MA PROF DE GEOGRAPHIE

- Par l'auteur HDS Arnaud -
Récit érotique écrit par Arnaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : MA PROF DE GEOGRAPHIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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MA PROF DE GEOGRAPHIE
Après avoir lu plusieurs confessions, j'ai voulu écrire le récit de ma première fois, enfin plutôt la première fois que j'aurais aimé avoir. Alors pour que cela paraisse le plus vrai possible, j'ai écrit cette histoire comme si je l'avais vécue.

Je me présente : Arnaud, 21 ans. J'ai toujours été timide au niveau des filles et même si je suis sorti avec certaines, j'étais toujours puceau pour mes 18 ans et la fin du lycée.

Cela se passa au lycée alors que j'étais en terminale. J'avais une prof de géographie que je nommerai Nathalie pour ne pas qu'elle puisse être reconnue. Elle avait 34 ans à l'époque et était une très belle femme. De longs cheveux blonds, des yeux verts pétillants, un petit nez et une bouche fine. Ses seins étaient mignons, et elle avait une taille de guêpe. Ses fesses étaient fermes et rebondies, et prolongées par des jambes élégantes et fines. Elle portait fréquemment des pantalons moulants sous lesquels on devinait souvent un string.

Sa tenue qui me plaisait le plus était un pantalon blanc qui lui moulait le cul, et un chemisier rose qui mettait ses seins en valeur.

Nous étions tous sous le charme de cette femme, et nous passions la plupart du cours à bander en la voyant bouger ses petites fesses lorsqu'elle écrivait au tableau. Je me souviens d'une fois où, alors qu'un élève passait au tableau pour présenter un exposé, elle s'était assise à une table à coté de la mienne, les jambes croisées et décalées de mon côté. J'ai passé toute l'heure à admirer cette paire de jambes si magnifiques.

Nous rêvions tous d'elle, et elle était très souvent présente lors de mes plaisirs solitaires. La fin de l'année approchait ; c'était le dernier cours avec elle. Elle nous rendait le dernier devoir avant le bac. J'avais obtenu vingt sur vingt, ce qui me valut ses félicitations. A la fin de chaque cours, elle remplissait un cahier de suivi, et c'était moi qui devais le récupérer ce jour-là.
Je m'en souviens comme si c'était hier ; c'était la dernière heure de cours et elle portait cette fameuse tenue qui m’excitait tant. J'attendais debout à côté de son bureau qu'elle ait terminé. Elle était plus longue que d'habitude à remplir ce cahier. J'en profitais pour la regarder : elle était vraiment trop belle. Mes yeux étaient fixés sur sa poitrine, et l'effet s'en fit vite sentir : je commençai à avoir une petite érection. Puis mon regard descendit sur ses cuisses. Cela acheva de renforcer mon érection. Je bandais alors comme jamais. Je venais de me remettre à regarder ses seins quand elle me tendit le cahier.

– Voilà, tu peux y aller.

Je mis plusieurs secondes à réagir, et quand je voulus prendre le cahier, elle le retint et me demanda :

– C'est moi qui te mets dans cet état ?
– Comment ? Euh, de quoi parlez vous ?
– De ça, me répondit-elle en caressant la bosse qui dépassait de mon pantalon.
– Euh... non, enfin... balbutiai-je.
– N'aie pas l'air si gêné, je me doute bien que je vous fais un peu d'effet.
– Il faut dire que vous êtes si belle et si...
– Sexy ?
– Oui... c'est ça...

Elle recula sa chaise, la tourna vers moi et se rassit en croisant les jambes à moins d'un mètre de moi. D'un côté, je ne pouvais m'empêcher d'admirer ses jambes. Mais de l'autre, je ne savais que dire et que faire.

– Tu me trouves excitante ?

Je n'osai pas répondre.

– Allons réponds-moi, n'aie pas peur. Ca me plaît quand on me dit que je suis attirante.
– Vous êtes si ... Vous n'imaginez pas à quel point je peux penser à vous.
– Tu t'es déjà masturbé en pensant à moi ?
– Oui... répondis-je timidement.
– Et je faisais quoi ?
– Vous m'initiez à l'amour.
– Tu n'as pas de copine ?
– Non...
– Et je suppose que tu es encore puceau...
– Oui...

Elle me regardait droit dans les yeux et frottait ses jambes l'une sur l'autre.

– Tu as déjà vu le corps d'une femme, je veux dire, en vrai ?
– Oui, à la plage...
– Je veux dire, devant toi et pour toi ?
– Non...
– Et tu en as envie, me demanda-t-elle en caressant ma bosse avec son pied ?
– Oh oui, madame !
– Tu aimerais que ça soit moi ?
– Évidemment... Mais pourquoi feriez-vous cela ?
– Disons que tu es mon meilleur élève et que ça serait ma récompense. Alors ? Me redemanda-t-elle en appuyant sur mon sexe avec son pied.
– J'accepte sans hésiter.
– Très bien.

Elle se leva et alla fermer la porte à clé. Elle revint s'asseoir su le bord de son bureau.

– Regarde et profite !

Elle commença à déboutonner son chemisier par le haut. Un à un elle fit sauter les boutons. Peu à peu apparut son soutien-gorge. Il était en dentelle rose et mettait extrêmement bien en valeur ses seins. Puis j'aperçus son nombril et son ventre. Elle se leva, s'approcha de moi, et elle laissa tomber son chemisier sur le sol. Elle enleva ensuite son pantalon blanc, et elle se retrouva en sous-vêtements devant moi. Son corps était sublime. Je vis alors une charmante culotte rose qui cachait son intimité.

Elle posa ses mains sur mes épaules et me dit en me regardant avec un regard malicieux :

– Alors, tu me trouves comment ?
– Belle comme tout !

Elle se recula un peu et dégrafa son soutien-gorge. Elle me montrait ses seins. Ils n'étaient pas bien faits, avec de petits tétons. J'étais aux anges, ce corps que tant de fois j'avais imaginé dans mes rêves, je l'avais devant moi. Elle passa ses mains sur ma poitrine puis mit ses mains sur ses hanches. Elle passa ses mains sous sa culotte et le fit glisser le long de ses jambes. Je pus alors admirer la partie la plus intime de son corps. Un léger triangle de poils blonds entourait son sexe. Voyant que je ne quittais pas cette région de son corps du regard, elle passa sa main dessus comme pour se caresser.

– Ca te plaît ?
– Vous ne pouvez imaginer !
– À la vue de ton pantalon, si, je peux imaginer !

Je bandais comme un fou ; je mourrais d'envie de me branler. Elle se rassit sur sa chaise, croisa les jambes.

– À toi maintenant, déshabille-toi !

Je m'exécutai machinalement, trop heureux de pouvoir libérer ma bite. En trois secondes, je me retrouvais aussi nu qu'un ver, la queue droite comme un I. Je restais interdit, ne sachant que dire. Au bout de quelques secondes, elle me prouva que je n'étais pas au bout de mes surprises.

– Allons, je ne vais pas te laisser dans cet état là. Assieds-toi là.

Elle se leva et me céda sa chaise. Je m'assis à sa place. Après m'avoir regardé droit dans les yeux pendant quelques secondes, elle s'accroupit devant moi. Je compris alors et un sentiment mêlé de panique et de bonheur m'envahit. Elle commença par caresser ma poitrine avec le bout des ses doigts pour s'approcher doucement de mon sexe. Puis elle caressa mes jambes en se rapprochant au fur et à mesure de mon entrecuisse. Je la regardais faire, ne sachant que dire.

– Allons détends-toi ! Je ne vais pas te faire de mal, bien au contraire.
– Je sais bien, mais c'est la première fois qu'une femme me caresse et je suis un peu stressé.
– Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer.

Elle prit alors ma bite dans sa main et elle se mit à la masturber lentement. Je ne pus retenir un petit cri de surprise. Plus d'une fois je m'étais déjà branlé, mais jamais je n'avais ressenti cela. Au bout de quelques mouvements, elle se mit à me sucer. Elle enveloppa de ses lèvres mon gland et entama un léger va-et-vient avec sa bouche. Une de ses mains continuait à branler la base de mon sexe tandis que l'autre caressait mes testicules. Je sentais le plaisir monter en moi. J'essayais de résister mais je ne tins pas longtemps. A peine une minute après qu'elle eut commencé à me lécher, je ne pus retenir ma jouissance.

– Oh, ça vient ! Ca va partir !

C'était ma première pipe, et je ne savais pas trop si ça se faisait de gicler dans la bouche de sa partenaire. Elle n'arrêta pas sa caresse et je lâchai plusieurs longs jets dans sa bouche, sans qu'elle en soit troublée le moins du monde. Visiblement, elle apprécia, déglutit et me lécha consciencieusement le bout du gland avec des grognements de satisfaction. Bien entendu, ma queue perdit de sa raideur et je me trouvai plutôt embarrassé, ainsi accoutré après avoir joui. Elle reprit vite les choses en main. Elle branla ma bite redevenue molle encore quelques secondes alors que je me remettais de cette pipe fabuleuse.

– Alors, tu as trouvé ça comment, me demanda-t-elle en se relevant ?
– C'était fabuleux. Mais je suis désolé d'être parti aussi vite, m'excusai-je un peu honteux.
– Ce qui compte, c'est si toi, tu as aimé et tu as pris du plaisir.
– De ce côté-là, c'était mieux que ce que je pouvais imaginer.
– Alors, tant mieux, que tu gardes un bon souvenir de ta première pipe.

À ces mots, elle ramassa son string. Au moment où elle allait le remettre, je ne pus m'empêcher de l'arrêter ; bien que j'avais déjà eu plus que tout ce que j'avais pu imaginer avant cette heure, j'en voulais encore plus.

– Attendez !
– Qu'y a-t-il, demanda elle en se retournant ?
– Je...euh... vous m'avez donné tellement de plaisir...
– Et ?
– Laissez-moi vous en donnez aussi... ou au moins essayer...
– Tu veux quoi exactement ?
– Laissez-moi vous faire un cunnilingus pour vous remercier.
– Tu n'en as jamais fais et tu crois que tu me donneras du plaisir ?
– Vous me dirigerez, vous m'indiquerez les parties les plus sensibles de votre corps. Je vous en prie.
– D'accord, répondit-elle après quelques secondes. Après tout, je ne risque rien à essayer.
– Merci beaucoup.
– Allez lève-toi de cette chaise que j'y prenne place.

Je me levai immédiatement. Elle s'assit à son tour et écarta les jambes. Je m'agenouillai devant elle en détaillant des yeux son corps magnifique ; elle était la perfection même. Me voyant hésitant, elle m'invita à commencer :

– Commence par découvrir mon corps, caresse-moi.

Je m'exécutai ; je posai mes mains dans son cou et du bout des doigts, je glissai jusqu'à ses seins. Je les contournai par l'extérieur pour glisser dessous et remonter sur ses tétons. Ils étaient petits et roses, tendus vers moi. Je jouai avec eux, les titillant avec mes pouces. Puis j'approchai ma bouche de l'un d'eux et je me mis à le sucer goulûment. Un léger frisson la traversa mais elle continuait à me regarder fixement. Après avoir joué avec l'un, je m'occupai de son autre sein. Naturellement, je promenais mon autre main dans son dos en descendant un peu plus à chaque nouveau passage. Puis je descendis ma bouche à son nombril en couvrant son ventre de baisers. Elle se laissait aller sous mes baisers, ferma les yeux et pencha la tête en arrière en se mordant la lèvre inférieure. Voyant cela, je m'enhardis alors et je descendis ma bouche vers son pubis. Avec mes doigts, je caressais ses lèvres humides qui s'écartaient maintenant. Ma langue s'affairait sur ce que je pensais être son clitoris. Étant donné les soupirs qu'elle laissa échapper, j'eus la confirmation de toucher son bouton de plaisir. Elle posa ses mains sur ma tête et l'appuya sur son sexe. Je suçai alors ce bout de chair si sensible tout en reprenant ses seins à pleines mains. Au bout de quelques instants, elle descendit ma tête pour que ma langue se retrouve sur ses lèvres. Je me mis à les lécher goulûment de haut en bas, me délectant de la cyprine qui coulait de son organe. Petit à petit, j'entrais un peu plus ma langue dans sa fente. Puis je l'écartai carrément avec les doigts pour atteindre le plus profond que je pouvais. Ses soupirs étaient plus prononcés et elle commençait à pousser aussi des petits cris de jouissance. Je levai la tête une seconde et je la vis en train de se caresser les seins. Elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts et m'encourageait à continuer :

– C'est très bien, continu. Glisse un ou plusieurs doigts dedans.

J'obéis et je rentrai mon majeur dans ce trou chaud et humide. Étant donné la douce sensation que j'éprouvais, je m'imaginais le plaisir d'y glisser mon sexe. Elle s'ouvrait au fur et à mesure et j'eus tôt fait d'y glisser trois doigts. Je lui prodiguai un mouvement de va-et-vient avec mes doigts tandis que ma bouche se remit à sucer son clito. Ses soupirs s'accélérèrent alors, ses cris se firent plus nombreux et plus fort ; elle approchait de l'orgasme. Soudain, son vagin se contracta, elle se raidit sur sa chaise et poussa un long râle de plaisir. Je continuai mon action sur son sexe brûlant pour l'accompagner dans son orgasme. Au bout de quelques secondes, alors qu'elle reprenait son souffle, elle me félicita :

– Bravo ! Pour quelqu'un qui n'a jamais fait ça, tu t'en es très bien sorti ! Je dois avouer que tu m'as donné beaucoup de plaisir...
– Merci. C'était aussi très agréable pour moi de voir que je vous faisais du bien.

J'étais toujours accroupi devant elle, mais je m'étais redressé un peu et elle pouvait voir ma queue qui avait repris de la vigueur.

– Je vois que tu es toujours d'attaque... Une telle vigueur ne doit pas être perdue.

En voyant ses yeux pétiller, je compris ce qu'elle voulait dire. J'allais enfin faire l'amour à une femme. Le stress se mit à m'envahir. Elle s'en rendit compte et me rassura :

– Nous allons faire l'amour ensemble et je suis sûre que tu vas me donner beaucoup de plaisir...

Cette phrase résonne encore dans ma tête...

Je ne sus quoi répondre, la laissant prendre toutes les initiatives. Elle se releva et alla s'asseoir sur le bord de son bureau écartant largement les jambes. Je vins me positionner devant elle et quand elle me tendit ses lèvres, je me mis à l'embrasser passionnément. J'étais collé contre elle et je sentais mon gland contre son sexe humide. Mais je ne voulais rien précipiter, je me contentais de la caresser. Elle en faisait de même, appuyant souvent sur mes fesses pour augmenter la pression de mon sexe sur sa chatte. Ce petit jeu dura quelques minutes et ma queue était dure comme du bois. C'est elle qui décida de la suite.

– Allez, il est temps que tu deviennes un homme maintenant.

Elle prit ma bite dans sa main et colla mon gland sur l'entrée de son vagin. Je n'eus aucune difficulté à rentrer en elle. Quelle agréable sensation que de sentir ma queue dans son vagin ! J'entamai un va-et-vient très lent pour découvrir à mon rythme ces sensations nouvelles et cela ne semblait pas lui déplaire. Puis je pris confiance en moi et j'accélérai peu à peu le rythme. Ce faisant, elle allongea son dos sur le bureau et m'enserra de ses jambes. J'avais une vue imprenable sur ses seins et je ne me privais pas de les caresser et les embrasser. Avec ses jambes, elle imposait son rythme et moi je me laissais guider.

Elle décida ensuite de changer de position. Je me retirai alors, elle se releva et se tourna. Elle me présentait ses fesses et se penchait en avant sur le bureau. Écartant un peu les jambes, elle reprit ma queue et la remit devant sa chatte. Je m'introduisis alors franchement en elle, lui faisant échapper un soupir. Je repris mon mouvement, tenant dans mes mains tantôt ses hanches, tantôt ses seins. Ma respiration s'était fortement accélérée alors que Nathalie poussait de temps en temps de petits cris. Je la martelais franchement, mes couilles tapant sur ses fesses. Je sentais le plaisir monter et je faisais tout pour durer encore. Au bout d'un moment, je lui annonçais que j'allais bientôt jouir. Elle me dit de me retirer. Se tournant vers moi, elle me demanda de m'allonger sur le bureau. Je m'exécutai et elle vint me chevaucher mais sans laisser entrer ma queue en elle. Elle se frottait doucement, je suppose pour caresser son clito avec le bout de mon gland. En tout cas, elle semblait beaucoup apprécier. Cela me permit de me calmer un peu. Puis, voyant que je l'attendais, elle s'empala sur moi et je pus à nouveau sentir ma queue bien au chaud dans son vagin.

Elle commença par de petits mouvements d'avant en arrière alors que je lui caressais les cuisses et les fesses. Elle baladait ses mains sur mon torse ou se caressait les seins. Le rythme s'était un peu accéléré. Puis elle prit ma tête dans ses mains et me la releva pour que je suce ses tétons. Je me ruai dessus comme un nouveau né. Je sentais que j'étais prêt de tout lâcher et je le lui annonçai. Elle relâcha ma tête, mit ses mains derrière sa tête, et se cambra au maximum pour faire ressortir ses seins. Je pris ses fesses à pleines mains et je les pétris de toutes mes forces. Elle accéléra le rythme pour m'emmener à l'orgasme. Je me mis à jouir dans un grand râle et je déchargeai mon sperme au fond de son vagin dans de puissants jets. Après cela, tout en ralentissant son mouvement, elle se pencha sur moi et m'embrassa longuement.

– Tu as aimé ?
– C'était fabuleux. Je n'ai jamais rien senti d'aussi fort. Je ne trouve pas les mots pour le décrire.
– Tant mieux. La première fois, ça reste toujours inoubliable.
– Ça oui, je ne suis pas près d'oublier ça !

Après cela, elle m'embrassa une dernière fois et se leva de moi. J'en fis autant. Alors qu'elle se rhabillait, je restais immobile, contemplant ce corps si beau et qui m'avait procuré tellement de plaisir.

– Je peux vous poser une question...
– Oui, bien sûr.
– Est-ce que vous, vous avez aimé ?
– Tu t'es bien débrouillé pour une première fois...
– Enfin, je voudrais savoir si vous avez joui...
– Quand tu m'as fais ton cunnilingus, oui, j'ai eu un orgasme.
– Oui, mais après, quand nous avons fait l'amour ?
– Non, quand tu m'as pénétrée, je n'ai pas atteint l'orgasme. Mais j'ai quand même pris du plaisir. Tu sais une fille, ce n’est pas comme un mec, ça ne jouit pas à coup sûr. Et il n'y a pas que la pénétration qui compte pour une femme, c'est l'ensemble de l'acte. C'est pour ça qu'il ne faut pas négliger les préliminaires. Mais je ne me fais pas de souci pour toi, tu vas vite apprendre.
– Je ne sais comment vous remercier...
– En ne parlant de cela à personne. Et en n'essayant pas de vouloir recommencer avec moi. Nous avons passé un moment fort, mais il n'y aura pas de lendemain.
– D'accord, je vous le promets.

Je me rhabillai rapidement et nous quittâmes la salle. Je la regardai s'éloigner avec son déhanché habituel, si sensuel.

Je ne l'ai jamais revue après ce moment si important pour moi. Mais plus d'une fois, je me suis masturbé en pensant à elle. Je ne suis pas près d'oublier cette femme...

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Texte coquin : MA PROF DE GEOGRAPHIE
Histoire sexe : Une rose rouge
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