Ma reine chapitre 13

- Par l'auteur HDS c-levis -
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Récit libertin : Ma reine chapitre 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Ma reine chapitre 13
Le vendredi suivant, Geneviève m’annonça tout de suite « ce sera Linda, la gouine, qui te traira ce weekend. Elle t’a préparé ses plus belles culottes. Moi je suis indisposée si tu vois ce que je veux dire. » Evidemment je savais de quoi elle parlait. Linda me présenta ses culottes, j’en choisis une au hasard et me mis en position pour recevoir ma fessée. L’odeur de Linda était différente de celle de ma reine, plus douce, plus sucrée.

Les claques sur mes fesses étaient moins violentes que celles de ma reine. Linda était de toute évidence, plus douce. Une soumise, comme moi, en fait. Le nez dans ses secrétions vaginales, les fesses relevées, offertes à la main de ma douce amie, son autre main me masturbant plutôt maladroitement, je ne mis pas longtemps à lui offrir ma semence, que de toute évidence, elle n’aimait pas car elle s’essuya bien vite les mains. Moi, j’avais aimé.

Le lendemain matin, j’ai enfilé les vêtements préparés pour moi. Une robe blanche gonflée garnie de fleurs jaunes, des chaussures à talons blancs, une minuscule culotte blanche (mais sale), le soutien-gorge rembourré habituel et une paire de mi-bas blancs qui correspondaient à la robe et des chaussures jaunes, flambant neuves, avec des petits talons. La robe me parut plus longue que la semaine précédente ce qui me rassura. A tort. J’enfilais rapidement toutes ces merveilles.

Par-dessus la robe, un corsage et une ceinture venaient me serrer, mettant l'accent sur mes seins dodus enfermés dans le soutien-gorge rembourré. La jupe était très évasée, serrée très au-dessus de la taille, forçant l'ourlet pour qu'elle ressorte finalement bien au-dessus de mes genoux. La ceinture serrée fort à la taille avait pour effet de gonfler la jupe et de me faire sentir comme si j'étais pratiquement nue de la taille aux pieds d’autant que la culotte était minuscule et que je n’avais ni bas ni porte-jarretelles ; après tout ce que je venais de vivre les semaines précédentes et imaginant ce qu’elle m’imposerait aujourd’hui, cela ne me procura pas un sentiment agréable ni réconfortant, bien au contraire. Comment allais-je pouvoir protéger mon intimité ?

Quand je fus maquillée, coiffée, parfumée je prévins ma marraine qui m’attendait : « Allons-y, c’est jour de fête aujourd’hui. On va bien s’amuser de ton gage du jour ». Dans mon petit sac à main, j'avais quelques autres accessoires choisis pour leur valeur dans le cadre de mon déguisement plutôt que de la mode. Une paire de lunettes de soleil et un chapeau blanc ont été enfilés avant de sortir, et j’ai ajouté une écharpe jaune vif autour de mon cou. Je devais faire attention de ne pas empêtrer l'écharpe dans mes boucles d'oreilles. Je voyais Marraine avec des accessoires similaires et je pensais qu’avec ces trois accessoires supplémentaires, il y avait peu de chance que quelqu'un puisse soupçonner que j’étais un garçon. Mais je me sentais extrêmement mal à l’aise à cause de ma jupe très très évasée et de la légère brise qui ne manquerait de la soulever sans que je ne puisse rien y faire. Je devais surveiller chacun de mes gestes pour éviter qu’on ne voie mes dessous. Mais ce n’était rien par rapport à ce qui m’attendait.

« Il faut que j’aille aux toilettes, dit-elle soudain, suis-moi ». Elle se dirigea vers les toilettes publiques, entra avec son sac à main et me demanda de lui tenir la porte. J’entendais derrière la porte des bruissements distincts mais à aucun moment je n’entendis son petit pipi ce qui me surprit. La porte se rouvrit et elle me sourit étrangement.

« Je t’ai dit que j’avais mes règles aujourd’hui. Alors, ce qui serait normal, c’est que tu fasses comme moi, que tu mettes une serviette. »

"Une serviette, comment ça une serviette ? » Geneviève me sourit. « Serviette hygiénique, ma chérie. Tu sais bien, des serviettes hygiéniques, il t’en faut une pour la mettre dans ta culotte, comme moi. Pour ne pas salir ta culotte avec ce qui sort de ton ventre. Tu ne veux pas avoir un accident dans ta jolie robe ? Et que ça coule le long de tes jambes sur tes mi-bas tous blancs. Ce serait la honte » « mais je ne suis pas une fille, je n’ai pas de règles. » « Faux. Tu sais bien que tu n’as pas le choix, tu dois faire comme toute autre fille. En revanche, j’en n’ai plus de serviette. » elle sembla réfléchir, puis ajouta « Il n’y a qu’une solution, il faut que je te prête ma vieille en attendant. Tiens, je l’ai gardée pour toi. » Et elle me tendit sa vieille serviette ensanglantée.

Non, elle ne pouvait pas croire que je ferai cela. Ce n’était pas possible. Mettre ses culottes sales, déjà c’était horrible mais ses serviettes hygiéniques, NOOON. Evidemment ces pensées ne sortirent pas de ma bouche, je savais que cela ne servirait à rien.

Je pris une profonde inspiration et j'ouvris la porte des WC avec l’abject objet dans ma main. J’ai baissé ma culotte sale et placé la serviette dans le fonds du mieux que je pouvais avant de la remonter sur mes fesses. Le sentiment était encore plus insupportable que la culotte. C’était chaud, poisseux, …

Puis je sortis dans le soleil et encore plus inquiète je regardais la rue de haut en bas. Si quelqu'un me reconnaissait habillé comme un travesti, dessus et dessous, . . . Ainsi accoutrée, les conséquences étaient tout simplement trop horribles à imaginer.
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J’imaginai… J’imaginai… croiser un de mes copains de classe qui me reconnaitrait et qui de plus découvrirait que non seulement je porte des robes de filles, que je me maquille, etc.. Mais qu’en plus sous ma robe, je porte des culottes de filles… sales. Et encore pire que cela, que je porte dans le fonds de ma culotte une serviette hygiénique… sale. Oui, j’imaginai cette situation et cette pensée était abominable. Je les imaginais non seulement se moquant mais carrément me punissant et m’humiliant en public, dans des positions totalement inavouables… un cauchemar insoutenable… Je me voyais suppliant, pleurant, mais rien n’y changerait et leur haine s’affaisserait sur moi.
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« Il faut qu’on aille à la pharmacie acheter de nouvelles serviettes et aussi un paquet de tampons »

La marche vers la pharmacie prit une vingtaine de minutes. Ce ne fut pas la promenade la plus confortable que je fis, notamment du fait de mes talons hauts (mes pieds me faisaient horriblement mal) et de la serviette hygiénique horrible coincée contre mon bas ventre qui n’arrêtait pas de se déplacer, la colle ne tenait plus. Je devais lutter contre l'envie de passer ma main sous ma jupe et la rajuster contre la culotte bien trop étriquée que je portais ; J’étais constamment inquiète sur le fait que la serviette tombe ou que quelque autre accident horrible arrive. Je marchais doucement, prudemment, juste au cas où.

J’ai eu la chance que les seules personnes que je rencontrais le long du chemin étaient quelques mères qui promenaient l'après-midi avec leurs enfants. La plupart des enfants que je voyais étaient trop petits pour s’intéresser à moi. Chaque fois que je croisais quelqu'un, je baissais la tête, retenant mon souffle, craignant qu'à tout moment quelqu'un me pointe du doigt et dise : « Mais je vous reconnais ! Vous êtes le petit Colin ? »

Juste en arrivant devant la pharmacie, Marraine me dit que je devais y entrer seule et acheter les deux objets pour elle. « Ho, non, je t’en prie, pas ça, je ne peux pas ». D’un simple regard noir, elle me fit comprendre qu’il était inutile de discuter sa volonté. « Tu demandes des serviettes Kotex et des tampons Tampax. Rien de plus simple »

Entrer à l'intérieur du magasin fut une autre affaire. Il y avait du monde et je dus faire la queue. Seule au milieu de cette file de personnes sans savoir comment me contenir. Ma robe évasée avec mes bas mi longs visibles, les jupons qui dépassaient mais surtout il y avait ce que les gens ne voyaient pas et que moi je sentais. Je sentais physiquement et olfactivement car l’odeur remontait vraiment de sous moi. Sentiment horrible. Honte suprême. Et plus j’approchais de la banque de la pharmacie, plus la honte m’envahissait. Et la peur surtout ? Je pensais que je ne pourrais pas articuler les noms de ma liste. Demander de l’aspirine aurait déjà été un supplice dans ma situation. Mais des tampons ? Il y en avait surement plusieurs modèles. Des Maxi, des minis,… Que sais-je encore ?

"Mademoiselle, c’est à vous ? »

Mon visage était chaud et je me sentais un peu étourdie. « Bon.. bonjour madame… je voudrais une boite de serviettes hygiéniques et une de tampons. » « Pardon je n’ai pas entendu ». J’avais murmuré. Je devais me contrôler. Ne pas me faire remarquer surtout « une boite de serviettes hygiéniques et une de tampons » « quelle taille ? C’est pour vous ? » « Oui madame, taille moyenne » « de quelle marque sont celles que vous prenez d’habitude ? » je ne pouvais pas répondre, j’avais oublié, je ne connaissais pas de marques. Je ne savais plus quoi faire ? Je voulais partir en courant. La vendeuse vint à mon secours « Kotex ? » Ce nom me rappelait soudain quelque chose. Ouf. « C’est pour le jour ou la nuit ? » Oh mon dieu ces questions. « Pour le jour ». « J’ai ce modèle ou celui-ci ? » je choisis l’un des deux au hasard complet.

Voilà une bonne chose de faite Mais le plus dur restait à venir : les tampons. « Quel genre de tampons vous mettez ? Des petits je suppose ? » « Heu oui des petits » « Tampax ? » « Oui, oui Tampax » « vous utilisez des applicateurs ? » Des applicateurs ? Mais c’est quoi ça ? De quoi elle parle ? « Vous savez ce que c’est ? Un petit tuyau en plastique dans lequel on fait coulisser le tampon pour éviter de se salir les doigts. Ça rentre plus facilement aussi car c’est lubrifié » « Oui, c’est ça que je veux. » J’espérais que c’était bien ce que voulait Marraine. Ouf, il ne me restait qu’à régler la facture et vite ressortir avec mes biens. Derrière moi, un homme d’un certain âge me regardait avec un bien drôle de sourire… Mais l’essentiel était là, j’avais réussi. Je ne m’étais pas faite prendre. Tout le monde m’avait pris pour une vraie fille. Devais-je cependant me réjouir de cela ?

Geneviève parut satisfaite et me félicita « bravo, t’es une grande fille maintenant. Normal, t’as tes règles. Hi hi hi. »

« T’as pas envie de faire pipi. » « Si répondis-je sans m’inquiéter ». Nous entrâmes dans les toilettes des femmes. L’un des WC était très grand et elle décida que nous devions y entrer ensemble. Là encore je ne me méfiais pas. Elle fit son pipi tranquillement devant moi puis me laissa la place et me regarda avec attention, c’était toujours aussi gênant de devoir baisser mes culottes surtout avec la couche rouge, m’asseoir et faire mon pissou qui, comme toujours, tardait à venir. Toujours le même sentiment de honte d’être ainsi regardée dans mon intimité.

Je ne savais pas encore que dans quelques secondes le ciel allait me tomber sur la tête.

Geneviève sortit du sac de pharmacie la boite de Tampax « Ha c’est bien ça, je connaissais pas. Avec applicateur. Ça doit être super pratique. Bon, ben on va l’essayer » On ? Comment ça, on ? Geneviève semblait oublier que moi je ne pouvais sûrement pas utiliser cet objet. Elle, oui. Je ne pus m’empêcher de lui dire « ah, oui, tu peux essayer » « Moi, non. C’est toi qui vas essayer, je suis vierge au cas où tu en douterais donc je peux pas mettre ça ». Je ne comprenais pas. « Ben tu sais que là où ça se met, moi je peux pas » « ah oui, c’est vrai, t’as pas encore de vagin. J’avais oublié. » Ouf, pensais-je bêtement. « Ben… tant pis, on va le mettre ailleurs ». Ailleurs ? Je ne comprenais toujours pas où elle voulait en venir.

Après m’être essuyée, je remontais ma culotte et laissais retomber ma robe sur mes cuisses. Marraine défaisait tranquillement un tampon de son emballage plastique. L’objet était beaucoup plus long que je ne pensais (une vingtaine de centimètres) « ah oui, je comprends dit-elle, le tampon est dans l’applicateur, ensuite on pousse le tampon qui rentre à l’intérieur et on retire l’applicateur, le tampon ça fait que la moitié, en fait. Tu verras, t’auras pas mal » Elle semblait toujours penser que c’est moi qui le mettrai « allez tourne-toi et penche-toi en avant » « pardon ? Tu veux faire quoi ? » « Je vais te le mettre car toute seule, tu vas pas y arriver. Allez, penche-toi ». Tremblante, j’obéis. Elle souleva ma robe et baissa à peine ma culotte, juste pour découvrir mes fesses et pas ma « vulve ».

« Attrape tes fesses de chaque côté et écarte-les bien. Et penche-toi beaucoup plus. Encore ». Rouge de honte, j’obéis, attrapant mes fesses, j’ouvris mon anus. Je sentis la pointe douce et tiède de l’objet se poser contre mon petit trou. « Ho mon Dieu, non pas ça marraine, s’il te plait » « ben t’avais qu’à avoir un vagin comme toutes les filles, c’est pas de ma faute si t’es mal foutue. Pousse comme si tu voulais faire caca. C’est comme quand ta maman te mettait un suppo. Ça va rentrer tout seul, crois-moi ».

Mais non, cela ne rentrait pas et me faisait mal. « Ah zut, ça manque de lubrifiant. Attends, je vais tremper dans ma fente, le sang devrait aider. En plus, c’est bien que tu aies un peu de sang dans ton tampon. » Mais quelle horreur !... Effectivement l’objet entra désormais doucement et sans la moindre douleur. Bien au contraire, c’était d’une douceur extraordinaire. En plus les doigts de ma maitresse m’effleuraient. Je sentais l’objet entrer de plus en plus profondément. J’avais l’impression qu’il faisait un mètre de long. « Voilà je suis au bout, maintenant il faut que je pousse le tampon » Et je sentis une nouvelle sensation encore quand le tampon entra dans le plus profond de moi. Il y eut finalement un arrêt de la résistance, le tampon avait trouvé sa place au fond de mon anus. Et cela me faisait un bien fantastique malgré l’immense honte qui m’étreignait. Elle retira l’applicateur et remonta ma culotte rajoutant une petite claque bien sentie et je pus me relever.

Je n’osais pas regarder Geneviève qui me souriait avec tendresse avant qu’elle n’éclate de rire « t’es rouge comme une tomate. Alors ça fait quoi ? Ça doit être bien ? Apparemment t’as l’air d’aimer » je gardais les yeux baissés et ne pouvais pas répondre.

Elle jeta l’applicateur dans les toilettes et nous sortîmes. Une nouvelle fois j’étais dans la rue, encore plus abimée qu’avant, plus humiliée. Marcher dans la rue avec un truc dans le cul, devant tous les passants qui ne se doutaient de rien. « Tu ressens ce que ressent une fille » Elle me faisait marcher dans les rues, passer devant un maximum de magasins, de passants pour toujours m’humilier. Et cela la faisait rire. Je sentais parfois le vent s’engouffrer sous moi jusqu’à mon ventre. Il me fallait passer mes mains sur mes fesses et mon bas ventre pour éviter de tout montrer. Surtout avec tout ce que j’avais à cacher aujourd’hui.

Mes pieds me faisaient de plus en plus mal et je dus demander à Marie de m’asseoir sur un banc pour me soulager. Je n’imaginais pas la sensation encore amplifiée dans mon ventre par le simple fait de m’asseoir. Ma bite durcit à nouveau. Je retirai ma chaussure droite et pus découvrir une énorme ampoule à mon talon. La douleur était terrible et je pensais ne plus pouvoir remettre la chaussure. « Je peux plus marcher, ça me fait trop mal » « j’ai pas de solution, il faudra bien qu’on rentre ». J’avais une idée « on pourrait échanger nos chaussures, les tiennes n’ont pas de prise à l’arrière » « ben non justement je les mets plus ces modèles-là car ça me fait pareil » Raté.

Je ne compris que plus tard qu’une nouvelle fois, ma tortionnaire avait tout anticipé. Elle avait une idée :

« On est tout près de la pharmacie, ils auront peut-être quelque chose pour te soulager ». L’idée de retourner dans cette pharmacie où j’avais passé le pire quart d’heure de ma vie m’était insupportable « Non, je peux pas retourner là-bas, c’est là que j’ai acheté les…, les… » Je ne pouvais même pas finir ma phrase et éclatais en sanglot. « Mais enfin, je comprends pas tu t’en es bien sortie toute à l’heure, t’as tout fait comme il faut. Allez sois un peu forte, t’es pas une petite fille. On est juste à côté en plus, c’est ridicule » Ses arguments étaient imparables. Comment pouvais-je logiquement m’opposer à son idée ?

Je me retrouvai donc à nouveau dans la file d’’attente de cette maudite pharmacie. Toujours autant de monde et les mêmes personnes derrière la banque. Même situation que tout à l’heure avec un tout petit détail supplémentaire, le Tampax dans mon derrière. Honte encore décuplée. Mon tour approchait. Ne pas me tromper, parler assez fort, passer pour une fille. Être une fille, impérativement. Car s’ils découvraient la vérité, je serais morte. Cette fois-ci je n’échappais pas au patron « Bonjour. Je voudrais quelque chose pour une ampoule » « Vous avez une ampoule à quel endroit ? » « Au talon, c’est à cause de ma chaussure » « il faut que je voie, venez » il passa de mon côté et m’indiqua un petit fauteuil en mousse « asseyez-vous ».

Le fauteuil était très bas et je dus prendre mille précautions pour ne rien dévoiler en me baissant. Une main sur mes fesses pour placer la jupe sous moi, l’autre entre mes jambes pour plaquer les volants. Je me retrouvai dans une position très basse et inconfortable, les genoux relevés. Le tampon me faisait ressentir un bien-être honteux dans le ventre…

Le pharmacien prit mon pied et retira ma chaussure droite avec une infinie douceur. Puis sans détour attrapa mon bas et le fit glisser jusqu’à le retirer. Je ne pus m’empêcher de penser que par bonheur je n’avais pas de bas attachés au porte jarretelles. Immédiatement je ressentis cette fameuse boule dans mon bas ventre. C’était terrible. Je ressentais la même chose que s’il retirait ma culotte. C’était abominable. Mais le plus abominable c’est que j’aimais ça. Follement. Ne pas bander, surtout ne pas bander. S’il découvrait ma bite là-dessous, c’était la déchéance totale. Dans sa position il ne pouvait pas voire correctement mon talon, il le souleva donc un peu plus et le fit légèrement pivoter avec une pression sur moi pour me faire comprendre que je devais agir. Je fus contrainte de retirer ma main d’entre mes jambes pour me repositionner légèrement sur le côté. A-t-il déjà vu quelque chose sous ma robe ?


Je ne sais pas, je n’osais pas le regarder. Ma position était très inconfortable. Il me contorsionnait le pied pour l’examiner. Les clients me regardaient. J’étais au paroxysme du mal-être. « Il faut que je perce, je reviens ». Il me lâcha enfin et je pus reprendre une position plus confortable et présentable, je ramenais mes jupons sur moi pour me protéger. Mais je savais que tout allait recommencer. Les minutes furent interminables. Il revint et reprit mon pied. Il avait posé à côté de moi divers instruments. Il sortit une petite aiguille stérilisée « vous n’allez rien sentir, rassurez-vous » Tiens, la même phrase que Marraine tout à l’heure. Cela ramena à ma conscience la sensation presqu’oubliée du tampon dans mon fondement qui me faisait un bien intense. Mais il était bien là, toujours. L’aiguille était prête et à nouveau il me força à me contorsionner en tentant comme je pouvais de maintenir invisible ma culotte et ma serviette sale.

La petite douleur de la piqure me provoqua de nouveau une immense sensation de plaisir inavouable. Ne pas bander… je me contractais de toutes mes forces pour contrôler l’horrible sentiment qui m’envahissait. « Voilà, c’était rien, ça va vite passer. Je vais vous mettre un peu de pommade et un pansement, demain il n’y paraitra plus. » J’étais presque sauvée. Les caresses de la pommade me procurèrent une nouvelle sensation déplorable. C’est au moment où il me mit le pansement que je vis clairement qu’il regardait sous ma jupe découverte. Il voyait, j’en étais sûre. Il voyait tout. Ma honte atteignait des sommets jamais égalés. Il voyait. Ma culotte dégueulasse avec ma serviette surement mal positionnée et toute rouge. Pourvu qu’il ne voie pas mon zizi.

Pitié… ne pas bander.

Ne pas bander. Au secours… Le tampon me faisait une sensation incroyablement agréable, toute douce et chaude… Et tout d’un coup, je perdis tout contrôle de moi-même. Un immense lâcher-prise, une énorme boule au bas ventre, des halètements stupides que je n’arrivais pas à contrôler. J’étais dans le même état que lorsque Marraine m’avait fessée. Et bien sûr je reconnus immédiatement le sperme qui s’écoulait de moi. Oh mon dieu ! … Quelle horreur ! J’éjaculai, là devant cet homme qui regardait justement ma culotte et voyait peut-être le sperme… Je voulais me redresser mais je n’avais plus de force. Je voulais dormir, dormir. Mais quelles sensations extraordinaires !



« Hou la la, la petite se sent mal » Le pharmacien se releva et vint derrière moi, attrapa le fauteuil et le fit basculer en arrière. Je me sentis partir et mes jambes s’envoler. Malgré ma torpeur, il fallait que je réagisse, et vite. Je pensais d’abord sauter du fauteuil mais les forces me manquaient et je risquai là de me retrouver complètement dévoilée et offerte. Dans un réflexe de survie, je jetais mes mains sur ma robe pour vite la rabattre. Il était évident que les spectateurs m’avaient entièrement vue mais une seconde, pas plus. Je me rassurais comme je pouvais.

Le sperme continuait de s’écouler de moi sans que je puisse me retenir. J’avais l’impression d’avoir perdu un litre… Le pharmacien me tapota les joues « ça va petite ? ». Les deux pharmaciennes s’étaient précipitées et tous les clients étaient attroupés autour de moi. « Elle a fait un petit malaise, la piqure sans doute ». La jeune pharmacienne m’avait reconnue « elle a ses règles, la pauvre ». Je ne parvenais toujours pas à reprendre mes esprits. J’essayais de me relever mais sans aide, c’était impossible. « Il faut lui prendre la tension » L’apprentie revint avec l’appareil et je dus de nouveau lâcher ma robe pour qu’ils me passent le tensiomètre autour du bras « 12.8. Ça va » « Mais quand même elle a pas l’air bien, il faut peut-être appeler les pompiers »

Appeler les pompiers. OH NON, pas ça.

J’imaginais les pompiers dans l’ambulance me déshabillant et découvrant toutes les horreurs sous ma jupe, la culotte, la serviette immonde, puis mon zizi et le sperme dégoulinant et enfin, cerise sur le gâteau, le tampon dans le cul. J’en mourrais de honte, là, c’est sûr. « Ça va, murmurais-je, relevez-moi » je sentais le sperme couler sur mon ventre. Au secours. S’ils voient cela… Je soulevais ma main pour voir si une tache n’apparaissait pas sur ma robe. Mais non, rien. J’imaginais qu’en me relevant il y aurait peut-être une grosse tache sur le fauteuil. Ho là là, que j’étais mal… Quelle situation détestable ! Vite, sortir de là. Marraine au secours…

« On ne peut pas la laisser partir toute seule comme ça de toute façon, dit la pharmacienne. » « Il y a ma tante, dehors, elle a une robe bleue, elle s’appelle Geneviève » Je vis une cliente sortir et tout de suite après, enfin Geneviève apparut, l’air soucieuse tout à coup. Evidemment la situation était grave. Elle n’avait rien à gagner à ce que je sois découverte ici car elle était la responsable de tous mes malheurs. Dans le même temps, le pharmacien relevait mon fauteuil et je me retrouvai de nouveau assise. Je récupérai mon bas blanc et entrepris de le remettre en cachant bien mes dessous. Toujours cette angoisse de la tâche à venir. Je remis également ma chaussure. La pharmacie était pleine et les clients s’impatientaient, ce qui me sauva. Les trois pharmaciens reprirent leur poste et laissèrent Marraine s’occuper de moi avec une autre dame. Celle-ci m’aida à me relever en me tenant par les mains, rendant impossible le maintien de ma jupe et nul doute qu’à nouveau les spectateurs attentifs avaient pu tout voir sous moi.

J’étais rouge de honte.

Le pharmacien ajouta quand même « elle devrait voir un médecin car elle a pas l’air bien du tout ». Enfin, je sortais de cet enfer. Dans la rue, je m’effondrai dans les bras de ma tortionnaire en pleurs. Elle me réconforta avec une infinie tendresse. Heureusement qu’elle était là pensais-je tout bas, totalement inconsciente que c’était elle qui avait tout manigancé.

« Il faut que j’aille aux toilettes, murmurais-je entre deux sanglots » « Ben on a fait pipi il y a une demi-heure, on tiendra jusqu’à la maison maintenant ». Il fallait que je lui dise, pas le choix. « Il faut que je me nettoie » « nettoyer quoi ? » « Ben pendant que le pharmacien me soignait, j’ai…, j’ai…, j’ai pas pu me retenir » « tu veux dire que t’as éjaculé dans ta culotte ? » « Oui, c’était plus fort que moi, je pouvais pas me retenir » « tu te rends que ce que tu dis ? Tu comprends ce que ça veut dire ? T’as éjaculé pendant qu’un homme te caressait le pied ». Je comprenais ce qu’elle voulait dire. Mais non. Non, je n’étais pas homo, c’est sûr. Non, pas possible.

Je n’avais jamais été attiré par un homme, jamais. Je regardais toujours les filles dans la rue, jamais les garçons. Regarder sous les jupes des filles, il n’y avait que cela qui me faisait bander, rien d’autre. « Non, c’est pas ça. Il a piqué mon ampoule et surtout il regardait sous ma jupe, il voyait ma culotte, j’en suis sûr et rien que de penser à ce qui pourrait arriver s’il découvrait tout ce qu’il y avait sous ma culotte. J’avais tellement honte. Je sais pas comment dire » « d’accord, je crois que je vois le problème. C’est comme quand je t’ai fessée cul nu l’autre fois. Ce que t’aimes c’est souffrir et être humiliée ». Elle avait raison. Que pouvais-je objecter ? Rien. Mais qu’elle ait compris cela me laissait augurer encore bien des turpitudes pour les prochaines semaines. Mais ma priorité était de me nettoyer. Une grande partie du sperme était resté coincé dans mon prépuce, je le sentais et cela commençait à me chatouiller. Il fallait que j’évacue tout cela, au plus vite. « Non, on va pas aux toilettes. Je t’avais dit de te contrôler. Tant pis pour toi. Tu dois assumer tes actes. T’es grande maintenant. T’as tes règles, n’oublie pas. » Et voilà le jeu de l’humiliation reprenait immédiatement.

Cela ne finirait donc jamais…

Je sentais le sperme couler dans ma culotte. Il devait, par chance, rester bloqué dans la serviette. Finalement heureusement que je l’avais aujourd’hui. « On va prendre le bus » décréta ma reine. Il y avait encore quelques centaines de mètres pour regagner la gare et mon zizi me démangeait de plus en plus. Il fallait absolument que je libère le sperme restant dans mon prépuce. Aucune autre solution que de passer ma main sous ma robe. J’essayais de le faire le plus discrètement possible…

« Tu fais quoi là ? T’as déjà vu une fille passer sa main sous sa jupe en public ? Ça ne se fait pas ». Je retirai ma main, très mal à l’aise mais j’avais réussi à dégager mon zizi qui put s’écouler. Ça me grattait et ça coulait. Oui, ça coulait. Ça débordait de mes culottes. Ça coulait le long de mes jambes. Mon Dieu… Le bus, vite, que je puisse m’asseoir et essayer par tous moyens de réparer les dégâts. Il me fallait déjà regarder. Ma robe était si courte et si évasée que forcément ce que je sentais se voyait. Je ressentais le filet jusqu’à mon genoux… Enfin le bus. Je montais vite et cherchais une place tranquille où je pourrais discrètement faire ma petite toilette. Mais Marraine me rappela aussitôt « viens, on se met devant, y a personne. » Exactement ce que je ne voulais surtout pas. Je poursuivis vers le fond mais Marie hurla. Pas le choix, je dus revenir et m’installer à côté d’elle juste en face de l’entrée du bus.

Chaque personne qui montait se trouvait juste en dessous de moi. J’étais en ligne de mire directe… Je devais serrer les jambes de toutes mes forces pour éviter de m’exposer impudiquement. L’effort étant trop exigeant je me relâchais entre deux clients mais parfois ils arrivaient sans que je les voie venir. Nul doute qu’ils devaient voir jusqu’à mon triangle blanc. Et donc également toutes mes jambes dont celle qui dégoulinait de sperme… « Je voulais juste me mettre au fond pour m’essuyer un peu la jambe. Ça coule ». « C’est bien fait pour toi, Sissie. Tu n’as qu’à te contenir. En plus t’as sûrement aussi sali la robe. Comment je vais faire pour la laver ? C’est toi qui le feras d’ailleurs, un jour où on restera à la maison tu feras notre lessive et tu repasseras. Tu sais si bien repasser en plus depuis, que je t’ai appris. En revanche il faut que je réfléchisse à ta punition. Je t’avais prévenue. » « Je l’ai pas fait exprès Marraine. » « Ben, encore heureux. Pourquoi tu fais pas comme moi ? Il faut jouir le soir dans ton lit. T’es vraiment dégueulasse. Il faut une punition qui te fasse obéir définitivement… » je marmonnais « je suis déjà punie tous les jours » « Qu’est-ce que tu dis ? » « Rien, rien ». « Répète, c’est un ordre ». Elle me pinça violemment le bras ce qui me fit bouger de mon siège découvrant largement mes dessous au couple qui montait à l’instant. « Aïe…. Je dis que je suis déjà punie tous les jours et sans raisons en plus ». « Punie ? Je comprends pas. Je procure à mademoiselle des sensations qui la font jouir et elle appelle ça des punitions ? Je ne sais pas ce que je vais faire de toi ». Cette dernière phrase me rappela ma mère qui la répétait en boucle. Ma mère. Si elle me voyait aujourd’hui, elle aurait vraiment de bonnes raisons de se la poser… Oui, qu’allais-je devenir ? Je jouissais d’être punie. Punie sans raisons. Punie bien qu’innocente. Car même si elle punissait demain ma conduite coupable de ce jour, je me sentais toujours innocente. C’est elle qui me forçait à faire des choses dégoutantes.

Nous n’échangeâmes plus jusqu’à chez elle. Était-elle fâchée ou réfléchissait-elle à la prochaine punition ? La douche fut particulièrement bienvenue. Les taches séchées sur ma jambe et mon bas ventre particulièrement difficiles à ravoir… Et quel plaisir de découvrir mon prépuce pour laisser filer les dernières gouttes encore prisonnières…

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