Ma promotion
Récit érotique écrit par Titan62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 36 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma promotion
Cette histoire est la suite de 'balade en ville' et 'du pari de mon mari'. Mais vous comprendrez l’histoire sans lire les précédentes.
Plusieurs Semaines se sont écoulées depuis cette fameuse sortie en ville avec mon mari. Nous sommes jeudi, je suis au travail c’est la fin de l’après midi, mon patron me convoque dans son bureau :
- Voilà, je t’ai fais venir car j’ai de plus en plus de mal à traiter tous les dossiers tout seul donc j’ai décidé de prendre une secrétaire de direction. Alors, étant ma plus proche collaboratrice, j’ai pensé à toi pour m’aider à recevoir les clients pour les aider à faire le bon choix. Bien sur ton salaire va augmenter, mais les 35 H c’est fini, disons que tu feras environ 50H par semaine. Que la moindre erreur entrainera une sanction, il faudra t’habiller plus chic soit des robes ou des tailleurs style BCBG, mais surtout plus de pantalons. Tu peux réfléchir, je veux une réponse au plus tard demain dans l’après midi.
- Je peux savoir le salaire ?
- Entre 2000 et 2500 € net/mois 13 mois ½ par an + prime si gros contrat.
- Merci je vous donne ma réponse demain.
Le soir à la maison j’en parle à mon mari et lui fait savoir que j’ai envie d’accepter, il est du même avis que moi donc pas de soucis. Le lendemain au bureau je vais voir mon patron :
- Bonjour, je suis venu vous dire que j’accepte le poste.
- Très bien, tu commenceras lundi matin et je l’annoncerai tout à l’heure aux autres secrétaires.
- Mais pour lundi, je n’ai pas de tailleur ni de belle robe style BCBG.
- Tu quitteras le bureau un peu plus tôt et tu iras t’acheter 3 ou 4 nouvelles tenues.
- D’accord à tout à l’heure.
Il est 17H30 quand je quitte le bureau les autres collègues sont parties avant moi, mais je voulais finir quelques chose, j’ai prévenu mon mari que j’allais faire des achats de vêtements pour mon nouveau poste lundi matin. Je me rends au magasin où j’ai acheté ma dernière robe. La vendeuse en me voyant me fait un grand sourire :
- Bonjour madame, ravi de vous revoir, puis-je vous aider ?
- Bonjour, oui j’ai une promotion à mon travail, je vais passer secrétaire de direction et mon patron m’a demandé de m’habiller en robe ou en tailleur style BCBG. Ayant lors de ma dernière visite vu de belle chose, je suis donc revenu.
- Félicitation, je pense que j’ai ce que vous cherchez.
Elle me fait voir plusieurs modèles et me dit d’aller en cabine pour les essayer. Je me dirige vers les cabines et elle va à la caisse car une cliente attend pour régler ces achats. J’ai juste le temps de passer le première robe que le rideau s’écarte et la vendeuse me demande :
- Et ici ça va ?
- Oui, qu’est ce que vous en pensez ce n’est pas un peu court pour une secrétaire de direction.
- Non pas du tout c’est la mode et elle vous va comme un gant. Mais essayez les autres, je vais m’occuper d’une autre cliente et je reviens.
J’essaye une autre robe qui me va très bien aussi, alors que je viens juste de mettre un tailleur la vendeuse revient à ma cabine ouvre le rideau me regarde et me dit :
- La veste vous va bien mais la jupe est un peu longue, il faut la raccourcir
- Vous croyez qu’il faut raccourcir et qui va me faire ça ?
- Ici on fait les retouches et c’est gratuit. Essayez donc les autres de tailleur.
J’essaie donc les autres tailleurs mais toutes les jupes sont trop longues d’après la vendeuse. Je choisi donc deux tailleurs. La vendeuse me demande :
- Vous pouvez remettre une des jupes pour que je puisse faire l’ourlet ?
- Oui
Voyant que je ne bouge pas elle me dit sur un ton qui me fait penser à un ordre :
- Eh bien qu’est ce que tu attends ?
- Que vous sortiez.
- Ecoutes, ne joues pas les pudiques, samedi dernier avec ton mari tu me l'as montré ton cul alors ne fait pas de manières. Et enlève la veste, elle ne sert à rien pour prendre la longueur des jupes.
J’enlève donc le tailleur que j’ai sur moi que je ne prends pas et je mets la première jupe. Elle met la jupe à longueur c’est vrai que c’est plus sexy. Alors qu’elle fini l’ourlet de la deuxième jupe, elle est appelé par une cliente dans une autre cabine, elle me dit en quittant la cabine :
- Enlèves la jupe et attends je vais te ramener une autre robe à essayer.
J’attends donc dans ma cabine nue avec le rideau fermé. Quelques instants plus tard la vendeuse ouvre totalement le rideau alors que la cliente qui l’avait appelé un peu plus tôt est juste derrière elle, je n’ai pas le temps de cacher ma nudité, elle me tend une robe en s’adressant à l’autre cliente :
- Samedi cette personne est venue avec son mari qui l’a obligé à ce montrer nue et à aller et venir le cul à l’air dans le magasin. Aujourd’hui elle est seule et comme vous pouvez le voir elle n’a toujours pas de sous vêtement, comment la trouvez vous ?
- C’est une belle femme de beaux seins et une belle chatte toute lisse.
- Retournes toi que l’on regarde ton cul.
- Elle a un très beau cul. Des fesses qui demandent qu’à être caressées, vu qu’elle aime se foutre à poil, elle doit aimer se faire sauter !
- C’est vrai tu aimes te faire sauter ?
- Oui, j’aime me faire prendre.
- Essaies la robe, je reviens.
Je mets la robe qui est aussi courte que celle acheté samedi. La vendeuse reviens à la cabine me demande de sortir et de me pencher en avant sans plier les genoux, la robe remonte au dessus de mes fesses au moment de me redresser j’entends :
- Non reste comme ça et écarte les jambes. Et tu sais samedi quand vous êtes partis, j’étais tellement excitée d’avoir vu ton cul que j’ai du me faire jouir ici avant de fermer le magasin. Alors aujourd’hui, tu repartiras quand tu m’auras faite jouir.
- Mais je ne suis pas lesbienne, je n’ai jamais fait ni jouir, ni même caressé une femme.
- Il y a un début à tout mais rassures toi je te donnerai du plaisir. Si bien je vois que tu mouilles.
Sur ces mots, elle passe sa main sur mes fesses et enfonce deux doigts dans ma chatte à ce moment là je pousse un grand soupir. Une cliente rentre dans le magasin, la vendeuse me dit de ne pas bouger, elle va voir puis revient quelques instants plus tard. La cliente venait rechercher une robe qui a du être retouchée. La vendeuse reprend ces attouchements. De plus en plus excitée je gémi de plus en plus :
- Oh ! Oui c’est bon, je vais jouir encore
- Tu aimes, salope, enlève ta robe, je vais te peloter tes seins, faire durcir tes tétons.
J’enlève ma robe, la vendeuse se met nue aussi, nous nous embrassons, puis je descends vers ses seins, elle appuie sur mes épaules et plaque ma tête contre son sexe et me dit de la lécher, elle ne met pas longtemps à jouir à son tour elle me fait jouir avec sa langue. Ensuite nous nous allongeons sur le sol qui est recouvert de moquette, l’une au dessus de l’autre, nos jambes entrelacées et nous frottons nos sexes contre nos cuisses, cette fois ci nous jouissons en même temps. Puis assise face à face nous sommes sexe contre sexe et nous bougeons ensemble et pour la troisième fois nous jouissons toutes les deux. Après avoir repris nos esprits, on se rhabille, je règle mes achats, la vendeuse me demande si elle peut déposer mes jupes demain en fin d-après midi après la fermeture du magasin, car elle passe pas loin de la maison pour repartir chez elle. Elle a vu l’adresse sur notre chèque. Je lui dis qu’il n’y a pas de problème, mais que je peu aussi venir les chercher lundi ou mardi au magasin, elle me répond que c’est avec plaisir qu’elle les déposera chez moi.
Je regagne ma voiture garé au même parking sous terrain que samedi. Alors que je viens de mettre mes courses dans le coffre je n’ai pas le temps de réagir que quelqu’un saisi et arrache ma robe c’est le gardien du parking c’est un bel homme noir, la robe par terre il me dit en posant sur la voiture un mini ordinateur sur lequel passe une vidéo enregistré dans le parking grâce aux caméras de vidéo surveillance dont je ne connaissais pas l’existence où l’on me vois totalement nue en train de me faire baiser par mon mari.
- Pas de sous vêtements comme samedi salope, aujourd’hui c’est moi qui vais te sauter.
- Non mais ça ne va pas, je ne suis pas une pute.
J’ai à peine fini ma phrase que son sexe pénètre sans trop de difficulté ma chatte encore mouillée de la jouissance que j’ai eue avec la vendeuse. Après quelques allés et retour, il me couche sur le capot de la voiture et me pénètre à nouveau et il s’exclame :
- Mais tu es déjà bien trempée ma cochonne ça te fais mouiller de te balader à poil.
- Oui mais je viens de faire l’amour avec la vendeuse où j’ai acheté mes habits.
- Mais une vraie salope homme ou femme qu’importe tant que tu jouis c’est l’essentiel.
- Oh ! Oui c’est bon encore plus fort
C’est à ce moment là que je vois un autre homme s’approcher avec son sexe sorti. Le gardien sort de ma chatte s’approche de ma bouche, l’autre homme s’approche de mon sexe, mais je proteste, alors il me fait descendre, m’oblige à me pencher en avant, le gardien remet sa bite dans ma bouche, alors l’autre homme m’écarte les jambes et très brutalement s’enfonce dans ma minette, je ne peux pas crier à cause du sexe que j’ai dans la bouche, ils s’accélèrent tous les deux la cadence et jouissent en même temps que moi l’un dans ma chatte l’autre dans ma bouche. Je suis obligé de nettoyer leur sexe avant de pouvoir remettre ma robe déchirée et de rentrer chez moi. En rentrant mon mari voyant ma robe me demande des explications, je lui promets de tout lui expliquer mais le lendemain car ce soir je suis vraiment fatiguée.
Plusieurs Semaines se sont écoulées depuis cette fameuse sortie en ville avec mon mari. Nous sommes jeudi, je suis au travail c’est la fin de l’après midi, mon patron me convoque dans son bureau :
- Voilà, je t’ai fais venir car j’ai de plus en plus de mal à traiter tous les dossiers tout seul donc j’ai décidé de prendre une secrétaire de direction. Alors, étant ma plus proche collaboratrice, j’ai pensé à toi pour m’aider à recevoir les clients pour les aider à faire le bon choix. Bien sur ton salaire va augmenter, mais les 35 H c’est fini, disons que tu feras environ 50H par semaine. Que la moindre erreur entrainera une sanction, il faudra t’habiller plus chic soit des robes ou des tailleurs style BCBG, mais surtout plus de pantalons. Tu peux réfléchir, je veux une réponse au plus tard demain dans l’après midi.
- Je peux savoir le salaire ?
- Entre 2000 et 2500 € net/mois 13 mois ½ par an + prime si gros contrat.
- Merci je vous donne ma réponse demain.
Le soir à la maison j’en parle à mon mari et lui fait savoir que j’ai envie d’accepter, il est du même avis que moi donc pas de soucis. Le lendemain au bureau je vais voir mon patron :
- Bonjour, je suis venu vous dire que j’accepte le poste.
- Très bien, tu commenceras lundi matin et je l’annoncerai tout à l’heure aux autres secrétaires.
- Mais pour lundi, je n’ai pas de tailleur ni de belle robe style BCBG.
- Tu quitteras le bureau un peu plus tôt et tu iras t’acheter 3 ou 4 nouvelles tenues.
- D’accord à tout à l’heure.
Il est 17H30 quand je quitte le bureau les autres collègues sont parties avant moi, mais je voulais finir quelques chose, j’ai prévenu mon mari que j’allais faire des achats de vêtements pour mon nouveau poste lundi matin. Je me rends au magasin où j’ai acheté ma dernière robe. La vendeuse en me voyant me fait un grand sourire :
- Bonjour madame, ravi de vous revoir, puis-je vous aider ?
- Bonjour, oui j’ai une promotion à mon travail, je vais passer secrétaire de direction et mon patron m’a demandé de m’habiller en robe ou en tailleur style BCBG. Ayant lors de ma dernière visite vu de belle chose, je suis donc revenu.
- Félicitation, je pense que j’ai ce que vous cherchez.
Elle me fait voir plusieurs modèles et me dit d’aller en cabine pour les essayer. Je me dirige vers les cabines et elle va à la caisse car une cliente attend pour régler ces achats. J’ai juste le temps de passer le première robe que le rideau s’écarte et la vendeuse me demande :
- Et ici ça va ?
- Oui, qu’est ce que vous en pensez ce n’est pas un peu court pour une secrétaire de direction.
- Non pas du tout c’est la mode et elle vous va comme un gant. Mais essayez les autres, je vais m’occuper d’une autre cliente et je reviens.
J’essaye une autre robe qui me va très bien aussi, alors que je viens juste de mettre un tailleur la vendeuse revient à ma cabine ouvre le rideau me regarde et me dit :
- La veste vous va bien mais la jupe est un peu longue, il faut la raccourcir
- Vous croyez qu’il faut raccourcir et qui va me faire ça ?
- Ici on fait les retouches et c’est gratuit. Essayez donc les autres de tailleur.
J’essaie donc les autres tailleurs mais toutes les jupes sont trop longues d’après la vendeuse. Je choisi donc deux tailleurs. La vendeuse me demande :
- Vous pouvez remettre une des jupes pour que je puisse faire l’ourlet ?
- Oui
Voyant que je ne bouge pas elle me dit sur un ton qui me fait penser à un ordre :
- Eh bien qu’est ce que tu attends ?
- Que vous sortiez.
- Ecoutes, ne joues pas les pudiques, samedi dernier avec ton mari tu me l'as montré ton cul alors ne fait pas de manières. Et enlève la veste, elle ne sert à rien pour prendre la longueur des jupes.
J’enlève donc le tailleur que j’ai sur moi que je ne prends pas et je mets la première jupe. Elle met la jupe à longueur c’est vrai que c’est plus sexy. Alors qu’elle fini l’ourlet de la deuxième jupe, elle est appelé par une cliente dans une autre cabine, elle me dit en quittant la cabine :
- Enlèves la jupe et attends je vais te ramener une autre robe à essayer.
J’attends donc dans ma cabine nue avec le rideau fermé. Quelques instants plus tard la vendeuse ouvre totalement le rideau alors que la cliente qui l’avait appelé un peu plus tôt est juste derrière elle, je n’ai pas le temps de cacher ma nudité, elle me tend une robe en s’adressant à l’autre cliente :
- Samedi cette personne est venue avec son mari qui l’a obligé à ce montrer nue et à aller et venir le cul à l’air dans le magasin. Aujourd’hui elle est seule et comme vous pouvez le voir elle n’a toujours pas de sous vêtement, comment la trouvez vous ?
- C’est une belle femme de beaux seins et une belle chatte toute lisse.
- Retournes toi que l’on regarde ton cul.
- Elle a un très beau cul. Des fesses qui demandent qu’à être caressées, vu qu’elle aime se foutre à poil, elle doit aimer se faire sauter !
- C’est vrai tu aimes te faire sauter ?
- Oui, j’aime me faire prendre.
- Essaies la robe, je reviens.
Je mets la robe qui est aussi courte que celle acheté samedi. La vendeuse reviens à la cabine me demande de sortir et de me pencher en avant sans plier les genoux, la robe remonte au dessus de mes fesses au moment de me redresser j’entends :
- Non reste comme ça et écarte les jambes. Et tu sais samedi quand vous êtes partis, j’étais tellement excitée d’avoir vu ton cul que j’ai du me faire jouir ici avant de fermer le magasin. Alors aujourd’hui, tu repartiras quand tu m’auras faite jouir.
- Mais je ne suis pas lesbienne, je n’ai jamais fait ni jouir, ni même caressé une femme.
- Il y a un début à tout mais rassures toi je te donnerai du plaisir. Si bien je vois que tu mouilles.
Sur ces mots, elle passe sa main sur mes fesses et enfonce deux doigts dans ma chatte à ce moment là je pousse un grand soupir. Une cliente rentre dans le magasin, la vendeuse me dit de ne pas bouger, elle va voir puis revient quelques instants plus tard. La cliente venait rechercher une robe qui a du être retouchée. La vendeuse reprend ces attouchements. De plus en plus excitée je gémi de plus en plus :
- Oh ! Oui c’est bon, je vais jouir encore
- Tu aimes, salope, enlève ta robe, je vais te peloter tes seins, faire durcir tes tétons.
J’enlève ma robe, la vendeuse se met nue aussi, nous nous embrassons, puis je descends vers ses seins, elle appuie sur mes épaules et plaque ma tête contre son sexe et me dit de la lécher, elle ne met pas longtemps à jouir à son tour elle me fait jouir avec sa langue. Ensuite nous nous allongeons sur le sol qui est recouvert de moquette, l’une au dessus de l’autre, nos jambes entrelacées et nous frottons nos sexes contre nos cuisses, cette fois ci nous jouissons en même temps. Puis assise face à face nous sommes sexe contre sexe et nous bougeons ensemble et pour la troisième fois nous jouissons toutes les deux. Après avoir repris nos esprits, on se rhabille, je règle mes achats, la vendeuse me demande si elle peut déposer mes jupes demain en fin d-après midi après la fermeture du magasin, car elle passe pas loin de la maison pour repartir chez elle. Elle a vu l’adresse sur notre chèque. Je lui dis qu’il n’y a pas de problème, mais que je peu aussi venir les chercher lundi ou mardi au magasin, elle me répond que c’est avec plaisir qu’elle les déposera chez moi.
Je regagne ma voiture garé au même parking sous terrain que samedi. Alors que je viens de mettre mes courses dans le coffre je n’ai pas le temps de réagir que quelqu’un saisi et arrache ma robe c’est le gardien du parking c’est un bel homme noir, la robe par terre il me dit en posant sur la voiture un mini ordinateur sur lequel passe une vidéo enregistré dans le parking grâce aux caméras de vidéo surveillance dont je ne connaissais pas l’existence où l’on me vois totalement nue en train de me faire baiser par mon mari.
- Pas de sous vêtements comme samedi salope, aujourd’hui c’est moi qui vais te sauter.
- Non mais ça ne va pas, je ne suis pas une pute.
J’ai à peine fini ma phrase que son sexe pénètre sans trop de difficulté ma chatte encore mouillée de la jouissance que j’ai eue avec la vendeuse. Après quelques allés et retour, il me couche sur le capot de la voiture et me pénètre à nouveau et il s’exclame :
- Mais tu es déjà bien trempée ma cochonne ça te fais mouiller de te balader à poil.
- Oui mais je viens de faire l’amour avec la vendeuse où j’ai acheté mes habits.
- Mais une vraie salope homme ou femme qu’importe tant que tu jouis c’est l’essentiel.
- Oh ! Oui c’est bon encore plus fort
C’est à ce moment là que je vois un autre homme s’approcher avec son sexe sorti. Le gardien sort de ma chatte s’approche de ma bouche, l’autre homme s’approche de mon sexe, mais je proteste, alors il me fait descendre, m’oblige à me pencher en avant, le gardien remet sa bite dans ma bouche, alors l’autre homme m’écarte les jambes et très brutalement s’enfonce dans ma minette, je ne peux pas crier à cause du sexe que j’ai dans la bouche, ils s’accélèrent tous les deux la cadence et jouissent en même temps que moi l’un dans ma chatte l’autre dans ma bouche. Je suis obligé de nettoyer leur sexe avant de pouvoir remettre ma robe déchirée et de rentrer chez moi. En rentrant mon mari voyant ma robe me demande des explications, je lui promets de tout lui expliquer mais le lendemain car ce soir je suis vraiment fatiguée.
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