Ma reine chapitre 12
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 17 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de c-levis ont reçu un total de 68 226 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Fétichisme
Cette histoire de sexe a été affichée 424 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma reine chapitre 12
J’en étais là de mes tristes pensées en rentrant chez Geneviève en fin d’après-midi. J’en avais totalement oublié l’épisode du matin.
Geneviève semblait tendue. « Ça va Virginie ? » Je n’osais pas aborder mes soucis de la journée « Oui, ça va marraine » « Je suis désolée pour ce matin. On avait trop bu. » Je mis une demi-seconde à comprendre de quoi elle parlait et elle comprit que j’avais oublié. « C’est pas grave, marraine. Vous avez raison de me punir, je le mérite. » Je ne pouvais pas lui avouer qu’en fait j’avais aimé et même que j’espérais qu’elles recommencent à l’occasion. Son regard changea brusquement « T’es incroyable, toi. Tu es vraiment prête à tout ? » Mon hésitation à répondre lui indiqua qu’elle disait vrai. « Tu as tort, crois-moi. J’ai pas fini de te faire souffrir, ma petite chatte ».
Elle avait retrouvé son air sadique. Cela me fit frissonner. Elle le vit. « J’ai des tas d’idées pour toi. Tu vas devoir de plus en plus cacher ta virilité » ricana-t-elle… Elle avait touché juste. C’était bien mon problème.
« Ça devient compliqué marraine. Y a des garçons qui me collent de plus en plus. J’ai tellement peur qu’ils découvrent mon zizi. » Geneviève en profita pour poser sa main sur mon entrejambe et prendre mon sexe à pleine main. « Il faut arrêter de bander ma petite » « Je bande pas toujours. Parfois, j’aimerai ne plus rien avoir. Être comme vous. Au cas où on regarde sous mes jupes ou que, si quelqu’un me touche là, il ne sente rien. » « T’aimerais être une fille ? En vrai ? » «Ben… Parfois, oui, j’aimerai être une fille »
Elle sembla hésiter un instant « Tu sais que c’est possible ? Y a des garçons qui se font opérer. Y en a même qui se sont fait mettre un faux vagin. Tu connais Christine Jorgensen ? Ou Lili Elbe ? J’ai des articles de journaux, regarde »
Et elle me montra des photos, des reportages, des images des tableaux de Gerda Gottlieb.
Ce que je voyais était incroyable. Je ne savais pas qu’il était possible pour un homme de devenir une femme. Mes mains tremblaient en feuilletant les images. Si la vie de Lili me refroidit rapidement (elle était décédée des suites de son opération) je ne pouvais pas détourner mes yeux des photos de Christine que je trouvais d’une incroyable beauté et semblait toujours en parfaite santé. On la voyait en robe mais aussi en maillot de bain. Et on ne devinait absolument rien de sa virilité.
« Tu en penses quoi ? Tu aimerais faire comme elles ? » « Je … je sais pas. » Je tremblais toujours de tous mes membres. « D’un côté, oui, j’aimerai bien, mais d’un autre… » « Tu tiens tant que ça à ta petite bite ? Franchement elle est ridicule, non ? Tu trouves pas ? » C’est son rire qui me blessait le plus. Elle pensait vraiment ce qu’elle disait. « De toute façon, il faudra attendre tes 21 ans. On en reparlera à ce moment-là. »
« En attendant, c’est l’heure de la punition. Et ce soir j’ai un très beau cadeau pour toi. Pas de culotte à lécher. Tu vas aller directement à la source. Allez viens. »
Et elle m’entraina dans la chambre. « Je me suis levée très tard, j’ai pas eu le temps de prendre ma douche. Tu vas me faire ma toilette. Ma toilette intime. Tu comprends ? »
Bien sûr que j’avais compris. Mais je n’osais pas y croire. Elle allait m’offrir son sexe. Je n’en revenais pas. Ma seule réponse, débile, fut « mais Linda te l’a pas fait ? » Je me rendis immédiatement compte de mon erreur. Je n’étais pas sensée savoir ce qu’elle faisait avec Linda. « Qui t’a raconté ça ? » Je ne savais plus où me mettre. J’avouais « Je vous ai vues une fois. J’étais rentrée plus tôt et vous étiez dans la chambre » « Et tu nous regardes encore en douce ? Tu me dégoutes Colin. » il y avait longtemps qu’elle ne m’avait pas appelé ainsi.
Quand elle me haïssait, je redevenais Colin… « Non, Linda ne m’a pas ‘’nettoyée’’ ce matin, elle s’est endormie tout de suite. Elle était bourrée. Je me suis retrouvée toute seule, avec mes doigts, comme une conne. T’as compris ? » Bien sûr que j’avais compris.
Elle se radoucit soudain et me prit la main. « Allez, viens faire plaisir à ta maitresse, ma petite chatte adorée. » J’étais heureuse. J’allais voir la vulve de ma marraine adorée, la toucher, la lécher,…
Mais quel bonheur !
Elle s’allongea sur le lit, remontant doucement ses jupes. « Enlève-moi ma culotte ». Elle commençait à gémir doucement. Je m’agenouillais devant elle, glissant mes mains vers le haut de ses cuisses. J’attrapais le haut de sa culotte et doucement je commençais à tirer dessus. Je vivais le plus doux moment de ma vie. Sa touffe de poils apparut, puis sa fente. L’odeur me surprit. Je connaissais l’odeur de ses culottes, mais là c’était directement la source. Ma bite était énorme, enfin, toute proportion gardée.
Je pris un long moment pour descendre doucement l’étoffe jusqu’à ses pieds. Elle écarta ses jambes en grand, ouvrant sa foufoune au maximum. « Viens, bébé, viens lécher. Viens nettoyer ta reine. » Elle avait beaucoup de mal à retenir ses râles d’impatience.
Je posais doucement mes mains de part et d’autre de ses lèvres vaginales. Les effluves étaient incroyables. Je voyais le rose de son intérieur. Je voyais le liquide sortir du fonds de son puits. Elle gémissait et se cambrait pour attirer ma bouche « Vas-y lèche-moi, salope. Lèche-moi, petite garce. Lèche ta maitresse. Lèche. LECHE…. »
Je ne pouvais plus reculer. Ma bouche se posa délicatement sur ses grandes lèvres. Ma langue caressa doucement l’entrée de son conduit vaginal. Je fis le tour de ses grandes lèvres. Puis je pénétrai plus profondément. Geneviève hurlait de plaisir. Sa liqueur coulait dans ma bouche. J’avalais avec bonheur. Je léchais, j’aspirai, je lapais, je m’enfonçais en elle, j’entrais en elle, … Elle prit son plaisir pendant de longues minutes.
Je ne pus retenir le mien qui s’écoula dans sa culotte que je tenais toujours à la main.
Elle finit par reprendre ses esprits. Mais elle n’en avait pas fini avec ma punition. Elle souleva ses jambes pour relever ses fesses et m’exposer son autre petit trou « Il faut me laver le cul aussi. Il est tout sale. Je me suis pas lavée depuis hier matin. Tu te rends compte ? Ça fait deux jours. Ça me gratte » Et elle éclata de rire.
Je savais que je n’y échapperai pas et si cela me dégoutait, je sentais malgré tout le fameux petit picotement du plaisir sale… Et sans hésiter, je glissais ma langue dans son trou odorant comme j’avais vu faire Linda. Je léchais et avalais tout ce qui se trouvait dans cet endroit si peu ragoutant. Je me régalais. Et je ne pus retenir une nouvelle éjaculation totalement honteuse…
J’étais vraiment un monstre.
Geneviève semblait tendue. « Ça va Virginie ? » Je n’osais pas aborder mes soucis de la journée « Oui, ça va marraine » « Je suis désolée pour ce matin. On avait trop bu. » Je mis une demi-seconde à comprendre de quoi elle parlait et elle comprit que j’avais oublié. « C’est pas grave, marraine. Vous avez raison de me punir, je le mérite. » Je ne pouvais pas lui avouer qu’en fait j’avais aimé et même que j’espérais qu’elles recommencent à l’occasion. Son regard changea brusquement « T’es incroyable, toi. Tu es vraiment prête à tout ? » Mon hésitation à répondre lui indiqua qu’elle disait vrai. « Tu as tort, crois-moi. J’ai pas fini de te faire souffrir, ma petite chatte ».
Elle avait retrouvé son air sadique. Cela me fit frissonner. Elle le vit. « J’ai des tas d’idées pour toi. Tu vas devoir de plus en plus cacher ta virilité » ricana-t-elle… Elle avait touché juste. C’était bien mon problème.
« Ça devient compliqué marraine. Y a des garçons qui me collent de plus en plus. J’ai tellement peur qu’ils découvrent mon zizi. » Geneviève en profita pour poser sa main sur mon entrejambe et prendre mon sexe à pleine main. « Il faut arrêter de bander ma petite » « Je bande pas toujours. Parfois, j’aimerai ne plus rien avoir. Être comme vous. Au cas où on regarde sous mes jupes ou que, si quelqu’un me touche là, il ne sente rien. » « T’aimerais être une fille ? En vrai ? » «Ben… Parfois, oui, j’aimerai être une fille »
Elle sembla hésiter un instant « Tu sais que c’est possible ? Y a des garçons qui se font opérer. Y en a même qui se sont fait mettre un faux vagin. Tu connais Christine Jorgensen ? Ou Lili Elbe ? J’ai des articles de journaux, regarde »
Et elle me montra des photos, des reportages, des images des tableaux de Gerda Gottlieb.
Ce que je voyais était incroyable. Je ne savais pas qu’il était possible pour un homme de devenir une femme. Mes mains tremblaient en feuilletant les images. Si la vie de Lili me refroidit rapidement (elle était décédée des suites de son opération) je ne pouvais pas détourner mes yeux des photos de Christine que je trouvais d’une incroyable beauté et semblait toujours en parfaite santé. On la voyait en robe mais aussi en maillot de bain. Et on ne devinait absolument rien de sa virilité.
« Tu en penses quoi ? Tu aimerais faire comme elles ? » « Je … je sais pas. » Je tremblais toujours de tous mes membres. « D’un côté, oui, j’aimerai bien, mais d’un autre… » « Tu tiens tant que ça à ta petite bite ? Franchement elle est ridicule, non ? Tu trouves pas ? » C’est son rire qui me blessait le plus. Elle pensait vraiment ce qu’elle disait. « De toute façon, il faudra attendre tes 21 ans. On en reparlera à ce moment-là. »
« En attendant, c’est l’heure de la punition. Et ce soir j’ai un très beau cadeau pour toi. Pas de culotte à lécher. Tu vas aller directement à la source. Allez viens. »
Et elle m’entraina dans la chambre. « Je me suis levée très tard, j’ai pas eu le temps de prendre ma douche. Tu vas me faire ma toilette. Ma toilette intime. Tu comprends ? »
Bien sûr que j’avais compris. Mais je n’osais pas y croire. Elle allait m’offrir son sexe. Je n’en revenais pas. Ma seule réponse, débile, fut « mais Linda te l’a pas fait ? » Je me rendis immédiatement compte de mon erreur. Je n’étais pas sensée savoir ce qu’elle faisait avec Linda. « Qui t’a raconté ça ? » Je ne savais plus où me mettre. J’avouais « Je vous ai vues une fois. J’étais rentrée plus tôt et vous étiez dans la chambre » « Et tu nous regardes encore en douce ? Tu me dégoutes Colin. » il y avait longtemps qu’elle ne m’avait pas appelé ainsi.
Quand elle me haïssait, je redevenais Colin… « Non, Linda ne m’a pas ‘’nettoyée’’ ce matin, elle s’est endormie tout de suite. Elle était bourrée. Je me suis retrouvée toute seule, avec mes doigts, comme une conne. T’as compris ? » Bien sûr que j’avais compris.
Elle se radoucit soudain et me prit la main. « Allez, viens faire plaisir à ta maitresse, ma petite chatte adorée. » J’étais heureuse. J’allais voir la vulve de ma marraine adorée, la toucher, la lécher,…
Mais quel bonheur !
Elle s’allongea sur le lit, remontant doucement ses jupes. « Enlève-moi ma culotte ». Elle commençait à gémir doucement. Je m’agenouillais devant elle, glissant mes mains vers le haut de ses cuisses. J’attrapais le haut de sa culotte et doucement je commençais à tirer dessus. Je vivais le plus doux moment de ma vie. Sa touffe de poils apparut, puis sa fente. L’odeur me surprit. Je connaissais l’odeur de ses culottes, mais là c’était directement la source. Ma bite était énorme, enfin, toute proportion gardée.
Je pris un long moment pour descendre doucement l’étoffe jusqu’à ses pieds. Elle écarta ses jambes en grand, ouvrant sa foufoune au maximum. « Viens, bébé, viens lécher. Viens nettoyer ta reine. » Elle avait beaucoup de mal à retenir ses râles d’impatience.
Je posais doucement mes mains de part et d’autre de ses lèvres vaginales. Les effluves étaient incroyables. Je voyais le rose de son intérieur. Je voyais le liquide sortir du fonds de son puits. Elle gémissait et se cambrait pour attirer ma bouche « Vas-y lèche-moi, salope. Lèche-moi, petite garce. Lèche ta maitresse. Lèche. LECHE…. »
Je ne pouvais plus reculer. Ma bouche se posa délicatement sur ses grandes lèvres. Ma langue caressa doucement l’entrée de son conduit vaginal. Je fis le tour de ses grandes lèvres. Puis je pénétrai plus profondément. Geneviève hurlait de plaisir. Sa liqueur coulait dans ma bouche. J’avalais avec bonheur. Je léchais, j’aspirai, je lapais, je m’enfonçais en elle, j’entrais en elle, … Elle prit son plaisir pendant de longues minutes.
Je ne pus retenir le mien qui s’écoula dans sa culotte que je tenais toujours à la main.
Elle finit par reprendre ses esprits. Mais elle n’en avait pas fini avec ma punition. Elle souleva ses jambes pour relever ses fesses et m’exposer son autre petit trou « Il faut me laver le cul aussi. Il est tout sale. Je me suis pas lavée depuis hier matin. Tu te rends compte ? Ça fait deux jours. Ça me gratte » Et elle éclata de rire.
Je savais que je n’y échapperai pas et si cela me dégoutait, je sentais malgré tout le fameux petit picotement du plaisir sale… Et sans hésiter, je glissais ma langue dans son trou odorant comme j’avais vu faire Linda. Je léchais et avalais tout ce qui se trouvait dans cet endroit si peu ragoutant. Je me régalais. Et je ne pus retenir une nouvelle éjaculation totalement honteuse…
J’étais vraiment un monstre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par c-levis
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...