Ma secrétaire et moi 3
Récit érotique écrit par Fauconnier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2015 dans la catégorie Fétichisme
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Ma secrétaire et moi 3
Ma secrétaire et moi.
Chapitre 3
Alors que le serveur nous quitte, ma secrétaire replace le bout de son pied contre mon pénis.
Je prend une gorgé de mon Dry Martini.
Martine m'accompagne tout en écrasant mon pénis de son pied.
« Je t'en prie, chérie, ne me pousse pas à bout. Je ne voudrais pas éjaculer dans mon pantalon alors que j'ai tant d'idées pour plus tard dans notre chambre. »
« Tu n'aimes pas que je mettre mon pied contre ton pénis? »
« Oui, chérie, j'adore ça : tu me rends tellement bien mais.....! »
Je prend une seconde gorgé et Martine aussi.
« Claude, tu me réserves quoi au juste quand nous serons de retour dans notre chambre? »
« Je veux te sodomiser et de force s'il le faut! »
« Tu sais bien que tu n'as jamais été obligé d'utiliser la force avec moi, mais pour ce qui est de la sodomie, j'en ai très peur. J'ai peur que ton immense pénis me fasse très mal quand tu va forcer mon sphincter. »
Nous prenons une troisième gorgé de notre drink.
« Je sais, chérie, que je vais te faire très mal quand je vais te sodomiser, mais je sais aussi que tu vas accepter de souffrir pour me permettre de réaliser sur toi un fantasme qui me hante depuis des années. »
« Claude, sois franc avec moi, tu as déjà sodomisé ta femme? »
« Jamais! »
« Une autre femme que moi? »
« Non plus! »
« Un homme, alors? »
« Chérie........! »
« Tu as déjà sodomisé un homme? »
Je prend une dernière gorgé de mon drink et je dépose mon verre vide sur la table; Martine en fait autant.
« Tu veux un autre Dry Martini? »
« Non chéri! Claude, tu as déjà sodomisé un homme? »
« Nom, Martine, mais j'ai déjà été..............! »
« Tu as déjà été sodomisé par un homme? »
« Oui, Martine, par plus d'un homme! »
« Ça fait longtemps de ça? »
« Il y a environ dix ans. »
« C'était bien avant que je ne devienne ta secrétaire et ton amante? »
« Bien sur, Chérie! »
« Tu as été forcé? »
« Oui et non. »
« Comment ça, oui et non? »
« J'étais dans un cinéma porno quand j'ai été accosté par un homme. J'étais debout à l'arrière du cinéma lorsqu'un homme a frôlé sa jambe droite contre ma jambe gauche. Évidemment son geste m'a excité et l'homme la deviné. Il m'a alors demandé de descendre avec lui dans les toilettes. »
« Tu as accepté de la suivre? »
« Oui, j'ai accepté de le suivre et je suis descendu devant lui dans les toilettes des hommes. »
« Chérie, cet homme ne pouvait quand même pas te sodomiser sans ton consentement? »
« Sachant très bien que cet homme voulait avoir une relation sexuelle avec moi, je ne me suis pas méfié et je me suis dirigé vers un urinoir. J'ai baissé le fermoir éclair de la braguette de mon pantalon, j'ai sorti mon pénis et j'ai fait semblant d'uriner. À cet instant, deux hommes m'ont pris par les poignets et ils m'ont ramené les bras derrière mon dos de sorte que même si j'aurais voulu résister, ils m'auraient disloquer les bras de mes épaules. Je n'ai donc pas résister. Ils m'ont forcé à les accompagner dans une pièce attenante à la salle des toilettes et là, un homme s'est placé devant moi et m'a dit :
« Regarde ce que je tiens dans mes mains. »
« Il tenait son pénis : il était monstrueux autant par sa longueur que par sa grosseur. J'ai pensé : il ne va pas m'obliger à le sucer? »
« Je vais t'enculer et il serait préférable pour toi que tu ne résistes pas. »
« Non, vous n'allez pas m'enculer? »
Cet homme à détaché ma ceinture et le bouton du haut de mon pantalon tandis qu'un homme placé derrière moi, baissait mon pantalon jusqu'à ce qu'il choit par terre puis mon caleçon. Il m'a demandé de dégager mes pieds de mon pantalon et de mon caleçon puis d'écarter mes jambes.
J'ai fait ce qu'il me demandait.
Les hommes qui me tenaient par les bras m'obligèrent à me pencher vers l'avant. L'homme au pénis monstrueux est venu se placer derrière moi, il m'a écarté les fesses, il a pointé le gland de son pénis sur mon sphincter et il a poussé. J'ai senti les muscles de mon sphincter commencer à se dilater. L'homme poussait de plus en plus et la douleur était de plus en plus vive.
« Arrêtez, je ne serai jamais capable de supporter la douleur de votre monstrueux pénis qui force mon sphincter. »
L'homme ne dit pas un mot.
L'homme continue à pousser jusqu'à ce que je sente que son gland a franchi la résistance des muscles de mon sphincter et qu'il se trouve à l'intérieur de mes entrailles. Il me dit :
« Raidit tes jambes. »
J'obtempère tandis que les deux hommes qui me tiennent se collent contre moi pour éviter que je fasse tout mouvement.
D'un violent coup de rein, il propulse en entier son monstre du pénis au fond de mes entrailles.
Je ne peux retenir un cri de douleur :
« Aaaiiiiiiieeeeeeeee! »
Nu été des hommes qui me tenaient, je me serais surement effondré par terre avec le pénis de l'homme dans mes entrailles. Une fois bien au fond de mes entrailles, l'homme a passer ses bras autour de mes hanches et tout en me tenant solidement, il s'est propulsé à nouveau dans mes entrailles.
Je ne peux retenir un second cri de douleur :
« Aiiieeeeeeeeeeeee! »
L'homme a alors commencé des mouvements de va et vient avec une ardeur démentielle : il se retirait presque entièrement de mes entrailles pour ensuite y replonger avec toute la force dont il était capable. Je souffrais énormément et ses mouvements me brulaient l'intérieur de mes entrailles. Mon supplice s'est finalement terminé quand j'ai senti qu'il éjaculait dans mes entrailles. Il a alors enlevé ses bras d'autour de mon bassin et il s'est retiré de mes entrailles avec du sperme toujours présent au bout de son pénis.
Alors que je pensais mon supplice terminé, un autre homme dont le pénis me semblait beaucoup moins gros s'est servi du sperme de son acolyte comme lubrifiant. Ça été beaucoup moins douloureux : même que je pourrais dire qu'il m'a fait jouir du cul. À son tour, il a éjaculé dans mes entrailles »
« Je te savais vicieux, mon Claude, mais pas à ce point là? »
« Martine, je ne te connaissais pas à cette époque et j'étais réellement en manque de sexe. »
« Ta femme? »
« Ma femme ne m'excitait plus et nous n'avions plus de relations sexuelles. »
« Tu t'es tourné vers des hommes? »
« Vers des prostitués en premier puis quand l'argent m'a manqué, je me suis tourné vers des hommes dans des Peep Show et dans des cinémas pornos. »
« Chéri, tout ce que tu viens de me dire m'excite au plus haut point. Pourquoi ne m'as-tu pas fait cette demande de me sodomiser avant aujourd'hui? Je suis ta secrétaire depuis cinq ans et ton amante depuis environ trois ans!»
« Je sais bien, Martine! »
« Je ne faisais pas tout ce que tu me demandais à cette époque? »
« Oui, Martine, mais je n'aurais jamais été capable de te demander de me permettre de te sodomiser après le mal que j'ai ressenti quand je l'ai été? »
« Tu m'as bien demandé, lors d'un congrès à St-Sauveur, de coucher avec une autre femme, une prostituée, et j'ai même accepter ta demande! Tu t'es masturbé en nous regardant faire l'Amour!»
« Oui, je me suis masturbé et j'ai même éjaculé sur ton visage. C'était la première fois que je te voyais jouir à ce point; tu ne tenais plus en place sur le lit tellement l'autre femme te faisait jouir. »
« Oui, cette femme m'a fait jouir comme jamais je n'ai joui avant de te connaître et même depuis que je te connais, chéri! »
Tout en parlant, Martine baisse jusqu'à sa cheville, le bas de nylon de sa jambe gauche, elle lève sa jambe et dépose son pied sur mes cuisses.
« Claude, je mouille de la chatte : retire mon soulier. »
Je retire son soulier.
« Porte le à ton nez et sent le. »
« Chérie.....? »
« Chéri, porte mon soulier à ton nez et hume le, je te l'ordonne! »
Je prend le soulier de mon amante de ma main droite et je le porte à mon nez du coté intérieur et j'en hume l'odeur sublime.
Martine lève un peu plus son pied gauche de sorte que le bout de ses orteils soient visibles du dessus de la table.
« Chéri, enlève mon bas! »
Je retire son bas.
Le vernis rouge de ses ongles d'orteil du pied nu de Martine tranche avec le blanc de la nappe de la table.
Bien sur, notre serveur se rend compte de notre manège.
« Tout en continuant à humer l'odeur de mon soulier, mets le pied de mon bas dans ta bouche et suce-le. »
Étant trop excité pour réaliser tout ce que je faisais, je met le pied du bas de Martine dans ma bouche et je le suce.
Maintenant, enlève mon bas de ta bouche, penche ta tête, lèche le bout de mes orteils, suce les et met le devant de mon pied gauche dans ta bouche. »
« Martine, pas ici? Quelqu'un pourrait venir et nous voir! »
« Claude chéri, notre serveur nous regarde déjà depuis quelque temps et c'est à cette condition que je vais accepter de me laisser sodomiser par toi ou par notre serveur si tu préfères?. »
« Martine, ton cul, je me le réserve et je n'accepterai jamais que quelqu'un d'autre l'utilise. »
« Très bien chéri! »
Sachant que notre serveur nous regarde, je lui fais signe de venir.
Tout en le voyant se diriger vers nous, je fais ce que Martine me demande de faire : ma main droite prend le talon de son pied gauche et je le lève de sorte que la moitié de son pied droit soit au dessus de la table pour commencer à exciter notre serveur qui s'approche. Tout en continuant à huer son soulier, je penche ma tête, je passe ma langue sur le bout de ses orteils avant de les sucer avidement une à une et d'introduire le devant de son pied gauche dans ma bouche pour le sucer au moment où notre serveur arrive à nous.
Martine se laisse aller contre le dos de son fauteuil..
« Comme tu fais bien ça, mon chéri! »
« Martine, tu sais que je fantasme sur tes magnifiques pieds et que je suis prêt à faire n'importe quelle sottise pour que tu me laisses les honorer. Garçon, vous aimeriez honorer les pieds de mon amante?»
« Monsieur, de si beaux pieds, je serais presque prêt à perdre mon emploi pour les honorer! »
« Je ne veux pas que vous perdiez votre emploi, mais je vous offre de venir nous retrouver dans notre chambre à la fin de votre chiffre. »
« Monsieur, j'accepte votre proposition avec le plus grand des plaisirs. «
« Bien, jeune homme, vous allez m'apportez un second Dry Martini sur glace alors que ma chérie va se diriger à notre chambre pour se préparer à une nuit qui sera inouubliable pour nous trois. Tu es d'accord, ma chérie? »
« Bien sur que je suis d'accord, Claude chéri, mais avant, je veux que tu donnes mes souliers à ce jeune homme pour qu'il me les mette aux pieds. Vous êtes d'accord, jeune homme? »
« Madame, ça me ferait tellement plaisir! »
Claude tend mes souliers à notre serveur et après les avoir passé sous son nez, il se met à genoux devant moi, il me prend le pied droit et enfile mon soulier dans mon pied, puis il prend mon pied gauche qui est nu, il le porte à sa bouche et me baise le dessus du pied et les orteils avant d'enfiler mon pied dans mon soulier.
« Garçon, vous faites bien ça; j'espère que vous serez aussi performant quand nous nous verrons un peu plus tard! »
Je me lève en même temps que le serveur et je lui dis :
« À bientôt! »
« À bientôt, Madame. »
« Claude ne te presse pas pour prendre ton second Dry Martini, je vais me préparer à te recevoir et je vais t'accorder ce que tu désires depuis si longtemps. A bientôt, chéri! »
« Je t'aime, mon amour. »
Martine quitte pour sa chambre.
Chapitre 3
Alors que le serveur nous quitte, ma secrétaire replace le bout de son pied contre mon pénis.
Je prend une gorgé de mon Dry Martini.
Martine m'accompagne tout en écrasant mon pénis de son pied.
« Je t'en prie, chérie, ne me pousse pas à bout. Je ne voudrais pas éjaculer dans mon pantalon alors que j'ai tant d'idées pour plus tard dans notre chambre. »
« Tu n'aimes pas que je mettre mon pied contre ton pénis? »
« Oui, chérie, j'adore ça : tu me rends tellement bien mais.....! »
Je prend une seconde gorgé et Martine aussi.
« Claude, tu me réserves quoi au juste quand nous serons de retour dans notre chambre? »
« Je veux te sodomiser et de force s'il le faut! »
« Tu sais bien que tu n'as jamais été obligé d'utiliser la force avec moi, mais pour ce qui est de la sodomie, j'en ai très peur. J'ai peur que ton immense pénis me fasse très mal quand tu va forcer mon sphincter. »
Nous prenons une troisième gorgé de notre drink.
« Je sais, chérie, que je vais te faire très mal quand je vais te sodomiser, mais je sais aussi que tu vas accepter de souffrir pour me permettre de réaliser sur toi un fantasme qui me hante depuis des années. »
« Claude, sois franc avec moi, tu as déjà sodomisé ta femme? »
« Jamais! »
« Une autre femme que moi? »
« Non plus! »
« Un homme, alors? »
« Chérie........! »
« Tu as déjà sodomisé un homme? »
Je prend une dernière gorgé de mon drink et je dépose mon verre vide sur la table; Martine en fait autant.
« Tu veux un autre Dry Martini? »
« Non chéri! Claude, tu as déjà sodomisé un homme? »
« Nom, Martine, mais j'ai déjà été..............! »
« Tu as déjà été sodomisé par un homme? »
« Oui, Martine, par plus d'un homme! »
« Ça fait longtemps de ça? »
« Il y a environ dix ans. »
« C'était bien avant que je ne devienne ta secrétaire et ton amante? »
« Bien sur, Chérie! »
« Tu as été forcé? »
« Oui et non. »
« Comment ça, oui et non? »
« J'étais dans un cinéma porno quand j'ai été accosté par un homme. J'étais debout à l'arrière du cinéma lorsqu'un homme a frôlé sa jambe droite contre ma jambe gauche. Évidemment son geste m'a excité et l'homme la deviné. Il m'a alors demandé de descendre avec lui dans les toilettes. »
« Tu as accepté de la suivre? »
« Oui, j'ai accepté de le suivre et je suis descendu devant lui dans les toilettes des hommes. »
« Chérie, cet homme ne pouvait quand même pas te sodomiser sans ton consentement? »
« Sachant très bien que cet homme voulait avoir une relation sexuelle avec moi, je ne me suis pas méfié et je me suis dirigé vers un urinoir. J'ai baissé le fermoir éclair de la braguette de mon pantalon, j'ai sorti mon pénis et j'ai fait semblant d'uriner. À cet instant, deux hommes m'ont pris par les poignets et ils m'ont ramené les bras derrière mon dos de sorte que même si j'aurais voulu résister, ils m'auraient disloquer les bras de mes épaules. Je n'ai donc pas résister. Ils m'ont forcé à les accompagner dans une pièce attenante à la salle des toilettes et là, un homme s'est placé devant moi et m'a dit :
« Regarde ce que je tiens dans mes mains. »
« Il tenait son pénis : il était monstrueux autant par sa longueur que par sa grosseur. J'ai pensé : il ne va pas m'obliger à le sucer? »
« Je vais t'enculer et il serait préférable pour toi que tu ne résistes pas. »
« Non, vous n'allez pas m'enculer? »
Cet homme à détaché ma ceinture et le bouton du haut de mon pantalon tandis qu'un homme placé derrière moi, baissait mon pantalon jusqu'à ce qu'il choit par terre puis mon caleçon. Il m'a demandé de dégager mes pieds de mon pantalon et de mon caleçon puis d'écarter mes jambes.
J'ai fait ce qu'il me demandait.
Les hommes qui me tenaient par les bras m'obligèrent à me pencher vers l'avant. L'homme au pénis monstrueux est venu se placer derrière moi, il m'a écarté les fesses, il a pointé le gland de son pénis sur mon sphincter et il a poussé. J'ai senti les muscles de mon sphincter commencer à se dilater. L'homme poussait de plus en plus et la douleur était de plus en plus vive.
« Arrêtez, je ne serai jamais capable de supporter la douleur de votre monstrueux pénis qui force mon sphincter. »
L'homme ne dit pas un mot.
L'homme continue à pousser jusqu'à ce que je sente que son gland a franchi la résistance des muscles de mon sphincter et qu'il se trouve à l'intérieur de mes entrailles. Il me dit :
« Raidit tes jambes. »
J'obtempère tandis que les deux hommes qui me tiennent se collent contre moi pour éviter que je fasse tout mouvement.
D'un violent coup de rein, il propulse en entier son monstre du pénis au fond de mes entrailles.
Je ne peux retenir un cri de douleur :
« Aaaiiiiiiieeeeeeeee! »
Nu été des hommes qui me tenaient, je me serais surement effondré par terre avec le pénis de l'homme dans mes entrailles. Une fois bien au fond de mes entrailles, l'homme a passer ses bras autour de mes hanches et tout en me tenant solidement, il s'est propulsé à nouveau dans mes entrailles.
Je ne peux retenir un second cri de douleur :
« Aiiieeeeeeeeeeeee! »
L'homme a alors commencé des mouvements de va et vient avec une ardeur démentielle : il se retirait presque entièrement de mes entrailles pour ensuite y replonger avec toute la force dont il était capable. Je souffrais énormément et ses mouvements me brulaient l'intérieur de mes entrailles. Mon supplice s'est finalement terminé quand j'ai senti qu'il éjaculait dans mes entrailles. Il a alors enlevé ses bras d'autour de mon bassin et il s'est retiré de mes entrailles avec du sperme toujours présent au bout de son pénis.
Alors que je pensais mon supplice terminé, un autre homme dont le pénis me semblait beaucoup moins gros s'est servi du sperme de son acolyte comme lubrifiant. Ça été beaucoup moins douloureux : même que je pourrais dire qu'il m'a fait jouir du cul. À son tour, il a éjaculé dans mes entrailles »
« Je te savais vicieux, mon Claude, mais pas à ce point là? »
« Martine, je ne te connaissais pas à cette époque et j'étais réellement en manque de sexe. »
« Ta femme? »
« Ma femme ne m'excitait plus et nous n'avions plus de relations sexuelles. »
« Tu t'es tourné vers des hommes? »
« Vers des prostitués en premier puis quand l'argent m'a manqué, je me suis tourné vers des hommes dans des Peep Show et dans des cinémas pornos. »
« Chéri, tout ce que tu viens de me dire m'excite au plus haut point. Pourquoi ne m'as-tu pas fait cette demande de me sodomiser avant aujourd'hui? Je suis ta secrétaire depuis cinq ans et ton amante depuis environ trois ans!»
« Je sais bien, Martine! »
« Je ne faisais pas tout ce que tu me demandais à cette époque? »
« Oui, Martine, mais je n'aurais jamais été capable de te demander de me permettre de te sodomiser après le mal que j'ai ressenti quand je l'ai été? »
« Tu m'as bien demandé, lors d'un congrès à St-Sauveur, de coucher avec une autre femme, une prostituée, et j'ai même accepter ta demande! Tu t'es masturbé en nous regardant faire l'Amour!»
« Oui, je me suis masturbé et j'ai même éjaculé sur ton visage. C'était la première fois que je te voyais jouir à ce point; tu ne tenais plus en place sur le lit tellement l'autre femme te faisait jouir. »
« Oui, cette femme m'a fait jouir comme jamais je n'ai joui avant de te connaître et même depuis que je te connais, chéri! »
Tout en parlant, Martine baisse jusqu'à sa cheville, le bas de nylon de sa jambe gauche, elle lève sa jambe et dépose son pied sur mes cuisses.
« Claude, je mouille de la chatte : retire mon soulier. »
Je retire son soulier.
« Porte le à ton nez et sent le. »
« Chérie.....? »
« Chéri, porte mon soulier à ton nez et hume le, je te l'ordonne! »
Je prend le soulier de mon amante de ma main droite et je le porte à mon nez du coté intérieur et j'en hume l'odeur sublime.
Martine lève un peu plus son pied gauche de sorte que le bout de ses orteils soient visibles du dessus de la table.
« Chéri, enlève mon bas! »
Je retire son bas.
Le vernis rouge de ses ongles d'orteil du pied nu de Martine tranche avec le blanc de la nappe de la table.
Bien sur, notre serveur se rend compte de notre manège.
« Tout en continuant à humer l'odeur de mon soulier, mets le pied de mon bas dans ta bouche et suce-le. »
Étant trop excité pour réaliser tout ce que je faisais, je met le pied du bas de Martine dans ma bouche et je le suce.
Maintenant, enlève mon bas de ta bouche, penche ta tête, lèche le bout de mes orteils, suce les et met le devant de mon pied gauche dans ta bouche. »
« Martine, pas ici? Quelqu'un pourrait venir et nous voir! »
« Claude chéri, notre serveur nous regarde déjà depuis quelque temps et c'est à cette condition que je vais accepter de me laisser sodomiser par toi ou par notre serveur si tu préfères?. »
« Martine, ton cul, je me le réserve et je n'accepterai jamais que quelqu'un d'autre l'utilise. »
« Très bien chéri! »
Sachant que notre serveur nous regarde, je lui fais signe de venir.
Tout en le voyant se diriger vers nous, je fais ce que Martine me demande de faire : ma main droite prend le talon de son pied gauche et je le lève de sorte que la moitié de son pied droit soit au dessus de la table pour commencer à exciter notre serveur qui s'approche. Tout en continuant à huer son soulier, je penche ma tête, je passe ma langue sur le bout de ses orteils avant de les sucer avidement une à une et d'introduire le devant de son pied gauche dans ma bouche pour le sucer au moment où notre serveur arrive à nous.
Martine se laisse aller contre le dos de son fauteuil..
« Comme tu fais bien ça, mon chéri! »
« Martine, tu sais que je fantasme sur tes magnifiques pieds et que je suis prêt à faire n'importe quelle sottise pour que tu me laisses les honorer. Garçon, vous aimeriez honorer les pieds de mon amante?»
« Monsieur, de si beaux pieds, je serais presque prêt à perdre mon emploi pour les honorer! »
« Je ne veux pas que vous perdiez votre emploi, mais je vous offre de venir nous retrouver dans notre chambre à la fin de votre chiffre. »
« Monsieur, j'accepte votre proposition avec le plus grand des plaisirs. «
« Bien, jeune homme, vous allez m'apportez un second Dry Martini sur glace alors que ma chérie va se diriger à notre chambre pour se préparer à une nuit qui sera inouubliable pour nous trois. Tu es d'accord, ma chérie? »
« Bien sur que je suis d'accord, Claude chéri, mais avant, je veux que tu donnes mes souliers à ce jeune homme pour qu'il me les mette aux pieds. Vous êtes d'accord, jeune homme? »
« Madame, ça me ferait tellement plaisir! »
Claude tend mes souliers à notre serveur et après les avoir passé sous son nez, il se met à genoux devant moi, il me prend le pied droit et enfile mon soulier dans mon pied, puis il prend mon pied gauche qui est nu, il le porte à sa bouche et me baise le dessus du pied et les orteils avant d'enfiler mon pied dans mon soulier.
« Garçon, vous faites bien ça; j'espère que vous serez aussi performant quand nous nous verrons un peu plus tard! »
Je me lève en même temps que le serveur et je lui dis :
« À bientôt! »
« À bientôt, Madame. »
« Claude ne te presse pas pour prendre ton second Dry Martini, je vais me préparer à te recevoir et je vais t'accorder ce que tu désires depuis si longtemps. A bientôt, chéri! »
« Je t'aime, mon amour. »
Martine quitte pour sa chambre.
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