ma reine chapitre 8

- Par l'auteur HDS c-levis -
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Récit libertin : ma reine chapitre 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2024 dans la catégorie Fétichisme
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ma reine chapitre 8
Le weekend suivant, Marraine m’annonça que je devais faire mes devoirs le matin car l’après-midi serait consacré à faire des courses. « Il te faut des vêtements à toi. Tu ne peux pas sans arrêt porter nos vieilles robes. Je veux que tu te choisisses des vêtements qui te plaisent, qui soit de ton âge ».
L’idée d’aller faire les boutiques me faisait plaisir. Regarder, caresser, tripoter, choisir, essayer plein de jolies tenues féminines ne pouvait que m’enchanter. Mais je craignais, comme toujours, la moindre erreur qui me trahirait. Et si je rencontrais une connaissance ? Après tout, je ne vivais qu’à moins d’une heure de transports en commun d’ici.
L’après-midi venue, elle me fit enfiler une longue robe blanche à pois noirs avec un nœud noir devant, discrète, facile à enlever, un soutien-gorge rembourré, des bas couleur chair, une culotte blanche (déjà portée) et un porte-jarretelles blanc.
L’après-midi fut à la fois agréable et très stressante. Je n’allais que très rarement dans ces grands magasins où les étoffes étaient présentées directement aux clients (surtout aux clientes, d’ailleurs). Geneviève me montrait des robes diverses « Regarde celle-ci. Touche comme c’est doux. Et celle-là ? Elle ne te plait pas ? » « Si elle est très belle ». Presque tout ce que je voyais me plaisait. Toutes ces parures féminines et si douces étaient un pur délice. J’aurais voulu tout mettre. « Il va falloir en essayer ». C’était bien là, le moment que je redoutais le plus…
« Mademoiselle, on voudrait essayer ce modèle » « Oui, madame, quelle taille ? » « Je ne sais pas, c’est pour ma nièce » répondit-elle en me montrant du doigt. Je n’étais pas sa nièce mais c’était sans doute plus simple à expliquer à la vendeuse. S’adressant à moi, celle-ci rajouta « Vous n’avez jamais acheté chez nous ? il faut que je prenne vos mensurations ». Aïe… Ça se complique « Venez, suivez-moi »
Elle nous attira derrière son comptoir et sortit son mètre de couture « 1,62 m de hauteur », puis elle le plaçât autour de ma poitrine. Allait-elle s’apercevoir du rembourrage ? Non, ouf « 85 de tour de poitrine ». Elle fit le tour de mes hanches « 75. C’est beaucoup par rapport au reste. Ce n’est pas ordinaire. Ça ne va pas être si simple. Il faudra essayer des choses plutôt amples. Comme vous avez sur vous, d’ailleurs ou mettre des gaines » Evidemment, je ne pouvais pas avoir une taille de jeune fille ordinaire. Puis vint le tour des fesses « 80. Là c’est assez peu. On va essayer du 38, peut-être du 40. »
Et nous voici reparties vers les rayonnages. « Vas-y, choisis ce qui te plait ». J’avais repéré quelques parures magnifiques, nous cherchâmes des tailles 38, puis j’entrais avec angoisse dans une cabine d’essayage. Pourvu que personne n’ouvre quand je serais déshabillée « Tu surveilles, hein, marraine ? » « Oui, t’inquiète pas, je suis là ». Je n’avais pas oublié ses paroles de la semaine précédente « …moi je suis là pour te rendre les choses difficiles …» donc je craignais le pire de sa part.
Je retirais rapidement ma robe pour enfiler la première à essayer. Je me sentis immédiatement extrêmement bien. Je sortis pour me montrer et me voir dans la glace. J’étais magnifique. Et mon ‘’petit oiseau’’ réagit immédiatement à ma grande désolation. Certes la robe était ample et rien n’apparaissait de ma proéminence mais moi, je le sentais. Geneviève me fit tourner sur moi-même. La vendeuse s’extasiait « Elle est superbe. Ça lui va tellement bien ». Elle m’attrapa par les hanches, puis saisit un bord de la robe pour la placer au mieux. Elle glissa ses mains en dessous pour me l’ajuster encore mieux. Je sentis ses mains remonter jusque sur mes hanches. C’était délicieusement doux mais je ne pensais qu’à une chose : qu’elle ne touche pas mon zizi tout dressé. Je lançais un regard désespéré à ma marraine qui comprit et prit rapidement la place de la vendeuse. « On va la prendre ».
Je rentrais dans la cabine pour essayer la deuxième robe qui m’allait moins bien. La vendeuse proposa de prendre une autre taille mais je répondis prestement « Non, celle-ci ne me plait pas, je vais essayer l’autre ». L’après-midi se poursuivit ainsi, très agréablement avec divers essayages de robes et jupes-chemisiers. Je me sentais extrêmement bien au milieu de toutes ces femmes qui, comme moi, essayaient de belles parures. Ça sentait les différents tissus neufs. Ça sentait la femme. Ce monde entièrement féminin était paradisiaque.

Finalement, nous sortîmes des ‘’nouvelles galeries’’ avec trois robes sublimes. S’il n’avait tenu qu’à moi, j’en aurais pris une dizaine tant le choix était difficile.
« Il faut aussi qu’on te trouve des chaussures. Y a un magasin juste là »
Et elle m’entraina dans le magasin sans que je n’aie pu manifester quoi que ce soit. Cela n’aurait servi à rien de toute façon. A peine entrées, une jeune vendeuse vint à notre rencontre « que puis-je pour vous mesdemoiselles ? » Marraine me désigna d’un coup de menton et je dus me débrouiller seule « bien, vous voulez quoi comme type de chaussures, quelle taille ? » Je regardais Geneviève qui ne disait rien « des pas chères et confortables. Je fais du 36 » « vous voulez des talons ? » « Heu… Des petits, oui »
Elle apporta plusieurs boites et me fit asseoir sur un petit tabouret bas et s’agenouilla face à moi et commença à sortir une première paire. Je retirai mes chaussures noires en prenant toutes les précautions pour ne pas me dévoiler et voulus attraper la première chaussure mais elle ne la lâcha pas et me la passa elle-même. Elle souleva mon pied et il me fut difficile de garder mes mains entre les cuisses pour que la robe ne remonte pas. La vendeuse ne semblait rien remarquer et, surtout ne pas s’intéresser du tout à cela.
En revanche, me prenant pour une fille, elle ne se souciât pas du tout de mon éventuel regard elle laissa sa robe évasée s’ouvrir et me dévoila rapidement son entrejambe. Je découvris sa jolie culotte rose déjà bien usagée (on était en fin d’après-midi). Malgré moi, une bouffée de chaleur revint dans mon bas-ventre me rassurant sur mon hétérosexualité. Il fallait que je me contrôle à nouveau, qu’elle ne me voit surtout pas bander. Elle me fit essayer plusieurs paires, Geneviève les refusant toutes sous des prétextes futiles (la vraie raison était ailleurs, évidemment).
Au bout d’un moment la vendeuse remarqua mon regard en direction de son intimité et elle en fut très gênée. Elle tourna donc ses jambes pour me cacher ses dessous. Son attitude changea et elle devint beaucoup moins agréable. Elle devait me prendre pour une lesbienne. Finalement Marraine accepta la paire la moins chère, très simple mais confortable. Nous pûmes enfin sortir du magasin et regagner la rue. Ouf.

« Allons boire un verre », proposa-t-elle. Et me voici, mes quatre paquets de vêtements à la main, m’installant à la terrasse d’un café chic. Je me sentais à nouveau exceptionnellement détendue à cette terrasse, bien en vue des badauds sirotant mon jus de fruit. Je jouais de ma féminité, tirant sur ma paille, croisant et décroisant mes jambes pour attirer les regards. Et cela fonctionnait à merveille, je surprenais nombre de garçons (plus ou moins jeunes) lorgnant discrètement sur ma robe. Je frissonnais de plaisir. Mais ma maitresse veillait et la punition était toujours proche…

« Oh zut, on a complètement oublié les sous-vêtements… Il te faut tes culottes à toi. Je suis fatiguée, je n’ai plus envie. Tu vas y aller, toi. Je te donne 50 Francs et tu t’achètes 3 parures complètes : culotte, soutien-gorge et porte jarretelles assortis et trois paires de bas. Tu choisis les matières, les couleurs que tu aimes. » « Mais marraine, je ne peux pas y aller seule. Je ne saurais pas faire. » « Ben, c’est pas compliqué, tu demandes à la vendeuse, elle va t’aider. »

Le rayon des sous-vêtements était au deuxième étage du magasin. Il était immense. Les tenues étaient exposées par thème et couleurs. Une vendeuse s’approcha rapidement de moi « Vous êtes intéressée par quelque chose mademoiselle ? » « Je… je… je voudrais trois parures assorties » « C’est à dire ? » « Heu… Des ensembles culotte, soutien-gorge et porte jarretelles ».

Tous ces mots avaient du mal à sortir de ma bouche. Comment en étais-je arriver là ? Je m’achetais des culottes et des porte jarretelles. Quelle honte !...
Elle m’entraina vers un autre rayon « Nous avons beaucoup d’articles ici. Quelle matière préférez-vous ? » « Heu… je ne sais pas. » « Vous mettez quoi d’habitude ? » Je ne m’étais jamais posé la question de ce qu’on me faisait porter. « J’aime quand c’est doux ». « Nous avons des produits en satin, c’est ce qu’il y a de plus doux. Touchez ». Je posais ma main sur la culotte qu’elle me tendait et effectivement c’était d’une douceur extrême. Je frissonnais d’avance de sentir ce tissu sur mon entrejambe. Elle remarqua mon émotion et sourit « Ça vous plait ? Vous voulez l’essayer ? » « L’essayer ? » répondis-je surprise. « Oui, il y a une cabine juste là. Vous l’enfilez par-dessus vos sous-vêtements pour ne pas salir. Vous n’avez jamais fait cela ? » Si ma vendeuse avait su que ma culotte était plus sale que mon entre jambe. « Heu… non. » J’étais rouge de honte. Autant par mon ignorance de la pratique que par la tournure des évènements.

« Quelle taille faites-vous ? » « Je mets du 38 ». « Prenez plusieurs modèles qui vous plaisent et je vous accompagne à la cabine ». Mes mains tremblaient d’angoisse. Si elle demande à voir ce que j’essaie, elle verra forcément que je ne suis pas une fille. J’avais du mal à faire mes choix. « Là, vous avez des choses en dentelle, de la soie, du satin,… Vous voulez des choses sexy ou plutôt sages ? » « Plutôt sages… » Sur ces conseils, je choisis quelques parures et me dirigeai avec angoisse vers la cabine. Je tirai bien le rideau et retirai ma robe pour enfiler la première tenue. Me tournant vers le fond de la cabine pour qu’on me voie de dos si le rideau s’ouvrait. Cette cabine avait une glace où je pouvais me regarder sans sortir. Je me dépêchais d’en essayer plusieurs, faisant mon choix rapidement en fonction de mes sensations et surtout que la culotte cache au maximum mes attributs. Autant dire que mes choix n’allaient pas vers les tenues les plus sexy. « Vous avez besoin d’aide, mademoiselle » « Non, non, merci. »


Trop angoissée, je n’essayais même pas tout. Je me rhabillais et sortis dès que mon choix fut arrêté « Je prends ces trois-là » « Ah, ben, vous êtes rapide, vous » Je lui rendis un sourire forcé. « Il me faut des bas également. » « Allez-y, choisissez, le rayon est juste là. Et me voici à regarder, toucher tous ces bas de femmes offerts alors que sans ma tenue de femme je ne pourrai pas être là. Je n’hésitai pas longtemps et choisis une paire noire et deux autres couleurs chair.

Je sortis rapidement du magasin pour rejoindre ma maitresse au café. « Bravo ma chérie, tu vois que t’es une grande fille ». La voix était volontairement trop forte pour me mettre mal à l’aise. « Fais-voir ce que tu as pris ? » Je dus sortir mes achats des paquets alors que les autres clients et passants pouvaient tout voir. J’essayais d’être le plus discret possible mais marraine faisait exactement le contraire, prenait les tissus, les retournait, les examinait attentivement et commentait tout haut. « Oh de la soie, comme c’est doux. Mais pourquoi tu as pris du blanc ? C’est salissant le blanc ? Surtout pour toi, ma petite chatte » « Marraine, s’il te plait » J’étais au paroxysme de la honte. « T’inquiète… Tout le monde a déjà vu une petite culotte » Je décidais de me taire pour ne pas aggraver ses interventions. « Dis donc, c’est pas très sexy tout ça. Je ne suis pas sûre que tes admirateurs trouveront cela très beau. On continuera de te prêter nos dessous. Hi hi hi ». Marraine était contente de sa blague qui, moi, me liquéfia littéralement. Je n’osais pas regarder les réactions de nos voisins de table.

Tous les regards devaient être sur moi. J’entendais des petits rires discrets. Vite partir d’ici. Au secours… Evidemment Geneviève jouait de mon trouble et prenait un immense plaisir à m’humilier ainsi publiquement. « Allez, range tout ça, on va rentrer ma chérie »
Alors qu’elle était déjà partie, je dus remettre tous les articles dans leur carton respectif sous les regards que je sentais attentifs et lourds sur moi de plusieurs personnes que je n’osais surtout pas regarder. Nous rentrâmes sans autre souci pour moi hormis la difficulté à porter tous mes paquets dans le métro.

Les avis des lecteurs

C'est délicieux et très coquin à la fois

Histoire Libertine
J’aime beaucoup ton histoire ! Je souhaiterai qu’elle ne s’arrête jamais ! J’espère pouvoir te lire très vite et bientôt, surtout sur des histoires un peu plus longue !

Bonne soirée !



Texte coquin : ma reine chapitre 8
Histoire sexe : Une rose rouge
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