Ma salope de femme me cocufie avec un drôle d’inconnu. (Suite 7)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma salope de femme me cocufie avec un drôle d’inconnu. (Suite 7)
Ce dernier dimanche avant la fête paroissiale, j’attendais avec impatiente Lili qui s’était une nouvelle fois donnée en pâture au curé du village. Cela faisait plus de deux mois, que j’étais dans l’impossibilité de la toucher depuis qu’elle m’avait surpris en train de baiser avec sa mère. Lorsqu’elle était rentrée avec son air rayonnant pleine de satisfaction, j’avais décidé de mettre les points sur les i :— Tu as encore baisé le curé, je suppose ? Peut-on maintenant faire la paix ? Tu t’es vengée de moi et je pense que cela doit se terminer.
— Pas du tout mon amour, je prends tellement de plaisir en pensant à toi que j’aurai pris ma revanche samedi prochain.
— Ah bon ! Pourquoi ?
— Parce qu’un curé, c’est insolite, mais samedi ce le sera encore plus. Crois-moi. Après, je te laisserai me reprendre comme tu le désireras. Je te le jure.
Ce fameux jour de kermesse était là, j’étais au stand de vente de gâteau avec Adèle car je ne devais plus m’approcher de Sophie, ma belle-mère. Je ne perdais pas au change, car Adèle, quoiqu’un peu forte était devenue ma maitresse et je ne perdais pas au change car c’était une femme très vicieuse avec laquelle je prenais beaucoup de plaisir.
Ma Lili d’amour avait fait fort, par ce magnifique après-midi très ensoleillé, du haut de ses vingt-trois ans, elle s’était vêtue uniquement d’un tout petit débardeur blanc arrivant juste au niveau de son nombril avec un large décolleté et de toutes petites bretelles, d’un mini short en jean bleu taillé au ciseau laissant voir la naissance de ses fesses et chaussée de baskets blanches en tissu. Elle avait le stand d’à côté qu’elle tenait où les enfants pouvaient admirer certains animaux de la ferme, avec Gérard le copain de Justine, une autre conquête à moi mais notre relation n’avait pas duré très longtemps. Adèle était passée par là en lui disant : « Chasse gardée. »
Elle donnait à manger aux animaux ou nettoyait le poney avec une grosse brosse dans les mains. Lorsqu’elle se baissait, les hommes pouvaient admirer sa poitrine compressée avec cette raie qui séparait ses deux seins sans soutien-gorge ou ses fesses qui tendait le tissu de son mini short. Elle n’hésitait pas à se dévoiler devant l’assistance, j’en bavait de jalousie. Toute l’après-midi, ce fut un défilé d’hommes accompagnant leur bambin, ils passaient et repassaient sans jamais se lasser du spectacle qu’elle leur offrait gratuitement. Certaines femmes jalouses de son corps magnifique, il faut le dire, venaient même rechercher leur mari en râlant après eux. Elle n’avait pas encore trouvé sa perle rare, et vint me l’annoncer. Bien sûre elle était déçue mais à une heure de la fermeture, elle me fit un signe. Il n’y avait plus grand monde à la kermesse et personne à son stand. J’aperçois alors un vieux monsieur, un septuagénaire avec un garçon de 10 ans à 12 ans que j’avais supposé être son petit-fils. Lili était radieuse, elle avait gardé ce vieil homme en haleine pendant près de 35 minutes. Lorsqu’elle caressait le poney, elle prenait son air le plus aguichant tout en le regardant, elle sortait un petit morceau de sa langue entre les deux lèvres, puis en donnant du grain aux poules, elle se frôlait au vieillard qui expliquait difficilement à son petit-fils ce qu’elle leur donnait à manger. Elle se pencha à son oreille, je n’avais pas entendu ce qu’elle lui avait dit mais cet homme était reparti et était de nouveau devant son stand quelques minutes plus tard. Cette fois, il était seul, son petit garçon était probablement retourné avec ses parents.
La fête étant finie, elle s’était dirigée vers la salle où se trouvait une salle d’eau équipée d’une douche. Elle avait pris le vieux Monsieur par la main et l’avait entrainé avec elle, il n’avait pas du tout refusé, ce vieux salaud, il pouvait ainsi la mater se laver, il était aux premières loges.
Sous l’eau douce qu’elle faisait couler sur elle, elle se massait la peau avec un savon en commençant par ses magnifiques seins un peu trop lourds pour son corps mince de jeune femme, qu’elle caressait délicieusement, sa langue passait sur ses lèvres en signe d’excitation. Elle avait sur le nombril, un piercing, un bijou à trois niveaux, formé de trois motifs allant d’une étoile, un cœur au milieu pour finir par un cercle, retenues entre eux par une petite chaine couleur argenté. Je lui avais offert pour nos fiançailles. Son sexe était surmonté d’une petite toison noire en triangle très bien entretenu. Son derrière était magique avec ses belles fesses bien galbées, sous la raie, il pouvait apercevoir son sexe dénudé de poil, laissant apparaitre la fente où s’écoulait l’eau de la douche qui ruisselait sur sa peau. Ses deux mains passaient et repassait sur ce corps de déesse s’attardant sur sa poitrine qu’elle resserrait faisant sortir les tétons gonflés de ses auréoles brunâtres.
Elle ouvrait légèrement la bouche qui laissait voir sa langue collée au palais derrière deux incisives blanches légèrement écartées. Elle continuait toujours à passer ses mains sur son corps en insistant maintenant sur ses fesses rebondies en faisant des mouvements circulaires avec une grande douceur. Elle reprit ses seins, les soupesant en les faisant remonter le plus haut qu’elle le pouvait, la bouche toujours à demi ouverte, elle appréciait ces instants. Une fois rincée, elle sortit de la douche, sa démarche était gracieuse. Elle passa sa grande serviette de bain dans son dos l’écartant avec ses deux mains et commença à s’essuyer les seins dont les deux tétons ne demandaient qu’à être tétés. Puis elle fit de même sur ses fesses pour finir sur son sexe, ses jambes et les pieds. Elle était splendide et prenait tout son temps, ce qui permettait au vieux Monsieur de l’admirer. Il avait rarement vu une telle beauté.
Elle se plaça devant le grand miroir et se regardait toujours en passant ses mains sur sa peau délicate et bronzée à souhait. Elle sortit de la salle de bain et vint vers lui l’embrasser, revêtu uniquement d’un soutien-gorge rouge et d’un string assorti. Il était assis sur un divan, elle s’agenouilla sur le coussin à côté et le prit par le cou. Il n’avait pu s’empêcher de mettre sa bouche sur cette poitrine qu’elle lui offrait en resserrant ses deux seins de ses mains. Elle lui serrait la tête contre elle, il avait la bouche mais également le nez dans cette poitrine généreuse. Ils s’embrassaient de nouveau, leurs langues virevoltaient dans leurs bouches. Elle dégrafa son soutien-gorge et laissa retomber sa lourde poitrine puis le septuagénaire prit un gros morceau d’un sein dans sa bouche et aspirait, il donnait l’impression de boire sa peau, il ressentait son téton, pendant que sa main droite lui massait l’autre sein. Elle avait la tête en arrière et ouvrait la bouche, la langue sortie s’humidifiait sa lèvre inférieure.
Elle voulait encore l’embrasser, voulant lui retirer son visage, elle happa mon pouce et le lui suça quelques instants en le fixant droit dans les yeux. Le vieux tout excité mimait des va et vient avec ce doigt entre ses lèvres, elle lui souriait, c’était très sensuel. Lorsqu’il passa sa main sur son sexe, elle était déjà prête et mouillée, elle se coucha sur le canapé, écartait les jambes ce qui eut pour effet d’écarter également ses grandes lèvres lui ouvrant ainsi sa chatte. Elle passa plusieurs fois sa main sur son vagin de bas en haut en s’attardant sur le clitoris qui sortit de sa protection. Elle s’enfila deux doigts qu’elle coulissa rapidement à l’intérieur de sa vulve mouillée à souhait, pendant qu’il baissait son pantalon et son slip. Lili lui demanda de la prendre tout de suite. Il s’était approché, elle passa ses mollets sur ses épaules, elle s’offrait à son sexe en érection totale mais de petite taille comparée à la mienne. Il l’avait pénétrée sans aucune difficulté, et vu son excitation, il agissait tel un TGV, il allait et venait à grande vitesse sans jamais s’enfoncer entièrement.
Pendant ce temps, elle se prenait les seins et les triturait en léchant ses tétons. Elle ne le quittait pas des yeux, elle se donnait l’air d’un chien battu, cela l’enflammait, elle était tellement excitante cette femme que son visage sera gravé dans sa mémoire à jamais. Le vieux Monsieur ralentit la cadence, pour s’enfoncer complètement en elle, ses mouvements devenaient moins rapides. Il ralentit encore jusqu’à ce qu’ils se retrouvent pubis contre pubis. Il était resté quelques secondes ainsi avant de se retirer et il présenta sa queue devant sa poitrine en se masturbant, elle lui suçait les couilles et le caressait l’entre cuisse, il lui ouvrit la bouche avec son pouce et gicla quatre jets de sperme entre les seins, elle lui prit sa verge et se l’enfila entre les lèvres jusqu’à ce qu’il ne bande plus. Elle venait de lui nettoyer la queue avec sa langue.
Le papi n’en revenait pas encore, lorsqu’elle se leva et lui fit une bise sur la bouche tout en me regardant, elle savait que j’observais. Depuis le début, je voulais intervenir afin de l’empêcher de faire l’amour à ce vieux bonhomme, mais elle venait de faire une très bonne action, ce sera probablement la dernière fois que cet homme de 75 ans prendra son pied de cette façon avec un canon pareil. Il en bavait encore et gardera dans ses pensée ce corps magnifique de ma chère et tendre épouse s’offrant à lui sans aucune retenue : « Merci mademoiselle, vous êtes tout simplement une splendeur, une déesse de l’amour. Jamais je ne vous oublierai. » Je me sentais tout bête, ma femme était devenue à cause de moi, une vraie salope. Je ne sais pas si elle a joui, je ne l’ai pas entendue crier mais elle avait su me donner une érection qu’il fallait maintenant assouvir avec Adèle qui était restée à mes côté pendant toute cette scène érotique, sensuelle et mémorable.
— Après le curé, elle me cocufie avec un vieux. Lili m’étonnera toujours.
Je me demande encore avec qui elle va bien baiser la prochaine fois.
— Pas du tout mon amour, je prends tellement de plaisir en pensant à toi que j’aurai pris ma revanche samedi prochain.
— Ah bon ! Pourquoi ?
— Parce qu’un curé, c’est insolite, mais samedi ce le sera encore plus. Crois-moi. Après, je te laisserai me reprendre comme tu le désireras. Je te le jure.
Ce fameux jour de kermesse était là, j’étais au stand de vente de gâteau avec Adèle car je ne devais plus m’approcher de Sophie, ma belle-mère. Je ne perdais pas au change, car Adèle, quoiqu’un peu forte était devenue ma maitresse et je ne perdais pas au change car c’était une femme très vicieuse avec laquelle je prenais beaucoup de plaisir.
Ma Lili d’amour avait fait fort, par ce magnifique après-midi très ensoleillé, du haut de ses vingt-trois ans, elle s’était vêtue uniquement d’un tout petit débardeur blanc arrivant juste au niveau de son nombril avec un large décolleté et de toutes petites bretelles, d’un mini short en jean bleu taillé au ciseau laissant voir la naissance de ses fesses et chaussée de baskets blanches en tissu. Elle avait le stand d’à côté qu’elle tenait où les enfants pouvaient admirer certains animaux de la ferme, avec Gérard le copain de Justine, une autre conquête à moi mais notre relation n’avait pas duré très longtemps. Adèle était passée par là en lui disant : « Chasse gardée. »
Elle donnait à manger aux animaux ou nettoyait le poney avec une grosse brosse dans les mains. Lorsqu’elle se baissait, les hommes pouvaient admirer sa poitrine compressée avec cette raie qui séparait ses deux seins sans soutien-gorge ou ses fesses qui tendait le tissu de son mini short. Elle n’hésitait pas à se dévoiler devant l’assistance, j’en bavait de jalousie. Toute l’après-midi, ce fut un défilé d’hommes accompagnant leur bambin, ils passaient et repassaient sans jamais se lasser du spectacle qu’elle leur offrait gratuitement. Certaines femmes jalouses de son corps magnifique, il faut le dire, venaient même rechercher leur mari en râlant après eux. Elle n’avait pas encore trouvé sa perle rare, et vint me l’annoncer. Bien sûre elle était déçue mais à une heure de la fermeture, elle me fit un signe. Il n’y avait plus grand monde à la kermesse et personne à son stand. J’aperçois alors un vieux monsieur, un septuagénaire avec un garçon de 10 ans à 12 ans que j’avais supposé être son petit-fils. Lili était radieuse, elle avait gardé ce vieil homme en haleine pendant près de 35 minutes. Lorsqu’elle caressait le poney, elle prenait son air le plus aguichant tout en le regardant, elle sortait un petit morceau de sa langue entre les deux lèvres, puis en donnant du grain aux poules, elle se frôlait au vieillard qui expliquait difficilement à son petit-fils ce qu’elle leur donnait à manger. Elle se pencha à son oreille, je n’avais pas entendu ce qu’elle lui avait dit mais cet homme était reparti et était de nouveau devant son stand quelques minutes plus tard. Cette fois, il était seul, son petit garçon était probablement retourné avec ses parents.
La fête étant finie, elle s’était dirigée vers la salle où se trouvait une salle d’eau équipée d’une douche. Elle avait pris le vieux Monsieur par la main et l’avait entrainé avec elle, il n’avait pas du tout refusé, ce vieux salaud, il pouvait ainsi la mater se laver, il était aux premières loges.
Sous l’eau douce qu’elle faisait couler sur elle, elle se massait la peau avec un savon en commençant par ses magnifiques seins un peu trop lourds pour son corps mince de jeune femme, qu’elle caressait délicieusement, sa langue passait sur ses lèvres en signe d’excitation. Elle avait sur le nombril, un piercing, un bijou à trois niveaux, formé de trois motifs allant d’une étoile, un cœur au milieu pour finir par un cercle, retenues entre eux par une petite chaine couleur argenté. Je lui avais offert pour nos fiançailles. Son sexe était surmonté d’une petite toison noire en triangle très bien entretenu. Son derrière était magique avec ses belles fesses bien galbées, sous la raie, il pouvait apercevoir son sexe dénudé de poil, laissant apparaitre la fente où s’écoulait l’eau de la douche qui ruisselait sur sa peau. Ses deux mains passaient et repassait sur ce corps de déesse s’attardant sur sa poitrine qu’elle resserrait faisant sortir les tétons gonflés de ses auréoles brunâtres.
Elle ouvrait légèrement la bouche qui laissait voir sa langue collée au palais derrière deux incisives blanches légèrement écartées. Elle continuait toujours à passer ses mains sur son corps en insistant maintenant sur ses fesses rebondies en faisant des mouvements circulaires avec une grande douceur. Elle reprit ses seins, les soupesant en les faisant remonter le plus haut qu’elle le pouvait, la bouche toujours à demi ouverte, elle appréciait ces instants. Une fois rincée, elle sortit de la douche, sa démarche était gracieuse. Elle passa sa grande serviette de bain dans son dos l’écartant avec ses deux mains et commença à s’essuyer les seins dont les deux tétons ne demandaient qu’à être tétés. Puis elle fit de même sur ses fesses pour finir sur son sexe, ses jambes et les pieds. Elle était splendide et prenait tout son temps, ce qui permettait au vieux Monsieur de l’admirer. Il avait rarement vu une telle beauté.
Elle se plaça devant le grand miroir et se regardait toujours en passant ses mains sur sa peau délicate et bronzée à souhait. Elle sortit de la salle de bain et vint vers lui l’embrasser, revêtu uniquement d’un soutien-gorge rouge et d’un string assorti. Il était assis sur un divan, elle s’agenouilla sur le coussin à côté et le prit par le cou. Il n’avait pu s’empêcher de mettre sa bouche sur cette poitrine qu’elle lui offrait en resserrant ses deux seins de ses mains. Elle lui serrait la tête contre elle, il avait la bouche mais également le nez dans cette poitrine généreuse. Ils s’embrassaient de nouveau, leurs langues virevoltaient dans leurs bouches. Elle dégrafa son soutien-gorge et laissa retomber sa lourde poitrine puis le septuagénaire prit un gros morceau d’un sein dans sa bouche et aspirait, il donnait l’impression de boire sa peau, il ressentait son téton, pendant que sa main droite lui massait l’autre sein. Elle avait la tête en arrière et ouvrait la bouche, la langue sortie s’humidifiait sa lèvre inférieure.
Elle voulait encore l’embrasser, voulant lui retirer son visage, elle happa mon pouce et le lui suça quelques instants en le fixant droit dans les yeux. Le vieux tout excité mimait des va et vient avec ce doigt entre ses lèvres, elle lui souriait, c’était très sensuel. Lorsqu’il passa sa main sur son sexe, elle était déjà prête et mouillée, elle se coucha sur le canapé, écartait les jambes ce qui eut pour effet d’écarter également ses grandes lèvres lui ouvrant ainsi sa chatte. Elle passa plusieurs fois sa main sur son vagin de bas en haut en s’attardant sur le clitoris qui sortit de sa protection. Elle s’enfila deux doigts qu’elle coulissa rapidement à l’intérieur de sa vulve mouillée à souhait, pendant qu’il baissait son pantalon et son slip. Lili lui demanda de la prendre tout de suite. Il s’était approché, elle passa ses mollets sur ses épaules, elle s’offrait à son sexe en érection totale mais de petite taille comparée à la mienne. Il l’avait pénétrée sans aucune difficulté, et vu son excitation, il agissait tel un TGV, il allait et venait à grande vitesse sans jamais s’enfoncer entièrement.
Pendant ce temps, elle se prenait les seins et les triturait en léchant ses tétons. Elle ne le quittait pas des yeux, elle se donnait l’air d’un chien battu, cela l’enflammait, elle était tellement excitante cette femme que son visage sera gravé dans sa mémoire à jamais. Le vieux Monsieur ralentit la cadence, pour s’enfoncer complètement en elle, ses mouvements devenaient moins rapides. Il ralentit encore jusqu’à ce qu’ils se retrouvent pubis contre pubis. Il était resté quelques secondes ainsi avant de se retirer et il présenta sa queue devant sa poitrine en se masturbant, elle lui suçait les couilles et le caressait l’entre cuisse, il lui ouvrit la bouche avec son pouce et gicla quatre jets de sperme entre les seins, elle lui prit sa verge et se l’enfila entre les lèvres jusqu’à ce qu’il ne bande plus. Elle venait de lui nettoyer la queue avec sa langue.
Le papi n’en revenait pas encore, lorsqu’elle se leva et lui fit une bise sur la bouche tout en me regardant, elle savait que j’observais. Depuis le début, je voulais intervenir afin de l’empêcher de faire l’amour à ce vieux bonhomme, mais elle venait de faire une très bonne action, ce sera probablement la dernière fois que cet homme de 75 ans prendra son pied de cette façon avec un canon pareil. Il en bavait encore et gardera dans ses pensée ce corps magnifique de ma chère et tendre épouse s’offrant à lui sans aucune retenue : « Merci mademoiselle, vous êtes tout simplement une splendeur, une déesse de l’amour. Jamais je ne vous oublierai. » Je me sentais tout bête, ma femme était devenue à cause de moi, une vraie salope. Je ne sais pas si elle a joui, je ne l’ai pas entendue crier mais elle avait su me donner une érection qu’il fallait maintenant assouvir avec Adèle qui était restée à mes côté pendant toute cette scène érotique, sensuelle et mémorable.
— Après le curé, elle me cocufie avec un vieux. Lili m’étonnera toujours.
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