ma reine chapitre 3
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Fétichisme
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ma reine chapitre 3
Chapitre 3
Et nous voici parties toutes les quatre en direction de la colline. La première partie de la balade était en ville donc facile, néanmoins, je devais surveiller ma démarche et souvent tenir ma jupe plaquée contre mes jambes. Cela devint encore plus compliqué quand le chemin commença à monter avec beaucoup de monde autour de nous. Je sentais le vent sur mes jambes nues. Je sentais aussi les regards. Et ce n’était pas seulement les plus jeunes qui me regardaient mais plutôt des hommes plus âgés qui, au bras de leur femme, n’hésitaient pas à me reluquer avec envie, me souriant parfois.
Mes copines papotaient entre elles me laissant souvent un peu à part alors que j’aurais tellement aimé me serrer entre elles, qu’elles me tiennent la main comme elles faisaient parfois. Cela faisait sans doute partie de la punition.
Arrivées au sommet, nous nous installâmes pour le pique-nique dans le grand pré où se trouvaient déjà des dizaines de personnes. Tous les bancs étant déjà pris, il fallut s’asseoir par terre ce qui pour moi était une nouvelle épreuve. Tenir ma jupe et m’asseoir sans révéler les dessous (et le dessous des dessous). Pas facile. En me baissant je sentis les odeurs intimes remonter à mes narines, ce qui rajouta mon sentiment de honte.
Mes « copines » guettaient du coin de l’œil comment je m’y prenais avec des petits sourires entendus. Je n’osais pas regarder alentour si d’autres personnes me regardaient également. Une fois assise, je devais obligatoirement garder mes jambes collées au sol ce qui n’était pas confortable. Nous partageâmes le repas en riant. Elles se racontaient des blagues et parfois me lançaient une petite flèche « hein, ma petite chatte, tu en penses quoi ? » La question était souvent anodine et soft mais c’est le « petite chatte » qui m’humiliait à chaque fois. Elle avait bien choisi mon petit surnom…
Après manger, un groupe de jeunes improvisa un petit match de badminton. Nicole se leva et demanda si elle pouvait échanger quelques balles, les garçons lui prêtèrent une raquette et elle s’amusa quelques minutes. Je savais ce qui allait arriver…
« Pffff, j’en peux plus. Tu me remplaces Virginie ? » Et voilà ! le piège tant redouté. « Je peux pas, je suis en jupe ». « Moi aussi répondit-elle » « Mais tu as un short dessous ». « Allez, va t’amuser un peu mon petit chaton, rajouta Geneviève. Tu es jeune toi, tu as besoin d’exercice » « Mais marraine… » « Il n’y a pas de mais marraine. Tu sais pourquoi on est là ».
Les garçons en chœur et tout sourire chantaient « Allez Virginie, avec nous. Virginie avec nous… ».
Impossible d’échapper à mon sort. Précautionneusement je me relevais, les jambes serrées au maximum. Nicole me tendit sa raquette. Jouer sans faire remonter ma jupe était quasiment impossible, d’autant que le vent était toujours là. Je retenais ma jupe d’une main et jouait de l’autre. Quand une balle était trop haute, je ne pouvais pas lever le bras, cela aurait remonté ma jupe, donc je devais la laisser tomber au sol. Mais ensuite il fallait la ramasser. Parfois un garçon proche le faisait gentiment à ma place. Il était gentil celui-ci mais les autres suivaient avec attention mes moindres mouvements. Impossible de me pencher pour ramasser la balle, donc à chaque fois, c’est accroupie que je le faisais, jambes serrées autant que possible. Mais il était impossible qu’ils ne voient pas régulièrement un bout de coton blanc tout en haut de mes cuisses nues. Surtout que personne ne remarque que la fameuse petite chatte n’existait pas. Quelle aurait été leur réaction ?
J’imaginais…
------------------------------------------------------------------------------------------------
« mais je ne comprends pas, t’es un garçon ? » Rouge de honte, je bafouillerai « mais non, mais non, je…, je suis, je suis… une fille » Cherchant désespérément du regard un soutien de mes amies qui détourneraient le regard me laissant seule avec mes mensonges. J’imaginais la colère des garçons qui me cloueraient au pilori pour baisser ma culotte et s’assurer de la vérité, me faisant ensuite une terrible bastonnade fessière devant tous les piques niqueurs réunis en cercle.
----------------------------------------------------------------------------------------------
Je ne savais pas d’où me venaient toutes ces idées mais elles avaient sur moi un effet dévastateur. Certes, je craignais que cela se produise mais en même temps, je le souhaitais. Être humilié devant tout ce monde me donnait des frissons et des tourbillons de bien-être dans le creux du ventre. C’était horrible d’avoir ces pensées-là. A ce moment-là…
Je réussis à mettre fin à la partie sans être inquiétée et revins vers mon groupe, rouge de honte, la larme à l’œil « vous n’êtes pas gentilles » « tu vois ce que ça fait d’être considérée comme un simple morceau de viande offert aux regards avides des garçons obsédés ? Si on fait cela c’est pour t’apprendre à te comporter correctement avec les filles à l’avenir. C’est pour ton bien », répondit Geneviève en me caressant doucement le bras. « Un garçon ne doit rien imposer à une fille. Si elle n’est pas d’accord, tu n’as aucun droit sur elle. Ni de regarder sous sa jupe, ni d’essayer de la mater quand elle se déshabille, ni de te branler dans ses culottes sales. C’est compris ? »
« Oui marraine, je te promets que je ne le ferai plus. Pleurnichais-je lamentablement ».
Je craignais surtout que des voisins n’entendent cette conversation car elle ne baissait pas le ton quand elle me parlait ainsi. Je voulais que tout s’arrête et que nous rentrions. Mais mes copines ne l’entendaient pas de la sorte et s’étaient allongées sur la pelouse et semblaient décidées à y rester des heures à papoter. Martine me prit contre elle et posa sa tête sur mon ventre. Elle commença à me caresser doucement et innocemment la jambe, ce qui, évidemment ne me laissa pas insensible.
« Comme ta peau est douce, chaton ». Ses paroles avaient autant d’effet que ses caresses. Ma petite zézette pointait droit et malgré l’amplitude de ma jupe, je craignais que cela ne soit visible. J’aurai voulu relever mes genoux mais je ne pouvais pas d’autant qu’un homme se trouvait juste en prolongement de moi et me zieutait effrontément. Martine ignorait totalement mon trouble et continuait ses petites caresses « elle a une peau de bébé, c’est fou. On dirait vraiment une jambe de fille » Les autres riaient de concert. « Tu as raison, une vraie petite chattounette ». « Ceci dit, elle vient juste d’être épilée.»
Je craignais tellement que d’autres personnes entendent ce discours. Quelle situation détestable !...
Mais un autre problème me titillait depuis un long moment déjà et je ne pouvais plus reculer. Je m’approchais de Geneviève et lui murmurais à l’oreille « Marraine, j’ai envie de faire pipi ».
« Eh bien, tu vas faire comme nous. Il n’y a pas de toilettes ici donc tu vas derrière un bosquet et tu essaies de faire en sorte que personne ne te voie. Attention aux voyeurs, ils sont nombreux ici. Certains n’attendent que cela. » J’étais tétanisée. « Allez, je suis gentille, je vais t’accompagner. Je vais en profiter aussi ».
Elle m’entraina derrière un buisson un peu éloigné s’assurant que personne ne nous avait suivies.
« Je t’explique le pipi des filles. Tu relèves ta robe et tu baisses vite ta culotte et vite, vite accroupie. Tu laisses ta culotte au niveau des genoux pour cacher éventuellement ton entrejambe et tu fais vite ton pissou. Ensuite tu n’oublies pas de t’essuyer et tu remontes vite ta robe. C’est presqu’une course de vitesse. Et bien sûr tu surveilles en permanence que personne ne lorgne dans ta direction ni ne s’approche de ta cachette ». J’étais nerveuse comme jamais. Je la laissais commencer et m’installais vite en face d’elle, agissant comme elle l’avait indiqué. Personne à l’horizon. Le stress me permit de ne pas avoir d’érection qui aurait compliqué la miction. Ma vessie se vida rapidement et je pus prestement me relever et me rhabiller.
« Tu ne t’es pas essuyée ». Ah zut. Je dus recommencer et attraper un mouchoir jetable pour essuyer le bout de mon tuyau. Grrr. Je ne pus m’empêcher de regarder sous la jupe de Geneviève alors qu’elle était encore en position. C’était la première fois que je voyais son sexe. Quelle émotion ! Mais celle-ci fut de courte durée car immédiatement je croisais son regard qui me fusillait littéralement. Je baissais les yeux, honteux et me relevais rapidement. Geneviève se releva également sans un mot mais visiblement courroucée. Nous rejoignîmes les autres et sans autre forme d’explications elle imposa « On rentre ». A son expression elles comprirent qu’il y avait un souci et se levèrent immédiatement.
Les trois femmes discutèrent entre elles me laissant à distance. J’étais honteux. Mais que pouvaient-elles se dire ? Allaient-elles m’imposer de nouvelles punitions ? Ou de nouveau me priver de leur présence ? Au fond de moi, j’espérais de nouvelles punitions car la pire des punitions aurait été de ne plus les voir. Je ne saurais jamais ce qu’elles tramaient car un événement imprévu imposa de nouvelles règles.
Nous fûmes abordés par le curé qui revenait de promenade et qui, reconnaissant Geneviève, Martine et Nicole nous dit gentiment bonjour à toutes les quatre, puis se tournant vers moi
« Qui est cette charmante jeune personne qui vous accompagne ? Il me semble la reconnaitre. » J’étais tétanisé. Je connaissais le curé pour avoir souvent accompagné Geneviève à la messe notamment. « C’est ma filleule, elle s’appelle Virginie. Elle vient passer le weekend chez moi de temps en temps. Vous avez dû la voir quand nous sommes venues au spectacle de Luis Mariano la dernière fois à la paroisse. »
« Ah oui, c’est sans doute cela dont je me souviens. Virginie : c’est un bien beau prénom qui n’est pas sans rappeler notre très sainte vierge. Vous savez Geneviève que j’aime bien avoir des jeunes filles pour mes œuvres. Quand vous aviez son âge, vous m’aidiez pour livrer la soupe populaire à nos pauvres. Je serai heureux que mademoiselle rejoigne notre petit groupe. »
« C’est que, heu… Virginie ne vient pas souvent chez moi. » « Peu importe si ce n’est pas souvent. On pourrait tester demain après-midi. Qu’en dites-vous ma belle ? » C’est à moi qu’il s’adressait directement maintenant. Il fallait que je réponde. Je me sentais prise au piège. « C’est que, heu… » Geneviève m’empêcha de mentir « Oui, elle viendra, c’est une très bonne idée. J’avais adoré faire cela quand j’avais son âge. Ces gens sont tellement dans le besoin. Elle ne peut pas refuser de faire du bien. N’est-ce pas Virginie ?» Evidemment que je ne pouvais pas refuser de faire du bien mais ma crainte était de le faire habillé en fille. Et surtout d’être découverte. Mon objectif était de trouver une excuse pour ne pas y aller mais marraine avait coupé court à toute autre possibilité. J’étais piégé. Et si je voulais continuer à voir ma marraine et ses copines, je comprenais que ce serait sans doute désormais toujours habillé en fille. Mais il était évident que tôt ou tard je serais démasqué.
« Et demain, nous avons la messe. Virginie pourrait m’aider à faire la quête. Cela aussi, vous l’avez fait Geneviève. Vous savez que les gens sont plus généreux quand c’est une jolie jeune fille qui fait la quête. » « C’est vrai, sourit Geneviève. Oui, elle fera la quête demain matin. »
« En revanche, il faudra une tenue un peu plus…. Un peu moins frivole, disons. Plus sage. » « Bien sûr mon père. Aujourd’hui c’est spécial. Demain elle sera parfaite. Une vraie petite sainte…Vierge » Et tout le monde se mit à rire de cette blague qui, moi, me laissa pantois et honteux.
Le curé continua de parler avec les femmes et la discussion revenait systématiquement sur la beauté des jeunes filles en général et la mienne en particulier. Cela commençait d’ailleurs à quelque peu m’intriguer. Au moment où nous approchions du logement de Geneviève, nos chemins allant se séparer, nous nous arrêtâmes tous sans que l’abbé cesse de discuter. Me pinçant la joue, il ajouta encore un commentaire:
« Elle est vraiment très belle. Un si beau visage, très doux. Et cette coiffure courte lui va à ravir. D’habitude, j’aime les cheveux longs mais elle, cette coupe un peu garçonne lui va extrêmement bien. J’espère que tu viendras tous les weekends, tu seras bientôt la coqueluche de mon église. » J’étais rouge de honte devant ces compliments déconcertants et ô combien gênants. Enfin, il nous abandonna après nous avoir baisé la main à toutes.
Les filles étaient toutes excitées « Il va falloir lui trouver une belle robe pour demain. » « J’en ai plusieurs, répondit Geneviève. » « Mais peut-être faut-il qu’elle ait quelque chose que le curé ne risque pas d’avoir vu sur toi. J’en amènerai deux, trois demain que je mettais quand j’avais son âge. » Elles s’extasiaient toutes à l’idée de me faire la plus belle possible alors que moi, j’étais au bord des larmes, angoissé comme jamais.
« Un jour quelqu’un découvrira qui je suis, ce sera la honte, ce sera… un scandale... Il faut arrêter ce jeu tant qu’il est encore temps. » C’est Geneviève qui me répondit sévèrement « Tu n’as pas le choix, au moins pour demain, ma petite chatte. Ensuite ? Ensuite, tout dépendra de toi. Soit, tu reviens nous voir en fille, soit, tu ne reviens plus jamais et je trouverai une explication pour le curé… et ta mère. » C’était bien la réflexion que je m’étais déjà faite, je ne pourrai plus apparaitre en garçon désormais. Et je ne pouvais pas me faire à l’idée de ne plus voir mes amies… Donc…
Et peut-être aussi une autre raison que je n’osais pas m’avouer mais qui me troublait terriblement et faisait gonfler mon petit sexe toujours serré dans la culotte de ma marraine.
Et nous voici parties toutes les quatre en direction de la colline. La première partie de la balade était en ville donc facile, néanmoins, je devais surveiller ma démarche et souvent tenir ma jupe plaquée contre mes jambes. Cela devint encore plus compliqué quand le chemin commença à monter avec beaucoup de monde autour de nous. Je sentais le vent sur mes jambes nues. Je sentais aussi les regards. Et ce n’était pas seulement les plus jeunes qui me regardaient mais plutôt des hommes plus âgés qui, au bras de leur femme, n’hésitaient pas à me reluquer avec envie, me souriant parfois.
Mes copines papotaient entre elles me laissant souvent un peu à part alors que j’aurais tellement aimé me serrer entre elles, qu’elles me tiennent la main comme elles faisaient parfois. Cela faisait sans doute partie de la punition.
Arrivées au sommet, nous nous installâmes pour le pique-nique dans le grand pré où se trouvaient déjà des dizaines de personnes. Tous les bancs étant déjà pris, il fallut s’asseoir par terre ce qui pour moi était une nouvelle épreuve. Tenir ma jupe et m’asseoir sans révéler les dessous (et le dessous des dessous). Pas facile. En me baissant je sentis les odeurs intimes remonter à mes narines, ce qui rajouta mon sentiment de honte.
Mes « copines » guettaient du coin de l’œil comment je m’y prenais avec des petits sourires entendus. Je n’osais pas regarder alentour si d’autres personnes me regardaient également. Une fois assise, je devais obligatoirement garder mes jambes collées au sol ce qui n’était pas confortable. Nous partageâmes le repas en riant. Elles se racontaient des blagues et parfois me lançaient une petite flèche « hein, ma petite chatte, tu en penses quoi ? » La question était souvent anodine et soft mais c’est le « petite chatte » qui m’humiliait à chaque fois. Elle avait bien choisi mon petit surnom…
Après manger, un groupe de jeunes improvisa un petit match de badminton. Nicole se leva et demanda si elle pouvait échanger quelques balles, les garçons lui prêtèrent une raquette et elle s’amusa quelques minutes. Je savais ce qui allait arriver…
« Pffff, j’en peux plus. Tu me remplaces Virginie ? » Et voilà ! le piège tant redouté. « Je peux pas, je suis en jupe ». « Moi aussi répondit-elle » « Mais tu as un short dessous ». « Allez, va t’amuser un peu mon petit chaton, rajouta Geneviève. Tu es jeune toi, tu as besoin d’exercice » « Mais marraine… » « Il n’y a pas de mais marraine. Tu sais pourquoi on est là ».
Les garçons en chœur et tout sourire chantaient « Allez Virginie, avec nous. Virginie avec nous… ».
Impossible d’échapper à mon sort. Précautionneusement je me relevais, les jambes serrées au maximum. Nicole me tendit sa raquette. Jouer sans faire remonter ma jupe était quasiment impossible, d’autant que le vent était toujours là. Je retenais ma jupe d’une main et jouait de l’autre. Quand une balle était trop haute, je ne pouvais pas lever le bras, cela aurait remonté ma jupe, donc je devais la laisser tomber au sol. Mais ensuite il fallait la ramasser. Parfois un garçon proche le faisait gentiment à ma place. Il était gentil celui-ci mais les autres suivaient avec attention mes moindres mouvements. Impossible de me pencher pour ramasser la balle, donc à chaque fois, c’est accroupie que je le faisais, jambes serrées autant que possible. Mais il était impossible qu’ils ne voient pas régulièrement un bout de coton blanc tout en haut de mes cuisses nues. Surtout que personne ne remarque que la fameuse petite chatte n’existait pas. Quelle aurait été leur réaction ?
J’imaginais…
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« mais je ne comprends pas, t’es un garçon ? » Rouge de honte, je bafouillerai « mais non, mais non, je…, je suis, je suis… une fille » Cherchant désespérément du regard un soutien de mes amies qui détourneraient le regard me laissant seule avec mes mensonges. J’imaginais la colère des garçons qui me cloueraient au pilori pour baisser ma culotte et s’assurer de la vérité, me faisant ensuite une terrible bastonnade fessière devant tous les piques niqueurs réunis en cercle.
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Je ne savais pas d’où me venaient toutes ces idées mais elles avaient sur moi un effet dévastateur. Certes, je craignais que cela se produise mais en même temps, je le souhaitais. Être humilié devant tout ce monde me donnait des frissons et des tourbillons de bien-être dans le creux du ventre. C’était horrible d’avoir ces pensées-là. A ce moment-là…
Je réussis à mettre fin à la partie sans être inquiétée et revins vers mon groupe, rouge de honte, la larme à l’œil « vous n’êtes pas gentilles » « tu vois ce que ça fait d’être considérée comme un simple morceau de viande offert aux regards avides des garçons obsédés ? Si on fait cela c’est pour t’apprendre à te comporter correctement avec les filles à l’avenir. C’est pour ton bien », répondit Geneviève en me caressant doucement le bras. « Un garçon ne doit rien imposer à une fille. Si elle n’est pas d’accord, tu n’as aucun droit sur elle. Ni de regarder sous sa jupe, ni d’essayer de la mater quand elle se déshabille, ni de te branler dans ses culottes sales. C’est compris ? »
« Oui marraine, je te promets que je ne le ferai plus. Pleurnichais-je lamentablement ».
Je craignais surtout que des voisins n’entendent cette conversation car elle ne baissait pas le ton quand elle me parlait ainsi. Je voulais que tout s’arrête et que nous rentrions. Mais mes copines ne l’entendaient pas de la sorte et s’étaient allongées sur la pelouse et semblaient décidées à y rester des heures à papoter. Martine me prit contre elle et posa sa tête sur mon ventre. Elle commença à me caresser doucement et innocemment la jambe, ce qui, évidemment ne me laissa pas insensible.
« Comme ta peau est douce, chaton ». Ses paroles avaient autant d’effet que ses caresses. Ma petite zézette pointait droit et malgré l’amplitude de ma jupe, je craignais que cela ne soit visible. J’aurai voulu relever mes genoux mais je ne pouvais pas d’autant qu’un homme se trouvait juste en prolongement de moi et me zieutait effrontément. Martine ignorait totalement mon trouble et continuait ses petites caresses « elle a une peau de bébé, c’est fou. On dirait vraiment une jambe de fille » Les autres riaient de concert. « Tu as raison, une vraie petite chattounette ». « Ceci dit, elle vient juste d’être épilée.»
Je craignais tellement que d’autres personnes entendent ce discours. Quelle situation détestable !...
Mais un autre problème me titillait depuis un long moment déjà et je ne pouvais plus reculer. Je m’approchais de Geneviève et lui murmurais à l’oreille « Marraine, j’ai envie de faire pipi ».
« Eh bien, tu vas faire comme nous. Il n’y a pas de toilettes ici donc tu vas derrière un bosquet et tu essaies de faire en sorte que personne ne te voie. Attention aux voyeurs, ils sont nombreux ici. Certains n’attendent que cela. » J’étais tétanisée. « Allez, je suis gentille, je vais t’accompagner. Je vais en profiter aussi ».
Elle m’entraina derrière un buisson un peu éloigné s’assurant que personne ne nous avait suivies.
« Je t’explique le pipi des filles. Tu relèves ta robe et tu baisses vite ta culotte et vite, vite accroupie. Tu laisses ta culotte au niveau des genoux pour cacher éventuellement ton entrejambe et tu fais vite ton pissou. Ensuite tu n’oublies pas de t’essuyer et tu remontes vite ta robe. C’est presqu’une course de vitesse. Et bien sûr tu surveilles en permanence que personne ne lorgne dans ta direction ni ne s’approche de ta cachette ». J’étais nerveuse comme jamais. Je la laissais commencer et m’installais vite en face d’elle, agissant comme elle l’avait indiqué. Personne à l’horizon. Le stress me permit de ne pas avoir d’érection qui aurait compliqué la miction. Ma vessie se vida rapidement et je pus prestement me relever et me rhabiller.
« Tu ne t’es pas essuyée ». Ah zut. Je dus recommencer et attraper un mouchoir jetable pour essuyer le bout de mon tuyau. Grrr. Je ne pus m’empêcher de regarder sous la jupe de Geneviève alors qu’elle était encore en position. C’était la première fois que je voyais son sexe. Quelle émotion ! Mais celle-ci fut de courte durée car immédiatement je croisais son regard qui me fusillait littéralement. Je baissais les yeux, honteux et me relevais rapidement. Geneviève se releva également sans un mot mais visiblement courroucée. Nous rejoignîmes les autres et sans autre forme d’explications elle imposa « On rentre ». A son expression elles comprirent qu’il y avait un souci et se levèrent immédiatement.
Les trois femmes discutèrent entre elles me laissant à distance. J’étais honteux. Mais que pouvaient-elles se dire ? Allaient-elles m’imposer de nouvelles punitions ? Ou de nouveau me priver de leur présence ? Au fond de moi, j’espérais de nouvelles punitions car la pire des punitions aurait été de ne plus les voir. Je ne saurais jamais ce qu’elles tramaient car un événement imprévu imposa de nouvelles règles.
Nous fûmes abordés par le curé qui revenait de promenade et qui, reconnaissant Geneviève, Martine et Nicole nous dit gentiment bonjour à toutes les quatre, puis se tournant vers moi
« Qui est cette charmante jeune personne qui vous accompagne ? Il me semble la reconnaitre. » J’étais tétanisé. Je connaissais le curé pour avoir souvent accompagné Geneviève à la messe notamment. « C’est ma filleule, elle s’appelle Virginie. Elle vient passer le weekend chez moi de temps en temps. Vous avez dû la voir quand nous sommes venues au spectacle de Luis Mariano la dernière fois à la paroisse. »
« Ah oui, c’est sans doute cela dont je me souviens. Virginie : c’est un bien beau prénom qui n’est pas sans rappeler notre très sainte vierge. Vous savez Geneviève que j’aime bien avoir des jeunes filles pour mes œuvres. Quand vous aviez son âge, vous m’aidiez pour livrer la soupe populaire à nos pauvres. Je serai heureux que mademoiselle rejoigne notre petit groupe. »
« C’est que, heu… Virginie ne vient pas souvent chez moi. » « Peu importe si ce n’est pas souvent. On pourrait tester demain après-midi. Qu’en dites-vous ma belle ? » C’est à moi qu’il s’adressait directement maintenant. Il fallait que je réponde. Je me sentais prise au piège. « C’est que, heu… » Geneviève m’empêcha de mentir « Oui, elle viendra, c’est une très bonne idée. J’avais adoré faire cela quand j’avais son âge. Ces gens sont tellement dans le besoin. Elle ne peut pas refuser de faire du bien. N’est-ce pas Virginie ?» Evidemment que je ne pouvais pas refuser de faire du bien mais ma crainte était de le faire habillé en fille. Et surtout d’être découverte. Mon objectif était de trouver une excuse pour ne pas y aller mais marraine avait coupé court à toute autre possibilité. J’étais piégé. Et si je voulais continuer à voir ma marraine et ses copines, je comprenais que ce serait sans doute désormais toujours habillé en fille. Mais il était évident que tôt ou tard je serais démasqué.
« Et demain, nous avons la messe. Virginie pourrait m’aider à faire la quête. Cela aussi, vous l’avez fait Geneviève. Vous savez que les gens sont plus généreux quand c’est une jolie jeune fille qui fait la quête. » « C’est vrai, sourit Geneviève. Oui, elle fera la quête demain matin. »
« En revanche, il faudra une tenue un peu plus…. Un peu moins frivole, disons. Plus sage. » « Bien sûr mon père. Aujourd’hui c’est spécial. Demain elle sera parfaite. Une vraie petite sainte…Vierge » Et tout le monde se mit à rire de cette blague qui, moi, me laissa pantois et honteux.
Le curé continua de parler avec les femmes et la discussion revenait systématiquement sur la beauté des jeunes filles en général et la mienne en particulier. Cela commençait d’ailleurs à quelque peu m’intriguer. Au moment où nous approchions du logement de Geneviève, nos chemins allant se séparer, nous nous arrêtâmes tous sans que l’abbé cesse de discuter. Me pinçant la joue, il ajouta encore un commentaire:
« Elle est vraiment très belle. Un si beau visage, très doux. Et cette coiffure courte lui va à ravir. D’habitude, j’aime les cheveux longs mais elle, cette coupe un peu garçonne lui va extrêmement bien. J’espère que tu viendras tous les weekends, tu seras bientôt la coqueluche de mon église. » J’étais rouge de honte devant ces compliments déconcertants et ô combien gênants. Enfin, il nous abandonna après nous avoir baisé la main à toutes.
Les filles étaient toutes excitées « Il va falloir lui trouver une belle robe pour demain. » « J’en ai plusieurs, répondit Geneviève. » « Mais peut-être faut-il qu’elle ait quelque chose que le curé ne risque pas d’avoir vu sur toi. J’en amènerai deux, trois demain que je mettais quand j’avais son âge. » Elles s’extasiaient toutes à l’idée de me faire la plus belle possible alors que moi, j’étais au bord des larmes, angoissé comme jamais.
« Un jour quelqu’un découvrira qui je suis, ce sera la honte, ce sera… un scandale... Il faut arrêter ce jeu tant qu’il est encore temps. » C’est Geneviève qui me répondit sévèrement « Tu n’as pas le choix, au moins pour demain, ma petite chatte. Ensuite ? Ensuite, tout dépendra de toi. Soit, tu reviens nous voir en fille, soit, tu ne reviens plus jamais et je trouverai une explication pour le curé… et ta mère. » C’était bien la réflexion que je m’étais déjà faite, je ne pourrai plus apparaitre en garçon désormais. Et je ne pouvais pas me faire à l’idée de ne plus voir mes amies… Donc…
Et peut-être aussi une autre raison que je n’osais pas m’avouer mais qui me troublait terriblement et faisait gonfler mon petit sexe toujours serré dans la culotte de ma marraine.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
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Trop surfait,,, homosexualité déguisée,,,désir dd soumission ,,,, trop fantasmé,,,,