Ma rencontre avec Anouck
Récit érotique écrit par Meryl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2006 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Ma rencontre avec Anouck
Je me prénomme Meryl, j’ai 52 ans. Depuis toujours, j’adore le sexe. Autant avec les hommes, qu’avec les femmes.
L’autre soir, je rentre chez moi et en attendant l’ascenseur, je fais la connaissance de ma nouvelle voisine de palier. Tout de suite j’ai eu envie de cette femme. Elle doit avoir dans les 45 ans, elle est grande. Ses yeux sont comme les miens, verts, et elle tout comme moi, de longs cheveux châtains. Je profite que nous ne soyons que les deux dans l’ascenseur pour lui proposer de venir prendre un verre chez moi. Elle accepta aussitôt et nous nous sommes installés dans mon grand canapé dans mon salon. Je préparais 2 verres et nous avons fait plus ample connaissance.
Elle se prénomme Anouck et a effectivement 45 ans. Elle est divorcée depuis deux ans. Pendant qu’elle me raconte sa vie, mes yeux l’observent. Elle est vraiment très belle. Sa peau est fine, son visage est doux et très gracieux, elle est maquillée avec goût, sans excès. Elle porte un T-shirt légèrement échancré permettant d’admirer deux seins magnifiques. Sa jupe est courte et ses jambes sont gainées de soie couleur chair. Elle a chaussé des souliers à talon.
La conversation dévie un peux sur les relations amoureuses et elle me dit qu’elle n’a plus rien connu depuis son divorce. Je plonge mon regard dans le sien en lui disant que je la trouve très attirante et que c’est vraiment dommage. Elle me répond qu’elle regrette aussi et que le sexe lui manque. Lentement, je m’approche d’elle. J’ai une envie folle de cette femme et je sens que je suis déjà complètement humide. Je décide de ne plus tourner autour du pot et je lui demande :
- Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?
- Non,
- Tu en aurais envie,
- Oui, peut être, avec toi par exemple.
Je m’approche d’elle, je lui passe un bras autour de son cou. Mon regard plonge dans le sien. J’approche lentement mes lèvres des siennes et je l’embrasse. Elle répond immédiatement à mon baiser et nos langues se noue. Je pose ma main sur sa cuisse et je remonte lentement sous sa jupe. Mes doigts effleurent sa peau entre ses bas en son slip, puis se faufilent pour venir découvrir sa chatte. Notre baiser est de plus en plus torride. Je me rends bien compte qu’elle est en manque et qu’elle a envie de faire l’amour, mais je la sens quelque peut crispée. Je lui murmure tendrement à l’oreille :
- Détend-toi, laisse-toi aller, ça ira,
- Avec une femme je n’ai pas l’habitude, mais apprend-moi.
Il n’en fallait pas plus pour me lancer. Je me mis à genoux entre ses jambes et je lui retirais lentement sa jupe et son slip. Elle avait une chatte magnifique, complètement épilée et déjà toute humide. Je ne vous parle pas de la mienne qui était trempe. J’ouvrais délicatement sa vulve de mes doigts puis je posais ma bouche sur son sexe. Ma langue commença à la fouiller, visitant chaque partie de sa chatte. Elle s’attardait sur son clitoris, replongeait dans sa vulve. Ma bouche aspirait ses lèvres que je suçais avec bonheur. Ne tenant plus, j’avais glissé une main sous ma robe et je me masturbais frénétiquement. Très vite, sous les caresses de ma langue, Anouck jouit. Un torrent de sève me coulait entre mes lèvres que je bu avec délice. Son orgasme, mêlé à ma propre masturbation déclancha le mien. Je plaquais ma main contre mon sexe pour récolter ma liqueur, puis je l’offris à la bouche d’Anouck.
Elle me dit :
- Pour une première fois, avec une femme, je suis ravie et comblée, tu es une amante formidable,
- Tu es aussi merveilleuse, vient allons dans ma chambre à coucher, j’ai encore plein de nouvelle chose à te faire découvrir,
- Oui, apprend-moi à donner du plaisir à une femme.
Nous sommes allées dans ma chambre à coucher. Je lui retirais son T-shirt et son soutien-gorge. Elle avait une poitrine magnifique. Ses seins étaient fermes, en forme de poire. Ses tétons étaient tous tendus. Je les lui suçais tendrement, laissant ma langue jouer avec, puis je lui demandais de me déshabiller. Je portais une robe avec une fermeture éclair sur le devant, qui partait de mon épaule droite pour finir au milieu de la robe en bas.
Maladroitement, elle fit glisser la fermeture. Ma robe s’ouvrit. Elle posa ses mains sur mes épaules et fit tomber la robe à mes pieds. Dessous, je ne portais qu’un string et des bas de couleur verte. Je m’allongeais sur mon lit et disant à Anouck :
- Vient, retire mon string,
- Oui, j’ai très envie de t’admirer, tu as un corps parfait.
Anouck retira mon string. Elle s’allongea sur moi et se mit à m’embrasser. Ensuite, elle promena sa langue dans mon cou, puis vint téter mes mamelons. Lentement elle lécha mon ventre. J’écartais alors au maximum mes cuisses pour qu’elle vienne me lécher ma chatte, rasée comme la sienne. Elle me l’ouvrit avec ses doigts et posa sa bouche sur ma vulve. Elle se mit à sucer mes lèvres qu’elle aspirait entre les siennes. Sa langue vint titiller mon clitoris et elle le suçait avec gourmandise. Elle apprenait vite et était d’une douceur infinie. Je la guidais en lui disant :
- Oui ma belle, suce-moi là, broute-moi doucement, enfile ta langue dans ma vulve. C’est bon.
Je mouillais de plus en plus et je sentais monter en moi un orgasme. Elle s’en aperçu et arrêta immédiatement de m’honorer, me laissant reprendre mes esprits. Elle laissait frôler ses doigts le long de mes jambes. Ces fines caresses, au travers de la soie de mes bas, me donnaient des frissons. Elle reposa sa bouche sur ma chatte et en même temps elle y introduisit un doigt qui se mit à me fouiller avec vigueur. De mes mains, je me massais avec rage mes seins. Mes tétons étaient tendus et me faisaient un peu mal, mais je les pinçais et les faisais tourner entre mes doigts. Très vite mon orgasme se déclencha et je vidais ma liqueur dans sa bouche. Elle me lécha consciencieusement pour ne rien perdre, puis elle s’allongea près de moi et me dit :
- C’est vraiment merveilleux avec une femme, beaucoup plus doux et tendre qu’avec un homme,
- Ca dépend tu sais, je connais un homme qui est aussi tendre et doux qu’une femme. Avec lui, c’est un vrai régal, car tu as une belle queue pour te prendre comme tu veux.
- Tu me le présenteras ?
- Pourquoi pas, je crois qu’il va aimer.
Nous sommes restée l’une contre l’autre à bavarder, tout en laissant nos mains partir à la découverte de nos corps. Sa peau était d’une douceur inouïe, sans défauts. J’avais envie de lui faire « bouton de rose », je lui dis de se mettre à quatre pattes et j’écartais ses fesses de mes mains. Je posais ma langue sur son anus. Elle se crispa immédiatement. Sans aucun doute, elle n’avait jamais été prise par là, et j’étais bien décidée à lui apprendre, surtout si elle voulait faire la connaissance de mon ami, qui adorait la sodomie. Je me mis à lui lécher son anus, le dardant du bout de ma langue. Petit à petit, elle se détendait. Je posais un doigt dessus, et lentement je poussais pour l’introduire.
- Non !
- Mais si, ma belle, laisse-toi faire, tu verras alors comme c’est bon.
- J’ai peur,
- De quoi,
- Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait,
- N’aille pas peur, je vais t’apprendre doucement. Dit-moi si je te fais mal.
- D’accord,
- D’une main, caresse-toi ton minou.
Lentement, mon doigt entrait en elle. Je la sentais toujours crispée. Lentement, je finis d’introduire mon doigt. Je me mis alors à le faire aller et venir, lentement, sans brusquer. Elle, elle se masturbait son clitoris en poussant de petits râles. Mon doigt suivait les mouvements du sien et en quelques minutes elle jouit. Je retirais mon doigt, l’humidifiait avec sa mouille et je le replantais dans son anus. Il coulissait déjà beaucoup mieux. Je jouais ainsi un moment, puis j’ouvris le tiroir de ma table de nuit pour y chercher mon vibro-masseur.
Je dis à Anouck de se mettre sur le dos et d’écarter ses jambes. J’enclenchais le vibro que je me mis à promener lentement sur sa poitrine, puis sur son ventre, pour enfin le laisser glisser sur sa moule. Elle l’ouvrit avec ses doigts en me disant :
- Ho oui, enfile-le moi,
- Tu aimes ?
- Oui, j’en ai un et je l’utilise beaucoup.
Je l’enfilais pour le tournait et retournait en elle. Au bout d’un moment, elle était bien humide et le vibro aussi. Je profitais alors pour le lui enfoncer dans son anus. A ma grande surprise, elle gloussa de plaisir et me murmura :
- Tu avais raison, c’est bon,
- Oui, je sais, mais si tu veux une queue, il faut encore te préparer.
Elle se mit alors à se masturber d’une main son clitoris et de l’autre elle faisait aller et venir un doigt dans sa chatte. Elle râlait de plaisir. Avec ma main de libre, je lui pelotais sa poitrine. Soudain, elle cria : « Vient me boire, j’explose ». Elle retira ses mains et je posais ma bouche sur son sexe afin de boire sa sève qui coulait comme une fontaine. Je retirais le vibro et je m’allongeais sur elle. Nos bouches s’unirent dans un long baiser voluptueux.
Anouck passa la nuit chez moi et avec tendresse, je lui appris bien d’autres plaisirs……
L’autre soir, je rentre chez moi et en attendant l’ascenseur, je fais la connaissance de ma nouvelle voisine de palier. Tout de suite j’ai eu envie de cette femme. Elle doit avoir dans les 45 ans, elle est grande. Ses yeux sont comme les miens, verts, et elle tout comme moi, de longs cheveux châtains. Je profite que nous ne soyons que les deux dans l’ascenseur pour lui proposer de venir prendre un verre chez moi. Elle accepta aussitôt et nous nous sommes installés dans mon grand canapé dans mon salon. Je préparais 2 verres et nous avons fait plus ample connaissance.
Elle se prénomme Anouck et a effectivement 45 ans. Elle est divorcée depuis deux ans. Pendant qu’elle me raconte sa vie, mes yeux l’observent. Elle est vraiment très belle. Sa peau est fine, son visage est doux et très gracieux, elle est maquillée avec goût, sans excès. Elle porte un T-shirt légèrement échancré permettant d’admirer deux seins magnifiques. Sa jupe est courte et ses jambes sont gainées de soie couleur chair. Elle a chaussé des souliers à talon.
La conversation dévie un peux sur les relations amoureuses et elle me dit qu’elle n’a plus rien connu depuis son divorce. Je plonge mon regard dans le sien en lui disant que je la trouve très attirante et que c’est vraiment dommage. Elle me répond qu’elle regrette aussi et que le sexe lui manque. Lentement, je m’approche d’elle. J’ai une envie folle de cette femme et je sens que je suis déjà complètement humide. Je décide de ne plus tourner autour du pot et je lui demande :
- Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?
- Non,
- Tu en aurais envie,
- Oui, peut être, avec toi par exemple.
Je m’approche d’elle, je lui passe un bras autour de son cou. Mon regard plonge dans le sien. J’approche lentement mes lèvres des siennes et je l’embrasse. Elle répond immédiatement à mon baiser et nos langues se noue. Je pose ma main sur sa cuisse et je remonte lentement sous sa jupe. Mes doigts effleurent sa peau entre ses bas en son slip, puis se faufilent pour venir découvrir sa chatte. Notre baiser est de plus en plus torride. Je me rends bien compte qu’elle est en manque et qu’elle a envie de faire l’amour, mais je la sens quelque peut crispée. Je lui murmure tendrement à l’oreille :
- Détend-toi, laisse-toi aller, ça ira,
- Avec une femme je n’ai pas l’habitude, mais apprend-moi.
Il n’en fallait pas plus pour me lancer. Je me mis à genoux entre ses jambes et je lui retirais lentement sa jupe et son slip. Elle avait une chatte magnifique, complètement épilée et déjà toute humide. Je ne vous parle pas de la mienne qui était trempe. J’ouvrais délicatement sa vulve de mes doigts puis je posais ma bouche sur son sexe. Ma langue commença à la fouiller, visitant chaque partie de sa chatte. Elle s’attardait sur son clitoris, replongeait dans sa vulve. Ma bouche aspirait ses lèvres que je suçais avec bonheur. Ne tenant plus, j’avais glissé une main sous ma robe et je me masturbais frénétiquement. Très vite, sous les caresses de ma langue, Anouck jouit. Un torrent de sève me coulait entre mes lèvres que je bu avec délice. Son orgasme, mêlé à ma propre masturbation déclancha le mien. Je plaquais ma main contre mon sexe pour récolter ma liqueur, puis je l’offris à la bouche d’Anouck.
Elle me dit :
- Pour une première fois, avec une femme, je suis ravie et comblée, tu es une amante formidable,
- Tu es aussi merveilleuse, vient allons dans ma chambre à coucher, j’ai encore plein de nouvelle chose à te faire découvrir,
- Oui, apprend-moi à donner du plaisir à une femme.
Nous sommes allées dans ma chambre à coucher. Je lui retirais son T-shirt et son soutien-gorge. Elle avait une poitrine magnifique. Ses seins étaient fermes, en forme de poire. Ses tétons étaient tous tendus. Je les lui suçais tendrement, laissant ma langue jouer avec, puis je lui demandais de me déshabiller. Je portais une robe avec une fermeture éclair sur le devant, qui partait de mon épaule droite pour finir au milieu de la robe en bas.
Maladroitement, elle fit glisser la fermeture. Ma robe s’ouvrit. Elle posa ses mains sur mes épaules et fit tomber la robe à mes pieds. Dessous, je ne portais qu’un string et des bas de couleur verte. Je m’allongeais sur mon lit et disant à Anouck :
- Vient, retire mon string,
- Oui, j’ai très envie de t’admirer, tu as un corps parfait.
Anouck retira mon string. Elle s’allongea sur moi et se mit à m’embrasser. Ensuite, elle promena sa langue dans mon cou, puis vint téter mes mamelons. Lentement elle lécha mon ventre. J’écartais alors au maximum mes cuisses pour qu’elle vienne me lécher ma chatte, rasée comme la sienne. Elle me l’ouvrit avec ses doigts et posa sa bouche sur ma vulve. Elle se mit à sucer mes lèvres qu’elle aspirait entre les siennes. Sa langue vint titiller mon clitoris et elle le suçait avec gourmandise. Elle apprenait vite et était d’une douceur infinie. Je la guidais en lui disant :
- Oui ma belle, suce-moi là, broute-moi doucement, enfile ta langue dans ma vulve. C’est bon.
Je mouillais de plus en plus et je sentais monter en moi un orgasme. Elle s’en aperçu et arrêta immédiatement de m’honorer, me laissant reprendre mes esprits. Elle laissait frôler ses doigts le long de mes jambes. Ces fines caresses, au travers de la soie de mes bas, me donnaient des frissons. Elle reposa sa bouche sur ma chatte et en même temps elle y introduisit un doigt qui se mit à me fouiller avec vigueur. De mes mains, je me massais avec rage mes seins. Mes tétons étaient tendus et me faisaient un peu mal, mais je les pinçais et les faisais tourner entre mes doigts. Très vite mon orgasme se déclencha et je vidais ma liqueur dans sa bouche. Elle me lécha consciencieusement pour ne rien perdre, puis elle s’allongea près de moi et me dit :
- C’est vraiment merveilleux avec une femme, beaucoup plus doux et tendre qu’avec un homme,
- Ca dépend tu sais, je connais un homme qui est aussi tendre et doux qu’une femme. Avec lui, c’est un vrai régal, car tu as une belle queue pour te prendre comme tu veux.
- Tu me le présenteras ?
- Pourquoi pas, je crois qu’il va aimer.
Nous sommes restée l’une contre l’autre à bavarder, tout en laissant nos mains partir à la découverte de nos corps. Sa peau était d’une douceur inouïe, sans défauts. J’avais envie de lui faire « bouton de rose », je lui dis de se mettre à quatre pattes et j’écartais ses fesses de mes mains. Je posais ma langue sur son anus. Elle se crispa immédiatement. Sans aucun doute, elle n’avait jamais été prise par là, et j’étais bien décidée à lui apprendre, surtout si elle voulait faire la connaissance de mon ami, qui adorait la sodomie. Je me mis à lui lécher son anus, le dardant du bout de ma langue. Petit à petit, elle se détendait. Je posais un doigt dessus, et lentement je poussais pour l’introduire.
- Non !
- Mais si, ma belle, laisse-toi faire, tu verras alors comme c’est bon.
- J’ai peur,
- De quoi,
- Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait,
- N’aille pas peur, je vais t’apprendre doucement. Dit-moi si je te fais mal.
- D’accord,
- D’une main, caresse-toi ton minou.
Lentement, mon doigt entrait en elle. Je la sentais toujours crispée. Lentement, je finis d’introduire mon doigt. Je me mis alors à le faire aller et venir, lentement, sans brusquer. Elle, elle se masturbait son clitoris en poussant de petits râles. Mon doigt suivait les mouvements du sien et en quelques minutes elle jouit. Je retirais mon doigt, l’humidifiait avec sa mouille et je le replantais dans son anus. Il coulissait déjà beaucoup mieux. Je jouais ainsi un moment, puis j’ouvris le tiroir de ma table de nuit pour y chercher mon vibro-masseur.
Je dis à Anouck de se mettre sur le dos et d’écarter ses jambes. J’enclenchais le vibro que je me mis à promener lentement sur sa poitrine, puis sur son ventre, pour enfin le laisser glisser sur sa moule. Elle l’ouvrit avec ses doigts en me disant :
- Ho oui, enfile-le moi,
- Tu aimes ?
- Oui, j’en ai un et je l’utilise beaucoup.
Je l’enfilais pour le tournait et retournait en elle. Au bout d’un moment, elle était bien humide et le vibro aussi. Je profitais alors pour le lui enfoncer dans son anus. A ma grande surprise, elle gloussa de plaisir et me murmura :
- Tu avais raison, c’est bon,
- Oui, je sais, mais si tu veux une queue, il faut encore te préparer.
Elle se mit alors à se masturber d’une main son clitoris et de l’autre elle faisait aller et venir un doigt dans sa chatte. Elle râlait de plaisir. Avec ma main de libre, je lui pelotais sa poitrine. Soudain, elle cria : « Vient me boire, j’explose ». Elle retira ses mains et je posais ma bouche sur son sexe afin de boire sa sève qui coulait comme une fontaine. Je retirais le vibro et je m’allongeais sur elle. Nos bouches s’unirent dans un long baiser voluptueux.
Anouck passa la nuit chez moi et avec tendresse, je lui appris bien d’autres plaisirs……
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