Ma prof de maths - histoire érotique

Je me présente, je m’appelle Julian, actuellement en BTS, je vais avoir 21 ans en septembre prochain. N’étant pas très bon élève en mathématiques, avec mes parents, j’ai décidé de prendre des cours du soir avec ma prof actuelle de maths chez elle. A savoir, de deux séances par semaine, je pense que je serai prêt pour mon exam fin juin. Mais les choses ne se passèrent pas comme prévu. Enfin si mais juste lors de la première semaine. A partir de la deuxième semaine, ma prof, je vais la surnommée Inniva, a commencé à s’habiller de plus en plus court et de moins en moins ce qui ne me laissait pas indifférent puisque avec ses 42 printemps, elle est mais elle est vraiment très bien conservée et en plus de cela, très jolie ; 1.65m, 58 kg, yeux bleu vert, poitrine 90B. Alors avec cela, je ne vous explique même pas les problèmes de concentration.

M’étant aperçu que ses cours de math ne tenaient plus trop debout mais plutôt qu’elle cherchait à éveiller en moi des pulsions sexuelles à son égard, j’en profitait surtout pour me rincer l’œil dans son chemisier entrouvert laissant apparaître son soutient gorge en dentelle rouge ou encore en regardant ses cuisses recouvertes d’un collant couleur chair luisant se découvrir. Puis elle se leva, prétextant d’aller aux toilettes, ce qui me fit du bien car il commençait à y avoir du mouvement dans mon jean. Mais en fait ce que je vis lorsqu’elle est revenue n’arrangea pas les choses, puisqu’en fait elle a juste été se séparer de son soutient gorge et a défait un bouton de plus à son chemisier de manière à ce que son décolleté arrive juste entre ses deux superbes seins. Là s’en était trop, je devenais vraiment à l’étroit dans mon jean, ma prof de math, une femme mariée, soit disant respectable, deux enfants qui profite d’un déplacement de son mari pour se permettre d’allumer sans pudeur ses élèves, enfin je vais pas me plaindre, je vais pas m’en cacher mais j’ai déjà fantasmé sir Inniva et là ça devient réalité.

Et ce qui devait arriver arriva, elle s’approcha de moi en se penchant un peu, faisant apparaître ses deux petits globes, approchant ses lèvres des miennes, je sentais son souffle chaud à quelques centimètres de moi, c’était divin. Puis elle m’embrassa, d’une fougue que je n’avais pas encore rencontrée auparavant, elle fit tourner sa langue dans ma bouche, elle savait s’y faire en roulage de pelle. Elle attrapa mes deux mains pour venir les poser sur ses seins qui étaient gonflés de désir, ses tétons étaient durs, je les imagine encore dans mes mains. Me tirant pour m’emmener sur le canapé, j’en profitait pour flatter sa superbe croupe en me disant que j’allait bientôt pouvoir la prendre sauvagement, elle me fit asseoir, déboutonna mon jean pour en extraire ma bite bien dure et bien tendue, luisante. Elle commença savamment un douce branlette suivi d’une pipe de professionnelle, elle commença d’abord par le haut du gland où avec le bout de sa langue elle allât quérir le petit jus d’excitation puis elle tourna autour du gland, avalant juste le gland en l’aspirant, quel délice, et tout cela sans oublier mes boules elle les caressait, les tripotait, ça se voyait qu’elle avait l’habitude des pipes royales la cochonnes. Lui disant qu’avec un traitement comme celui que j’étais en train de savourer, je n’allais pas tarder à l’inonder, elle arrêta sa fellation pour se redresser. Puis en imaginant la musique, elle commença à me faire un strip-tease intégral des plus torrides ce qui ne me faisait pas baisser mon excitation. Quand elle eut fini de se déshabiller, je la fit s’asseoir à son tour sur le canapé en lui écartant bien grand les jambes et m’agenouillant, j’enfouis ma tête dans son entre cuisse très bien entretenue avec juste un très de poils au dessus du clitoris. Commençant un cunnilingus en suivant ses conseils de femme mûre, je suis d’abord aller lui dénicher son clito tout dur et après l’avoir longuement sucé je suis descendu vers ses lèvres luisantes et trempées de mouille (quel régal) en simulant un pénis avec ma langue, je m’enfonçait dans ses chaires chaudes et humides. Pendant ce temps là, mes doigts ne sont pas restés inactifs car après avoir pris ses seins j’ai descendu ma main vers sa raie et ne sentant aucun désaccord, j’aventurais mes doigts autour de son petit anus bien serré qui lui aussi est dépourvu de poils. Ensuite elle se mit à quatre pattes par terre, mettant ainsi en valeur sa croupe, me demandant de venir la chevaucher en levrette ce que je fis sans me faire prier après avoir enfiler en vitesse une capote qu’elle m’a dit de prendre dans le tiroir à coté du canapé. La pénétration fut délicieuse et très excitante à la vue de sa croupe et de ma bite entrant et sortant de sa chatte, pendant ce temps elle était en train de se masturber son clito tout bandé car elle m’a dit qu’elle était plutôt clitoridienne que vaginale. En voulant tenter une double mini pénétration, en utilisant la mouille qui était sur ma bite, j’ai lustré son joli anneau puis j’y ai enfoncé un doigt. Elle avait l’air d’apprécier donc je lui en ai mis un deuxième et j’ai commencé un lent va et vient au rythme de celui de ma bite. Quel spectacle, ma prof à 4 pattes en train de se masturber, moi son élève derrière elle en train de la prendre en levrette et en lui enfonçant deux doigts dans le cul. Une fois au septième ciel, après son orgasme, vaginal, clitoridien ou anal, je ne sais pas, elle m’a autoriser à me laisser aller ce qui me fit le plus grand bien puisque ça faisait déjà un moment que j’avais envie de jouir. Voulant profiter de ma prof jusqu’au bout, me retirant de ses entrailles, et après avoir enlevé ma capote, je lui ai fait sucer ma bite gonflée à bloc jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche, sur son visage et sur ses seins, une jouissance jamais connue avant et surtout avec une quantité énorme. La cochonne, elle aimait ça le sperme, elle s’en délectait, se léchant les lèvres ramassant ce qu’il y avait sur ses seins pour le porter à sa bouche et tout avaler. Quelle partie de baise je venais de vivre.

Me disant qu’il fallait que je m’en aille car sa mère allait ramener ses enfants je me rhabilla et après lui avoir caressé les seins le cul et lui avoir rouler une grosse pelle je m’en alla les couilles vidées et le sourire aux lèvres.