ma reine chapitre 9
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2024 dans la catégorie Fétichisme
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ma reine chapitre 9
Le lendemain, jour de messe et de bonnes œuvres, se passa sans encombre. Marraine m’avait choisie une tenue classique, facile à porter. Mon badiste ne parvint pas à s’installer derrière moi ni à me coller pour la communion. Il me coinça malgré tout comme d’habitude quand je passais devant lui pour la quête en me glissant un doux « Bonjour jolie Virginie » auquel je ne répondis pas, le bousculant pour éviter son genou dans mes parties intimes. Pas de course en voiture l’après-midi, je restais dans le quartier avec Blanche et nous finîmes notre corvée bien plus tôt que prévu.
Arrivée chez marraine, je frappais plusieurs fois mais pas de réponse. J’étais étonnée car elle ne m’avait pas dit qu’elle ne serait pas là. La porte n’étant pas fermée à clef, j’entrai dans la pièce principale et alors que j’allais appeler, j’entendis du bruit dans sa chambre. On parlait, on gémissait de façon étrange. Surprise, je m’approchais de la porte pour entendre très nettement des soupirs et des paroles non équivoques. Curieuse, je tentais de regarder par le trou de la serrure et je vis…
Je vis marraine et Linda, quasiment nues, se caressant langoureusement. Marraine se cambrait indiquant son bas-ventre à son amie. Celle-ci descendit le long de son corps et l’embrassa sur la culotte, de plus en plus près de son sexe. J’étais outrée et obsédée par ce que je voyais. Linda fit glisser la culotte de Geneviève. J’apercevais maintenant le sexe de ma marraine et je fus encore plus choquée quand je vis Linda poser naturellement sa bouche sur le sexe de Geneviève qui se cabra et gémit de plaisir.
Ce que je voyais était fou. Je me demandai si je ne rêvais pas. Je ne m’étais jamais posé la question de la sexualité de ma marraine. Mais effectivement, je ne l’avais vue avec un homme. Elle était lesbienne. Evidemment. Et Linda aussi. Les autres aussi peut-être… J’étais choquée. Mais le pire était à venir « Nettoie moi le cul. Je me suis pas lavée ce matin. » « Oui maitresse, je vais vous nettoyer ». Linda se soumettait totalement au jeu et obéissait aux ordres immondes. Je vis sa langue glisser dans le petit trou de ma logeuse. Du haut de mes dix-sept ans à peine et ne connaissant pas grand-chose aux choses du sexe, la situation était incroyable pour moi.
Je décidais de sortir de la maison et d’attendre dehors qu’elles aient fini leurs petites affaires. Je me promenais dans le parc attendant l’heure à laquelle je me savais attendue. Lorsqu’enfin, je me décidai à revenir, Linda était sagement attablée devant un thé, elles étaient habillées et propres, souriantes et détendues comme si de rien n’était. Elles étaient comme d’habitude mais je ne les voyais plus de la même façon. Je ne parvenais pas à sortir les images de ma tête. La langue de Linda dans l’anus de Geneviève… Je revois toujours cette scène qui marquera un tournant décisif dans ma sexualité. Geneviève était une dominatrice lesbienne. Sous-entendu, si je voulais lui plaire, je devais être une jolie fille obéissante. En fait, tout concordait avec son comportement à mon égard depuis si longtemps. « Ça va Virginie ? Tu as l’air bizarre. » « Oui, oui, ça va. » Je ne pouvais pas leur dire ce qui me tracassait ce soir… Lorsque j’embrassais Linda en partant et Geneviève quand elle me déposa au métro, je ne pus m’empêcher de repenser à leur étreinte bucco anale…
Le vendredi suivant, quand j’arrivais Geneviève m’annonça tout de suite que j’aurai une surprise ce soir. « Un cadeau », dis-je innocemment « oui, si on veut. On verra ce que tu en penses. » Arrivées à la résidence, Geneviève frappa chez Clarisse et lui dit « Tu peux venir, on t’attend… impatiemment ». Moi aussi finalement je me prêtais au jeu et commençais à attendre avec impatience de connaitre la surprise.
Clarisse arriva rapidement, un petit sac à la main. « Ma douce Virginie, Clarisse m’a demandé une faveur. Et j’ai dit oui. Elle m’a demandé si elle pouvait te préparer tes culottes cette semaine. Qu’est-ce que t’en dis ? » « Comment ça, préparer ? » « Te préparer tes culottes du weekend. Au lieu que tu mettes mes culottes de la semaine, tu mettras les siennes » « Mais marraine… » « Ben, c’est pareil. Que ce soit moi ou une autre, quelle différence ? Et puis, de toutes façons, cette semaine, … ». Elle ne finit pas sa phrase me laissant incrédule.
Clarisse était une métisse très belle, plus jeune que Geneviève, je dirais entre 20 et 22 ans. « Alors, on dit merci ? » « Merci marraine ». « Et Clarisse ? » Je n’osais pas la regarder. J’étais terriblement gênée. Était-ce à cause de sa beauté ? De sa couleur de peau ? Je bredouillais sans la regarder « Merci Clarisse » J’avais à la fois peur et envie de découvrir ses ‘’ petits cadeaux ‘’. « Tu verras, ça change. Avec ses origines guadeloupéennes, elle n’a pas la même odeur que nous, les blanches. En fait, elle sent très fort, tu verras. Alors il faudra être encore plus prudente que les autres fois. Allez, Clacla, montre-nous ce que tu as fait pour notre petite chatte ».
Clarisse ouvrit son sac et en sortit 3 culottes, une blanche, une jaune et enfin une rouge. La vue de la rouge m’électrisa immédiatement. L’imaginer sur moi fit monter une bouffée de chaleur immense dans mon bas ventre ? Je n’avais évidemment jamais portée une telle couleur sous mes robes… « Je les ai portées toutes les trois pendant deux jours comme tu m’as dit. Désolée pour l’odeur… »
Je redoutais et languissais de voir ce qu’elle entendait par sale. Elle les posa sur la table basse, n’osant pas les découvrir elle-même « J’ai un peu honte, ajouta-t-elle visiblement sincèrement gênée ». « Allez, regarde ma chérie. Il va falloir choisir celle que tu vas mettre. » J’attrapais la première (la jaune) et la dépliai. Immédiatement, l’odeur me prit à la gorge. « Sorry baby ». Malgré la couleur naturelle de la culotte, le fond était vraiment très marqué. « Tu veux mettre laquelle ? » demanda marraine. Je savais ce que je voulais. « La… la rouge ». « Ok, alors vas-y, mets-là. Cependant, je pense que dimanche, il faudra en mettre une autre, vue la robe que je t’ai prévue, ce serait trop indécent. »
Je glissais les mains sous ma robe pour retirer la culotte que j’avais et attrapai la belle rouge. Un simple regard dans le fond me fit comprendre qu’elle était dans le même état que la jaune. Je remontais le doux tissu sur mes jambes sentant de plus en plus l’odeur de femelle souillon.
Le contact avec mon fondement me fit émettre un petit râle de jouissance involontaire que remarqua ma maitresse « Tu aimes ça ma belle ? C’est la couleur ou l’odeur qui te fait cet effet ? Tu sens les croutes de négresse sur ton petit cul ? Ça t’excite, hein. Montre-moi ton zizi » Et elle souleva ma robe découvrant ma culotte rouge tendue par mon mini sexe bandé. « Tu connais la sanction ? Interdit de bander. Tu es une fille. » Et elle me tendit la culotte jaune « Lèche, petite salope. Obsédée sexuelle ». En moi, je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce que j’avais vu la semaine précédente. Je n’étais pas la seule obsédée ici.
Je dus prendre la culotte jaune et la placer sous mon nez. L’odeur était véritablement insupportable. Les taches issues du sexe de Clarisse étaient gluantes, mélangées à des petits poils collés. Une forte odeur de vieille urine se mêlait à l’odeur de ses secrétions vaginales. Le pire était les salissures de l’arrière. Clarisse se tenait la tête à deux mains, visiblement gênée.
« Aïe, aïe, aïe… J’ai été un peu malade en début de semaine. On n’a pas bien l’habitude de s’essayer dans mon ile. Je fais ça trop vite. Je suis vraiment désolée. J’avais pas vu que c’était à ce point. Donne-lui la blanche plutôt ». « Non, trop tard. Allez lèche Virginie. Il faut tout nettoyer. » J’étais écœurée. Je craignais d’être malade. J’espérais une peu de clémence. Je tendis le bout de la langue sur la partie la moins sale.
« Lèche ». Et la première claque tomba sur mon fessier. Comme je ne mettais pas assez d’ardeur, elle me fit mettre à quatre pattes en relevant mes fesses, la culotte rabaissée sur les genoux et elle se mit à frapper très fort. « Je m’arrêterai quand tu auras fini, pas avant ». Les claques étaient très douloureuses, je n’avais pas le choix. Je léchais le plus vite possible. Le gout entrait en moi. Marraine saisit une ceinture pour me frapper toujours plus fort. Mes fesses devaient être écarlates.
J’avais envie de vomir mais la douleur me contraignait à lécher. Ma quéquette frottait contre mon ventre et bien évidemment, ce qui devait arriver arriva, je ressentis un violent orgasme que Geneviève remarqua immédiatement
« Quelle salope ! Tu aimes ça, hein ? Te faire maltraiter, humilier, … » Cela sembla décupler les coups. Je pleurais doucement puis de plus en plus bruyamment « Marraine, marraine, pitié, j’ai trop mal, aïe, aïe, … » Elle se calma enfin. Je pleurai le nez dans la culotte désormais trempée par ma succion.
« Allez, relève-toi ». Après que j’eus remonté ma culotte rouge sur mon derrière de la même couleur, elle me prit sur ses genoux pour me consoler, me cajoler. Je pleurnichais encore plusieurs minutes, serrée contre sa poitrine. Mes pensées se bousculaient. J’étais partagée entre haine et amour pour ma tortionnaire. Elle jouait parfaitement de cette ambivalence.
Je tombais plus bas de jour en jour…
Le lendemain, elle m’envoya dans sa chambre où m’attendait ma tenue du jour. C’était une très belle robe du dimanche blanche et rose arrivant aux genoux avec un peu de dentelle en bas, à l’encolure et aux manches.
Il y avait aussi un soutien-gorge, des bas nylon et une paire de chaussures légères noires avec de petits talons. Bref, une vraie tenue de petite fille modèle. Rien que la vision de ces vêtements fit gonfler mon sexe et je ne pus m’empêcher de me dire qu’il ne fallait surtout pas que je laisse apparaitre ma belle et odorante culotte rouge.
« On va faire un nouveau petit jeu pour que tu sentes bien la culotte sur ton cul, que les odeurs t’imprègnent. J’ai emprunté des vélos ». Le but du jeu but était que la position sur la selle fasse pénétrer la culotte dans mes fesses. Cela fonctionnait à merveille. Les salissures de son trou du cul entraient dans le mien et cela me faisait un bien fou.
Je devais être extrêmement prudente à chaque tour de pédale pour ne rien montrer à tous ceux que je ne manquais pas de croiser qu’ils soient à pied, en voiture ou comme moi à vélo. A chaque fois que je le pouvais, je lâchais une main du guidon pour replacer prudemment ma robe entre mes jambes. Mais je surpris néanmoins à plusieurs reprises des regards en direction de mon bas-ventre qui ne laissaient aucun doute sur l’intention de ces maudits voyeurs… J’aurai fait la même chose à leur place.
Je me surpris à ressentir des picotements entre mes jambes à chaque fois que je surprenais un de ces regards indiscrets. Comment était-ce possible ?
Plus loin, je repérais en face de moi, un homme d’une quarantaine d’année à pied et je me dis que je pouvais lui offrir un spectacle gratuit. Plus on approchait, plus je sentais que j’allais le faire, plus mon ventre me piquait et je sentais mon petit zizi gonfler dans ma culotte. J’allais le faire, oui… Non, je ne peux pas. Si, si. Il le faut. C’est trop bon. Le gars en face me voyait venir et s’intéressait à moi.
Alors sans le regarder, j’avançais face à lui sans serrer les jambes, sans mettre ma main sur ma jupe. Ouvrir plus ? Oui je pouvais. Et je le fis. J’ouvris largement mes cuisses pour offrir le spectacle le plus indécent qui soit. L’homme regardait, je le savais, je le sentais. J’avais honte mais c’était trop bon. Surtout ne pas s’arrêter maintenant, continuer, accélérer pour s’éloigner de cet homme indiscret….
Le samedi suivant après m’avoir lavée, épilée, pouponnée et habillée d’une robe simple, discrète, violette avec des rebords blancs, presque une robe de femme de ménage, un ruban blanc dans les cheveux avec un jupon blanc et une de ses culottes de la semaine en coton, Geneviève m’annonça « Dorénavant, on va commencer à t’apprendre à devenir une parfaite ménagère. Il faut bien que tu saches tout faire dans une maison pour devenir une vraie demoiselle digne de ce nom. Qu’en penses-tu ? » « Oui, marraine, tu as raison » répondis-je en baissant la tête, soumise. « Et en plus, cela remboursera un peu les frais que tu m’occasionnes. Ça me coute cher tes lubies de vouloir être une fille… » « Mais marraine, c’est toi… » « taratata, pas de ça avec moi. On sait toutes les deux que c’est TA volonté… » Je baissais à nouveau les yeux, brisée par son affirmation qui reflétait bel et bien la moitié de la vérité.
Et me voici à faire la vaisselle, balayer le petit appartement, repasser et plier le linge de ma maitresse sous ses yeux inquisiteurs et formateurs. Je me sentais étonnamment à l’aise dans ce rôle de « soubrette » docile, chantonnant de plaisir en virevoltant sur moi-même pour gonfler mes jupons.
Ce fut un peu moins agréable lorsque ses copines arrivèrent pour le thé, que je dus leur servir, et qu’elles se moquèrent de mes maladresses « regarde-là, elle ne sait même pas servir un thé » « Quelle nouille ! » « Nouille sans couilles ? » s’esclaffa Linda et elles éclatèrent toutes de rire à mes dépends. « Y a encore du boulot si on veut lui trouver un bon mari » « et pas que pour le ménage… » laissa sous-entendre Martine… « on va attendre qu’elle soit majeure pour lui apprendre à faire plaisir à un homme. » « Vu le succès qu’elle a auprès des garçons, à mon avis, elle risque de pas nous attendre » « C’est vrai qu’il va falloir être prudentes avec ça » répondit Geneviève visiblement plus soucieuse.
Au fond de moi, je ne cessais de penser à ces garçons qui me tournaient autour. Si l’un d’eux s’aventurait à aller plus loin, me coinçait par surprise, soulevait mes jupes ou tentait de glisser ses doigts sous ma culotte et découvrait l’horrible vérité, ce serait un drame terrible.
Parfois, le soir dans mes insomnies, je fantasmais que mon sexe disparaissait et que mon entrejambe devenait plat et donc les empêchait de comprendre ma triste nature. Je me sentirais tellement plus libre. Je pourrais laisser voler mes jupons sans craindre de laisser voir mes culottes à tous mes admirateurs…
Puis endormie, je rêvais que j’étais réellement devenue une fille. Je ressentais le plaisir de pouvoir séduire librement. Je laissais mes jupes dévoiler mes jambes gainées de soie douce. Je sentais le regard des garçons attirés par mes jarretières. Innocemment j’écartais les jambes pour laisser apparaitre ma merveilleuse petite culotte. Je sentais le regard lourd et vicieux de François, le fils de notre dépanneur. Je le guettais du coin de l’œil. Je sentais ma petite vulve s’humidifier. Je sentais le plaisir gonfler dans tout mon bas-ventre. Une sensation de bien-être intense, une chaleur inconnue. Je soufflais de plaisir. Ma culotte devenait transparente en s’humidifiant, laissant apparaitre ma petite fente secrète. François était hypnotisé. Je luis fis signe d’approcher, de se mettre en face de mon entrejambe et de bien me regarder. Il restait un long moment ainsi faisant encore monter mon plaisir, inonder la soie, débordant même sur ma robe.
Enfin, sa main se dirigeait vers mon triangle. J’attendais fébrilement le contact. Puis je reçus un choc lorsque son doigt toucha le but. Il avait mis dans le mil directement, sur mon clitoris vierge et j’explosais littéralement en une jouissance inconnue de moi. Ensuite, il écartait le rebord de la culotte et son doigt entrait dans mon vagin et s’enfonçait profondément déclenchant des spasmes éblouissants.
J’étais en nage. Je me réveillais en plein orgasme féminin, déboussolée, … Et, rapidement, tellement déçue de m’apercevoir que j’éjaculai bêtement de mon vrai sexe… J’étais triste et désespérée. Je voulais tant vivre cela hors d’un rêve. Oui, je le voulais. Vraiment.
« Nouvelle corvée, ma petite soubrette. Tu vas t’occuper de la lessive. Tu as de la chance, c’est la machine à laver de la congrégation qui lave notre linge désormais, donc tu n’auras qu’à vider la machine et étendre le linge. Rien de bien compliqué ». Rien de bien compliqué sauf que je n’avais jamais fait cela.
Je me retrouvais devant la machine à sortir toutes les belles robes, jupons, et autres lingeries, … de notre petite bande. Puis dans une grande bassine, je portais tout cela vers les grands fils tendus dans la grande cour. Sans m’aider, Geneviève était là pour me dire quand je m’y prenais mal. Plusieurs nonnes passèrent en se moquant « On voit qu’elle ne fait pas souvent la lessive chez elle » « oui, je suis obligée de lui faire toute son éducation rigola ma marraine »
Je me sentais extrêmement gênée par cette activité. Être là, habillée en femme et étendre des vêtements de femmes n’avait, évidemment, rien de viril. Malgré cela toucher ces tissus si doux était extrêmement agréable. Je ne mis pas longtemps à m’apercevoir qu’il n’y avait aucune petite culotte à étendre. Je le regrettais un peu mais n’osais pas poser la question de peur de passer pour un vicieux. Sans doute attendait-elle ma question pour m’expliquer la suite du programme.
« Après tu laveras nos culottes. On ne les met pas à la machine car ça les abime. Donc il faut les laver à la main, au lavoir, à l’ancienne »
Cette nouvelle n’était pas pour me réjouir. Certes, tripoter les jolies culottes de mes copines me faisait plaisir. L’humiliation de devoir laver leurs cochonneries me plaisait également. Je sentais mon petit zizi gonfler d’un coup à cette perspective. J’imaginais déjà les fortes odeurs intimes remonter sous mes actions…
En revanche, devoir faire tout cela dans le lavoir central du parc au vu et au su de tous était un supplice. Fatalement les railleries allaient tomber. Je savais que le prétexte pris par ma marraine était faux et que d’habitude, les culottes partaient à la lessive avec les autres habits. Donc je ne manquerai pas de susciter des interrogations de tous ceux qui passeront à proximité. Nul doute que cela passerait pour une punition ou un test de soumission.
Geneviève m’apporta une immense bassine remplie d’eau chaude. « Tu commences par faire tremper dans l’eau chaude, ensuite, tu les frottes avec le savon, tu les tapes et les serres jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de traces. C’est plus facile sur les blanches mais fais surtout attention aux culottes de Clarisse. Elles sont souvent en couleur et elles sentent très fort. Nicole aussi, avec son odeur de rouquine laisse beaucoup d’odeurs. » Elle me disait tout cela très sérieusement. Je comprenais que c’était important pour elle que je réussisse parfaitement cette tâche.
Elle m’apporta le panier rempli d’une vingtaine de culottes, essentiellement blanches. Des grandes, des minuscules que je n’avais jamais vues, des cotons, des nylons, des satins très douces, … Je commençais à tremper les premières et aussitôt le mélange des odeurs m’enivra. Je sortis la première et commençais à la savonner, la presser, la rincer et recommencer jusqu’au retour d’une blancheur acceptable. Geneviève surveillait sans rien dire. Je sortis la deuxième. J’espérais que marraine me laisse un peu seule afin de pouvoir porter le fonds en satin à mes narines, à mes lèvres. Je voulais littéralement dévorer la petite pate visqueuse qui se détachait de cette merveille et c’est presque avec regret que je commençais à laver cette deuxième pièce.
Un groupe de religieuses s’approcha et comme je le redoutais elles s’interrogèrent sur les raisons de cette punition. « Ce n’est pas une punition, c’est une formation. Virginie ne sait absolument rien faire dans la maison. Je dois tout lui apprendre. Donc, oui, laver son linge à la main, ça peut toujours servir. »
Geneviève me laissa enfin seule avec ma triste corvée. Je surveillais du coin de l’œil jusqu’à être sûre de ne pas être vue et portais rapidement un doux fond de tissu à mes lèvres sans savoir de qui je suçais les secrétions chaudes et mouillées. Ma petite zigounette me faisait mal, tendant dangereusement le devant de ma robe.
A peine avais-je relevé la tête que j’aperçus le curé qui venait vers moi. « Oh, non, pas lui » pensais-je en moi-même. Qu’allait-il penser, qu’allait-il dire ? J’avais tellement honte de ce que je faisais. Au moins, je me rassurais, il n’avait pas pu me voir lécher les salissures de mes copines.
« Mais que fais-tu Virginie ? » « Je… je fais la lessive » « Mais il y a une machine pour ça » « mes amies trouvent que ça les abime » « Ah bon ? C’est la première fois que j’entends ça. » Le prêtre regardait bizarrement le tas de culottes encore sèches. A ma grande surprise, il en saisit une et la regarda attentivement. « Ben, dis donc, c’est pas très ragoutant tout ça. Je sais que les copines de Geneviève ne sont pas des saintes vierges mais quand même… J’espère que tu n’es pas comme elles. Hein ? » Je ne savais pas où me mettre. Je ne pouvais pas répondre. Il ne pouvait que se poser des questions vue mon attitude. « Au fait, j’y pense, je ne t’ai jamais entendue en confession, Virginie ? »
Aïe… Ça se corsait sérieusement pour moi. Non, je n’avais jamais été confessée par l’abbé. Et je ne me voyais pas le faire. Que lui dire ? Je ne pourrais que mentir. Il aurait pourtant été logique qu’il confesse les jeunes filles qui faisaient la quête dans son église. Il aurait même dû le faire avant de me choisir. C’était une faute professionnelle de sa part, pensais-je.
Tôt ou tard, je serai démasqué(e), c’était inévitable…
Arrivée chez marraine, je frappais plusieurs fois mais pas de réponse. J’étais étonnée car elle ne m’avait pas dit qu’elle ne serait pas là. La porte n’étant pas fermée à clef, j’entrai dans la pièce principale et alors que j’allais appeler, j’entendis du bruit dans sa chambre. On parlait, on gémissait de façon étrange. Surprise, je m’approchais de la porte pour entendre très nettement des soupirs et des paroles non équivoques. Curieuse, je tentais de regarder par le trou de la serrure et je vis…
Je vis marraine et Linda, quasiment nues, se caressant langoureusement. Marraine se cambrait indiquant son bas-ventre à son amie. Celle-ci descendit le long de son corps et l’embrassa sur la culotte, de plus en plus près de son sexe. J’étais outrée et obsédée par ce que je voyais. Linda fit glisser la culotte de Geneviève. J’apercevais maintenant le sexe de ma marraine et je fus encore plus choquée quand je vis Linda poser naturellement sa bouche sur le sexe de Geneviève qui se cabra et gémit de plaisir.
Ce que je voyais était fou. Je me demandai si je ne rêvais pas. Je ne m’étais jamais posé la question de la sexualité de ma marraine. Mais effectivement, je ne l’avais vue avec un homme. Elle était lesbienne. Evidemment. Et Linda aussi. Les autres aussi peut-être… J’étais choquée. Mais le pire était à venir « Nettoie moi le cul. Je me suis pas lavée ce matin. » « Oui maitresse, je vais vous nettoyer ». Linda se soumettait totalement au jeu et obéissait aux ordres immondes. Je vis sa langue glisser dans le petit trou de ma logeuse. Du haut de mes dix-sept ans à peine et ne connaissant pas grand-chose aux choses du sexe, la situation était incroyable pour moi.
Je décidais de sortir de la maison et d’attendre dehors qu’elles aient fini leurs petites affaires. Je me promenais dans le parc attendant l’heure à laquelle je me savais attendue. Lorsqu’enfin, je me décidai à revenir, Linda était sagement attablée devant un thé, elles étaient habillées et propres, souriantes et détendues comme si de rien n’était. Elles étaient comme d’habitude mais je ne les voyais plus de la même façon. Je ne parvenais pas à sortir les images de ma tête. La langue de Linda dans l’anus de Geneviève… Je revois toujours cette scène qui marquera un tournant décisif dans ma sexualité. Geneviève était une dominatrice lesbienne. Sous-entendu, si je voulais lui plaire, je devais être une jolie fille obéissante. En fait, tout concordait avec son comportement à mon égard depuis si longtemps. « Ça va Virginie ? Tu as l’air bizarre. » « Oui, oui, ça va. » Je ne pouvais pas leur dire ce qui me tracassait ce soir… Lorsque j’embrassais Linda en partant et Geneviève quand elle me déposa au métro, je ne pus m’empêcher de repenser à leur étreinte bucco anale…
Le vendredi suivant, quand j’arrivais Geneviève m’annonça tout de suite que j’aurai une surprise ce soir. « Un cadeau », dis-je innocemment « oui, si on veut. On verra ce que tu en penses. » Arrivées à la résidence, Geneviève frappa chez Clarisse et lui dit « Tu peux venir, on t’attend… impatiemment ». Moi aussi finalement je me prêtais au jeu et commençais à attendre avec impatience de connaitre la surprise.
Clarisse arriva rapidement, un petit sac à la main. « Ma douce Virginie, Clarisse m’a demandé une faveur. Et j’ai dit oui. Elle m’a demandé si elle pouvait te préparer tes culottes cette semaine. Qu’est-ce que t’en dis ? » « Comment ça, préparer ? » « Te préparer tes culottes du weekend. Au lieu que tu mettes mes culottes de la semaine, tu mettras les siennes » « Mais marraine… » « Ben, c’est pareil. Que ce soit moi ou une autre, quelle différence ? Et puis, de toutes façons, cette semaine, … ». Elle ne finit pas sa phrase me laissant incrédule.
Clarisse était une métisse très belle, plus jeune que Geneviève, je dirais entre 20 et 22 ans. « Alors, on dit merci ? » « Merci marraine ». « Et Clarisse ? » Je n’osais pas la regarder. J’étais terriblement gênée. Était-ce à cause de sa beauté ? De sa couleur de peau ? Je bredouillais sans la regarder « Merci Clarisse » J’avais à la fois peur et envie de découvrir ses ‘’ petits cadeaux ‘’. « Tu verras, ça change. Avec ses origines guadeloupéennes, elle n’a pas la même odeur que nous, les blanches. En fait, elle sent très fort, tu verras. Alors il faudra être encore plus prudente que les autres fois. Allez, Clacla, montre-nous ce que tu as fait pour notre petite chatte ».
Clarisse ouvrit son sac et en sortit 3 culottes, une blanche, une jaune et enfin une rouge. La vue de la rouge m’électrisa immédiatement. L’imaginer sur moi fit monter une bouffée de chaleur immense dans mon bas ventre ? Je n’avais évidemment jamais portée une telle couleur sous mes robes… « Je les ai portées toutes les trois pendant deux jours comme tu m’as dit. Désolée pour l’odeur… »
Je redoutais et languissais de voir ce qu’elle entendait par sale. Elle les posa sur la table basse, n’osant pas les découvrir elle-même « J’ai un peu honte, ajouta-t-elle visiblement sincèrement gênée ». « Allez, regarde ma chérie. Il va falloir choisir celle que tu vas mettre. » J’attrapais la première (la jaune) et la dépliai. Immédiatement, l’odeur me prit à la gorge. « Sorry baby ». Malgré la couleur naturelle de la culotte, le fond était vraiment très marqué. « Tu veux mettre laquelle ? » demanda marraine. Je savais ce que je voulais. « La… la rouge ». « Ok, alors vas-y, mets-là. Cependant, je pense que dimanche, il faudra en mettre une autre, vue la robe que je t’ai prévue, ce serait trop indécent. »
Je glissais les mains sous ma robe pour retirer la culotte que j’avais et attrapai la belle rouge. Un simple regard dans le fond me fit comprendre qu’elle était dans le même état que la jaune. Je remontais le doux tissu sur mes jambes sentant de plus en plus l’odeur de femelle souillon.
Le contact avec mon fondement me fit émettre un petit râle de jouissance involontaire que remarqua ma maitresse « Tu aimes ça ma belle ? C’est la couleur ou l’odeur qui te fait cet effet ? Tu sens les croutes de négresse sur ton petit cul ? Ça t’excite, hein. Montre-moi ton zizi » Et elle souleva ma robe découvrant ma culotte rouge tendue par mon mini sexe bandé. « Tu connais la sanction ? Interdit de bander. Tu es une fille. » Et elle me tendit la culotte jaune « Lèche, petite salope. Obsédée sexuelle ». En moi, je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce que j’avais vu la semaine précédente. Je n’étais pas la seule obsédée ici.
Je dus prendre la culotte jaune et la placer sous mon nez. L’odeur était véritablement insupportable. Les taches issues du sexe de Clarisse étaient gluantes, mélangées à des petits poils collés. Une forte odeur de vieille urine se mêlait à l’odeur de ses secrétions vaginales. Le pire était les salissures de l’arrière. Clarisse se tenait la tête à deux mains, visiblement gênée.
« Aïe, aïe, aïe… J’ai été un peu malade en début de semaine. On n’a pas bien l’habitude de s’essayer dans mon ile. Je fais ça trop vite. Je suis vraiment désolée. J’avais pas vu que c’était à ce point. Donne-lui la blanche plutôt ». « Non, trop tard. Allez lèche Virginie. Il faut tout nettoyer. » J’étais écœurée. Je craignais d’être malade. J’espérais une peu de clémence. Je tendis le bout de la langue sur la partie la moins sale.
« Lèche ». Et la première claque tomba sur mon fessier. Comme je ne mettais pas assez d’ardeur, elle me fit mettre à quatre pattes en relevant mes fesses, la culotte rabaissée sur les genoux et elle se mit à frapper très fort. « Je m’arrêterai quand tu auras fini, pas avant ». Les claques étaient très douloureuses, je n’avais pas le choix. Je léchais le plus vite possible. Le gout entrait en moi. Marraine saisit une ceinture pour me frapper toujours plus fort. Mes fesses devaient être écarlates.
J’avais envie de vomir mais la douleur me contraignait à lécher. Ma quéquette frottait contre mon ventre et bien évidemment, ce qui devait arriver arriva, je ressentis un violent orgasme que Geneviève remarqua immédiatement
« Quelle salope ! Tu aimes ça, hein ? Te faire maltraiter, humilier, … » Cela sembla décupler les coups. Je pleurais doucement puis de plus en plus bruyamment « Marraine, marraine, pitié, j’ai trop mal, aïe, aïe, … » Elle se calma enfin. Je pleurai le nez dans la culotte désormais trempée par ma succion.
« Allez, relève-toi ». Après que j’eus remonté ma culotte rouge sur mon derrière de la même couleur, elle me prit sur ses genoux pour me consoler, me cajoler. Je pleurnichais encore plusieurs minutes, serrée contre sa poitrine. Mes pensées se bousculaient. J’étais partagée entre haine et amour pour ma tortionnaire. Elle jouait parfaitement de cette ambivalence.
Je tombais plus bas de jour en jour…
Le lendemain, elle m’envoya dans sa chambre où m’attendait ma tenue du jour. C’était une très belle robe du dimanche blanche et rose arrivant aux genoux avec un peu de dentelle en bas, à l’encolure et aux manches.
Il y avait aussi un soutien-gorge, des bas nylon et une paire de chaussures légères noires avec de petits talons. Bref, une vraie tenue de petite fille modèle. Rien que la vision de ces vêtements fit gonfler mon sexe et je ne pus m’empêcher de me dire qu’il ne fallait surtout pas que je laisse apparaitre ma belle et odorante culotte rouge.
« On va faire un nouveau petit jeu pour que tu sentes bien la culotte sur ton cul, que les odeurs t’imprègnent. J’ai emprunté des vélos ». Le but du jeu but était que la position sur la selle fasse pénétrer la culotte dans mes fesses. Cela fonctionnait à merveille. Les salissures de son trou du cul entraient dans le mien et cela me faisait un bien fou.
Je devais être extrêmement prudente à chaque tour de pédale pour ne rien montrer à tous ceux que je ne manquais pas de croiser qu’ils soient à pied, en voiture ou comme moi à vélo. A chaque fois que je le pouvais, je lâchais une main du guidon pour replacer prudemment ma robe entre mes jambes. Mais je surpris néanmoins à plusieurs reprises des regards en direction de mon bas-ventre qui ne laissaient aucun doute sur l’intention de ces maudits voyeurs… J’aurai fait la même chose à leur place.
Je me surpris à ressentir des picotements entre mes jambes à chaque fois que je surprenais un de ces regards indiscrets. Comment était-ce possible ?
Plus loin, je repérais en face de moi, un homme d’une quarantaine d’année à pied et je me dis que je pouvais lui offrir un spectacle gratuit. Plus on approchait, plus je sentais que j’allais le faire, plus mon ventre me piquait et je sentais mon petit zizi gonfler dans ma culotte. J’allais le faire, oui… Non, je ne peux pas. Si, si. Il le faut. C’est trop bon. Le gars en face me voyait venir et s’intéressait à moi.
Alors sans le regarder, j’avançais face à lui sans serrer les jambes, sans mettre ma main sur ma jupe. Ouvrir plus ? Oui je pouvais. Et je le fis. J’ouvris largement mes cuisses pour offrir le spectacle le plus indécent qui soit. L’homme regardait, je le savais, je le sentais. J’avais honte mais c’était trop bon. Surtout ne pas s’arrêter maintenant, continuer, accélérer pour s’éloigner de cet homme indiscret….
Le samedi suivant après m’avoir lavée, épilée, pouponnée et habillée d’une robe simple, discrète, violette avec des rebords blancs, presque une robe de femme de ménage, un ruban blanc dans les cheveux avec un jupon blanc et une de ses culottes de la semaine en coton, Geneviève m’annonça « Dorénavant, on va commencer à t’apprendre à devenir une parfaite ménagère. Il faut bien que tu saches tout faire dans une maison pour devenir une vraie demoiselle digne de ce nom. Qu’en penses-tu ? » « Oui, marraine, tu as raison » répondis-je en baissant la tête, soumise. « Et en plus, cela remboursera un peu les frais que tu m’occasionnes. Ça me coute cher tes lubies de vouloir être une fille… » « Mais marraine, c’est toi… » « taratata, pas de ça avec moi. On sait toutes les deux que c’est TA volonté… » Je baissais à nouveau les yeux, brisée par son affirmation qui reflétait bel et bien la moitié de la vérité.
Et me voici à faire la vaisselle, balayer le petit appartement, repasser et plier le linge de ma maitresse sous ses yeux inquisiteurs et formateurs. Je me sentais étonnamment à l’aise dans ce rôle de « soubrette » docile, chantonnant de plaisir en virevoltant sur moi-même pour gonfler mes jupons.
Ce fut un peu moins agréable lorsque ses copines arrivèrent pour le thé, que je dus leur servir, et qu’elles se moquèrent de mes maladresses « regarde-là, elle ne sait même pas servir un thé » « Quelle nouille ! » « Nouille sans couilles ? » s’esclaffa Linda et elles éclatèrent toutes de rire à mes dépends. « Y a encore du boulot si on veut lui trouver un bon mari » « et pas que pour le ménage… » laissa sous-entendre Martine… « on va attendre qu’elle soit majeure pour lui apprendre à faire plaisir à un homme. » « Vu le succès qu’elle a auprès des garçons, à mon avis, elle risque de pas nous attendre » « C’est vrai qu’il va falloir être prudentes avec ça » répondit Geneviève visiblement plus soucieuse.
Au fond de moi, je ne cessais de penser à ces garçons qui me tournaient autour. Si l’un d’eux s’aventurait à aller plus loin, me coinçait par surprise, soulevait mes jupes ou tentait de glisser ses doigts sous ma culotte et découvrait l’horrible vérité, ce serait un drame terrible.
Parfois, le soir dans mes insomnies, je fantasmais que mon sexe disparaissait et que mon entrejambe devenait plat et donc les empêchait de comprendre ma triste nature. Je me sentirais tellement plus libre. Je pourrais laisser voler mes jupons sans craindre de laisser voir mes culottes à tous mes admirateurs…
Puis endormie, je rêvais que j’étais réellement devenue une fille. Je ressentais le plaisir de pouvoir séduire librement. Je laissais mes jupes dévoiler mes jambes gainées de soie douce. Je sentais le regard des garçons attirés par mes jarretières. Innocemment j’écartais les jambes pour laisser apparaitre ma merveilleuse petite culotte. Je sentais le regard lourd et vicieux de François, le fils de notre dépanneur. Je le guettais du coin de l’œil. Je sentais ma petite vulve s’humidifier. Je sentais le plaisir gonfler dans tout mon bas-ventre. Une sensation de bien-être intense, une chaleur inconnue. Je soufflais de plaisir. Ma culotte devenait transparente en s’humidifiant, laissant apparaitre ma petite fente secrète. François était hypnotisé. Je luis fis signe d’approcher, de se mettre en face de mon entrejambe et de bien me regarder. Il restait un long moment ainsi faisant encore monter mon plaisir, inonder la soie, débordant même sur ma robe.
Enfin, sa main se dirigeait vers mon triangle. J’attendais fébrilement le contact. Puis je reçus un choc lorsque son doigt toucha le but. Il avait mis dans le mil directement, sur mon clitoris vierge et j’explosais littéralement en une jouissance inconnue de moi. Ensuite, il écartait le rebord de la culotte et son doigt entrait dans mon vagin et s’enfonçait profondément déclenchant des spasmes éblouissants.
J’étais en nage. Je me réveillais en plein orgasme féminin, déboussolée, … Et, rapidement, tellement déçue de m’apercevoir que j’éjaculai bêtement de mon vrai sexe… J’étais triste et désespérée. Je voulais tant vivre cela hors d’un rêve. Oui, je le voulais. Vraiment.
« Nouvelle corvée, ma petite soubrette. Tu vas t’occuper de la lessive. Tu as de la chance, c’est la machine à laver de la congrégation qui lave notre linge désormais, donc tu n’auras qu’à vider la machine et étendre le linge. Rien de bien compliqué ». Rien de bien compliqué sauf que je n’avais jamais fait cela.
Je me retrouvais devant la machine à sortir toutes les belles robes, jupons, et autres lingeries, … de notre petite bande. Puis dans une grande bassine, je portais tout cela vers les grands fils tendus dans la grande cour. Sans m’aider, Geneviève était là pour me dire quand je m’y prenais mal. Plusieurs nonnes passèrent en se moquant « On voit qu’elle ne fait pas souvent la lessive chez elle » « oui, je suis obligée de lui faire toute son éducation rigola ma marraine »
Je me sentais extrêmement gênée par cette activité. Être là, habillée en femme et étendre des vêtements de femmes n’avait, évidemment, rien de viril. Malgré cela toucher ces tissus si doux était extrêmement agréable. Je ne mis pas longtemps à m’apercevoir qu’il n’y avait aucune petite culotte à étendre. Je le regrettais un peu mais n’osais pas poser la question de peur de passer pour un vicieux. Sans doute attendait-elle ma question pour m’expliquer la suite du programme.
« Après tu laveras nos culottes. On ne les met pas à la machine car ça les abime. Donc il faut les laver à la main, au lavoir, à l’ancienne »
Cette nouvelle n’était pas pour me réjouir. Certes, tripoter les jolies culottes de mes copines me faisait plaisir. L’humiliation de devoir laver leurs cochonneries me plaisait également. Je sentais mon petit zizi gonfler d’un coup à cette perspective. J’imaginais déjà les fortes odeurs intimes remonter sous mes actions…
En revanche, devoir faire tout cela dans le lavoir central du parc au vu et au su de tous était un supplice. Fatalement les railleries allaient tomber. Je savais que le prétexte pris par ma marraine était faux et que d’habitude, les culottes partaient à la lessive avec les autres habits. Donc je ne manquerai pas de susciter des interrogations de tous ceux qui passeront à proximité. Nul doute que cela passerait pour une punition ou un test de soumission.
Geneviève m’apporta une immense bassine remplie d’eau chaude. « Tu commences par faire tremper dans l’eau chaude, ensuite, tu les frottes avec le savon, tu les tapes et les serres jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de traces. C’est plus facile sur les blanches mais fais surtout attention aux culottes de Clarisse. Elles sont souvent en couleur et elles sentent très fort. Nicole aussi, avec son odeur de rouquine laisse beaucoup d’odeurs. » Elle me disait tout cela très sérieusement. Je comprenais que c’était important pour elle que je réussisse parfaitement cette tâche.
Elle m’apporta le panier rempli d’une vingtaine de culottes, essentiellement blanches. Des grandes, des minuscules que je n’avais jamais vues, des cotons, des nylons, des satins très douces, … Je commençais à tremper les premières et aussitôt le mélange des odeurs m’enivra. Je sortis la première et commençais à la savonner, la presser, la rincer et recommencer jusqu’au retour d’une blancheur acceptable. Geneviève surveillait sans rien dire. Je sortis la deuxième. J’espérais que marraine me laisse un peu seule afin de pouvoir porter le fonds en satin à mes narines, à mes lèvres. Je voulais littéralement dévorer la petite pate visqueuse qui se détachait de cette merveille et c’est presque avec regret que je commençais à laver cette deuxième pièce.
Un groupe de religieuses s’approcha et comme je le redoutais elles s’interrogèrent sur les raisons de cette punition. « Ce n’est pas une punition, c’est une formation. Virginie ne sait absolument rien faire dans la maison. Je dois tout lui apprendre. Donc, oui, laver son linge à la main, ça peut toujours servir. »
Geneviève me laissa enfin seule avec ma triste corvée. Je surveillais du coin de l’œil jusqu’à être sûre de ne pas être vue et portais rapidement un doux fond de tissu à mes lèvres sans savoir de qui je suçais les secrétions chaudes et mouillées. Ma petite zigounette me faisait mal, tendant dangereusement le devant de ma robe.
A peine avais-je relevé la tête que j’aperçus le curé qui venait vers moi. « Oh, non, pas lui » pensais-je en moi-même. Qu’allait-il penser, qu’allait-il dire ? J’avais tellement honte de ce que je faisais. Au moins, je me rassurais, il n’avait pas pu me voir lécher les salissures de mes copines.
« Mais que fais-tu Virginie ? » « Je… je fais la lessive » « Mais il y a une machine pour ça » « mes amies trouvent que ça les abime » « Ah bon ? C’est la première fois que j’entends ça. » Le prêtre regardait bizarrement le tas de culottes encore sèches. A ma grande surprise, il en saisit une et la regarda attentivement. « Ben, dis donc, c’est pas très ragoutant tout ça. Je sais que les copines de Geneviève ne sont pas des saintes vierges mais quand même… J’espère que tu n’es pas comme elles. Hein ? » Je ne savais pas où me mettre. Je ne pouvais pas répondre. Il ne pouvait que se poser des questions vue mon attitude. « Au fait, j’y pense, je ne t’ai jamais entendue en confession, Virginie ? »
Aïe… Ça se corsait sérieusement pour moi. Non, je n’avais jamais été confessée par l’abbé. Et je ne me voyais pas le faire. Que lui dire ? Je ne pourrais que mentir. Il aurait pourtant été logique qu’il confesse les jeunes filles qui faisaient la quête dans son église. Il aurait même dû le faire avant de me choisir. C’était une faute professionnelle de sa part, pensais-je.
Tôt ou tard, je serai démasqué(e), c’était inévitable…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime tout dans cette histoire, l'écriture, le contexte, la sensualité...
Geneviève est perverse, manipulatrice, dominatrice
Virginie, un ado qui se trouve bien mieux en fille
Laissons le temps au temps je pense qu'au tournant des 18 ans ça deviendra chaud bouillant
Geneviève est perverse, manipulatrice, dominatrice
Virginie, un ado qui se trouve bien mieux en fille
Laissons le temps au temps je pense qu'au tournant des 18 ans ça deviendra chaud bouillant
Toujours aussi sympa ! J’espère qu’elle ne se fera pas si rapidement cramée que cela la petite Virginie lol. Et je trouve cela un peu dommage qu’elle soit forcer de devoir porter les sous vêtements de sa marraine ou de Clarisse alors que sa marraine était aller lui en acheter avec elle ^^.
En tout cas continue comme ça, j’aime beaucoup l’histoire !
En tout cas continue comme ça, j’aime beaucoup l’histoire !