ma reine 2
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Fétichisme
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ma reine 2
Chapitre 2
Au bout de quelques heures et après quelques boissons (non alcoolisées pour ce qui me concernait) une envie pressante finit par me titiller et je dus le dire discrètement à ma marraine. Mais celle-ci, toute coquine qu’elle était, dit tout haut à se copines « je vais faire pipi avec Virginie ». Grrr… Elle me prit par le bras et m’entraina en direction des toilettes pour dames. « Il faut tu fasses assise, tu sais ? » C’était logique. « Ferme bien ta porte, on ne sait jamais. Et n’oublie pas de t’essuyer. Toutes les filles font cela. » Et pour la première fois, je me vis glisser mes mains sous ma jupe, attraper ma petite culotte rose, la faire glisser sur mes jambes et m’asseoir sur la lunette. Quelle étrange sensation ! Je me regardais dans cette position, ma culotte sur les genoux, juste en dessous de mes jarretières. Difficile d’orienter le jet avec ma zézette toute dure.
Lorsque nous rentrâmes après le spectacle, et que je dus quitter ces effets féminins, les amies de Geneviève s'en aperçurent et elles rirent de mon petit attribut tendant la culotte… et y laissant une grosse tache. Ce qui fait que je pus la garder toute la nuit sur moi ainsi qu’une chemise de nuit soyeuse également prêtée par ma marraine.
Je ne savais pas encore que ce n’était là que le début de mes malheurs.
Les jours suivants, mes amies semblaient avoir oublié la soirée déguisée. Mais moi, j’y pensais sans arrêt et espérais tout en le redoutant que cela reviendrait un soir.
Mais non.
Ma frustration était grande et le désir trouble me porta ostensiblement à rechercher les vêtements de Geneviève lorsque j’étais chez elle. Mais son armoire était dans sa chambre où je ne pouvais pas aller. Il ne restait que la salle de bain. Je m’invitais de plus en plus souvent à rester coucher chez elle sur le petit divan. Ce qui me permit rapidement d’avoir accès tous les soirs, avant de me mettre au lit, à la salle de bain. Alors, un jour, pris d’un désir incontrôlable, j’ouvris sa panière à linge sale… juste pour voir. Il y avait là une robe, un jupon, une nuisette, un pull,… Mais aussi des bas et une petite culotte. Le premier jour, je me retins, je ne pouvais pas faire cela, c’était trop sale…. Mais le lendemain, la pensée de ces petites choses si douces à portée de main m’obséda toute la journée. J’étais tout émoustillé et attendait le moment divin.
Le soir arriva enfin. Je m’enfermais dans la salle de bain et ouvris immédiatement la boite à merveille. Une nouvelle culotte était venue compléter la collection. Je pris du bout des doigts la robe et après m’être dévêtu, je la passai sur moi retrouvant immédiatement les sensations du premier jour. Je passai les bas et me regardai longuement dans la glace. Mon zizi était à nouveau droit comme un I et je sentais une vague de bonheur inonder tout mon corps.
Je mis rapidement fin à la séance car ma marraine allait forcément trouver que je restais trop longtemps dans cette pièce, d’autant que je devais aussi me laver un minimum. Au moment de tout remettre en place, je ne pus m’empêcher de saisir l’une des culottes pour la caresser. Je sentis immédiatement l’odeur forte qui s’en dégageait. J’étais à la fois dégouté et attiré. Je regardais le fonds et voyant les traces laissées par la foufoune de Geneviève je me sentis terriblement gêné mais terriblement attiré.
Je rangeais vite tout cela et réapparus dans la pièce en pyjama comme si de rien n’était. Mais au fond de moi, je ne voyais plus ma marraine de la même façon.
Les séjours suivants, de plus en plus rapprochés, je m’enhardissais dans mes essayages mais surtout dans la découverte des dessous de Geneviève. Non seulement, je les humais, mais désormais, je les léchai avec dégout et délectation. Enfin, je posais délicatement le tissu sur la pointe de mon zizi et ce qui devait arriver arriva… Je sentis une énorme décharge électrique en moi et un liquide blanc et visqueux sortit soudain de moi. C’était fantastique. J’avais perdu tous sens de la réalité, je n’étais plus là. J’étais au paradis.
Cet instant d’extase ne dura pas. Rapidement je me rendis compte de la situation désastreuse dans laquelle je me trouvai, Geneviève était à quelques centimètres de moi, juste derrière la porte, je l’entendais chantonner. Quelle honte !... Je rangeais vite tout dans la panière à linge et sortis complètement déboussolé.
« Ça va Colin ? » « Oui, oui, murmurais-je », rouge de gène sans pouvoir la regarder. Je me promis de ne plus jamais refaire cela… Mais trois jours après je recommençais et mes éjaculations dans ses culottes sales devinrent de plus en plus régulières. C’était une drogue.
Je ne me contentais pas de ses culottes (il n’y en avait pas toujours), ses chaussettes ou ses bas faisaient autant l’affaire. L’odeur laissée par ses pieds sales me faisait le même effet que son entrejambe. Je léchais le bout des doigts de pieds mais me gardai d’éjaculer dedans, cela se serait vu.
Je fermais les yeux et m’imaginai lécher tous ces doux vêtements directement sur Geneviève. L’effet était immédiat. Le plaisir m’inondait. Plusieurs fois, ma marraine me demanda ce que je faisais dans la salle de bain car j’y restais de plus en plus longtemps. Il fallait que je fasse plus attention.
Un soir, alors que j’éjaculais tranquillement, dans une culotte très sale, la porte s’ouvrit violemment et Geneviève hurla en me voyant :
« J’EN ETAIS SURE. MAIS QUELLE HOREUR ! MOI QUI TE CROYAIS DIFFERENT DES AUTRES GARCONS. TU ES PAREIL ».
Je ne savais plus où me mettre. J’étais nu devant elle, sa culotte pleine de sperme à la main. Elle me gifla violemment.
« TU CROYAIS VRAIMENT QUE JE N’ALLAIS PAS VOIR QUE MES CULOTTES ETAIENT REMPLIES DE SPERME, TU ES VRAIMENT DEBILE. TU ME DEGOUTES A UN POINT QUE TU NE PEUX PAS IMAGINER » « VA-T’EN. JE NE VEUX PLUS TE REVOIR. PLUS JAMAIS. TU N’ES PLUS MON FILLEUL ».
Je me rhabillais en pleurant à chaudes larmes. Ne plus voir marraine n’était pas pensable. « Pardon, je t’en supplie. Je ne suis pas bien chez moi. Je ne suis bien qu’ici ». « Ah ben, oui, je comprends que tu es mieux ici. J’espère que tu ne joues pas avec les culottes de ta mère. Va-t’en. Je te déteste ».
Les jours suivants furent abominables. Je pleurais toute la journée. Ma mère ne comprenait pas pourquoi je n’allais plus chez Geneviève. Je ne pouvais rien lui dire.
Puis un jour, Geneviève débarqua. Je pensais qu’elle venait tout raconter à ma mère mais non, elle ne dit rien. « Je viens chercher Colin, ça fait longtemps qu’il n’est pas venu ». Je ne disais rien, ne comprenant pas trop ce qui arrivait. Ma mère était enchantée.
« Je croyais que vous étiez fâchés, il est en pleine dépression. » dit ma mère. Marraine sourit en me regardant du coin de l’œil avec un petit air sévère. Comment aller se passer ce retour ?
Elle me prit par la main dès que nous fumes dans la rue et me dit « Ça va être ta fête. On a parlé avec les copines et on va te mater. Finies les cochonneries ».
Quand nous arrivâmes chez elle, 2 de ses copines, Nicole et Martine, nous rejoignirent tout de suite. « Alors comme ça, on fait des bêtises, M. Colin ? Avec les culottes de sa gentille marraine ? C’est pas bien cela », gronda Nicole avec un sourire qui ne correspondait pas avec la phrase. Geneviève reprit la parole :
« Voilà ce qu’on a décidé : tu te souviens de Virginie ? La soirée où on t’a déguisée pour te punir d’avoir maté Nicole ? Et bien, on va reprendre la leçon. Car apparemment tu n’as pas compris. » Je sentis un frisson dans tout mon corps. Ce que je redoutais et espérais le plus. Waow… J’allais redevenir Virginie. Avec toute la honte, les angoisses que cela comporte, mais aussi cette incroyable sensation d’être dans ces parures si douces. « Demain, nous allons faire la promenade à la colline du Mont Dore et tu seras notre invitée particulière ».
Le Mont Dore était une promenade bien connue des locaux et très prisée les dimanches ensoleillés.
Il ne faisait aucun doute qu’il y aurait beaucoup de monde le lendemain. Elles avaient décidé de commencer à me préparer à l’avance donc direction la salle de bain où, comme la première fois je me retrouvais nu devant les 3 jeunes filles. La préparation à l’avance consistait essentiellement à m’épiler de la tête aux pieds. « Il faut lui enlever tous les petits poils sur le visage, les bras et les jambes ». Mais elles n’osèrent pas aller jusqu’à mon entrejambe. Je le regrettais un peu car imaginer les doux doigts des filles sur mon sexe aurait sans doute été mémorable…. Une prochaine fois peut-être. Elles s’occupèrent également de tous mes ongles recouverts d’un beau vernis rouge flashi qui avait l’avantage de partir très facilement avec du savon.
« Je lui ai trouvé un petit surnom. Je vais l’appeler petite chatte vue que notre but est de faire croire qu’elle en a une. Hi hi hi ». Les autres applaudirent ce choix. « Tu es trop forte Geneviève. Oui, oui, petite chatte »
Le lendemain matin, après le petit déjeuner débuta l’habillage. Nicole et Martine arrivèrent avec chacune plusieurs vêtements destinés à mon dressage.
« Moi je me suis mise en pantalon dit Martine. Il va y avoir du vent là haut. Je ne veux pas qu’on reluque mes dessous. Hi hi hi ».
« Moi j’ai une jupe mais en dessous j’ai mis un short, rajouta Nicole ». Seule Geneviève était en robe mais elle lui arrivait largement en dessous des genoux et était très serrée.
Chacune plaçait les robes ou jupes et chemisiers devant moi afin d’évaluer l’allure que cela me donnerait.
« Vue la chaleur qu’il va faire, on va la laisser jambes nues, sans bas ».
J’étais un peu déçu car la douceur des bas était une sensation délicieuse mais effectivement il allait faire chaud aujourd’hui. Elles me choisirent donc des chaussures basses et des socquettes blanches. Ma poitrine en coton fut enfermée dans un petit soutien-gorge blanc en nylon. Le choix final s’arrêta sur une robe blanche beaucoup trop courte avec un petit nœud rouge sur le ventre, des dentelles et des petits cœurs sur la poitrine. Non seulement la robe était très courte mais de plus évasée. Malgré le jupon en nylon en dessous cette robe serait impossible à tenir à sa place…
« Il ne lui manque plus que la culotte »
« C’est prévu, répondit Geneviève. Je l’ai préparée spécialement pour ce jour ».
Elle revint avec une culotte blanche qu’elle me tendit. Je remarquais rapidement que celle-ci n’était pas propre.
« Mais… »
« Quoi ? Un problème ? Je croyais que tu les aimais mes culottes sales. Une punition est une punition. Tu vas la porter toute la journée en priant pour que personne ne la voie. Hi hi hi ». Et s’adressant à ses copines « Il faut bien qu’elle sente la fille, tout de même… »
Les autres applaudirent joyeusement. « On n’aurait pas dû la parfumer du coup. » « Au contraire, les garçons adorent le mélange de doux parfums et de sexe mélangés ». Les filles riaient à gorges déployées tandis que je rougissais de honte.
En remontant le tissu sur mes jambes, je sentais l’odeur qui s’en dégageait. De toute évidence, Geneviève l’avait bien préparée, sans doute plusieurs jours. C’était horrible. Les saletés étaient dans tout le gousset donc provenaient des deux orifices. Mon Dieu !... Quelle sensation quand le tissu entra en contact avec mon entrejambe. Burk…
« Il faut la monter jusqu’en haut »
Ma marraine attrapa la culotte et la remonta complètement jusqu’à mes hanches faisant entrer la partie la plus sale dans mon entre fesse jusqu’à mon anus. C’était affreusement humiliant. Comment ma douce marraine pouvait-elle être aussi méchante ?
« Allez, en route ».
Au bout de quelques heures et après quelques boissons (non alcoolisées pour ce qui me concernait) une envie pressante finit par me titiller et je dus le dire discrètement à ma marraine. Mais celle-ci, toute coquine qu’elle était, dit tout haut à se copines « je vais faire pipi avec Virginie ». Grrr… Elle me prit par le bras et m’entraina en direction des toilettes pour dames. « Il faut tu fasses assise, tu sais ? » C’était logique. « Ferme bien ta porte, on ne sait jamais. Et n’oublie pas de t’essuyer. Toutes les filles font cela. » Et pour la première fois, je me vis glisser mes mains sous ma jupe, attraper ma petite culotte rose, la faire glisser sur mes jambes et m’asseoir sur la lunette. Quelle étrange sensation ! Je me regardais dans cette position, ma culotte sur les genoux, juste en dessous de mes jarretières. Difficile d’orienter le jet avec ma zézette toute dure.
Lorsque nous rentrâmes après le spectacle, et que je dus quitter ces effets féminins, les amies de Geneviève s'en aperçurent et elles rirent de mon petit attribut tendant la culotte… et y laissant une grosse tache. Ce qui fait que je pus la garder toute la nuit sur moi ainsi qu’une chemise de nuit soyeuse également prêtée par ma marraine.
Je ne savais pas encore que ce n’était là que le début de mes malheurs.
Les jours suivants, mes amies semblaient avoir oublié la soirée déguisée. Mais moi, j’y pensais sans arrêt et espérais tout en le redoutant que cela reviendrait un soir.
Mais non.
Ma frustration était grande et le désir trouble me porta ostensiblement à rechercher les vêtements de Geneviève lorsque j’étais chez elle. Mais son armoire était dans sa chambre où je ne pouvais pas aller. Il ne restait que la salle de bain. Je m’invitais de plus en plus souvent à rester coucher chez elle sur le petit divan. Ce qui me permit rapidement d’avoir accès tous les soirs, avant de me mettre au lit, à la salle de bain. Alors, un jour, pris d’un désir incontrôlable, j’ouvris sa panière à linge sale… juste pour voir. Il y avait là une robe, un jupon, une nuisette, un pull,… Mais aussi des bas et une petite culotte. Le premier jour, je me retins, je ne pouvais pas faire cela, c’était trop sale…. Mais le lendemain, la pensée de ces petites choses si douces à portée de main m’obséda toute la journée. J’étais tout émoustillé et attendait le moment divin.
Le soir arriva enfin. Je m’enfermais dans la salle de bain et ouvris immédiatement la boite à merveille. Une nouvelle culotte était venue compléter la collection. Je pris du bout des doigts la robe et après m’être dévêtu, je la passai sur moi retrouvant immédiatement les sensations du premier jour. Je passai les bas et me regardai longuement dans la glace. Mon zizi était à nouveau droit comme un I et je sentais une vague de bonheur inonder tout mon corps.
Je mis rapidement fin à la séance car ma marraine allait forcément trouver que je restais trop longtemps dans cette pièce, d’autant que je devais aussi me laver un minimum. Au moment de tout remettre en place, je ne pus m’empêcher de saisir l’une des culottes pour la caresser. Je sentis immédiatement l’odeur forte qui s’en dégageait. J’étais à la fois dégouté et attiré. Je regardais le fonds et voyant les traces laissées par la foufoune de Geneviève je me sentis terriblement gêné mais terriblement attiré.
Je rangeais vite tout cela et réapparus dans la pièce en pyjama comme si de rien n’était. Mais au fond de moi, je ne voyais plus ma marraine de la même façon.
Les séjours suivants, de plus en plus rapprochés, je m’enhardissais dans mes essayages mais surtout dans la découverte des dessous de Geneviève. Non seulement, je les humais, mais désormais, je les léchai avec dégout et délectation. Enfin, je posais délicatement le tissu sur la pointe de mon zizi et ce qui devait arriver arriva… Je sentis une énorme décharge électrique en moi et un liquide blanc et visqueux sortit soudain de moi. C’était fantastique. J’avais perdu tous sens de la réalité, je n’étais plus là. J’étais au paradis.
Cet instant d’extase ne dura pas. Rapidement je me rendis compte de la situation désastreuse dans laquelle je me trouvai, Geneviève était à quelques centimètres de moi, juste derrière la porte, je l’entendais chantonner. Quelle honte !... Je rangeais vite tout dans la panière à linge et sortis complètement déboussolé.
« Ça va Colin ? » « Oui, oui, murmurais-je », rouge de gène sans pouvoir la regarder. Je me promis de ne plus jamais refaire cela… Mais trois jours après je recommençais et mes éjaculations dans ses culottes sales devinrent de plus en plus régulières. C’était une drogue.
Je ne me contentais pas de ses culottes (il n’y en avait pas toujours), ses chaussettes ou ses bas faisaient autant l’affaire. L’odeur laissée par ses pieds sales me faisait le même effet que son entrejambe. Je léchais le bout des doigts de pieds mais me gardai d’éjaculer dedans, cela se serait vu.
Je fermais les yeux et m’imaginai lécher tous ces doux vêtements directement sur Geneviève. L’effet était immédiat. Le plaisir m’inondait. Plusieurs fois, ma marraine me demanda ce que je faisais dans la salle de bain car j’y restais de plus en plus longtemps. Il fallait que je fasse plus attention.
Un soir, alors que j’éjaculais tranquillement, dans une culotte très sale, la porte s’ouvrit violemment et Geneviève hurla en me voyant :
« J’EN ETAIS SURE. MAIS QUELLE HOREUR ! MOI QUI TE CROYAIS DIFFERENT DES AUTRES GARCONS. TU ES PAREIL ».
Je ne savais plus où me mettre. J’étais nu devant elle, sa culotte pleine de sperme à la main. Elle me gifla violemment.
« TU CROYAIS VRAIMENT QUE JE N’ALLAIS PAS VOIR QUE MES CULOTTES ETAIENT REMPLIES DE SPERME, TU ES VRAIMENT DEBILE. TU ME DEGOUTES A UN POINT QUE TU NE PEUX PAS IMAGINER » « VA-T’EN. JE NE VEUX PLUS TE REVOIR. PLUS JAMAIS. TU N’ES PLUS MON FILLEUL ».
Je me rhabillais en pleurant à chaudes larmes. Ne plus voir marraine n’était pas pensable. « Pardon, je t’en supplie. Je ne suis pas bien chez moi. Je ne suis bien qu’ici ». « Ah ben, oui, je comprends que tu es mieux ici. J’espère que tu ne joues pas avec les culottes de ta mère. Va-t’en. Je te déteste ».
Les jours suivants furent abominables. Je pleurais toute la journée. Ma mère ne comprenait pas pourquoi je n’allais plus chez Geneviève. Je ne pouvais rien lui dire.
Puis un jour, Geneviève débarqua. Je pensais qu’elle venait tout raconter à ma mère mais non, elle ne dit rien. « Je viens chercher Colin, ça fait longtemps qu’il n’est pas venu ». Je ne disais rien, ne comprenant pas trop ce qui arrivait. Ma mère était enchantée.
« Je croyais que vous étiez fâchés, il est en pleine dépression. » dit ma mère. Marraine sourit en me regardant du coin de l’œil avec un petit air sévère. Comment aller se passer ce retour ?
Elle me prit par la main dès que nous fumes dans la rue et me dit « Ça va être ta fête. On a parlé avec les copines et on va te mater. Finies les cochonneries ».
Quand nous arrivâmes chez elle, 2 de ses copines, Nicole et Martine, nous rejoignirent tout de suite. « Alors comme ça, on fait des bêtises, M. Colin ? Avec les culottes de sa gentille marraine ? C’est pas bien cela », gronda Nicole avec un sourire qui ne correspondait pas avec la phrase. Geneviève reprit la parole :
« Voilà ce qu’on a décidé : tu te souviens de Virginie ? La soirée où on t’a déguisée pour te punir d’avoir maté Nicole ? Et bien, on va reprendre la leçon. Car apparemment tu n’as pas compris. » Je sentis un frisson dans tout mon corps. Ce que je redoutais et espérais le plus. Waow… J’allais redevenir Virginie. Avec toute la honte, les angoisses que cela comporte, mais aussi cette incroyable sensation d’être dans ces parures si douces. « Demain, nous allons faire la promenade à la colline du Mont Dore et tu seras notre invitée particulière ».
Le Mont Dore était une promenade bien connue des locaux et très prisée les dimanches ensoleillés.
Il ne faisait aucun doute qu’il y aurait beaucoup de monde le lendemain. Elles avaient décidé de commencer à me préparer à l’avance donc direction la salle de bain où, comme la première fois je me retrouvais nu devant les 3 jeunes filles. La préparation à l’avance consistait essentiellement à m’épiler de la tête aux pieds. « Il faut lui enlever tous les petits poils sur le visage, les bras et les jambes ». Mais elles n’osèrent pas aller jusqu’à mon entrejambe. Je le regrettais un peu car imaginer les doux doigts des filles sur mon sexe aurait sans doute été mémorable…. Une prochaine fois peut-être. Elles s’occupèrent également de tous mes ongles recouverts d’un beau vernis rouge flashi qui avait l’avantage de partir très facilement avec du savon.
« Je lui ai trouvé un petit surnom. Je vais l’appeler petite chatte vue que notre but est de faire croire qu’elle en a une. Hi hi hi ». Les autres applaudirent ce choix. « Tu es trop forte Geneviève. Oui, oui, petite chatte »
Le lendemain matin, après le petit déjeuner débuta l’habillage. Nicole et Martine arrivèrent avec chacune plusieurs vêtements destinés à mon dressage.
« Moi je me suis mise en pantalon dit Martine. Il va y avoir du vent là haut. Je ne veux pas qu’on reluque mes dessous. Hi hi hi ».
« Moi j’ai une jupe mais en dessous j’ai mis un short, rajouta Nicole ». Seule Geneviève était en robe mais elle lui arrivait largement en dessous des genoux et était très serrée.
Chacune plaçait les robes ou jupes et chemisiers devant moi afin d’évaluer l’allure que cela me donnerait.
« Vue la chaleur qu’il va faire, on va la laisser jambes nues, sans bas ».
J’étais un peu déçu car la douceur des bas était une sensation délicieuse mais effectivement il allait faire chaud aujourd’hui. Elles me choisirent donc des chaussures basses et des socquettes blanches. Ma poitrine en coton fut enfermée dans un petit soutien-gorge blanc en nylon. Le choix final s’arrêta sur une robe blanche beaucoup trop courte avec un petit nœud rouge sur le ventre, des dentelles et des petits cœurs sur la poitrine. Non seulement la robe était très courte mais de plus évasée. Malgré le jupon en nylon en dessous cette robe serait impossible à tenir à sa place…
« Il ne lui manque plus que la culotte »
« C’est prévu, répondit Geneviève. Je l’ai préparée spécialement pour ce jour ».
Elle revint avec une culotte blanche qu’elle me tendit. Je remarquais rapidement que celle-ci n’était pas propre.
« Mais… »
« Quoi ? Un problème ? Je croyais que tu les aimais mes culottes sales. Une punition est une punition. Tu vas la porter toute la journée en priant pour que personne ne la voie. Hi hi hi ». Et s’adressant à ses copines « Il faut bien qu’elle sente la fille, tout de même… »
Les autres applaudirent joyeusement. « On n’aurait pas dû la parfumer du coup. » « Au contraire, les garçons adorent le mélange de doux parfums et de sexe mélangés ». Les filles riaient à gorges déployées tandis que je rougissais de honte.
En remontant le tissu sur mes jambes, je sentais l’odeur qui s’en dégageait. De toute évidence, Geneviève l’avait bien préparée, sans doute plusieurs jours. C’était horrible. Les saletés étaient dans tout le gousset donc provenaient des deux orifices. Mon Dieu !... Quelle sensation quand le tissu entra en contact avec mon entrejambe. Burk…
« Il faut la monter jusqu’en haut »
Ma marraine attrapa la culotte et la remonta complètement jusqu’à mes hanches faisant entrer la partie la plus sale dans mon entre fesse jusqu’à mon anus. C’était affreusement humiliant. Comment ma douce marraine pouvait-elle être aussi méchante ?
« Allez, en route ».
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