ma reine chapitre 10
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2024 dans la catégorie Fétichisme
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ma reine chapitre 10
« Ce soir, nous sortons avec les copines, entre adultes. Donc je te laisse l’appart. Tu seras sage, hein ? » « Ben, évidemment marraine » « tu pourras dormir dans mon lit car on va rentrer tard et je ne veux pas te réveiller. Et si je ne suis pas là ou si je dors, tu te débrouilles demain matin, tu déjeunes, tu t’habilles avec les vêtements qu’on a préparés. Et tu excuseras notre absence à la messe auprès du curé. » « Pas de soucis marraine, je ferais tout comme tu m’as dit » répondis-je en jeune fille bien obéissante.
Les quatre copines de Geneviève arrivèrent bientôt et elles finirent de se préparer joyeusement devant un premier apéritif « C’est dommage que Virginie ne puisse pas venir avec nous » déclara Linda avec un petit clin d’œil dans ma direction « Tu sais bien que c’est interdit aux moins de 21 ans », répondit Geneviève « on aurait pu tricher » rajouta Martine « elle fait moins que son âge, ils l’auraient contrôlée, c’est sûr » répliqua Clarisse « C’est pas faux. Dommage ».
Et les voilà parties après avoir bu un dernier apéritif. Me voici seule chez ma marraine. Seule pour la soirée et la nuit. Et je vais dormir dans son lit. J’étais heureuse. Avant de me faire à manger, je décidais d’aller examiner l’armoire de Geneviève pour me choir une belle robe pour ce soir. Une que je n’avais pas encore mise. J’adorais ses robes. Je les touchais les unes après les autres pour ressentir la douceur des étoffes. J’en sortis plusieurs et les étendis sur le lit, les passais devant moi pour voir ce qu’elles donneraient sur moi puis je me décidais à en essayer plusieurs. Tantôt sages, tantôt sexy, longues, courtes, évasées… il y avait tant de modèles différents. Ma marraine était une femme élégante, au gout très sophistiqué. Les robes ne suffisaient pas. J’essayais également les plus beaux sous-vêtements. Certains bustiers ou porte-jarretelles étaient d’une telle beauté et douceur. Je fondais de bonheur dans ces froufrous délicieux.
Je me décidais pour une robe vichy rose et blanche serrée à la taille par une ceinture rose, avec un chemisier vert à manches longues, un petit nœud rose au-dessus de la poitrine, un chouchou rose dans les cheveux, des boucles d’oreilles rouges et blanches et un petit sac à main rose. J’avais exagérément gonflé ma poitrine. J’avais dû me résoudre à mettre une gaine pour serrer mon ventre qui, sinon boudinait la robe. J’avais trouvé une magnifique paire de bas résille noirs de marque que je me promis de ne surtout pas abimer. Enfin, j’avais mis les chaussures aux plus hauts talons de sa garde-robe, blanches avec des lanières et des nœuds roses.
Devant la glace, je ressemblais véritablement à une femme.
Et qui plus est, une très belle femme. Cette beauté me plaisait énormément. Je me sentais amoureuse de la femme que me renvoyait le miroir. C’était affolant. Quelle merveille ! Il me semblait que n’importe quel garçon me voyant ainsi tomberait obligatoirement amoureux de moi. Ou en tout cas, aurait irrésistiblement envie de moi. Mais n’était-ce pas le but ?
Je pris mon repas rapidement puis de nouveau, me plaçais devant la grande glace de l’armoire de la chambre pour m’admirer sous toutes les coutures. Prenant des poses lascives, romantiques, sensuelles, découvrant mes jambes gainées de noir. Je mis de la musique et avec une brosse en guise de micro, je jouais à la chanteuse, charmant mon auditoire imaginaire.
Fatalement tout se termina par une douce jouissance dans une culotte sale de ma maitresse adorée…
C’est très tard que je finis par me coucher. J’avais revêtu une magnifique chemise de nuit rose clair arrivant au-dessus des genoux avec deux rangées de dentelles en bas, une mini ceinture juste en dessous des seins et un froufrou de dentelles entourant le cou très décolleté. Un petit nœud entre les seins rajoutait si besoin une once de féminité supplémentaire. Je gardais ma culotte et mon soutien-gorge du fait de l’extrême transparence de la nuisette au cas où je serai vue au réveil même si j’avais une robe de chambre que je pouvais passer par-dessus mais qui était aussi transparente que le reste. Je me sentais belle et toute douce. La belle au bois dormant. Je mis longtemps à trouver le sommeil caressant mon corps à travers la soie et les dentelles.
C’est beaucoup plus tard que je fus réveillée par des bruits dans la pièce voisine. Ça parlait et riait fort. Curieuse, je décidais de me lever prétextant une envie de pipi. Me voyant les filles se turent immédiatement « CHUUUUT, on a réveillé la petite… Holalala. » Mais toutes riaient bêtement. Elles avaient visiblement beaucoup trop bu. D’ailleurs une bouteille trônait sur la table et elles semblaient toutes boire au goulot. C’était la première fois que je les voyais aussi saoules. « Retourne te coucher » marmonna Geneviève « Il est trop tôt pour te lever » « j’ai envie de faire pipi marraine » et je filais dans la salle de bain voisine avant de regagner ma chambre.
Elles essayèrent de se contrôler sans grands succès. J’entendais des rires suivis de « Chuuuut, la petite dort » et les rires reprenaient de plus belle. Je me sentais bien dans mon lit avec mes amies à côté qui s’amusaient comme des folles. Je languissais de pouvoir profiter comme elles de tous les plaisirs de la vie réservés aux adultes.
Je parvins à somnoler une heure de plus bercée par le bruit des belles. Puis quand je jugeais que l’heure de me lever était enfin arrivée, je reparus dans la pièce principale. Geneviève regarda l’heure « Pfff, déjà… Les filles, il va falloir aller se coucher. » Les autres riaient toujours bêtement « Oh non, on est tellement bien. On n’a même pas fini la bouteille… Ah ben si. Dis donc Martine, tu as tout bu. » « Tu peux parler, tu as dû en boire la moitié. » Les filles étaient encore plus éméchées que tout à l’heure.
Clarisse me fit une petite place à côté d’elle « viens prendre ton petit déjeuner, ma belle » « C’est vrai qu’elle est belle. J’avais jamais vu cette nuisette » dit Nicole. « C’est parce que tu dors pas assez souvent avec Geneviève » rétorqua Linda qui, elle, avait l’air de savoir de quoi elle parlait. « Oui, c’est à moi. Virginie a fouillé dans mes affaires. C’est pas bien ça » Le ton de Geneviève se voulait sévère mais le sourire associé démentait les paroles. Geneviève semblait ravie que je lui ai volé ses petites affaires. « En tout cas c’est transparent. Heureusement qu’elle a gardé sa culotte » « On voit quand même une petite bizarrerie » « Ah, oui, je vois pas de quoi tu parles » Et elle éclatèrent encore plus de rire « Bof, c’est tellement petit qu’on peut se tromper » « En tout cas, vous pouvez dire ce que vous voulez mais notre petite Virginie est vraiment magnifique. Elle est plus belle que vous toutes réunies ». Linda frappait Martine sur le bras « retire ce que tu as dit » « Ok, je retire mais tu m’empêcheras pas de le penser » Les rires reprenaient de plus belle.
« Retourne toi petite chatte » ordonna sévèrement Geneviève. Je dus tourner sur moi-même pour présenter mes fesses finement recouvertes par le satin transparent « Là, franchement, qui pourrait croire que c’est pas un cul de fille ? » « Ah oui, j’adore ce petit derrière. Mais quelles fesses elle a !... J’adoooore… »
Tous ces compliments sur mon corps me remplissaient de joie. J’aimais tellement qu’on parle de moi ainsi. Je me sentais si belle, si féminine. Tout ce que je voulais au plus profond de moi.
« Allez, on te laisse déjeuner ». Je pus faire chauffer mon chocolat. « Tu veux une tartine ? Il y a de la brioche. » « Oui marraine, je veux bien. » Elle sortit en titubant la brioche vendéenne toute fraiche et en découpa une grande tranche qu’elle plaça dans une assiette « J’ai une idée » Geneviève murmura quelque chose à sa voisine qui répondit « Oh non, pas ça, c’est dégueu… » « Quoi ? Quoi ? » demandèrent les autres, toutes excitées. Et pendant que je surveillais mon lait, je les entendis chuchoter et s’esclaffer. Certaines étaient d’accord, d’autres moins.
Quand je revins à table avec ma casserole de lait que je vidai dans mon bol de chocolat, Geneviève attrapa l’assiette, étala de la confiture sur ma tranche de brioche puis attendit que je m’asseye à côté d’elle. Puis sous les rires étouffés de ses copines, elle cracha sur ma brioche. J’étais épouvantée par ce que je voyais. Ce n ‘était pas possible. Qu’espérait-elle maintenant ? Pas que je … Non, pas ça. Marraine, pas ça ? Je n’eus pas le temps de réfléchir, Martine attrapait déjà l’assiette et imita Geneviève. Linda sembla un instant me regarder avec pitié. Clarisse rajouta sa morve aux autres. Nicole à son tour cracha sur la tranche et enfin Linda, vaincue par l’effet de groupe ajouta sa pierre à l’édifice. Geneviève reprit l’assiette et étala soigneusement la confiture mélangée « allez, mange petite ».
J’étais pétrifiée. Je ne pouvais pas faire cela. Elles allaient forcément me retenir au dernier moment. Mais en même temps, une petite boule commençait à me chauffer le creux du ventre… C’était dégoutant, mais… Le silence se fit. Elles devaient se demander si j’allais le faire. Si j’avais résisté, qui sait, peut-être auraient-elles renoncé ? Je ne le saurais jamais car avant qu’elles changent d’avis, je me précipitais à obéir à cet ordre abject et portais la tranche à ma bouche en regardant dans les yeux ma tortionnaire préférée. J’eus un quart de seconde l’impression de lire dans son regard que Geneviève regrettait son geste. Mais elle se reprit bien vite et reprit l’assiette pour ajouter une deuxième salve de salive. Le silence était total, plus personne ne riait. Chacune à leur tour elles rajoutèrent leur part à mon supplice. De nouveau ma reine étala la confiture et la morve et je dus à nouveau croquer dans cette substance de plus en visqueuse. Le gout devenait de plus en plus acre, indéfinissable. J’eus un haut le cœur. « Si tu vomis, tu remanges tout. C’est compris ? » « Oui marraine, je… je… je vais avaler ».
Les regards des copines passaient de l’étonnement au dégout puis à la pitié. Mais invariablement quand l’assiette repassait devant chacune d’elle, aucune ne rechigna à cracher plus ou moins abondamment. Clarisse se racla profondément la gorge pour sortir une grosse boule bien verdâtre. Ce qui la fit rire à gorge déployée. Les autres suivirent son fou rire avec entrain. La substance devenait infecte. « On devrait arrêter quand même » osa Martine. Linda passa sa main sous la table et m’attrapa la zigounette « Vous inquiétez pas, elle adore. Elle est toute dure ».
Et c’était vrai. Bien malgré moi, la situation m’excitait au-delà du raisonnable. « Finis-là. De toutes façons, il faut la traire avant la messe ». Il ne restait qu’un tout petit bout de brioche que je comptais vite finir mais Geneviève reprit l’assiette et la fit tourner une dernière fois. Il y avait maintenant plus de morve que de pâtisserie. Elle attrapa la cuillère et prit tout le gâteau restant. Elle me pinça le nez comme on fait aux bébés pour leur faire ouvrir la bouche
« Allez, mange ta bouillie, petite chatte » Et elle rajouta le « haaaa » que l’on fait aux tous petits en ouvrant la bouche en grand. La cuillère pénétra dans ma bouche et je dus refermer mes lèvres pour tout accepter. C’était immonde. Je mastiquais avec dégout la substance horrible. Je retenais mon envie de vomir. Mais en même temps le va et vient de la main de Linda était délicieux.
Je savais que j’allais venir. Geneviève racla avec la cuillère les dernières gouttes au fond de l’assiette et de nouveau me remplit la bouche. Alors que j’avalais cette dernière bouchée uniquement composée de leurs secrétions mélangées, je remplis la main de ma masturbeuse d’une quantité incroyable de sperme. Je ne pus retenir un long gémissement de plaisir saccadé. « Elle me dégoute cette gamine. Comment peut-on prendre son pied de cette façon-là ? Je suis sûre que si on lui faisait boire notre pisse, elle jouirait aussi. » « Oh, oui, quelle bonne idée ! En plus j’ai une envie terrible » « Allez, ça suffit tempéra Géneviève. Il est temps d’aller nous coucher et laisser Virginie se préparer »
Les filles se levèrent et commencèrent à partir « Tu restes avec moi Linda ? La petite a dû nous chauffer le lit » « Oui maitresse répondit la belle avec un petit sourire entendu. « On va vite faire notre dernier pipi et on te laisse la salle de bain » rajouta ma marraine.
Je pus rapidement prendre possession des toilettes. J’avais vraiment besoin de me refaire une beauté vus les derniers évènements. Ma tenue de la journée était prête depuis la veille. L’une de mes robes, la bleue toute boutonnée devant avec une petite ceinture noire. Un peu évasée mais assez longue pour protéger mes dessous composés d’un porte-jarretelles blanc, une culotte large crème et de bas couleur chair.
Les quatre copines de Geneviève arrivèrent bientôt et elles finirent de se préparer joyeusement devant un premier apéritif « C’est dommage que Virginie ne puisse pas venir avec nous » déclara Linda avec un petit clin d’œil dans ma direction « Tu sais bien que c’est interdit aux moins de 21 ans », répondit Geneviève « on aurait pu tricher » rajouta Martine « elle fait moins que son âge, ils l’auraient contrôlée, c’est sûr » répliqua Clarisse « C’est pas faux. Dommage ».
Et les voilà parties après avoir bu un dernier apéritif. Me voici seule chez ma marraine. Seule pour la soirée et la nuit. Et je vais dormir dans son lit. J’étais heureuse. Avant de me faire à manger, je décidais d’aller examiner l’armoire de Geneviève pour me choir une belle robe pour ce soir. Une que je n’avais pas encore mise. J’adorais ses robes. Je les touchais les unes après les autres pour ressentir la douceur des étoffes. J’en sortis plusieurs et les étendis sur le lit, les passais devant moi pour voir ce qu’elles donneraient sur moi puis je me décidais à en essayer plusieurs. Tantôt sages, tantôt sexy, longues, courtes, évasées… il y avait tant de modèles différents. Ma marraine était une femme élégante, au gout très sophistiqué. Les robes ne suffisaient pas. J’essayais également les plus beaux sous-vêtements. Certains bustiers ou porte-jarretelles étaient d’une telle beauté et douceur. Je fondais de bonheur dans ces froufrous délicieux.
Je me décidais pour une robe vichy rose et blanche serrée à la taille par une ceinture rose, avec un chemisier vert à manches longues, un petit nœud rose au-dessus de la poitrine, un chouchou rose dans les cheveux, des boucles d’oreilles rouges et blanches et un petit sac à main rose. J’avais exagérément gonflé ma poitrine. J’avais dû me résoudre à mettre une gaine pour serrer mon ventre qui, sinon boudinait la robe. J’avais trouvé une magnifique paire de bas résille noirs de marque que je me promis de ne surtout pas abimer. Enfin, j’avais mis les chaussures aux plus hauts talons de sa garde-robe, blanches avec des lanières et des nœuds roses.
Devant la glace, je ressemblais véritablement à une femme.
Et qui plus est, une très belle femme. Cette beauté me plaisait énormément. Je me sentais amoureuse de la femme que me renvoyait le miroir. C’était affolant. Quelle merveille ! Il me semblait que n’importe quel garçon me voyant ainsi tomberait obligatoirement amoureux de moi. Ou en tout cas, aurait irrésistiblement envie de moi. Mais n’était-ce pas le but ?
Je pris mon repas rapidement puis de nouveau, me plaçais devant la grande glace de l’armoire de la chambre pour m’admirer sous toutes les coutures. Prenant des poses lascives, romantiques, sensuelles, découvrant mes jambes gainées de noir. Je mis de la musique et avec une brosse en guise de micro, je jouais à la chanteuse, charmant mon auditoire imaginaire.
Fatalement tout se termina par une douce jouissance dans une culotte sale de ma maitresse adorée…
C’est très tard que je finis par me coucher. J’avais revêtu une magnifique chemise de nuit rose clair arrivant au-dessus des genoux avec deux rangées de dentelles en bas, une mini ceinture juste en dessous des seins et un froufrou de dentelles entourant le cou très décolleté. Un petit nœud entre les seins rajoutait si besoin une once de féminité supplémentaire. Je gardais ma culotte et mon soutien-gorge du fait de l’extrême transparence de la nuisette au cas où je serai vue au réveil même si j’avais une robe de chambre que je pouvais passer par-dessus mais qui était aussi transparente que le reste. Je me sentais belle et toute douce. La belle au bois dormant. Je mis longtemps à trouver le sommeil caressant mon corps à travers la soie et les dentelles.
C’est beaucoup plus tard que je fus réveillée par des bruits dans la pièce voisine. Ça parlait et riait fort. Curieuse, je décidais de me lever prétextant une envie de pipi. Me voyant les filles se turent immédiatement « CHUUUUT, on a réveillé la petite… Holalala. » Mais toutes riaient bêtement. Elles avaient visiblement beaucoup trop bu. D’ailleurs une bouteille trônait sur la table et elles semblaient toutes boire au goulot. C’était la première fois que je les voyais aussi saoules. « Retourne te coucher » marmonna Geneviève « Il est trop tôt pour te lever » « j’ai envie de faire pipi marraine » et je filais dans la salle de bain voisine avant de regagner ma chambre.
Elles essayèrent de se contrôler sans grands succès. J’entendais des rires suivis de « Chuuuut, la petite dort » et les rires reprenaient de plus belle. Je me sentais bien dans mon lit avec mes amies à côté qui s’amusaient comme des folles. Je languissais de pouvoir profiter comme elles de tous les plaisirs de la vie réservés aux adultes.
Je parvins à somnoler une heure de plus bercée par le bruit des belles. Puis quand je jugeais que l’heure de me lever était enfin arrivée, je reparus dans la pièce principale. Geneviève regarda l’heure « Pfff, déjà… Les filles, il va falloir aller se coucher. » Les autres riaient toujours bêtement « Oh non, on est tellement bien. On n’a même pas fini la bouteille… Ah ben si. Dis donc Martine, tu as tout bu. » « Tu peux parler, tu as dû en boire la moitié. » Les filles étaient encore plus éméchées que tout à l’heure.
Clarisse me fit une petite place à côté d’elle « viens prendre ton petit déjeuner, ma belle » « C’est vrai qu’elle est belle. J’avais jamais vu cette nuisette » dit Nicole. « C’est parce que tu dors pas assez souvent avec Geneviève » rétorqua Linda qui, elle, avait l’air de savoir de quoi elle parlait. « Oui, c’est à moi. Virginie a fouillé dans mes affaires. C’est pas bien ça » Le ton de Geneviève se voulait sévère mais le sourire associé démentait les paroles. Geneviève semblait ravie que je lui ai volé ses petites affaires. « En tout cas c’est transparent. Heureusement qu’elle a gardé sa culotte » « On voit quand même une petite bizarrerie » « Ah, oui, je vois pas de quoi tu parles » Et elle éclatèrent encore plus de rire « Bof, c’est tellement petit qu’on peut se tromper » « En tout cas, vous pouvez dire ce que vous voulez mais notre petite Virginie est vraiment magnifique. Elle est plus belle que vous toutes réunies ». Linda frappait Martine sur le bras « retire ce que tu as dit » « Ok, je retire mais tu m’empêcheras pas de le penser » Les rires reprenaient de plus belle.
« Retourne toi petite chatte » ordonna sévèrement Geneviève. Je dus tourner sur moi-même pour présenter mes fesses finement recouvertes par le satin transparent « Là, franchement, qui pourrait croire que c’est pas un cul de fille ? » « Ah oui, j’adore ce petit derrière. Mais quelles fesses elle a !... J’adoooore… »
Tous ces compliments sur mon corps me remplissaient de joie. J’aimais tellement qu’on parle de moi ainsi. Je me sentais si belle, si féminine. Tout ce que je voulais au plus profond de moi.
« Allez, on te laisse déjeuner ». Je pus faire chauffer mon chocolat. « Tu veux une tartine ? Il y a de la brioche. » « Oui marraine, je veux bien. » Elle sortit en titubant la brioche vendéenne toute fraiche et en découpa une grande tranche qu’elle plaça dans une assiette « J’ai une idée » Geneviève murmura quelque chose à sa voisine qui répondit « Oh non, pas ça, c’est dégueu… » « Quoi ? Quoi ? » demandèrent les autres, toutes excitées. Et pendant que je surveillais mon lait, je les entendis chuchoter et s’esclaffer. Certaines étaient d’accord, d’autres moins.
Quand je revins à table avec ma casserole de lait que je vidai dans mon bol de chocolat, Geneviève attrapa l’assiette, étala de la confiture sur ma tranche de brioche puis attendit que je m’asseye à côté d’elle. Puis sous les rires étouffés de ses copines, elle cracha sur ma brioche. J’étais épouvantée par ce que je voyais. Ce n ‘était pas possible. Qu’espérait-elle maintenant ? Pas que je … Non, pas ça. Marraine, pas ça ? Je n’eus pas le temps de réfléchir, Martine attrapait déjà l’assiette et imita Geneviève. Linda sembla un instant me regarder avec pitié. Clarisse rajouta sa morve aux autres. Nicole à son tour cracha sur la tranche et enfin Linda, vaincue par l’effet de groupe ajouta sa pierre à l’édifice. Geneviève reprit l’assiette et étala soigneusement la confiture mélangée « allez, mange petite ».
J’étais pétrifiée. Je ne pouvais pas faire cela. Elles allaient forcément me retenir au dernier moment. Mais en même temps, une petite boule commençait à me chauffer le creux du ventre… C’était dégoutant, mais… Le silence se fit. Elles devaient se demander si j’allais le faire. Si j’avais résisté, qui sait, peut-être auraient-elles renoncé ? Je ne le saurais jamais car avant qu’elles changent d’avis, je me précipitais à obéir à cet ordre abject et portais la tranche à ma bouche en regardant dans les yeux ma tortionnaire préférée. J’eus un quart de seconde l’impression de lire dans son regard que Geneviève regrettait son geste. Mais elle se reprit bien vite et reprit l’assiette pour ajouter une deuxième salve de salive. Le silence était total, plus personne ne riait. Chacune à leur tour elles rajoutèrent leur part à mon supplice. De nouveau ma reine étala la confiture et la morve et je dus à nouveau croquer dans cette substance de plus en visqueuse. Le gout devenait de plus en plus acre, indéfinissable. J’eus un haut le cœur. « Si tu vomis, tu remanges tout. C’est compris ? » « Oui marraine, je… je… je vais avaler ».
Les regards des copines passaient de l’étonnement au dégout puis à la pitié. Mais invariablement quand l’assiette repassait devant chacune d’elle, aucune ne rechigna à cracher plus ou moins abondamment. Clarisse se racla profondément la gorge pour sortir une grosse boule bien verdâtre. Ce qui la fit rire à gorge déployée. Les autres suivirent son fou rire avec entrain. La substance devenait infecte. « On devrait arrêter quand même » osa Martine. Linda passa sa main sous la table et m’attrapa la zigounette « Vous inquiétez pas, elle adore. Elle est toute dure ».
Et c’était vrai. Bien malgré moi, la situation m’excitait au-delà du raisonnable. « Finis-là. De toutes façons, il faut la traire avant la messe ». Il ne restait qu’un tout petit bout de brioche que je comptais vite finir mais Geneviève reprit l’assiette et la fit tourner une dernière fois. Il y avait maintenant plus de morve que de pâtisserie. Elle attrapa la cuillère et prit tout le gâteau restant. Elle me pinça le nez comme on fait aux bébés pour leur faire ouvrir la bouche
« Allez, mange ta bouillie, petite chatte » Et elle rajouta le « haaaa » que l’on fait aux tous petits en ouvrant la bouche en grand. La cuillère pénétra dans ma bouche et je dus refermer mes lèvres pour tout accepter. C’était immonde. Je mastiquais avec dégout la substance horrible. Je retenais mon envie de vomir. Mais en même temps le va et vient de la main de Linda était délicieux.
Je savais que j’allais venir. Geneviève racla avec la cuillère les dernières gouttes au fond de l’assiette et de nouveau me remplit la bouche. Alors que j’avalais cette dernière bouchée uniquement composée de leurs secrétions mélangées, je remplis la main de ma masturbeuse d’une quantité incroyable de sperme. Je ne pus retenir un long gémissement de plaisir saccadé. « Elle me dégoute cette gamine. Comment peut-on prendre son pied de cette façon-là ? Je suis sûre que si on lui faisait boire notre pisse, elle jouirait aussi. » « Oh, oui, quelle bonne idée ! En plus j’ai une envie terrible » « Allez, ça suffit tempéra Géneviève. Il est temps d’aller nous coucher et laisser Virginie se préparer »
Les filles se levèrent et commencèrent à partir « Tu restes avec moi Linda ? La petite a dû nous chauffer le lit » « Oui maitresse répondit la belle avec un petit sourire entendu. « On va vite faire notre dernier pipi et on te laisse la salle de bain » rajouta ma marraine.
Je pus rapidement prendre possession des toilettes. J’avais vraiment besoin de me refaire une beauté vus les derniers évènements. Ma tenue de la journée était prête depuis la veille. L’une de mes robes, la bleue toute boutonnée devant avec une petite ceinture noire. Un peu évasée mais assez longue pour protéger mes dessous composés d’un porte-jarretelles blanc, une culotte large crème et de bas couleur chair.
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