Ma révélation

- Par l'auteur HDS Sabine -
Récit érotique écrit par Sabine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma révélation Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2005 dans la catégorie Plus on est
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Ma révélation
L’histoire que je vais vous raconter est strictement véridique et s’est passée voilà de cela deux ans pendant l’été 2003 en pleine canicule.

Jérôme, mon mari, et moi avons vécu une superbe aventure. Mais, d’abord, je vais nous décrire.

Commençons par Jérôme. 24 ans, 1 m 8O, cheveux bruns, belle musculature, et surtout une bite épaisse et longue qui me donne, à chaque fois que nous faisons l’amour, beaucoup de plaisir. Il adore me lécher la chatte. Il me dit que c’est le meilleur des plats au monde. C’est un amant formidable qui sait, toujours, me faire jouir.

Quant à moi, Sabine, 23 ans, cheveux bruns, poitrine assez volumineuse, chatte, entièrement épilée (pour le plus grand plaisir de mon homme) et piercée sur le clitoris. Je suis une adepte de la fellation, j’adore accomplir cette pratique et, de temps en temps, ne rechigne pas, au contraire, à faire une totale à mon chéri. Je peux dire que j’aime sa bite.

Nous avons pratiqué plusieurs expériences sexuelles à plusieurs.

Venons en à notre histoire.

Patrick et Nathalie, des amis de longue date (La Fac), nous ont téléphoné, un soir de février, pour nous demander si nous étions d’accord pour passer nos vacances avec eux, dans la maison de leurs parents vacante au mois d’août suivant.
Cette maison se situait sur les hauteurs de Toulon et je savais, pour l’avoir, déjà visitée, qu’elle était spacieuse, bénéficiait d’une grande piscine et était à l’abri des regards indiscrets grâce à de grandes haies qui faisaient tout le tour de la propriété.
C’est donc avec joie qu’on acceptait l’invitation.

Le temps me paru très long entre le mois de février et le moment de nous retrouver avec nos amis. Il faut dire que j’ai, toujours eu un penchant pour Patrick et je savais bien que Nathalie ne laissait pas Jérôme indifférent. Mais il ne s’était, jamais rien passé entre nous quatre jusqu’à présent.

L’idée de savoir que Jérôme et Nathalie pourraient baiser ensemble faisait son chemin dans ma tête, mais sans dissocier le fait que, si tel était le cas, il en serait de même pour Patrick et moi. Des images s’entrechoquaient dans mon esprit. J’y voyais Jérôme enfoncer son chibre dans la bouche puis dans la chatte de Nathalie. Cela me troublait énormément.

Nathalie est une belle brune avec des yeux bleu clair qui pénètrent votre regard d’une manière, presque indécente.
Elle est comme cela et je ne pense pas qu’elle le fasse exprès.
Patrick, lui, est un grand blond, bien musclé, sportif, le visage carré, bref, un beau mec.

Voilà le jour fatidique de notre départ de Reims pour Toulon, le 9 août. Heureusement que la voiture est climatisée.
Il faisait une chaleur pas possible. Je vous passe les détails du voyage, car ce qui importe c’est notre séjour avec nos amis.

Arrivés sur place, on est mis, aussitôt, dans l’ambiance.
Nathalie et Patrick nous reçoivent entièrement nus. Ils nous disent pratiquer le naturisme dés qu’ils le peuvent, nous demandent si cela ne nous dérangent pas mais, en aucun cas, ne se rhabillent.
Je ne peux m’empêcher de regarder le sexe de Patrick. Bien qu’au repos, celui-ci est épais et long, le gland, bien rouge, décalotté et la hampe bien veinée, comme celui de Jérôme.
Nathalie a la chatte entièrement lisse, tout comme la mienne, les lèvres bien dessinées. On devine un renflement au sommet de celle-ci, laissant présager un clitoris prohiminent. Je vois bien que Jérôme regarde cette belle fente avec insistance. A ce moment là j’ai senti que quelque chose aller se passer et que je ne ferais rien pour que cela ne se passe pas.

Après une douche en commun bien méritée, pendant laquelle je ne me suis pas gênée de titiller le sexe de mon amour, nous avons décidé de rejoindre nos amis autour de la piscine, mais nus, aussi, pour qu’il n’y aie pas de différence.
Nathalie et Patrick nageaient, joyeusement, dans la piscine. Apparemment cela leur faisait plaisir de nous voir arriver dans le plus simple appareil.
On s’allongea sur les transats en attendant qu’ils sortent de l’eau. Ils prirent place sur les deux transats restants, face aux nôtres, pour se sécher au soleil. C’était agréable de sentir la chaleur sur nos corps mais encore plus la légère brise sur nos sexes.

Au bout de quelques instants, je vis Nathalie se pencher vers Patrick au niveau de ses hanches. Elle commença par se saisir de la bite de son mari et se mis à le masturber. Ce dernier ne fut pas long à bander. Son sexe avait des proportions bien plus qu’honorables. Nathalie jugea satisfaisante la forme de Patrick et se pencha encore plus pour prendre son chibre en bouche.

Sa langue passait sur toute la longueur de la bite et s’attardait sur ses couilles bien pleines, qui, soit dit en passant, étaient parfaitement rasées. Je ne pouvais m’empêcher d’avoir un picotement caractéristique entre les jambes. Je remarquais, immédiatement, que Jérôme avait une superbe érection.

Je me décidais à faire comme ma congénère et me mettais à genoux pour prendre en bouche ce que j’aime tant. Je m’appliquais à lécher, sur toute sa longueur, son sexe devenu, à présent, dur comme du bois.

Nous voilà toutes deux à sucer nos hommes en nous regardant droit dans les yeux. Je ne sais pas ce qui c'est passé à ce moment là dans ma tête, mais j’ai eu, soudainement, envie de changer les rôles et de lécher la chatte de Nathalie.

Depuis le temps que j’avais envie de tenter une expérience lesbienne, je n’allais pas laisser passer cette occasion. J’ai eu l’impression qu’elle avait compris ma pensée car elle a écarté, au maximum, les cuisses nous laissant une superbe vue de sa vulve. On pouvait distinguer le bout de son clitoris libéré de son capuchon. Ses lèvres étaient épaisses et gonflées de désir.

Je laissais Jérôme et plongeais ma bouche vers cet antre brûlant. Son abricot était doux et chaud J’aspirais son clitoris tout gonflé par l’excitation. Ma langue parcourait son sillon, de l’anus au sommet de celui-ci, et je ne put m’empêcher de l’enfoncer dans son vagin. Enfin, pour la première fois, je goûtais le jus d’une femme et, je dois dire, que cela m’a, beaucoup, plu. Nathalie semblait apprécier le traitement que je lui prodiguais. J’entendais ses gémissements étouffés par la pipe qu’elle prodiguait à son homme et son jus coulait de plus en plus. Je m’abreuvais de cette liqueur avec beaucoup de plaisir.

Jérôme, nous regardant, se masturbait comme un malade.

C’est à ce moment là que tout a basculé.

Patrick demanda à Nathalie de sucer Jérôme. Il lui dit qu’il aimerait la voir sucer un autre que lui. Après un cours regard vers moi, comme pour avoir mon aprobation, celle-ci ne se fit pas prier et se précipita sur l’objet de mon désir. Pour la première fois je voyais une autre bouche que la mienne sucer la bite de Jérôme. Je remarquais que Nathalie y prenait un plaisir évident.
Je ne sais pas ce qui se passait mais j’aimais voir cela.

Pendant que sa bouche faisait des vas et viens, sa main branlait la hampe, devenue énorme. J’étais sidérée par le spectacle. C’est à ce moment que Patrick présenta sa queue à mes lèvres.
J’hésitais et regardais Jérôme, qui dans un signe de paupières, me fit signe d’y aller. Je gobais le sexe gonflé de Patrick, ne cachant pas mon excitation.

Jérôme me regardait faire et cela avait l’air de lui plaire. Je suçais ce sexe comme une malade, j’ai adoré lécher cette grosse bite généreuse. Je ne me reconnaissais pas. Etait-ce la chaleur qui me mettait dans cet état ou bien la situation provoquée par nos amis ? Toujours est-il que j’étais déchaînée. Je sentais, à ce moment là, ma chatte brûlante, couler comme jamais.

J’avais envie que Patrick me prenne, devant Jérôme. L’idée qu’une autre bite que celle de mon homme me pénètre me procurait des sensations étranges, partagée entre gène et excitation. Je lâchais la hampe et écartais les cuisses au maximum, mais au lieu de me prendre directement, Patrick regarda, longuement et avec un plaisir évident, ma fente et posa sa langue sur celle-ci commençant un savant cunnilingus. Sa langue tournoyait sur mes lèvres et mon clitoris, s’insinuant, parfois à l’intérieur de mon vagin et me rendant folle-dingue.

Je sentais mon jus couler et Patrick s’en abreuver. Il savait très bien s’y prendre. Au bout de quelques instants, le plaisir m’envahi, me foudroyant. Mon bassin se leva, automatiquement, vers cette bouche qui me faisait tant de bien. Je jouissais très fort en criant. Je sentais qu’un flot de cipryne giclais dans la bouche de Patrick. Cela m’arrivait rarement, surtout lorsque j’étais en manque de sexe.

Je n’avais pas, encore, remarqué que Jérôme venait de jouir dans la bouche de Nathalie qui avait tout avalé. J’ai su, après, que c’était en me voyant prendre mon pied sous les caresses de Patrick qu’il n’avait pu se retenir.
Il avait bien voulu se retirer pour ne pas lui infliger sa semence, mais celle-ci la retenu en bouche et a bu toute sa liqueur.

Nous avons découvert, tous les deux, qu’en nous voyant, mutuellement, prendre du plaisir avec un ou une autre, décuplait notre propre plaisir.
Pour ma part, je n’en pouvais plus. Je me souviens avoir dit à Patrick quelque chose que je n’aie, jamais, oser dire à mon homme :
« Viens ! Mets ta grosse bite dans ma chatte. J’ai envie de la sentir en moi»

Cela ne me ressemblait pas, jamais je n’avais dit des mots pareils, mais j’avais envie d’être obscène. J’étais excitée comme jamais. Je regardais Jérôme qui, malgré sa jouissance, gardait une forme olympique. Sa queue était bien raide, tendue vers le ciel, le gland bien rouge et les veines de sa hampe bien gonflées, ce qui m’excitait encore plus.

J’aime regarder son sexe que je trouve magnifique. Je ne manque pas, encore aujourd’hui de lui demander de rester nu à la maison, comme cela je peux m’amuser avec sa bite quand je le veux. Je la branle ou la suce au gré de mes envies. J’avoue, bien volontiers, préférer la sucer. Parfois il jouit dans ma bouche et parfois asperge mes seins. C’est, toujours, excitant, pour moi, de lui donner tant de plaisir.

Nathalie l’avait repris dans sa bouche et, pendant ce temps là, Patrick avait enfourné son chibre bien gonflé dans ma chatte suintante. J’étais complètement remplie et cela me faisait un bien immense. Il me pilonna pendant de longs moments pendant lesquels j’ai dû jouir 3 ou 4 fois, je ne m’en souviens plus. Jérôme avait fait mettre Nathalie à quatre pattes et l’avait pénétrée sans difficulté. Elle, aussi, jouie plusieurs fois en criant que c’était bon et qu’elle aimait sa queue.

C’est en écoutant sa compagne que Patrick atteignit le point de non-retour. Il sortit très vite de mon vagin et présenta sa queue devant ma bouche que j’ouvris bien grand pour recevoir une quantité de sperme incroyable. Il m’aspergea de quatre giclées puissantes et j’avalais ce que je pouvais. Le goût de son sperme était bien différent de celui de mon homme, sucré et acidulé à la fois, mais très agréable. Je nettoyais son vit de mieux que je pouvais, tout en regardant Marc pilonner Nathalie avec vigueur. Je voyais sa bite entrer et sortir de cette chatte accueillante, luisante de mouille et cela m’excitais au plus haut point.
Nathalie lui demanda de la sodomiser, chose que je ne lui avais, jamais, accordé.

Tout bascula, à ce moment là, dans ma tête. Si elle lui accordait ce que je lui ais, toujours, refusé, comment allait-il réagir ? Allait-il me désirer comme avant ? Tout un tas de questions fusaient dans ma tête.

-« Non ! Non ! Pas ça !»

Il me regardèrent, tous les trois, interloqués par ma réaction. Je lançais à Jérôme :

-« Pas par-là »
-« Mais chérie ça sera une première expérience pour moi ». Il semblait très déçu mais, aussi, irrité par ma réaction.

Mes préjugés tombaient soudainement :

-« Si tu veux avoir une première expérience en ce domaine, alors fait là avec moi »
-« Mais tu ma, toujours, refusé cette voie »
-« Et bien, maintenant je te l’accorde »

Patrick s’en mêla alors :

-« Elle a peut-être raison. Il faut que ce que nous venons de vivre reste un moment agréable et si elle ne veut pas que tu encules Nathalie et qu’elle seule t’offre ce passage, respecte sa décision »
-« D’accord, mais quelle me le demande »

Mon excitation étant, un peu, retombée, mes inhibitions refaisaient surface. Pendant que j’hésitais, Patrick s’était rapproché de Nathalie et s’apprêtait à continuer ce que Jérôme avait arrêté brusquement au grand dam de celle-ci qui paraissait déçue. Elle fut vite consolée par la bite de Patrick qui, maintenant, lui pilonnait l’anus avec ferveur.
Je voyais son chibre aller et venir dans son fondement, ce qui eu pour effet de me galvaniser pour ce qui allait être ma première expérience anale. Je me lâchais :

-« Jérôme, encules moi vite ! »

J’avais presque crié ces mots. Jérôme se positionna devant Nathalie pour qu’elle lui mouille la bite avec sa langue experte puis me fit mettre à quatre pattes et après avoir mouillé mon anus avec ses doigts, lentement s’enfonça dedans.

A ma grande surprise, je ne ressentais aucune douleur. Il progressait très lentement jusqu’à ce qu’il bute contre mes fesses, se cambrant pour s’enfoncer au maximum. Après quelques instants d’immobilité, afin que je m’habitue à la présence de sa queue, il entama des vas et viens de plus en plus rapides. Ayant joui une première fois dans la bouche de Nathalie, il me pilonna longtemps et je commençais à ressentir un plaisir méconnu pour moi jusqu’à présent. Je me sentais, complètement, remplie par cette bite que j’aimais tant. Je me faisais enculer et j’aimais cela. Je remarquais que Nathalie et Patrick avaient terminé leur joute anale et nous regardaient faire avec un plaisir évident. Enfin Jérôme se lâcha et je sentais un liquide brûlant envahir mon antre provoquant en moi un plaisir inouï que j’exprimais bruyamment.

Il se retira et je sentis le fruit de sa jouissance sortir de mon anus. J’étais fourbue et, en même temps, je me sentais bien dans mon corps mais aussi dans ma tête. J’avais accordé à Jérôme ce que, je crois, je ne lui aurais jamais permis dans d’autres circonstances. Nos amis, sans le savoir au départ, avaient été les instigateurs de cette nouvelle expérience pour nous deux. Je savais, dors et déjà, que je lui permettrai, à l’avenir, cette façon de me faire l’amour. J’en serais même demandeuse. Cette aventure à été, pour moi, une révélation : j’adore le sexe sous toutes ses formes et que, certainement, nous aurions, à l’avenir, d’autres occasions de faire l’amour à plusieurs.
Mais cela sera l’objet d’un autre récit.

Sabine

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