Ma rencontre avec Marion, autrice sur HDS (2)
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 21 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Surcouf ont reçu un total de 164 669 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 078 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma rencontre avec Marion, autrice sur HDS (2)
— Bien. Reprenons. En gardant le dos droit, Marion. Allez, recommence.
Marion se cambre davantage pour redresser son dos. Je place une main derrière elle et une main devant, sur son sein droit, pour la forcer à se grandir. Elle laisse échapper un petit cri de surprise lorsque ma main frôle son téton dressé. J’ai une envie folle d’arracher le tissu léger de sa robe, et de la coucher sur mon piano pour lui dévorer les seins mais je n’en fais rien. Elle non plus ne dit rien. Elle me regarde droit dans les yeux et plonge en moi son regard azur. Lorsqu’elle se mordille la lèvre inférieure, je sens mon chibre tressauter dans mon jean. Elle baisse le regard et souris en voyant l’effet qu’elle me fait. C’est une véritable coquine !
— Bien Marion. Ça ne va pas. Tu ne tiens pas la position. Regarde, je vais te montrer.
Je la prends par les hanches et la soulève de la chaise sans effort. Elle est si légère. Sa robe voltige et me laisse entrevoir une culotte simple, rose, qui épouse parfaitement ses fesses rebondies. Je m’assieds sur la chaise et entame une gymnopédie de Satie. Le dos droit, mes mains courent sur le clavier. Marion me regarde, médusée.
— Viens ici, je vais te montrer.
Je l’attrape par le poignet et la force à s’asseoir sur mes genoux. Ses fesses viennent s’empaler sur la bosse de mon pénis, sous le jean épais. Elle se tortille légèrement pour se caler bien sur mon sexe et pose les mains sur le piano. Elle est bien droite comme cela. J’ai enfin réussi à lui faire adopter la bonne position.
Je pose mes mains sur les siennes, et les accompagne dans les premières notes de la valse d’Amélie Poulain. Je sens que mon élève apprécie son nouveau siège, car elle fait des mouvements d’avant en arrière sur mon sexe. Je suis certain qu’elle est en train de mouiller sa petite culotte.
— C’est bien, Marion. C’est mieux. Maintenant, deuxième leçon : un pianiste doit rester concentré, quel que soit le contexte, et ne jamais arrêter sa partition.
Mes mains quittent les doigts de mon élève qui continue de jouer, et remontent sur ses avant-bras que je caresse délicatement. J’arrive au niveau de ses bras, me délecte de la douceur de sa peau, et termine ma course sur la poitrine de mon élève. Marion s’arrête de jouer et me demande :— Monsieur, qu’est-ce que vous faites ?
J’attrape sa queue de cheval et tire sa tête en arrière, pour murmurer à son oreille.
— Silence. Et continue de jouer.
Ma main droite glisse dans le décolleté de sa robe et je fais rouler son téton entre mes doigts. Marion se cambre et se frotte sur mon sexe. Ma main gauche écarte ses cuisses et caresse l’intérieur de ces dernières, sous le fin tissu aux motifs fleuris. Marion se déhanche, gémis, ses doigts tremblent fébrilement sur le clavier, les notes sont de plus en plus inégales, la partition se délite, mon élève se tord de plaisir et exulte finalement :— Non, STOP, Marc, assez, je n’en peux plus, c’est trop.
Marion se cambre davantage pour redresser son dos. Je place une main derrière elle et une main devant, sur son sein droit, pour la forcer à se grandir. Elle laisse échapper un petit cri de surprise lorsque ma main frôle son téton dressé. J’ai une envie folle d’arracher le tissu léger de sa robe, et de la coucher sur mon piano pour lui dévorer les seins mais je n’en fais rien. Elle non plus ne dit rien. Elle me regarde droit dans les yeux et plonge en moi son regard azur. Lorsqu’elle se mordille la lèvre inférieure, je sens mon chibre tressauter dans mon jean. Elle baisse le regard et souris en voyant l’effet qu’elle me fait. C’est une véritable coquine !
— Bien Marion. Ça ne va pas. Tu ne tiens pas la position. Regarde, je vais te montrer.
Je la prends par les hanches et la soulève de la chaise sans effort. Elle est si légère. Sa robe voltige et me laisse entrevoir une culotte simple, rose, qui épouse parfaitement ses fesses rebondies. Je m’assieds sur la chaise et entame une gymnopédie de Satie. Le dos droit, mes mains courent sur le clavier. Marion me regarde, médusée.
— Viens ici, je vais te montrer.
Je l’attrape par le poignet et la force à s’asseoir sur mes genoux. Ses fesses viennent s’empaler sur la bosse de mon pénis, sous le jean épais. Elle se tortille légèrement pour se caler bien sur mon sexe et pose les mains sur le piano. Elle est bien droite comme cela. J’ai enfin réussi à lui faire adopter la bonne position.
Je pose mes mains sur les siennes, et les accompagne dans les premières notes de la valse d’Amélie Poulain. Je sens que mon élève apprécie son nouveau siège, car elle fait des mouvements d’avant en arrière sur mon sexe. Je suis certain qu’elle est en train de mouiller sa petite culotte.
— C’est bien, Marion. C’est mieux. Maintenant, deuxième leçon : un pianiste doit rester concentré, quel que soit le contexte, et ne jamais arrêter sa partition.
Mes mains quittent les doigts de mon élève qui continue de jouer, et remontent sur ses avant-bras que je caresse délicatement. J’arrive au niveau de ses bras, me délecte de la douceur de sa peau, et termine ma course sur la poitrine de mon élève. Marion s’arrête de jouer et me demande :— Monsieur, qu’est-ce que vous faites ?
J’attrape sa queue de cheval et tire sa tête en arrière, pour murmurer à son oreille.
— Silence. Et continue de jouer.
Ma main droite glisse dans le décolleté de sa robe et je fais rouler son téton entre mes doigts. Marion se cambre et se frotte sur mon sexe. Ma main gauche écarte ses cuisses et caresse l’intérieur de ces dernières, sous le fin tissu aux motifs fleuris. Marion se déhanche, gémis, ses doigts tremblent fébrilement sur le clavier, les notes sont de plus en plus inégales, la partition se délite, mon élève se tord de plaisir et exulte finalement :— Non, STOP, Marc, assez, je n’en peux plus, c’est trop.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Surcouf
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...