ma reine chapitre 6
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Fétichisme
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ma reine chapitre 6
L’après-midi fut plus calme. Nous ne sortîmes quasiment pas de l’appartement. J’avais une robe plus classique. Je fis mes devoirs à la table de la salle à manger. Il me semblait que marraine essayait de regarder sous ma robe…
Le soir, après le repas pris chez Martine, nous restâmes de nouveau seules Geneviève et moi chez elle. Et le jeu de la veille reprit. « Tu nettoieras mes culottes jusqu’à ce que cela ne te fasse plus bander. A la fin de ta formation, tu seras dégoutée par mes culottes. Tu les détesteras. » « Je te promets marraine. Je ferai tout ce que tu me demandes » Comme la veille, je posais mes lèvres sur ses secrétions vaginales séchées. Et immédiatement ma queue se releva malgré moi. De nouveau je me retrouvai sur ses genoux et les claques s’abattirent immédiatement fortes et d’autant plus douloureuses que j’avais encore les séquelles de la veille. Je me dépêchais de lécher le fond odorant avant d’exploser. Comme la veille, ma maitresse était hystérique et me frappait avec une violence inouïe qui me força à crier ma douleur. Elle s’arrêta enfin et comme la veille, je dus faire ma petite lessive avant que nous n’allions au lit, enfin calmées.
Dimanche arriva. Jour de messe. Et d’angoisse pour moi. Les copines arrivèrent très tôt et mon habillage commença. Cela les amusait follement de me transformer petit à petit en une magnifique jeune vierge. Le porte-jarretelles, les bas remontés lentement avec moults caresses sur mes jambes imberbes, puis attachés. « La prochaine fois, elle le fera toute seule » « oh, quel dommage ! J’adore faire ça » pleurnicha Nicole. Je sentais leurs doigts effleurer mon sexe rasé de la veille. La culotte trouva à son tour sa place. Elle était comme annoncé par Geneviève très odorante et les salissures très visibles. La robe passa au-dessus de ma tête pour me recouvrir. La mousseline rose était d’une douceur incroyable.
Je me sentais divinement bien. Elles me firent tourner dans la pièce. C’était enivrant. « C’est quand même très transparent. On voit sa culotte et son soutien-gorge » « C’est vrai que pour l’église, c’est un peu hard. J’espère que le curé appréciera. » conclut Geneviève.
Maquillage léger, coiffure féminine avec quelques nœuds roses comme la robe, petites boucles d’oreilles, une croix en collier, un bracelet doré, un petit sac à main rose, une touche de parfum et me voici prête pour une longue, une très longue journée.
Arrivées à l’église, le curé nous accueillit et me fit rentrer immédiatement « va vite aider Blanche, il faut déplacer les corbeilles de fleurs. J’arrive, je vous dirai ». Je rejoignis ma nouvelle copine au premier rang, nos places désormais habituelles et après s’être saluées, nous nous demandions ce que le curé attendait de nous. L’église commençait à se remplir doucement lorsque le prêtre nous rejoignit enfin.
« Vous voyez ces compositions de fleurs, il faut les amener devant l’autel. Prenez-les à deux car elles sont lourdes. » Effectivement, lesdites compositions étaient énormes. Nous nous baissâmes chacune d’un côté et en rythme les soulevâmes pour nous diriger vers l’endroit indiqué.
Rapidement, je compris que la position allait mettre en évidence mes fesses. J’essayais de faire en sorte que ce soit Blanche qui se trouve du côté du public, mais celle-ci avait compris comme moi qu’elle allait s’exposer. Je dus donc reculer, légèrement penchée en avant puis m’accroupir pour déposer la gerbe. Je surveillais d’un œil inquiet qui pouvait éventuellement me regarder et aperçus déjà plusieurs paires d’yeux dirigés vers moi. Je me relevais prestement pour aller vers la deuxième couronne bien décidée à changer de côté. Mais Blanche, mieux placée, avait de l’avance et elle me laissa de nouveau la plus mauvaise position. Nouveau déplacement en posture inconfortable et nouvelle dépose compliquée. J’hésitais entre me pencher davantage ou m’accroupir. La première solution me parut la plus sûre mais je me doutais que la transparence de la robe laisserait voir ma culotte et mes jarretières par transparence.
En regardant sous mon bras, j’aperçus effarée l’un des garçons du badminton, le plus âgé celui qui cherchait le plus ouvertement à reluquer ma culotte au mont dore était là au deuxième rang et me fixait. Et ce qu’il voyait, c’était mon derrière offert. Je me relevais, honteuse.
Il restait une troisième gerbe de fleurs. Impossible de doubler ma copine qui, déjà, était en position prête à l’action. Je dus une nouvelle fois me résoudre à me pencher en avant, saisir l’objet et reculer en direction de l’autel. Et de nouveau reprendre la position inconfortable qui plaquait la robe sur ma culotte que je savais visible. Et je sentais le regard du voyeur du Mont Dore fixé sur moi…
Je me croyais sauvée lorsque le curé vint derrière et jugea qu’il fallait légèrement déplacer les corbeilles. Je dus reprendre encore plusieurs fois ma position délicate (avec le curé à quelques centimètres de moi) pour bouger de quelques centimètres les 3 bouquets. Et à chaque fois je sentais tous les regards de l’assistance, désormais bien compacte, sur mon fessier indécent. Quelle honte ! Sentir mes fesses désirées par tous ces hommes vicieux, y compris, peut-être le curé. Honte mais en même temps, cette sensation malhonnête pour un garçon d’être devenu un objet sexuel, qui me provoquait des picotements tellement agréables…
Le prêtre nous fit enfin signe que c’était bon et que nous pouvions regagner nos places. Blanche prit la première place dans la rangée, moi la deuxième… juste devant le garçon du badminton. Je sentais son regard sur ma nuque, sur mon dos et à chaque fois que nous nous levions sur mes fesses. J’étais horriblement gênée. J’imaginais qu’il devinait les coutures de ma blanche culotte en coton sous le tissu léger de ma robe. A chaque mouvement, je sentais également les effluves de la culotte sale remonter à mes narines. J’imaginais que mes proches voisins ne pouvaient que sentir les mêmes choses. Chaque mouvement était horrible. Ce que je montrais et ce que je dégageais comme odeurs.
Au moment de la communion, je suivis ma collègue pour sortir du rang. Mon voisin de derrière semblait attendre mon départ car il me suivit immédiatement. Blanche s’inséra dans la file d’attente, j’attendais un peu, mon « ami » du mont Dore en faisait autant. Il se décida et s’arrêta immédiatement me faisant signe pour me laisser passer. Impossible de refuser. Il se colla à moi. Je sentis son bas ventre contre mes fesses. Impossible de me dégager sans toucher la personne devant moi. Il le savait. Je sentais son souffle dans mon cou « La fameuse joueuse de badminton. Virginie, c’est ça ? Hmmm, tu sens bon. Il faudra qu’on se revoie. D’habitude je ne communie pas. Je ne le fais que pour toi aujourd’hui ».
J’étais outrée par son impudeur et incapable de répondre. J’avançais vite pour prendre mon hostie et reprendre ma place rouge comme une pivoine. « Ça va ? murmura Blanche. Tu es toute rouge. » « Ça va, ça va… » J’avais tellement l’angoisse que derrière nous, il entende notre conversation.
Puis vint l’heure de la quête. J’aurais bien aimé prendre la rangée d’en face, mais Blanche avait ses habitudes, impossible de faire un esclandre à ce moment-là. Je me résolus à prendre mes rangs. Le premier ne posait pas de problèmes. Je redoutais le second… je devais passer devant un premier homme et ensuite, c’était mon voyeur. Je choisis de passer devant lui sans lui offrir mes fesses donc plutôt presque de face. Mais celui-ci remonta son genou juste avant mon passage. Je dis « pardon » mais il ne bougea pas, me souriant tendrement. Je dus forcer le passage et sentis l’espace d’une demi seconde son genou entrer en contact avec mon entre-cuisses. J’étais outrée. Et surtout affolée. Avait-il pu ressentir mon sexe ? Certes, mon zizi était petit, petit et pas du tout bandé (heureusement) mais je n’étais sûre de rien. Je ne pensais plus qu’à cela tout le reste de la quête en oubliant mon travail de remerciement des fidèles que le prêtre me reprocherait sans doute.
Je repris ma place devant mon badiste, inquiète de sa réaction après le contact précédent. Mais il ne se passa plus rien.
A la sortie de l’église, je rejoins mes amies et nous discutâmes quelques instants avant que le prêtre ne vienne me voir « On t’attend cette après-midi pour les visites aux pauvres. Je te mettrai avec sœur Marie Thérèse. Vous irez dans les villages autour. Elle a une 2 cv ; tu verras, elle conduit très mal. Hi hi hi », Blanche rajouta « T’inquiète pas, on va pas loin ». « Bien sûr qu’elle ira avec vous, rajouta Geneviève. Elle a adoré la semaine dernière. N’est-ce pas, ma petite chatte ? » Tout le monde riait, même le curé. Sauf moi. Il y avait longtemps qu’elle ne m’avait pas appelé ainsi. « C’est pas méchant, rajouta Nicole. Mais quand même devant Monsieur l’abbé… » « Vous savez, je sais ce que c’est, répondit ce dernier » il riait à gorge déployée ajoutant encore plus à ma honte. « En tout cas, son prénom est tout à fait approprié. Si elle décide de rester vierge, peut-être entrera-t-elle dans mes ordres. Avec ta douceur, tu ferais une bonne sœur merveilleuse. Tu aimerais cela, petite ? » C’était horrible. Je ne pouvais pas répondre à sa question. Je rougis une fois de plus. « Qu’elle est mignonne ! J’adore ». Le jeu devenait de plus en plus dangereux pour moi.
Comment m’en sortir ?
Le soir, après le repas pris chez Martine, nous restâmes de nouveau seules Geneviève et moi chez elle. Et le jeu de la veille reprit. « Tu nettoieras mes culottes jusqu’à ce que cela ne te fasse plus bander. A la fin de ta formation, tu seras dégoutée par mes culottes. Tu les détesteras. » « Je te promets marraine. Je ferai tout ce que tu me demandes » Comme la veille, je posais mes lèvres sur ses secrétions vaginales séchées. Et immédiatement ma queue se releva malgré moi. De nouveau je me retrouvai sur ses genoux et les claques s’abattirent immédiatement fortes et d’autant plus douloureuses que j’avais encore les séquelles de la veille. Je me dépêchais de lécher le fond odorant avant d’exploser. Comme la veille, ma maitresse était hystérique et me frappait avec une violence inouïe qui me força à crier ma douleur. Elle s’arrêta enfin et comme la veille, je dus faire ma petite lessive avant que nous n’allions au lit, enfin calmées.
Dimanche arriva. Jour de messe. Et d’angoisse pour moi. Les copines arrivèrent très tôt et mon habillage commença. Cela les amusait follement de me transformer petit à petit en une magnifique jeune vierge. Le porte-jarretelles, les bas remontés lentement avec moults caresses sur mes jambes imberbes, puis attachés. « La prochaine fois, elle le fera toute seule » « oh, quel dommage ! J’adore faire ça » pleurnicha Nicole. Je sentais leurs doigts effleurer mon sexe rasé de la veille. La culotte trouva à son tour sa place. Elle était comme annoncé par Geneviève très odorante et les salissures très visibles. La robe passa au-dessus de ma tête pour me recouvrir. La mousseline rose était d’une douceur incroyable.
Je me sentais divinement bien. Elles me firent tourner dans la pièce. C’était enivrant. « C’est quand même très transparent. On voit sa culotte et son soutien-gorge » « C’est vrai que pour l’église, c’est un peu hard. J’espère que le curé appréciera. » conclut Geneviève.
Maquillage léger, coiffure féminine avec quelques nœuds roses comme la robe, petites boucles d’oreilles, une croix en collier, un bracelet doré, un petit sac à main rose, une touche de parfum et me voici prête pour une longue, une très longue journée.
Arrivées à l’église, le curé nous accueillit et me fit rentrer immédiatement « va vite aider Blanche, il faut déplacer les corbeilles de fleurs. J’arrive, je vous dirai ». Je rejoignis ma nouvelle copine au premier rang, nos places désormais habituelles et après s’être saluées, nous nous demandions ce que le curé attendait de nous. L’église commençait à se remplir doucement lorsque le prêtre nous rejoignit enfin.
« Vous voyez ces compositions de fleurs, il faut les amener devant l’autel. Prenez-les à deux car elles sont lourdes. » Effectivement, lesdites compositions étaient énormes. Nous nous baissâmes chacune d’un côté et en rythme les soulevâmes pour nous diriger vers l’endroit indiqué.
Rapidement, je compris que la position allait mettre en évidence mes fesses. J’essayais de faire en sorte que ce soit Blanche qui se trouve du côté du public, mais celle-ci avait compris comme moi qu’elle allait s’exposer. Je dus donc reculer, légèrement penchée en avant puis m’accroupir pour déposer la gerbe. Je surveillais d’un œil inquiet qui pouvait éventuellement me regarder et aperçus déjà plusieurs paires d’yeux dirigés vers moi. Je me relevais prestement pour aller vers la deuxième couronne bien décidée à changer de côté. Mais Blanche, mieux placée, avait de l’avance et elle me laissa de nouveau la plus mauvaise position. Nouveau déplacement en posture inconfortable et nouvelle dépose compliquée. J’hésitais entre me pencher davantage ou m’accroupir. La première solution me parut la plus sûre mais je me doutais que la transparence de la robe laisserait voir ma culotte et mes jarretières par transparence.
En regardant sous mon bras, j’aperçus effarée l’un des garçons du badminton, le plus âgé celui qui cherchait le plus ouvertement à reluquer ma culotte au mont dore était là au deuxième rang et me fixait. Et ce qu’il voyait, c’était mon derrière offert. Je me relevais, honteuse.
Il restait une troisième gerbe de fleurs. Impossible de doubler ma copine qui, déjà, était en position prête à l’action. Je dus une nouvelle fois me résoudre à me pencher en avant, saisir l’objet et reculer en direction de l’autel. Et de nouveau reprendre la position inconfortable qui plaquait la robe sur ma culotte que je savais visible. Et je sentais le regard du voyeur du Mont Dore fixé sur moi…
Je me croyais sauvée lorsque le curé vint derrière et jugea qu’il fallait légèrement déplacer les corbeilles. Je dus reprendre encore plusieurs fois ma position délicate (avec le curé à quelques centimètres de moi) pour bouger de quelques centimètres les 3 bouquets. Et à chaque fois je sentais tous les regards de l’assistance, désormais bien compacte, sur mon fessier indécent. Quelle honte ! Sentir mes fesses désirées par tous ces hommes vicieux, y compris, peut-être le curé. Honte mais en même temps, cette sensation malhonnête pour un garçon d’être devenu un objet sexuel, qui me provoquait des picotements tellement agréables…
Le prêtre nous fit enfin signe que c’était bon et que nous pouvions regagner nos places. Blanche prit la première place dans la rangée, moi la deuxième… juste devant le garçon du badminton. Je sentais son regard sur ma nuque, sur mon dos et à chaque fois que nous nous levions sur mes fesses. J’étais horriblement gênée. J’imaginais qu’il devinait les coutures de ma blanche culotte en coton sous le tissu léger de ma robe. A chaque mouvement, je sentais également les effluves de la culotte sale remonter à mes narines. J’imaginais que mes proches voisins ne pouvaient que sentir les mêmes choses. Chaque mouvement était horrible. Ce que je montrais et ce que je dégageais comme odeurs.
Au moment de la communion, je suivis ma collègue pour sortir du rang. Mon voisin de derrière semblait attendre mon départ car il me suivit immédiatement. Blanche s’inséra dans la file d’attente, j’attendais un peu, mon « ami » du mont Dore en faisait autant. Il se décida et s’arrêta immédiatement me faisant signe pour me laisser passer. Impossible de refuser. Il se colla à moi. Je sentis son bas ventre contre mes fesses. Impossible de me dégager sans toucher la personne devant moi. Il le savait. Je sentais son souffle dans mon cou « La fameuse joueuse de badminton. Virginie, c’est ça ? Hmmm, tu sens bon. Il faudra qu’on se revoie. D’habitude je ne communie pas. Je ne le fais que pour toi aujourd’hui ».
J’étais outrée par son impudeur et incapable de répondre. J’avançais vite pour prendre mon hostie et reprendre ma place rouge comme une pivoine. « Ça va ? murmura Blanche. Tu es toute rouge. » « Ça va, ça va… » J’avais tellement l’angoisse que derrière nous, il entende notre conversation.
Puis vint l’heure de la quête. J’aurais bien aimé prendre la rangée d’en face, mais Blanche avait ses habitudes, impossible de faire un esclandre à ce moment-là. Je me résolus à prendre mes rangs. Le premier ne posait pas de problèmes. Je redoutais le second… je devais passer devant un premier homme et ensuite, c’était mon voyeur. Je choisis de passer devant lui sans lui offrir mes fesses donc plutôt presque de face. Mais celui-ci remonta son genou juste avant mon passage. Je dis « pardon » mais il ne bougea pas, me souriant tendrement. Je dus forcer le passage et sentis l’espace d’une demi seconde son genou entrer en contact avec mon entre-cuisses. J’étais outrée. Et surtout affolée. Avait-il pu ressentir mon sexe ? Certes, mon zizi était petit, petit et pas du tout bandé (heureusement) mais je n’étais sûre de rien. Je ne pensais plus qu’à cela tout le reste de la quête en oubliant mon travail de remerciement des fidèles que le prêtre me reprocherait sans doute.
Je repris ma place devant mon badiste, inquiète de sa réaction après le contact précédent. Mais il ne se passa plus rien.
A la sortie de l’église, je rejoins mes amies et nous discutâmes quelques instants avant que le prêtre ne vienne me voir « On t’attend cette après-midi pour les visites aux pauvres. Je te mettrai avec sœur Marie Thérèse. Vous irez dans les villages autour. Elle a une 2 cv ; tu verras, elle conduit très mal. Hi hi hi », Blanche rajouta « T’inquiète pas, on va pas loin ». « Bien sûr qu’elle ira avec vous, rajouta Geneviève. Elle a adoré la semaine dernière. N’est-ce pas, ma petite chatte ? » Tout le monde riait, même le curé. Sauf moi. Il y avait longtemps qu’elle ne m’avait pas appelé ainsi. « C’est pas méchant, rajouta Nicole. Mais quand même devant Monsieur l’abbé… » « Vous savez, je sais ce que c’est, répondit ce dernier » il riait à gorge déployée ajoutant encore plus à ma honte. « En tout cas, son prénom est tout à fait approprié. Si elle décide de rester vierge, peut-être entrera-t-elle dans mes ordres. Avec ta douceur, tu ferais une bonne sœur merveilleuse. Tu aimerais cela, petite ? » C’était horrible. Je ne pouvais pas répondre à sa question. Je rougis une fois de plus. « Qu’elle est mignonne ! J’adore ». Le jeu devenait de plus en plus dangereux pour moi.
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