ma reine chapitre 4
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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ma reine chapitre 4
Le lendemain matin, ce fut l’effervescence bien longtemps avant l’heure de la messe. Martine avait amené deux belles robes, une noire avec de la dentelle blanche aux coudes et à la poitrine, descendant jusqu’aux genoux, l’autre rose à fleurs, vaporeuse, doublée d’un jupon et descendant jusqu’aux pieds. Je dus essayer les deux. Elles tournèrent autour de moi, me faisant marcher me baisser m’accroupir, etc… afin de juger sous toutes les coutures laquelle était la plus appropriée.
Elles optèrent pour la noire avec une ceinture blanche à la taille. Assortie d’un bracelet argenté, d’une petite croix autour du cou, de petits chouchous dans les cheveux et de minuscules boucles d’oreilles, de bas blancs et (cachés sous la robe) un porte-jarretelles blanc, un soutien-gorge rose en satin et une culotte assortie.
Elles avaient décidé que je devais porter une culotte propre pour ma première quête à l’église mais, en riant comme des gamines, elles ajoutèrent que les prochaines fois elles oseraient me faire prendre des risques plus importants y compris dans un lieu sacré. J’avais déjà ‘’joué’’ avec cette culotte de ma marraine. Elle était très fine, transparente avec juste le fond doublé. Mon petit attribut entrait facilement dedans mais je ne devais surtout pas avoir la moindre érection car dans ce cas-là, mon pénis en sortirait et viendrait pointer sur la robe légère. Rien que d’y penser, cela me mit mal à l’aise.
Je sentais la douceur du tissu sur mes fesses. Je sentais la douceur de toutes les fibres qui me recouvraient que ce soient les bas, le soutien-gorge sur ma poitrine plate ou la robe. La sensation du porte-jarretelles sur mon bas-ventre répandait également une intense douceur incitant fatalement à l’érection. Geneviève remarqua la bosse sur le devant de ma robe et me gronda fermement.
Je devais me contrôler.
Je promis.
Nous arrivâmes dans l’église un peu en avance pour que le prêtre nous donne les consignes. Il me fit asseoir au premier rang à côté d’une autre jeune fille toute aussi charmante.
« Je m’appelle Blanche. C’est ta première fois ? T’inquiète pas, c’est pas compliqué. On va faire la quête toutes les deux. Je prends le rang de droite, toi celui de gauche. Il faut passer entre tous les rangs et tendre le panier en disant « pour les bonnes œuvres de notre église » et quand ils ont donné tu dis merci avec ton plus beau sourire ». Le prêtre ajouta « semaine après semaine, les gens vous reconnaitront et donneront chaque fois un peu plus rien que votre sourire ».
L’église commença à se remplir. Mes amies s’étaient mises un peu en retrait. Bien que tournant le dos, je surveillais les entrées de crainte de voir des connaissances, notamment les jeunes qui n’avaient pas manqué d’apercevoir ma culotte la veille pendant le match de badminton. La plupart des ouailles étaient des personnes d’un certain âge mais il y avait quelques jeunes. Plus de filles, notamment des religieuses, que de garçons, ce qui me rassurait un peu. La messe commença. Elle me sembla durer une éternité. Je ne me sentais pas d’aller communier vues les circonstances. Je me sentais en faute en non confessé. La pensée de ce mot (con et fessée) me fit immédiatement penser à toute autre chose et je sentis mon petit attribut grimper dans ma culotte. Catastrophe. Pas le temps de réfléchir, alors que Blanche s’était levée, le prêtre m’indiquait que je devais en faire autant et venir prendre ma place dans la queue (encore un mot qui me ramenait à ma condition) pour prendre l’hostie. Je me levais en tenant mes mains croisées devant moi et fournis un effort surhumain pour ne plus penser à rien.
Je sentis un homme, grand, jeune, prendre place dans la qu… file d’attente derrière moi. J’avançais à petits pas. Il me suivait. Il était si près de mon cou, reniflant mon parfum, je sentais son souffle. Il devait apercevoir les lanières de mon soutien-gorge rose dans l’échancrure de mon décolleté. Je pensais à ma culotte rose si douce, mon porte-jarretelles peut être visible par transparence sous ma robe. Je craignais qu’il ne me touche, presse son bas ventre contre mon derrière. Mais non, il n’en fit rien. Ouf.
Le prêtre me tendit enfin l’hostie et j’ouvris sagement la bouche pour tendre ma langue et essayant à nouveau de n’avoir aucune pensée sexuelle ce qui n’était pas simple du tout. J’eus la désagréable impression que le curé profitait d’un de ses doigts libres pour me caresser le bout de la langue avant de déposer l’hostie. Non, ce n’était pas possible.
Mais comment pouvais-je avoir des idées aussi tordues ?…
Puis ce fut la corvée. Je suivis Blanche quand elle me l’indiqua, pris la corbeille et commençais à la tendre avec la fameuse phrase « Pour les bonnes œuvres de notre église. Merci ». Le premier rang ne posait pas de problème. Dès le deuxième, je compris la difficulté. Je devais me faufiler entre le dossier du siège précédent et les fidèles debout. L’espace était réduit et il était impossible de ne pas frotter plus ou moins les gens.
Certains se poussaient pour me laisser passer, d’autres étaient plus « encombrants », d’autres ne faisaient aucun effort et enfin il était évident que certains profitaient de la situation. Et ce, pour beaucoup, malgré la présence de leur femme juste à côté. Les positions que je devais prendre pour demander l’aumône n’exposaient pas tant mes fesses que le devant de ma personne. Et là de toute évidence, toute proéminence sur ma robe pouvait être vue ou ressentie. La peur que quelqu’un sente mon zizi me tétanisait. Quel scandale si mon secret était découvert en plein milieu de l’église !
Quelle honte !
Et pourtant, il fallait que je continue de sourire comme si de rien n’était.
Enfin, j’arrivais au bout et pus ramener la corbeille près de l’autel. Le prêtre me fit un beau sourire.
Mes amies m’attendaient sur le perron. Plusieurs personnes vinrent nous voir pour féliciter Geneviève pour sa si charmante filleule. J’étais rouge de honte « Oh mon dieu, comme elle est timide. C’est tellement mignon ».
Nous rentrâmes manger chez Nicole qui nous avait invitées. Elles me refirent une petite beauté avant de retourner voir le curé qui m’attendait pour la fameuse tournée des pauvres.
Plusieurs autres jeunes étaient présents, des garçons et des filles et quelques religieuses. Le prêtre me présenta à tout le monde et là, soudain, je reconnus un des garçons de la veille qui me fit un sourire entendu. Je baissais les yeux, honteuse. « Je vais vous mettre avec Blanche comme ce matin et sœur Marthe ».
Sœur Marthe était une religieuse d’un certain âge, sans doute très expérimentée, pour nous accompagner, nous les petites bleues. Nous passâmes une grande partie de l’après-midi à distribuer des colis de nourriture directement au domicile des personnes dans le besoin. Sœur Marthe connaissait les adresses et les personnes. Rien de compliqué dans cette mission mais toujours cette impression désagréable de mentir à tout le monde. Et tous ces gens, ces femmes, ces hommes de tous âges, ces enfants qui me regardaient dans cette tenue si féminine. Quelques compliments pour Blanche et moi en plus des remerciements.
Après cette longue après-midi, je rentrai chez ma douce marraine. Elle me demanda de lui raconter ma journée et surtout ce que j’avais ressenti. « Alors ça fait quoi de sentir les males te dévorer des yeux, chercher à voir ce qu’il y a sous tes vêtements ? »
Je n’osais pas lui dire que j’aimais les regards sur moi, les désirs que je suscitais… Ma seule crainte était qu’ils découvrent ma véritable nature.
Je n’osais pas lui dire que j’adorais la douceur des tissus féminins sur ma peau…
« Déshabille-toi ». Je sentais une boule dans ma gorge. J’avais l’impression d’être une fille à qui on demande faire un strip-tease. J’obéis et très lentement je retirai ma robe, je dégrafais mes bas, les repliais avec regret pour les faire glisser de mes pieds. Le porte-jarretelles descendit à son tour le long de mes jambes. Puis je dégrafais mon soutien-gorge en récupérant discrètement les boules de coton. Enfin j’attrapais le rebord de ma culotte, en regardant Geneviève en douce, avant de la faire glisser. Mon petit zizi était tout dur. Elle inspecta mes vêtements, sentant le devant de la robe, puis la culotte.
« Tu es incorrigible, tu es une grosse cochonne. Il va falloir que je fasse ton éducation complète pour que tu sois un homme respectueux des femmes, pas comme les autres » Ses paroles et le ton qu’elle employait avait de toute évidence l’effet contraire de celui escompté car je bandais encore plus à ces promesses terribles.
Elles optèrent pour la noire avec une ceinture blanche à la taille. Assortie d’un bracelet argenté, d’une petite croix autour du cou, de petits chouchous dans les cheveux et de minuscules boucles d’oreilles, de bas blancs et (cachés sous la robe) un porte-jarretelles blanc, un soutien-gorge rose en satin et une culotte assortie.
Elles avaient décidé que je devais porter une culotte propre pour ma première quête à l’église mais, en riant comme des gamines, elles ajoutèrent que les prochaines fois elles oseraient me faire prendre des risques plus importants y compris dans un lieu sacré. J’avais déjà ‘’joué’’ avec cette culotte de ma marraine. Elle était très fine, transparente avec juste le fond doublé. Mon petit attribut entrait facilement dedans mais je ne devais surtout pas avoir la moindre érection car dans ce cas-là, mon pénis en sortirait et viendrait pointer sur la robe légère. Rien que d’y penser, cela me mit mal à l’aise.
Je sentais la douceur du tissu sur mes fesses. Je sentais la douceur de toutes les fibres qui me recouvraient que ce soient les bas, le soutien-gorge sur ma poitrine plate ou la robe. La sensation du porte-jarretelles sur mon bas-ventre répandait également une intense douceur incitant fatalement à l’érection. Geneviève remarqua la bosse sur le devant de ma robe et me gronda fermement.
Je devais me contrôler.
Je promis.
Nous arrivâmes dans l’église un peu en avance pour que le prêtre nous donne les consignes. Il me fit asseoir au premier rang à côté d’une autre jeune fille toute aussi charmante.
« Je m’appelle Blanche. C’est ta première fois ? T’inquiète pas, c’est pas compliqué. On va faire la quête toutes les deux. Je prends le rang de droite, toi celui de gauche. Il faut passer entre tous les rangs et tendre le panier en disant « pour les bonnes œuvres de notre église » et quand ils ont donné tu dis merci avec ton plus beau sourire ». Le prêtre ajouta « semaine après semaine, les gens vous reconnaitront et donneront chaque fois un peu plus rien que votre sourire ».
L’église commença à se remplir. Mes amies s’étaient mises un peu en retrait. Bien que tournant le dos, je surveillais les entrées de crainte de voir des connaissances, notamment les jeunes qui n’avaient pas manqué d’apercevoir ma culotte la veille pendant le match de badminton. La plupart des ouailles étaient des personnes d’un certain âge mais il y avait quelques jeunes. Plus de filles, notamment des religieuses, que de garçons, ce qui me rassurait un peu. La messe commença. Elle me sembla durer une éternité. Je ne me sentais pas d’aller communier vues les circonstances. Je me sentais en faute en non confessé. La pensée de ce mot (con et fessée) me fit immédiatement penser à toute autre chose et je sentis mon petit attribut grimper dans ma culotte. Catastrophe. Pas le temps de réfléchir, alors que Blanche s’était levée, le prêtre m’indiquait que je devais en faire autant et venir prendre ma place dans la queue (encore un mot qui me ramenait à ma condition) pour prendre l’hostie. Je me levais en tenant mes mains croisées devant moi et fournis un effort surhumain pour ne plus penser à rien.
Je sentis un homme, grand, jeune, prendre place dans la qu… file d’attente derrière moi. J’avançais à petits pas. Il me suivait. Il était si près de mon cou, reniflant mon parfum, je sentais son souffle. Il devait apercevoir les lanières de mon soutien-gorge rose dans l’échancrure de mon décolleté. Je pensais à ma culotte rose si douce, mon porte-jarretelles peut être visible par transparence sous ma robe. Je craignais qu’il ne me touche, presse son bas ventre contre mon derrière. Mais non, il n’en fit rien. Ouf.
Le prêtre me tendit enfin l’hostie et j’ouvris sagement la bouche pour tendre ma langue et essayant à nouveau de n’avoir aucune pensée sexuelle ce qui n’était pas simple du tout. J’eus la désagréable impression que le curé profitait d’un de ses doigts libres pour me caresser le bout de la langue avant de déposer l’hostie. Non, ce n’était pas possible.
Mais comment pouvais-je avoir des idées aussi tordues ?…
Puis ce fut la corvée. Je suivis Blanche quand elle me l’indiqua, pris la corbeille et commençais à la tendre avec la fameuse phrase « Pour les bonnes œuvres de notre église. Merci ». Le premier rang ne posait pas de problème. Dès le deuxième, je compris la difficulté. Je devais me faufiler entre le dossier du siège précédent et les fidèles debout. L’espace était réduit et il était impossible de ne pas frotter plus ou moins les gens.
Certains se poussaient pour me laisser passer, d’autres étaient plus « encombrants », d’autres ne faisaient aucun effort et enfin il était évident que certains profitaient de la situation. Et ce, pour beaucoup, malgré la présence de leur femme juste à côté. Les positions que je devais prendre pour demander l’aumône n’exposaient pas tant mes fesses que le devant de ma personne. Et là de toute évidence, toute proéminence sur ma robe pouvait être vue ou ressentie. La peur que quelqu’un sente mon zizi me tétanisait. Quel scandale si mon secret était découvert en plein milieu de l’église !
Quelle honte !
Et pourtant, il fallait que je continue de sourire comme si de rien n’était.
Enfin, j’arrivais au bout et pus ramener la corbeille près de l’autel. Le prêtre me fit un beau sourire.
Mes amies m’attendaient sur le perron. Plusieurs personnes vinrent nous voir pour féliciter Geneviève pour sa si charmante filleule. J’étais rouge de honte « Oh mon dieu, comme elle est timide. C’est tellement mignon ».
Nous rentrâmes manger chez Nicole qui nous avait invitées. Elles me refirent une petite beauté avant de retourner voir le curé qui m’attendait pour la fameuse tournée des pauvres.
Plusieurs autres jeunes étaient présents, des garçons et des filles et quelques religieuses. Le prêtre me présenta à tout le monde et là, soudain, je reconnus un des garçons de la veille qui me fit un sourire entendu. Je baissais les yeux, honteuse. « Je vais vous mettre avec Blanche comme ce matin et sœur Marthe ».
Sœur Marthe était une religieuse d’un certain âge, sans doute très expérimentée, pour nous accompagner, nous les petites bleues. Nous passâmes une grande partie de l’après-midi à distribuer des colis de nourriture directement au domicile des personnes dans le besoin. Sœur Marthe connaissait les adresses et les personnes. Rien de compliqué dans cette mission mais toujours cette impression désagréable de mentir à tout le monde. Et tous ces gens, ces femmes, ces hommes de tous âges, ces enfants qui me regardaient dans cette tenue si féminine. Quelques compliments pour Blanche et moi en plus des remerciements.
Après cette longue après-midi, je rentrai chez ma douce marraine. Elle me demanda de lui raconter ma journée et surtout ce que j’avais ressenti. « Alors ça fait quoi de sentir les males te dévorer des yeux, chercher à voir ce qu’il y a sous tes vêtements ? »
Je n’osais pas lui dire que j’aimais les regards sur moi, les désirs que je suscitais… Ma seule crainte était qu’ils découvrent ma véritable nature.
Je n’osais pas lui dire que j’adorais la douceur des tissus féminins sur ma peau…
« Déshabille-toi ». Je sentais une boule dans ma gorge. J’avais l’impression d’être une fille à qui on demande faire un strip-tease. J’obéis et très lentement je retirai ma robe, je dégrafais mes bas, les repliais avec regret pour les faire glisser de mes pieds. Le porte-jarretelles descendit à son tour le long de mes jambes. Puis je dégrafais mon soutien-gorge en récupérant discrètement les boules de coton. Enfin j’attrapais le rebord de ma culotte, en regardant Geneviève en douce, avant de la faire glisser. Mon petit zizi était tout dur. Elle inspecta mes vêtements, sentant le devant de la robe, puis la culotte.
« Tu es incorrigible, tu es une grosse cochonne. Il va falloir que je fasse ton éducation complète pour que tu sois un homme respectueux des femmes, pas comme les autres » Ses paroles et le ton qu’elle employait avait de toute évidence l’effet contraire de celui escompté car je bandais encore plus à ces promesses terribles.
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