Ma sacrée belle mère et ses ouvriers suite et fin
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2019 dans la catégorie Plus on est
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Ma sacrée belle mère et ses ouvriers suite et fin
Cela fait 10 jours que le père de ma copine et sa deuxième femme, Rose, vivent chez Nora et moi. Ils font des travaux dans leur appartement et ont trouvé refuge chez nous pour ne pas vivre dans la poussière. Depuis qu’ils sont là, c’est ceinture avec ma copine, car la présence de la génération d’au-dessus la bloque. Son père doit s’absenter pour une nuit alors je vais rejoindre Rose dans leur appartement pour vérifier l’avancé des travaux.
Les ouvriers ne bossent pas mais baisent ma belle mère. Je profite de ce spectacle pour soulager mes couilles, trop remplies, je prends aussi quelques photos. Le soir quand je me retrouve seul avec Rose, dans la cuisine, je lui dis que je l’ai surprise avec les ouvriers et lui montre même une de mes photos sur mon téléphone. Au lieu d’être mal à l’aise elle empoigne mon paquet dans mon pantalon et en me massant elle me dit qu’elle va enfin pouvoir jouer avec moi.
Comme il ne se passe toujours rien avec Nora, le lendemain, je mets à profiter d’être seul à la maison avec ma belle-mère pour moi aussi profiter de son beau corps et de sa folie sexuelle malgré son âge. Je la baise sous la douche mais aussi sur notre lit conjugale. Alors que je change les draps pour effacer toutes traces de nos ébats, Rose se préparent pour partir chez eux voir l’avancé des travaux.
Je décide de l’accompagner et la laisse porter uniquement une guêpière et des collants, je lui interdis même la culotte. Elle enfile un long manteau et nous partons chez eux. Nous trouvons les ouvriers dans le salon en train de manger leurs sandwichs. Je fais retirer son manteau à ma belle-mère et l’envoie rejoindre les ouvriers. Ils commencent à la caresser et se faire sucer, puis quand un la baise l’autre exploite la bouche de Rose.
Une fois que tous ses trous ont été ouverts, je profite qu’il y ait que deux bites pour 3 orifices et pénètre son cul qui est libre. Nous la baisons tous les trois avec un grand plaisir, je la sodomise longuement alors que sa chatte est pleine par une autre bite. Ensuite je me retrouve allongé par terre avec ma belle mère en 69 sur moi.
Elle se fait pilonner la moule par une belle queue qui est juste à côté de mon visage. Je ne peux pas résister et la cajole en même temps que le mont de Vénus de Rose. Rapidement je me retrouve avec cette tige dans la bouge à lui faire des gorges profondes. Après avoir sodomisé ma belle-mère, il vient gicler sur ses lèvres intimes et m’éclabousse de son sperme que je goute au passage.
Alors que je nettoyais le jus sur le sexe de ma belle-mère, elle me suce et me doigte le cul à me faire jouir. Nous partageons mon sperme et celui de l’ouvrier de façon très cochonne. Quand nous nous relevons, il faut encore s’occuper de l’autre ouvrier. Rose, va s’assoir sur le canapé pour offrir sa chatte à l’homme et je me glisse sous leurs jambes pour m’occuper des 2 en même temps.
J’ai la tête penchée en arrière, la langue tirée, je lèche alternativement les couilles et la tige de l’ouvrier mais aussi les grandes lèvres et le cul de ma Rose. Je suis aux anges, bien que j’avais éjaculé quelques minutes avant je sens ma bite commencer à frétiller et durcir de plus en plus. L’ouvrier se met à limer ma belle-mère de plus en plus rapidement du coup je n’arrive plus à grand chose.
L’autre employé de mes beaux-parents, me tire par les jambes, il vient s’assoir à côté de Rose et écarte bien ses cuisses en me m’ordonnant de le refaire durcir. Même si j’ai l’habitude de sucer des bites, je sens que ma belle-mère me regarde alors je prends un air un peu gêné. L’autre prend ma tête entre ses mains et m’approche de son entrejambe. Je commence à lécher timidement sa queue molle.
Je la lape un moment avant de prendre son gland calotté en bouche. Je fais passer ma langue entre sa peau et son prépuce et je sens sa bite s’agiter tout comme la mienne. Je le recrache et le branle pour le faire décalotter. Je tourne la tête vers l’autre couple, l’ouvrier lime énergiquement ma belle mère qui me regarde fixement avec un grand sourire tout en gémissant.
Je baisse la tête et lèche les couilles de l’homme de l’est alors que ma main continue de le branler. Il grossit de plus en plus entre mes doigts alors je remonte lentement pour le prendre en bouche. Il appuie sur ma tête et s’enfonce de plus en plus en moi jusqu’à venir taper ma glotte. Son sexe me laisse de moins en moins de place pour faire tourner la langue.
Il essaye de rentrer dans ma gorge mais je suis rapidement pris de haut le coeur alors je le recrache. De longs filets de bave relient son sexe à mes lèvres et je trouve ça très excitant. Alors que je reprends ma respiration, Rose lui dit entre deux râles:« Vas y doucement, il n’est pas habitué comme moi à être une bonne chienne! »L’homme rigole et me pousse pour se lever.
Il fait rouler le couple sur le canapé et remarque, tout comme moi, que Rose se fait sodomiser. Il demande à son collègue de changer de trou pour venir les rejoindre. Je cherche une bonne place pour voir ma belle mère se faire prendre par ces deux grosses bites. Alors que je pensais que le mec que je viens de sucer aller envahir son cul, je le vois poser son gland sur les lèvres intimes de ma belle mère et venir se glisser le long de la tige de son pote.
Rose se met à couiner comme une folle. J’ai très envie de les rejoindre mais je ne vois pas où alors je me branle en les regardant faire. Quand elle est prise par les deux trous, celui qui est au dessus du trio me dit de venir lui bouffer le cul. Je viens derrière eux et je le vois se planter dans les entrailles de Rose. J’écarte bien ses fesses et je commence à passer ma langue sur toute la longueur de sa raie poilue, il doit être un bi assumé.
A chaque passage je m’arrête un peu plus sur sa rondelle. Je sens que son cul commence à s’ouvrir et j’arrive à lentement faire rentrer le bout du triangle de ma langue dans son cul. Malheureusement il me fait rapidement arrêter et me dit d’aller me faire « bien bander » par la bouche de ma belle-mère.
Je vais vers l’arrière du canapé, Rose ouvre la bouche j’y rentre ma queue à demi molle. Elle n’arrive pas à boucher tellement qu’elle est tétanisée par le plaisir que lui donne ses employés. Je bascule pour faire aller et venir ma tige entre ses lèvres qu’elle prend le soin de serrer. De temps en temps, sa langue s’agite sur mes veines ou mon frein. Je ne tarde pas à redevenir raide comme un piquet.
Les deux hommes ramonent vigoureusement Rose par contre vu ma position je ne sais pas s’ils sont chacun dans un trou ou les deux dans le même trou et si oui, lequel. Je ne peux pas le voir mais mon imagination me fait varier les possibilités. J’ai le cerveau en ébullition, il faut que je me calme sinon je ne vais pas tarder à éjaculer une deuxième fois et une quatrième depuis ce matin.
L’ouvrier qui n’a toujours pas joui, commence à râler de plus en plus fort. L’autre mec lui dit quelque chose dans leur langue et le premier acquiesce en s’immobilisant. Celui qui parle le mieux le français nous demande, à tous les deux, de nous mettre à 4 pattes par terre. Ma belle-mère et moi nous installons l’un à côté de l’autre. Je tourne la tête pour voir l’homme sur le point de jouir sodomiser Rose quand je sens des mains qui écartent mes fesses.
L’autre ouvrier appuie sur ma rondelle avec sa langue, je suis tellement excité que je m’ouvre rapidement. Il ne tarde pas à me pénétrer avec sa bouche, il la fait aller de plus en plus vite alors que son copain râle de plus en plus fort. Rapidement le mec qui me fait un anulingus, remplace sa bouche par un doigt puis deux. Il les fait tournoyer en moi et les écarte pour bien m’ouvrir.
Cela fait un moment que mon cul n’a pas été visité, j’ai un peu mal mais je prends beaucoup de plaisir quand même. Quand il les retire d’un coup sec, je sens tout de suite un manque mais ça ne va pas durer longtemps. L’autre ouvrier décule de ma belle-mère, retire sa capote et vient poser son grand sur mon petit trou. Il fait quelques allers retours, avec sa main sur sa queue.
Son premier jet est tellement puissant que je le sens me perforer et finir sa course dans mes entrailles. Je ne sais pas combien, il a envoyé de giclé mais mon cul en est recouvert. Même si mes fesses sont bien relevées, je sens des gouttes couler le long de ma raie. Ma voisine me regarde avec un air étonné mais aussi jaloux. Pendant ce temps l’autre ouvrier se protège avec un nouveau préservatif.
Il vient s’installer derrière moi et je sens son gland plastifié recentrer le sperme contre mon oeillet. Il appuie contre la rondelle, je pousse sur mon sphincter pour qu’il me pénètre plus facilement. Son gland commence à passer, bien qu’il soit plus large que ses deux doigts, je ne ressens aucune douleur. Il s’enfonce à moitié en moi et commence à me limer tout doucement. Je ne peux m’empêcher de gémir du coup il y va plus rigoureusement.
Il sort d’entre mes fesses d’un coup sec et demande à Rose de venir sur moi. Je sens sa chatte trempée couler sur le bas de mon dos et remonter le long de ma colonne vertébrale. Entre les sécrétions du premier ouvrier et celles de ma belle-mère, je me sens de plus en plus chienne, j’ai envie de sentir de nouveau sa queue en moi mais il choisit les entrailles de ma voisine du dessus. L’autre ouvrier vient devant nous et plie les genoux pour me donner sa queue à nettoyer, j’en profite pour avaler les dernières gouttes de sperme.
Quand l’enculeur revient envahir mes fesses, l’autre mec se relève et offre son sexe à Rose. Pendant ce temps mon petit trou est rempli d’un coup sec. La queue qui me perfore rentre entièrement en moi, je sens ses couilles contre mes fesses. Heureusement que le premier ouvrier ma bien lubrifié avec son sperme parce que je commence un peu à morfler mais c’est tellement bon.
Après plusieurs allers retours, très sauvages, il ressort sans prévenir. Je comprends qu’il est retourner s’occuper de ma belle-mère car son collègue plie les genoux et me présente son sexe qui n’est plus flasque du tout. Je commence par lécher son gland puis je l’aspire entre mes lèvres en faisant tournoyer ma langue. Je le prends de plus en plus en bouche au rythme des secousses de Rose sur moi.
Les deux ouvriers alternent sur nos différents orifices jusqu’à ce que l’enculeur nous demande de nous retourner et nous mettre à genoux. Nous nous exécutons et Rose se jette sur la bite de l’homme comme une affamée alors que ça doit faire plus de deux heures que nous baisons. Elle le prend complètement en bouche, je n’ai plus de place alors je me baisse et m’occuper de ses couilles.
Au bout de quelques minutes, avec ses mains, ma belle-mère attire mon visage vers le sien. Elle sort la queue qu’elle a entre ses lèvres et la branle énergiquement en posant le gland contre ma bouche. J’ouvre la gueule en grand et je reçois un premier jet directement au fond de la gorge. Je pensais qu’elle voulait que, comme tout à l’heure, j’ai le visage recouvert de semence mais elle appuie sur ma tête pour que j’avale la bite.
L’ouvrier continue de se vider entre mes lèvres alors que Rose fait aller et venir ma bouche le long de cette tige. Une fois qu’il ne sort plus rien, il retire son sexe de ma bouche et le donne à ma belle-mère pour qu’elle finit de le nettoyer. Je reste la bouche ouverte, avec une bonne dose de jus dedans, à la regarder faire. Elle abandonne l’entrejambe de l’ouvrier, une fois qu’il est redevenu flasque et se tourne vers moi pour que nous partagions le sperme de l’homme qui est dans nos bouches.
Après une longue pelle bien baveuse, nous nous levons et ma belle-mère me dit que nous devons nous dépêcher de rentrer chez moi. Elle m’entraine complètement nu dans la salle de bain et sort 2 gants de l’armoire. Elle humidifie le premier et avant de nettoyer toutes les traces de sperme qui sont sur mon corps elle me prévient qu’il y a pas d’eau chaude. Je suis tellement excité par tout ce que nous venons de vivre qu’elle me fait rapidement bander. Elle me branle vigoureusement et me suce, je ne tarde pas à jouir, pour la quatrième fois de la journée, entre ses lèvres. Ma belle-mère se lève et m’embrasse pour que nous partagions mon jus.
Une fois qu’elle a éliminer toutes les traces sur nos deux corps, elle m’envoie me rhabiller dans le salon et file dans sa chambre chercher des habits. J’enfile mes vêtements alors que les ouvriers ont déjà repris le travail. Nous les saluons avant de partir et ils nous remercient pour l’agréable moment, celui qui parle le mieux le français rajoute même:« Vous revenez demain, on espère? »Nous courons pour rentrer et heureusement nous arrivons avant Gerard mais surtout Nora.
Je file me doucher pour être bien sur n’avoir plus aucune preuve de mon marathon de sexe de la journée. Nora rentre la première alors que je prépare à manger dans la cuisine, elle vient se coller à moi et alors que ses mains caressent mon sexe qui n’a plus d’énergie pour gonfler, déçu elle me dit:« Je ne t’excites plus? »Je bafouille en lui disant que je croyais qu’on devait se retenir pendant que son père et Rose sont chez nous.
Elle rigole et en ébouriffant mes cheveux mouillés, elle me dit:« Ne te fatigue pas j’ai compris, tu t’es masturbé sous la douche! »Merci pour la parade, je lui fais un oui de la tête avec un air gêné. Nous attendons Gérard pour diner, je suis assez tendu tout au long de la soirée et je vais me coucher le premier. Nora ne tarde pas à me rejoindre et me demande si tout va bien. Je lui réponds que j’ai peur d’avoir chopé quelque chose et que j’ai besoin de me reposer. Je préfère ça plutôt que de lui dire que j’ai passé la matinée à baiser la deuxième femme de son père et l’après midi avec elle et les ouvriers!
Je ne tarde pas à m’endormir et quand je me réveille, ma copine et son père son sur le point de partir. J’embrasse tendrement Nora, Gérard me demande de ne pas faire trop de bruit car sa femme dort, il précise qu’elle ne se sent pas bien. Ironiquement, ma copine dit sérieusement:« Elle a peut être attrapé le même truc que toi! »Je ne sais pas si je dois rester sérieux ou rigoler mais effectivement je pense que sa fatigue à la même origine que la mienne!
Je passe à la salle de bain et je bois tranquillement mon café. Mon premier rendez vous n’est qu’à 10 heures et il est seulement 8h15. Une fois que j’ai finis, je monte à l’étage et je rentre discrètement dans la chambre de Rose et Gérard. Je me glisse dans le lit et je remonte lentement la chemise de nuit de ma belle-mère, elle est nue en dessous.
J’embrasse tendrement son corps pour la réveiller. Après s’être étirée, elle empoigne ma queue et avant de la rentrer dans sa chatte, elle me demande si tout le monde est bien parti. Je lui réponds positivement et je m’enfonce en elle. Nous faisons l’amour tendrement mais ça devient rapidement sauvage surtout quand elle nous retourne pour être au-dessus de moi.
Nous jouissons à l’unissons et Rose pose sa tête sur mon ventre en caressant ma bite flasque. Sa main descend sur mes couilles, mon périnée et vient titiller ma rondelle. Elle tourne la tête vers moi et me dit:« Apparement tu as bien aimé que l’on s’occupe de ton petit trou! »Et elle enfonce lentement son doigt. Alors qu’elle me lime lentement je lui avoue que j’ai déjà eu une relation avec un autre homme mais que c’était il y a des années, ce n’est pas la peine qu’elle en sache trop sur moi.
Tout d’un coup elle retire son doigt et me traine hors du lit. Elle me demande mon ordinateur pour se connecter à ses mails car elle veut me montrer quelque chose. Elle a plusieurs messages non lus, la majorité vienne du même expéditeur et ont tous des dossiers joints. Avant de cliquer sur le premier mail, ma belle-mère se tourne vers moi et me dit:« Je les découvre en même temps que toi! »
Je me vois sur l’écran, mon visage recouvert de sperme en gros plans. Ensuite je reconnais mes fesses recouverte de jus. Une série de photos me montre en train de sucer une bite alors qu’une autre est de moi me faisant sodomiser! Elle se retourne et me dit:« Maintenant moi aussi j’ai des photos qui peuvent de poser problème! »Elle passe sa main derrière ma tête et me fait me pencher pour m’embrasser.
Je me dépêches de me préparer pour aller bosser mais je ne suis pas inquiet parce que je crois que ma belle-mère aime autant le sexe que moi. C’est juste un petit jeu. L’avenir me donnera raison car nous avons continué à nous voir avec les ouvriers mais aussi après leur départ. Nous avons, même, continué notre relation un moment après que Nora et moi avons rompu.
Cela fait quelques années que je n’ai plus eu de nouvelles de Rose. Je ne sais pas si elle est toujours avec Gérard, je ne sais pas si elle baise toujours à droite et à gauche mais j’ai gardé un excellent souvenir de nos parties de jambes en l’air que j’ai été très heureux de partager avec vous.
Les ouvriers ne bossent pas mais baisent ma belle mère. Je profite de ce spectacle pour soulager mes couilles, trop remplies, je prends aussi quelques photos. Le soir quand je me retrouve seul avec Rose, dans la cuisine, je lui dis que je l’ai surprise avec les ouvriers et lui montre même une de mes photos sur mon téléphone. Au lieu d’être mal à l’aise elle empoigne mon paquet dans mon pantalon et en me massant elle me dit qu’elle va enfin pouvoir jouer avec moi.
Comme il ne se passe toujours rien avec Nora, le lendemain, je mets à profiter d’être seul à la maison avec ma belle-mère pour moi aussi profiter de son beau corps et de sa folie sexuelle malgré son âge. Je la baise sous la douche mais aussi sur notre lit conjugale. Alors que je change les draps pour effacer toutes traces de nos ébats, Rose se préparent pour partir chez eux voir l’avancé des travaux.
Je décide de l’accompagner et la laisse porter uniquement une guêpière et des collants, je lui interdis même la culotte. Elle enfile un long manteau et nous partons chez eux. Nous trouvons les ouvriers dans le salon en train de manger leurs sandwichs. Je fais retirer son manteau à ma belle-mère et l’envoie rejoindre les ouvriers. Ils commencent à la caresser et se faire sucer, puis quand un la baise l’autre exploite la bouche de Rose.
Une fois que tous ses trous ont été ouverts, je profite qu’il y ait que deux bites pour 3 orifices et pénètre son cul qui est libre. Nous la baisons tous les trois avec un grand plaisir, je la sodomise longuement alors que sa chatte est pleine par une autre bite. Ensuite je me retrouve allongé par terre avec ma belle mère en 69 sur moi.
Elle se fait pilonner la moule par une belle queue qui est juste à côté de mon visage. Je ne peux pas résister et la cajole en même temps que le mont de Vénus de Rose. Rapidement je me retrouve avec cette tige dans la bouge à lui faire des gorges profondes. Après avoir sodomisé ma belle-mère, il vient gicler sur ses lèvres intimes et m’éclabousse de son sperme que je goute au passage.
Alors que je nettoyais le jus sur le sexe de ma belle-mère, elle me suce et me doigte le cul à me faire jouir. Nous partageons mon sperme et celui de l’ouvrier de façon très cochonne. Quand nous nous relevons, il faut encore s’occuper de l’autre ouvrier. Rose, va s’assoir sur le canapé pour offrir sa chatte à l’homme et je me glisse sous leurs jambes pour m’occuper des 2 en même temps.
J’ai la tête penchée en arrière, la langue tirée, je lèche alternativement les couilles et la tige de l’ouvrier mais aussi les grandes lèvres et le cul de ma Rose. Je suis aux anges, bien que j’avais éjaculé quelques minutes avant je sens ma bite commencer à frétiller et durcir de plus en plus. L’ouvrier se met à limer ma belle-mère de plus en plus rapidement du coup je n’arrive plus à grand chose.
L’autre employé de mes beaux-parents, me tire par les jambes, il vient s’assoir à côté de Rose et écarte bien ses cuisses en me m’ordonnant de le refaire durcir. Même si j’ai l’habitude de sucer des bites, je sens que ma belle-mère me regarde alors je prends un air un peu gêné. L’autre prend ma tête entre ses mains et m’approche de son entrejambe. Je commence à lécher timidement sa queue molle.
Je la lape un moment avant de prendre son gland calotté en bouche. Je fais passer ma langue entre sa peau et son prépuce et je sens sa bite s’agiter tout comme la mienne. Je le recrache et le branle pour le faire décalotter. Je tourne la tête vers l’autre couple, l’ouvrier lime énergiquement ma belle mère qui me regarde fixement avec un grand sourire tout en gémissant.
Je baisse la tête et lèche les couilles de l’homme de l’est alors que ma main continue de le branler. Il grossit de plus en plus entre mes doigts alors je remonte lentement pour le prendre en bouche. Il appuie sur ma tête et s’enfonce de plus en plus en moi jusqu’à venir taper ma glotte. Son sexe me laisse de moins en moins de place pour faire tourner la langue.
Il essaye de rentrer dans ma gorge mais je suis rapidement pris de haut le coeur alors je le recrache. De longs filets de bave relient son sexe à mes lèvres et je trouve ça très excitant. Alors que je reprends ma respiration, Rose lui dit entre deux râles:« Vas y doucement, il n’est pas habitué comme moi à être une bonne chienne! »L’homme rigole et me pousse pour se lever.
Il fait rouler le couple sur le canapé et remarque, tout comme moi, que Rose se fait sodomiser. Il demande à son collègue de changer de trou pour venir les rejoindre. Je cherche une bonne place pour voir ma belle mère se faire prendre par ces deux grosses bites. Alors que je pensais que le mec que je viens de sucer aller envahir son cul, je le vois poser son gland sur les lèvres intimes de ma belle mère et venir se glisser le long de la tige de son pote.
Rose se met à couiner comme une folle. J’ai très envie de les rejoindre mais je ne vois pas où alors je me branle en les regardant faire. Quand elle est prise par les deux trous, celui qui est au dessus du trio me dit de venir lui bouffer le cul. Je viens derrière eux et je le vois se planter dans les entrailles de Rose. J’écarte bien ses fesses et je commence à passer ma langue sur toute la longueur de sa raie poilue, il doit être un bi assumé.
A chaque passage je m’arrête un peu plus sur sa rondelle. Je sens que son cul commence à s’ouvrir et j’arrive à lentement faire rentrer le bout du triangle de ma langue dans son cul. Malheureusement il me fait rapidement arrêter et me dit d’aller me faire « bien bander » par la bouche de ma belle-mère.
Je vais vers l’arrière du canapé, Rose ouvre la bouche j’y rentre ma queue à demi molle. Elle n’arrive pas à boucher tellement qu’elle est tétanisée par le plaisir que lui donne ses employés. Je bascule pour faire aller et venir ma tige entre ses lèvres qu’elle prend le soin de serrer. De temps en temps, sa langue s’agite sur mes veines ou mon frein. Je ne tarde pas à redevenir raide comme un piquet.
Les deux hommes ramonent vigoureusement Rose par contre vu ma position je ne sais pas s’ils sont chacun dans un trou ou les deux dans le même trou et si oui, lequel. Je ne peux pas le voir mais mon imagination me fait varier les possibilités. J’ai le cerveau en ébullition, il faut que je me calme sinon je ne vais pas tarder à éjaculer une deuxième fois et une quatrième depuis ce matin.
L’ouvrier qui n’a toujours pas joui, commence à râler de plus en plus fort. L’autre mec lui dit quelque chose dans leur langue et le premier acquiesce en s’immobilisant. Celui qui parle le mieux le français nous demande, à tous les deux, de nous mettre à 4 pattes par terre. Ma belle-mère et moi nous installons l’un à côté de l’autre. Je tourne la tête pour voir l’homme sur le point de jouir sodomiser Rose quand je sens des mains qui écartent mes fesses.
L’autre ouvrier appuie sur ma rondelle avec sa langue, je suis tellement excité que je m’ouvre rapidement. Il ne tarde pas à me pénétrer avec sa bouche, il la fait aller de plus en plus vite alors que son copain râle de plus en plus fort. Rapidement le mec qui me fait un anulingus, remplace sa bouche par un doigt puis deux. Il les fait tournoyer en moi et les écarte pour bien m’ouvrir.
Cela fait un moment que mon cul n’a pas été visité, j’ai un peu mal mais je prends beaucoup de plaisir quand même. Quand il les retire d’un coup sec, je sens tout de suite un manque mais ça ne va pas durer longtemps. L’autre ouvrier décule de ma belle-mère, retire sa capote et vient poser son grand sur mon petit trou. Il fait quelques allers retours, avec sa main sur sa queue.
Son premier jet est tellement puissant que je le sens me perforer et finir sa course dans mes entrailles. Je ne sais pas combien, il a envoyé de giclé mais mon cul en est recouvert. Même si mes fesses sont bien relevées, je sens des gouttes couler le long de ma raie. Ma voisine me regarde avec un air étonné mais aussi jaloux. Pendant ce temps l’autre ouvrier se protège avec un nouveau préservatif.
Il vient s’installer derrière moi et je sens son gland plastifié recentrer le sperme contre mon oeillet. Il appuie contre la rondelle, je pousse sur mon sphincter pour qu’il me pénètre plus facilement. Son gland commence à passer, bien qu’il soit plus large que ses deux doigts, je ne ressens aucune douleur. Il s’enfonce à moitié en moi et commence à me limer tout doucement. Je ne peux m’empêcher de gémir du coup il y va plus rigoureusement.
Il sort d’entre mes fesses d’un coup sec et demande à Rose de venir sur moi. Je sens sa chatte trempée couler sur le bas de mon dos et remonter le long de ma colonne vertébrale. Entre les sécrétions du premier ouvrier et celles de ma belle-mère, je me sens de plus en plus chienne, j’ai envie de sentir de nouveau sa queue en moi mais il choisit les entrailles de ma voisine du dessus. L’autre ouvrier vient devant nous et plie les genoux pour me donner sa queue à nettoyer, j’en profite pour avaler les dernières gouttes de sperme.
Quand l’enculeur revient envahir mes fesses, l’autre mec se relève et offre son sexe à Rose. Pendant ce temps mon petit trou est rempli d’un coup sec. La queue qui me perfore rentre entièrement en moi, je sens ses couilles contre mes fesses. Heureusement que le premier ouvrier ma bien lubrifié avec son sperme parce que je commence un peu à morfler mais c’est tellement bon.
Après plusieurs allers retours, très sauvages, il ressort sans prévenir. Je comprends qu’il est retourner s’occuper de ma belle-mère car son collègue plie les genoux et me présente son sexe qui n’est plus flasque du tout. Je commence par lécher son gland puis je l’aspire entre mes lèvres en faisant tournoyer ma langue. Je le prends de plus en plus en bouche au rythme des secousses de Rose sur moi.
Les deux ouvriers alternent sur nos différents orifices jusqu’à ce que l’enculeur nous demande de nous retourner et nous mettre à genoux. Nous nous exécutons et Rose se jette sur la bite de l’homme comme une affamée alors que ça doit faire plus de deux heures que nous baisons. Elle le prend complètement en bouche, je n’ai plus de place alors je me baisse et m’occuper de ses couilles.
Au bout de quelques minutes, avec ses mains, ma belle-mère attire mon visage vers le sien. Elle sort la queue qu’elle a entre ses lèvres et la branle énergiquement en posant le gland contre ma bouche. J’ouvre la gueule en grand et je reçois un premier jet directement au fond de la gorge. Je pensais qu’elle voulait que, comme tout à l’heure, j’ai le visage recouvert de semence mais elle appuie sur ma tête pour que j’avale la bite.
L’ouvrier continue de se vider entre mes lèvres alors que Rose fait aller et venir ma bouche le long de cette tige. Une fois qu’il ne sort plus rien, il retire son sexe de ma bouche et le donne à ma belle-mère pour qu’elle finit de le nettoyer. Je reste la bouche ouverte, avec une bonne dose de jus dedans, à la regarder faire. Elle abandonne l’entrejambe de l’ouvrier, une fois qu’il est redevenu flasque et se tourne vers moi pour que nous partagions le sperme de l’homme qui est dans nos bouches.
Après une longue pelle bien baveuse, nous nous levons et ma belle-mère me dit que nous devons nous dépêcher de rentrer chez moi. Elle m’entraine complètement nu dans la salle de bain et sort 2 gants de l’armoire. Elle humidifie le premier et avant de nettoyer toutes les traces de sperme qui sont sur mon corps elle me prévient qu’il y a pas d’eau chaude. Je suis tellement excité par tout ce que nous venons de vivre qu’elle me fait rapidement bander. Elle me branle vigoureusement et me suce, je ne tarde pas à jouir, pour la quatrième fois de la journée, entre ses lèvres. Ma belle-mère se lève et m’embrasse pour que nous partagions mon jus.
Une fois qu’elle a éliminer toutes les traces sur nos deux corps, elle m’envoie me rhabiller dans le salon et file dans sa chambre chercher des habits. J’enfile mes vêtements alors que les ouvriers ont déjà repris le travail. Nous les saluons avant de partir et ils nous remercient pour l’agréable moment, celui qui parle le mieux le français rajoute même:« Vous revenez demain, on espère? »Nous courons pour rentrer et heureusement nous arrivons avant Gerard mais surtout Nora.
Je file me doucher pour être bien sur n’avoir plus aucune preuve de mon marathon de sexe de la journée. Nora rentre la première alors que je prépare à manger dans la cuisine, elle vient se coller à moi et alors que ses mains caressent mon sexe qui n’a plus d’énergie pour gonfler, déçu elle me dit:« Je ne t’excites plus? »Je bafouille en lui disant que je croyais qu’on devait se retenir pendant que son père et Rose sont chez nous.
Elle rigole et en ébouriffant mes cheveux mouillés, elle me dit:« Ne te fatigue pas j’ai compris, tu t’es masturbé sous la douche! »Merci pour la parade, je lui fais un oui de la tête avec un air gêné. Nous attendons Gérard pour diner, je suis assez tendu tout au long de la soirée et je vais me coucher le premier. Nora ne tarde pas à me rejoindre et me demande si tout va bien. Je lui réponds que j’ai peur d’avoir chopé quelque chose et que j’ai besoin de me reposer. Je préfère ça plutôt que de lui dire que j’ai passé la matinée à baiser la deuxième femme de son père et l’après midi avec elle et les ouvriers!
Je ne tarde pas à m’endormir et quand je me réveille, ma copine et son père son sur le point de partir. J’embrasse tendrement Nora, Gérard me demande de ne pas faire trop de bruit car sa femme dort, il précise qu’elle ne se sent pas bien. Ironiquement, ma copine dit sérieusement:« Elle a peut être attrapé le même truc que toi! »Je ne sais pas si je dois rester sérieux ou rigoler mais effectivement je pense que sa fatigue à la même origine que la mienne!
Je passe à la salle de bain et je bois tranquillement mon café. Mon premier rendez vous n’est qu’à 10 heures et il est seulement 8h15. Une fois que j’ai finis, je monte à l’étage et je rentre discrètement dans la chambre de Rose et Gérard. Je me glisse dans le lit et je remonte lentement la chemise de nuit de ma belle-mère, elle est nue en dessous.
J’embrasse tendrement son corps pour la réveiller. Après s’être étirée, elle empoigne ma queue et avant de la rentrer dans sa chatte, elle me demande si tout le monde est bien parti. Je lui réponds positivement et je m’enfonce en elle. Nous faisons l’amour tendrement mais ça devient rapidement sauvage surtout quand elle nous retourne pour être au-dessus de moi.
Nous jouissons à l’unissons et Rose pose sa tête sur mon ventre en caressant ma bite flasque. Sa main descend sur mes couilles, mon périnée et vient titiller ma rondelle. Elle tourne la tête vers moi et me dit:« Apparement tu as bien aimé que l’on s’occupe de ton petit trou! »Et elle enfonce lentement son doigt. Alors qu’elle me lime lentement je lui avoue que j’ai déjà eu une relation avec un autre homme mais que c’était il y a des années, ce n’est pas la peine qu’elle en sache trop sur moi.
Tout d’un coup elle retire son doigt et me traine hors du lit. Elle me demande mon ordinateur pour se connecter à ses mails car elle veut me montrer quelque chose. Elle a plusieurs messages non lus, la majorité vienne du même expéditeur et ont tous des dossiers joints. Avant de cliquer sur le premier mail, ma belle-mère se tourne vers moi et me dit:« Je les découvre en même temps que toi! »
Je me vois sur l’écran, mon visage recouvert de sperme en gros plans. Ensuite je reconnais mes fesses recouverte de jus. Une série de photos me montre en train de sucer une bite alors qu’une autre est de moi me faisant sodomiser! Elle se retourne et me dit:« Maintenant moi aussi j’ai des photos qui peuvent de poser problème! »Elle passe sa main derrière ma tête et me fait me pencher pour m’embrasser.
Je me dépêches de me préparer pour aller bosser mais je ne suis pas inquiet parce que je crois que ma belle-mère aime autant le sexe que moi. C’est juste un petit jeu. L’avenir me donnera raison car nous avons continué à nous voir avec les ouvriers mais aussi après leur départ. Nous avons, même, continué notre relation un moment après que Nora et moi avons rompu.
Cela fait quelques années que je n’ai plus eu de nouvelles de Rose. Je ne sais pas si elle est toujours avec Gérard, je ne sais pas si elle baise toujours à droite et à gauche mais j’ai gardé un excellent souvenir de nos parties de jambes en l’air que j’ai été très heureux de partager avec vous.
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