Ma rencontre avec Cléïa
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2009 dans la catégorie Fétichisme
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Ma rencontre avec Cléïa
La première fois que j’ai vu Cléïa, je venais de fêter mes 18 ans, et comme tous les garçons de mon âge, je ne pensais qu’aux filles. Un après midi que j’attendais mes amis à notre lieu de rendez vous habituel, je vis s’arrêter vers moi une fille magnifique, dans un superbe cabriolet de sport. La jeune conductrice cherchait une rue du quartier, et tournait en rond depuis un moment, elle avait oublié on GPS. Je connaissais bien cette rue, mais pour lui indiquer le chemin, ce n’était pas très simple. Après plusieurs minutes d’explications, auxquelles elle ne semblait rien comprendre, elle me proposa de monter dans sa voiture pour la guider. L’occasion était trop belle, pour un peu que je voie quelqu’un que je connaisse, j’aurais pu frimer un max devant les copains.
- Je m’appelle Cléïa, me dit-elle.
- Et moi Raoul, bredouillais-je, intimidé.
Arrivé à destination, elle me demanda si je pouvais l’attendre, elle ne resterait que quelques minutes, et qu’elle me ramènerait ensuite à mon point de départ. J’eus à peine le temps de répondre qu’elle avait déjà quitté la voiture. Sur le trajet du retour, j’en appris un peu plus sur elle, Cléïa avait 25 ans, étudiante et photographe à ses heures perdues. A voir sa voiture et sa tenue, très sexy d’ailleurs, je suppose que ses parents devaient être assez aisés pour l’entretenir ainsi. Lorsqu’elle me déposa, plusieurs copains étaient là, à me regarder les yeux ébahis.
- A bientôt Raoul, me dit elle, en m’embrassant, assez tendrement selon moi. A mon âge on se fait vite des illusions.
Les copains me pressèrent de questions sur cette divine inconnue, mais ne voulant garder ce rêve que pour moi, je leur répondis le plus évasivement possible. Son souvenir hanta nombreux songes de mes nuits suivantes, je ne pensais plus qu’à elle.
Quelques jours après, alors que je faisais du stop pour rentrer chez moi, c’est Cléïa qui s’arrêta en me reconnaissant.
- Si tu n’es pas pressé, je t’offre un verre pour te remercier de m’avoir guidé l’autre jour.
J’étais aux anges. Notre halte dura plus d’une heure, et il me sembla que malgré mon plus jeune âge, je ne lui étais pas indifférent. J’osai lui demander :
- J’aimerais beaucoup te revoir.
- Si tu veux, je passerai te chercher samedi après midi chez toi, si tu es libre.
J’aime autant vous dire, que les trois jours que j’avais à l’attendre ont été très longs, trop longs. Le jour dit, j’ai passé le plus bel après midi de ma vie. Nous nous sommes revus plusieurs fois par la suite, avant que je ne lui avoue mon amour pour elle. Je lui demandais alors, si elle acceptait de sortir avec moi.
- Tu sais, je n’ai plus quinze ans, me dit-elle. Je n’aime que la douceur, et ne sors avec un garçon que s’il n’accepte de faire que ce qui me fait plaisir. Ne me dit rien pour l’instant, prends quelques jours pour bien réfléchir, tu me donneras ton avis lors de notre prochaine rencontre.
Lorsque je lui parlais au téléphone le lendemain, ma décision était prise : « Je ferai volontiers tout ce que tu désires. »
- Tu sais que j’aime la douceur, et que je n’aime pas être contrariée ; Tu es sûr de toi ? Tu ne sais pas à quoi tu t’engages. Me demanda-t-elle.
Je lui confirmai ma décision.
- Alors pour prouver ce que tu viens de me dire, et comme j’aime la douceur, je ne veux plus tu aies un seul poil. Tu as bien compris ce que cela signifie ?
Je m’empressais d’accepter, bien que cette demande me surprenne beaucoup. Jusqu’à présent nos conversations avaient porté sur des choses plus futiles, jamais sur la sexualité.
Lorsque je l’ai revue, elle était plus sexy que jamais dans sa très courte mini jupe, et avec un chemisier largement échancré laissant apparaître une poitrine bien bronzée. De mon côté, j’avais bien évidemment accédé à sa demande, même si j’avais été assez gêné lorsque je l’avais fait.
- Monte vite en voiture, que l’on trouve un petit coin où nous serons tranquille tous les deux.
Je la guidais alors vers une clairière assez isolée, où j’emmenais parfois mes petites amies. A peine arrivés, elle me demanda de me mettre entièrement nu. Surpris par cette demande si abrupte, je m’exécutais tout de même pour ne pas la décevoir. Elle prit son temps pour m’examiner sous toutes les coutures, et vérifier que sa demande était parfaitement exécutée.
Elle prit alors un appareil photo, et pour immortaliser cet instant, me demanda de prendre des poses plus que sexy. Cela tranchait avec l’attitude qu’elle avait eue jusqu’à présent avec moi. Je dus me mettre debout, assis, couché, à genoux, les cuisses écartées, les mains derrière la tête et bien d’autres encore.
- Tourne-toi à présent, je veux te prendre de dos.
Là encore, de nombreuses photos de moi vinrent remplir son appareil. Couché les bras écartés ou encore à quatre pattes, de loin ou en gros plans, je ne pense pas qu’une seule partie de mon corps ne lui ait échappé.
- C’est très bien, je suis fier de toi, comme tu as été très gentil avec moi, tu as droit à une récompense.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire que pour le faire, elle se mit nue à son tour, et me sauta littéralement dessus.
C’est ainsi que je devins officiellement son chéri, et que je perdis mon pucelage.
Avant de nous quitter, elle m’annonça très sérieusement.
- Tu as maintenant une idée de ce que je veux, et de ce que j’aime. Si tu es prêt à continuer à me satisfaire, tu seras alors le plus heureux des hommes !!!!!
- Je m’appelle Cléïa, me dit-elle.
- Et moi Raoul, bredouillais-je, intimidé.
Arrivé à destination, elle me demanda si je pouvais l’attendre, elle ne resterait que quelques minutes, et qu’elle me ramènerait ensuite à mon point de départ. J’eus à peine le temps de répondre qu’elle avait déjà quitté la voiture. Sur le trajet du retour, j’en appris un peu plus sur elle, Cléïa avait 25 ans, étudiante et photographe à ses heures perdues. A voir sa voiture et sa tenue, très sexy d’ailleurs, je suppose que ses parents devaient être assez aisés pour l’entretenir ainsi. Lorsqu’elle me déposa, plusieurs copains étaient là, à me regarder les yeux ébahis.
- A bientôt Raoul, me dit elle, en m’embrassant, assez tendrement selon moi. A mon âge on se fait vite des illusions.
Les copains me pressèrent de questions sur cette divine inconnue, mais ne voulant garder ce rêve que pour moi, je leur répondis le plus évasivement possible. Son souvenir hanta nombreux songes de mes nuits suivantes, je ne pensais plus qu’à elle.
Quelques jours après, alors que je faisais du stop pour rentrer chez moi, c’est Cléïa qui s’arrêta en me reconnaissant.
- Si tu n’es pas pressé, je t’offre un verre pour te remercier de m’avoir guidé l’autre jour.
J’étais aux anges. Notre halte dura plus d’une heure, et il me sembla que malgré mon plus jeune âge, je ne lui étais pas indifférent. J’osai lui demander :
- J’aimerais beaucoup te revoir.
- Si tu veux, je passerai te chercher samedi après midi chez toi, si tu es libre.
J’aime autant vous dire, que les trois jours que j’avais à l’attendre ont été très longs, trop longs. Le jour dit, j’ai passé le plus bel après midi de ma vie. Nous nous sommes revus plusieurs fois par la suite, avant que je ne lui avoue mon amour pour elle. Je lui demandais alors, si elle acceptait de sortir avec moi.
- Tu sais, je n’ai plus quinze ans, me dit-elle. Je n’aime que la douceur, et ne sors avec un garçon que s’il n’accepte de faire que ce qui me fait plaisir. Ne me dit rien pour l’instant, prends quelques jours pour bien réfléchir, tu me donneras ton avis lors de notre prochaine rencontre.
Lorsque je lui parlais au téléphone le lendemain, ma décision était prise : « Je ferai volontiers tout ce que tu désires. »
- Tu sais que j’aime la douceur, et que je n’aime pas être contrariée ; Tu es sûr de toi ? Tu ne sais pas à quoi tu t’engages. Me demanda-t-elle.
Je lui confirmai ma décision.
- Alors pour prouver ce que tu viens de me dire, et comme j’aime la douceur, je ne veux plus tu aies un seul poil. Tu as bien compris ce que cela signifie ?
Je m’empressais d’accepter, bien que cette demande me surprenne beaucoup. Jusqu’à présent nos conversations avaient porté sur des choses plus futiles, jamais sur la sexualité.
Lorsque je l’ai revue, elle était plus sexy que jamais dans sa très courte mini jupe, et avec un chemisier largement échancré laissant apparaître une poitrine bien bronzée. De mon côté, j’avais bien évidemment accédé à sa demande, même si j’avais été assez gêné lorsque je l’avais fait.
- Monte vite en voiture, que l’on trouve un petit coin où nous serons tranquille tous les deux.
Je la guidais alors vers une clairière assez isolée, où j’emmenais parfois mes petites amies. A peine arrivés, elle me demanda de me mettre entièrement nu. Surpris par cette demande si abrupte, je m’exécutais tout de même pour ne pas la décevoir. Elle prit son temps pour m’examiner sous toutes les coutures, et vérifier que sa demande était parfaitement exécutée.
Elle prit alors un appareil photo, et pour immortaliser cet instant, me demanda de prendre des poses plus que sexy. Cela tranchait avec l’attitude qu’elle avait eue jusqu’à présent avec moi. Je dus me mettre debout, assis, couché, à genoux, les cuisses écartées, les mains derrière la tête et bien d’autres encore.
- Tourne-toi à présent, je veux te prendre de dos.
Là encore, de nombreuses photos de moi vinrent remplir son appareil. Couché les bras écartés ou encore à quatre pattes, de loin ou en gros plans, je ne pense pas qu’une seule partie de mon corps ne lui ait échappé.
- C’est très bien, je suis fier de toi, comme tu as été très gentil avec moi, tu as droit à une récompense.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire que pour le faire, elle se mit nue à son tour, et me sauta littéralement dessus.
C’est ainsi que je devins officiellement son chéri, et que je perdis mon pucelage.
Avant de nous quitter, elle m’annonça très sérieusement.
- Tu as maintenant une idée de ce que je veux, et de ce que j’aime. Si tu es prêt à continuer à me satisfaire, tu seras alors le plus heureux des hommes !!!!!
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