
s’est assis et a commencé, moi j’étais debout à coté de lui.

- « Passe sous la table et suce moi, et ne fais pas trainer je suis à la bourre
»

Je me suis mis à quatre pattes et je me suis placé entre ses jambes qu’il avait
ouvertes. Il bandait déjà alors que ce n’était pas le cas quand il s’est assis. J’ai
glissé ma tête entre la table et sa queue et j’ai commencé à le sucer doucement en lui
léchant le frein juste sous le gland.

- « Je t’ai dit que j’étais pressé alors vas y bordel, j’ai juste le temps de te
gicler dans la gueule »

Je l’ai enfoncé dans ma bouche et je me suis mis à le branler en même temps.
- « Voilà ….. Aujourd’hui je sors jusqu’en fin d’après midi. Ecoute bien parce
que je ne répèterai pas, tu as tout le temps qu’il faut pour faire l’appart de fond en
comble, il y a tous les produits qu’il faut, tu chercheras. Si on sonne à la porte tu
n’ouvres pas. Si le téléphone sonne tu décroches et tu prends le message. Quand je
rentre je te vais propre et sans odeur de javel. Fais aussi à manger pour 3 personnes
on ne sait jamais il vaut mieux prévoir »

Quand j’ai entendu sa dernière phrase j’ai cru que j’allais jouir d’un coup, j’ai
accéléré sur sa queue, j’avais envie de sentir son foutre chaud dans ma bouche et ça
n’a pas trainé. Il a déchargé d’un coup en remerciant ma bouche de salope, j’ai serré
encore plus mes lèvres sur sa bite et instinctivement j’ai avalé tout ce qu’il me
donnait. Je n’en pouvais plus j’aurais voulu qu’il m’en donne encore et encore. Je
l’ai léché pour nettoyer le peu de sperme que j’avais laissé filer.
- « Et bien ma cochonne tu n’as pas mis longtemps à aimer ça »

Il s’est levé, je l’ai entendu boire une dernière gorgée de café et il est sorti. Je
n’osais pas bouger. A peine 2 minutes plus tard j’ai entendu la porte se fermer sans
qu’il ne me dise plus rien. Je n’ai pas résisté à passer ma main sur mon sexe qui me
faisait mal tellement je bandais. Et je me suis branlé, là, à quatre pattes sous cette
table, la joue reposant sur la chaise jusqu’à ce que je jouisse sur le carrelage. Je
suis resté un moment sans bouger complètement envahi par ce qui venait de se passer.
J’avais encore en tête l’image qui m’étais venu à l’esprit quand j’ai compris qu’il
reviendrait peut être avec des copains à lui …

Je ne vais pas vous raconter ma journée mais je n’ai jamais autant de plaisir à
nettoyer et à récurer un appartement bien que j’ai eu un choc quand je me suis vu dans
la glace en rentrant dans la salle de bain .... J’ai préparé de quoi manger pour un
apéro, une entrée et un plat. Quand j’ai pensé avoir fini je suis allé me laver. Je me
suis rasé au mieux et j’ai pris une douche.

Ensuite j’ai refait un tour de l’appartement pour vérifier que j’avais bien travaillé
… il devrait être content de moi. Je me suis installé sur son canapé et j’ai pris une
BD et je me suis mis à lire. Et j’ai eu le temps de lire car il n’est pas rentré avant
20h ! Et ma tranquillité s’est arrêtée là ….
- « Je vois qu’on prend ses aises … debout et viens dire bonjour »

Je me suis approché, les yeux toujours baissés. Il avait fermé la porte et un autre
homme était avec lui, grand et un peu gros à ce que je voyais.
- « Je te présente ma bonne à tout faire et elle est surtout très qualifiée pour
nettoyer les queues. Sers nous un apèro »

Ils sont allés s’assoir sur le canapé et je leur ai apporté les petits amuses gueules
que j’avais préparé.
- « Tu ne m’as pas bien compris, on a faim de sexe pas de bouffe alors l’apéro
il est pour mon pote d’abord ! Honneur au invité »

Il avait déjà les jambes écartées, je me suis mis à 4 pattes entre et j’ai commencé à
caresser son sexe à travers son jogging. A travers ce pantalon c’était facile de
sentir qu’il bandait déjà.
- « Allez, dit il, ton patron m’a venté tes talents alors montre moi comme tu es
une bonne cochonne qui aime les bites »

J’aime bien entendre ça et j’avais déjà mon sexe qui sortait de mon string. J’ai tiré
à deux mains sur son jogging en je l’ai fait descendre et j’ai sorti son sexe. Je l’ai
entouré de ma main et je l’ai décalotté doucement bien juste qu’au bout. J’ai léché
son gland pour lui mettre de la salive bien tour autour. C’est bon de le sentir dur et
chaud. Il avait une odeur forte que je connais bien avec mon sexe quand je ne le lave
pas d’un jour ou deux et ça m’excité encore plus. Je l’ai enfoncé dans ma bouche et
j’ai commencé à pomper son gland. J’ai tout de suite senti ses mains attraper ma tête
et me forcer à bouger au rythme qu’il voulait.
- « Humm putain, tu as raison … j’ai déjà envie de lui éjaculer dans la gueule,
faut dire que tu m’as excité en me parlant de la chienne que tu avais chez toi »
- « Elle est là pour qu’on prenne notre pied. Et la nuit sera longue tu auras
encore le temps d’en profiter »

Je n’avais pas fait attention mais mon patron me prend la main droite et viens la
poser sur son sexe que je me mets à branler. Son copain accélère les mouvements, «
Allez vas y salope », je serre mes lèvres et salive encore plus, je sens qu’elle coule
de ma bouche. J’ai envie qu’il jouisse, je veux encore l’entendre m’insulter …. Et il
ne tarde pas, je le sens sur ma langue, je sens d’un coup son sexe gonfler encore et
s’agiter. « Oh oui, prend tout … », et j’ai eu la bouche remplie, j’avalais un peu
mais il continuait ses vas et viens avec ma tête. Quand il a arrêté, j’ai vu tout le
sperme que j’avais laissé sortir. J’ai gardé son sexe dans ma main et j’ai léché son
pubis pour le nettoyer. J’avais du sperme sur les mains, sur le nez, le menton et la
bouche.
- « Quand je pense qu’hier soir encore elle ne voulait pas avaler … »
- « Pourtant regarde comme elle m’a nettoyé ! Toi tu es un chanceux d’être tombé
sur une petite pute novice comme ça »
- « Tu as raison et elle ne demande qu’à apprendre »

Le copain me prend par les cheveux pour me soulever le visage.
- « Regarde là avec mon sperme plein la figure. Lève toi … Et regarde ça elle
bande comme une folle … toi aussi d’ailleurs dit il à mon maitre en souriant, tu ne
vas pas rester comme ça ! »
- « Va te mettre de l’autre coté de la table et met toi à plat ventre dessus »

Je me suis installé, j’étais face au canapé où était installé le copain qui avait
enlevé complètement son pantalon.
- « Va te mettre de l’autre coté de la table et met toi à plat ventre dessus »

Il est passé derrière moi, rapidement j’ai senti son sexe dans la raie des fesses. Il
m’a pris par les hanches pour me plaquer contre lui.
- « Relève toi, prend appui sur tes bras. Je veux que tu regardes mon pote, je
veux qu’il te vois pendant que je te prends »

Il a soulevé ma jupe, et écarté mon string. Son copain était fixé sur moi avec un
petit sourire.
- « Il va te tartiner la raie ma coquine et excité comme il l’est tu vas la
sentir passer »

J’ai senti une main toute gluante passer le long de ma raie, puis un premier doigt
entrer doucement en moi et s’enfoncer jusque au bout.
- « Je suis au spectacle dit son copain, je ne vais pas en rater une miette »
- « N’hésite pas à commenter, regarde et dis moi, je vais lui mettre un deuxième
doigt »
- « Oh elle a l’air un peu inquiète »
- « Pourtant son cul est souple, je suis en train d’enfoncer un autre doigt et
il rentre sans forcer »
- « Je peux te dire qu’elle aime ça, elle en ferme les yeux »
- « Oui ! Je sens son cul qui se cambre … l’appel de la bite ! dit il en riant »

Et il avait raison, j’étais là en train de me faire triturer le cul et je bandais
comme un fou … j’avais envie de sentir son sexe brulant entrer en moi.
- « J’en peux plus, faut que je la prenne »

Il a retiré ses doigts et j’ai senti son gland contre mon anus que je sentais dilaté.
Il m’a repris par les hanches et il m’a tiré vers lui doucement mais sans s’arrêter sa
queue est entrée entièrement en moi.
- « Tu avais raison, elle n’attendait que ça, elle a les yeux qui partent
ailleurs, elle aime vraiment ça. Vas-y lime la pour voir »

Il a commencé à bouger en faisant des petits va et vient en restant au fond de moi
puis plus ample mais sans aller plus vite. Je sentais mon sexe gonfler, je sentais du
plaisir aux creux de mes reins …
- « Elle me refait bander à la voir comme ça, j’ai l’impression qu’elle va se
mettre à gémir et demander que tu la défonces dit il »

Quand je l’ai vu prendre sa queue et commencer à se branler devant moi je n’ai pas pu
retenir mon premier gémissement de plaisir. Je sentais que j’allais partir en même
temps que la queue accélérait ses mouvements. Le copain s’est levé et a posé son gland
sur ma bouche tout en continuant à se branler. J’avais l’impression d’être dans un
autre monde, l’homme derrière ne disait rien mais j’entendais son souffle de plus en
plus rapide et je sentais sa queue sortir presque entièrement de moi à chaque coup de
rein. Devant il avait accéléré sa masturbation, son gland entrait dans ma bouche
ouverte chaque fois qu’il se décalottait.

C’est mon patron qui a joui le premier en criant que j’étais une salope et restant
planté au fond de moi. Maintenant c’est le foutre du copain que je voulais mais je
n’osais pas le demander, alors j’ai ouvert grand la bouche au dessus de son gland.
- « Regarde là elle veut du sperme… Je vais t’en donner ma cochonne »
- « Vas y donne lui ce qu’elle veut, elle l’a bien mérité »

Et j’ai eu ce que je voulais, il a joui dans ma bouche et sur ma joue.
Ils se sont affalés tous les deux sur le canapé. J’étais toujours dans ma position
appuyé sur la table et les fesses relevées.
- « Lève toi, j’en étais sur il bande encore comme un âne. Allez, branle toi »

Je me suis exécuté et je me suis masturbé devant eux. Et très vite j’ai joui longtemps
avec de longues giclées … trop bon.

J’ai du nettoyer mon sperme de la table avant qu’ils décident de terminer la soirée.
Le copain est parti avec une tape sur mes fesses et mon patron est allait se coucher
sans un mot.

Il était Samedi soir, je me sentais vidé mais je suis resté, je me suis couché sur le
canapé et me suis endormi aussi vite.