Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 2
Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 2
Je lâche son manche et me recule précipitamment, je me rapproche, prends une serviette et la pose sur son bas-ventre pour le cacher. Mais c’est encore pire, la serviette forme comme un tipi tellement son mandrin en pleine érection est dur et bien dressé à la verticale. Je ne sais pas si c'est dû à son handicap mais quand il bande ça dure très longtemps. Il peut rester comme ça pratiquement une demi-heure avant que très doucement son organe redevienne à une taille plus normale.
Pour me changer les idées et redescendre dans les tours, je lui lave les jambes, tout en évitant de trop m’approcher de ce sexe incroyable, mais je ne peux m'empêcher de jeter de nombreux regards en coin à ce mat dressé à peine caché par la serviette. C’est encore plus érotique tellement c’est subjectif et j'ai du mal à me concentrer sur ce que je fais.
Suite :
Je suis même si peu concentrée que je suis surprise en constatant qu’une de mes mains a glissé vers son entre jambe et touche la base de sa hampe. Je n’y tiens plus et pose mes doigts sur sa queue, remonte la main sur le très long tuyau… Mon dieu quel gourdin !
Je le caresse, pensant à ce que je pourrais faire avec un tel engin, il est si gros qu’il pourrait me déchirer ma petite chatte. Je prends une de ses mains et serre ses doigts à la base de la hampe. Je me recule et peut admirer la vision de ce piquet de tente érigé au centre de son corps.
Je me suis tellement rapprochée que son énorme gourdin est maintenant à quelques centimètres de mon visage. Malgré un peu d’appréhension devant cette monstrueuse queue, je ne vais pas me dégonfler et décide de voir si Jocelyn réagira encore plus à une autre sollicitation. Je passe ma langue à la base de sa teub, la lèche et remonte tout le long de la hampe majestueuse vers son gland pas complètement décalotté. Je serre ma main et la descend pour mettre au jour cette énorme fraise mûre, ouvre ma petite bouche et tente de prendre son gland entre mes lèvres, il est si gros que je dois écarter mes mâchoires au maximum. Sa grosse quetsche me déforme la bouche comme jamais. Il me faut un certain temps pour prendre petit à petit la mesure de ce gourdin et tenter de lui prodiguer une belle fellation. Je reprends entre mes lèvres son gland massif, j'ai des difficultés à prendre en bouche cette verge si longue que je n'en goûte que les premiers centimètres. Je rencontre des difficultés à faire tourner ma langue autour d’un tel phallus. Comme je veux varier mon seul plaisir, j’enlève mon soutien-gorge et fais glisser son manche entre mes seins.
-Que fais-tu Nina ? Ooohhh !
Ma sœur vient d'entrer dans la pièce et m’a surprise dans cette drôle de position. Pendant un instant, je ne sais que faire. Oh et puis tant pis... Je reprends mon activité sous le regard de ma sœur horrifiée. Mais je vois bien que ça lui fait de l'effet car elle a glissé sa main droite sous sa jupe. D'un regard je l’incite à venir me rejoindre. Il ne lui faut pas longtemps avant qu'elle décide elle aussi de venir jouer avec le beau sexe de notre cousin. L'avantage avec lui c'est qu'il peut rester en érection pendant pratiquement un temps infini. Sa teub passe de mains en mains et de bouche en bouche. Ma sœur a encore plus de difficultés que moi à emboucher un tel calibre.
Pendant des jours nous nous amusons, si l'on peut le concevoir ainsi, ou plutôt nous travaillons pour que notre cousin redevienne comme avant. Nous avons remarqué que son regard vide a pris de l'éclat. On dirait que nos petites séances portent leurs fruits.
Dans l'espoir de le voir se rétablir plus vite, nous venons habillées en tenue de plus en plus légère et provocante. Nous voyons son regard s’allumer et suivre nos silhouettes en partie dénudées. Ce stratagème imparable porte ces fruits. Il suffit que nous posions une main sur son bas-ventre pour que sa queue se mette à grossir et qu’il cligne des yeux d'approbation.
(Jocelyn ; 😉 😉 😉, Il n’y a pas que ma queue qui se réveille, j’éprouve un plaisir infini qui doucement me ramène à la vie aux sollicitations de mes cousines)
Nos mains savonneuses vont et viennent sur ses couilles, glissent vers son anus, puis reviennent vers sa queue, pour aller et venir de concert sur tout son long. L'avantage avec Jocelyn, c'est que son pénis est si long que nos mains où nos bouches ont largement de quoi faire.
Ce n'est plus une toilette, mais une masturbation suivie d’une fellation dans les règles...
Nous insistons sur son organe en érection sans jamais réussir à le faire éjaculer. Nous décidons donc de passer à une étape supérieure. Alice me propose comme si c’était évident :
- Nina, Tu vas le chevaucher et t'empaler sur son manche de pioche. Moi je ne pourrai jamais y arriver.
Je me présente de face, Je passe une jambe au-dessus de lui et m'installe à califourchon sur son corps... Je suis positionnée au-dessus de son sexe, le saisis d'une main, le dirige vers ma vulve et m’assois complètement dessus... La pénétration est difficile, je vais et viens de plus en plus loin sur son mandrin, j'ai vraiment mal mais la douleur se transforme vite en plaisir. Mais ma sœur m'ordonne de me retourner pour le chevaucher en posant mes mains sur ses cuisses. Je ne sais pas si certaines d'entre vous ont tenté cette position avec un pieu aussi énorme dans la chatte, mais c'est pour moi une manœuvre des plus délicates. Je me pilonne maintenant avec fureur comme pour m'achever, les cris de plaisir s'échappent de mes lèvres dans un flot ininterrompu.
(Jocelyn ; 😉 😉 😉. J'ai comme de l'électricité qui me dévore le bas- ventre, ou plutôt la pine. Je réalise que les sensations que je ressens depuis plusieurs jours me font le plus grand bien. Je bande comme un âne et ce n'est pas sans raison. Mon cerveau vient de se rallumer un peu plus. J’ai la vision de Nina complètement nue en train de pratiquer l'équitation sur mon corps. Je suis le destrier et ma bite sert de selle.
Ma propre cousine et en train de se donner de plaisir en se pénétrant avec ma teub. J'en éprouve un plaisir fou, déjà de voir ma cousine s'activer avec plaisir sur mon corps, mais surtout de ressentir les terminaisons nerveuses de mon sexe éclater dans mon cerveau. Je n'ai pas encore l'électricité à tous les étages mais c'est un incommensurable plaisir de ressentir enfin quelque chose dans ce corps qui est ma prison depuis tant de jours. Je ne maîtrise pas mon corps et malgré le plaisir que j'éprouve, je n'arrive pas à atteindre l'orgasme pour le plus grand plaisir de ma cousine Nina. Ma teub est comme une entité libre que je ne commande plus. J’ai déjà connu des filles, mais je n'ai jamais pu garder une érection aussi longue. Je suis comme un homme frapper de priapisme. Je ne suis plus qu’un garçon avec une verge qui ne veut plus débander.
Qui plus est, je vois en même temps sa belle poitrine qui remue dans tous les sens, ce qui renforce mon excitation...)
Chaque jour, mes cousines arrivent dans la chambre en petite nuisette ou en petite culotte légère pour m'exciter. Sous les nuisettes, des soutiens gorges aussi très légers (quand elles en portent) laissent apparaître les mamelons et les tétons par transparence…
Je ne peux pas dire que cette vue me déplait... Mais je ne peux rien dire, ni protester, encore moins bouger...
Mais si je ne peux bouger, contrairement à ce qu'elles croient, je ressens tout ! Mon épiderme a repris toute sa sensibilité. Je suis prisonnier dans mon corps mais je ressens avec un immense plaisir toutes leurs attentions les plus généreuses pour ne pas dire érotiques. Je ne comprends pas pourquoi il n'y a que Nina qui profite de mes bonnes dispositions pour se donner du plaisir.
Un nouveau sens vient de se rallumer en plus de la vision, j'entends maintenant tout ce qui se passe dans la pièce et c'est édifiant. J’apprends ainsi un secret qu’Alice avait bien gardé.
(Alice)
-Il faut que je t'avoue Nina, je suis encore vierge. Je peux à peine introduire un doigt dans ma chatte tellement c’est douloureux pour moi. Je suis allée consulter une gynécologue qui m'a dit que ça s'appelait du vaginisme. Ce n'est pas que je n'aurais pas envie de profiter de Jocelyn et de son chibre, mais tu comprends qu'avec mes problèmes et avec la taille de sa verge, c'est inenvisageable pour moi.
La réponse de ma sœur me choque.
-Si tu ne peux pas introduire son manche dans ton vagin, mets-le-toi dans le cul.
Je suis abasourdie mais n'ai qu'une peur : que ça ne soit pas vraiment agréable. Mais peut être qu'en faisant cela j'arriverai peut-être à dépasser mon blocage.
C'est là que Nina dépasse les bornes... Elle quitte non sans un petit regret sa cavalcade sur le sexe de mon cousin, se redresse et vient vers moi, porte les mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge puis retire ma petite culotte. Heureusement que mon cousin ne se rend compte de rien car je n'aurais jamais osé me dénuder complètement devant lui. Ma sœur va chercher un tube de vaseline puis passe une main entre mes cuisses pour graisser abondamment mon anus et y introduire un doigt, puis deux.
Je suis aussi pucelle du cul que de la chatte. Nina me force à chevaucher Jocelyn dont la tige n'a pas perdu un centimètre d’érection. C'est à se demander si la vue lui plait.
Malgré mes appréhensions je me laisse descendre et mes fesses entrent en contact avec la matraque érigée par ma sœur. Elle promène le gland dans le sillon fessier avant de le pointer sur mon sphincter. Je sens cette chose dure appuyer à cet endroit. Ma sœur appuie sur mes reins de plus en plus fort et malgré ma résistance, je ne peux empêcher le bout du manche de se frayer un chemin. Je ne peux pas dire que les choses soient des plus agréables mais je ne peux rien faire d'autre que serrer les dents et desserrer mon cul. Je me lâche soudain laissant se détendre mon anus qui accepte enfin de céder devant l’intrus. Après un instant de douleur et d'adaptation, je ressens pour la première fois un plaisir intense, comme une sorte de plénitude. J’ai été à bonne école en regardant faire ma sœur et maintenant, comme une grande, je m'explose après un temps d’adaptation l’arrière-train sur ce défonce-cul infatigable.
(Jocelyn)
Mon excitation est à son comble et le gonflement de ma verge aussi de les sentir se délecter du spectacle que je leur offre bien malgré moi à cause du flux sanguin qui gonfle mon sexe et que je ne peux contrôler. Nina ne veut pas rester inactive. La sensation de ses mains parcourant ma verge et mes testicules est incroyable. Entre Alice qui se poignarde le cul sur mon chibre et Nina qui me triture sans cesse les couilles, je suis prêt à exploser.
Je suis dans l'impossibilité totale de refuser tout ce qu'elles me font subir et de toute façon je ne le refuserais pas tellement les sensations ressenties sont merveilleuses.
Je me délecte du spectacle offert. Nina me chatouille dessous les testicules tout en s'amusant à faire ressortir mon gland du cul de sa sœur pour l'enduire de sa salive et de le faire replonger à nouveau dans cette grotte sombre. On dirait qu'elle aime jouer de la sorte avec le bout de ma queue pensant que moi aussi je devrais surement apprécier et qu'elle finira bien par me faire lâcher un son.
Je ferme les yeux pour essayer de vider ma tête... Mais ses mains sont si expertes !
Je sens ma queue sur le bord d'exploser ...
(Alice)
Une sensation incroyable me noue les tripes. J’éprouve un plaisir indicible à me pourfendre sur le bâton dressé de mon cousin. Je suis si détendue que je ne me rends même pas compte que ma sœur Nina vient d'introduire un de ses doigts dans mon vagin. Instinctivement je resserre mes muscles vaginaux et emprisonne son doigt. Mais le plaisir est si grand que je me détends et que la main de Nina s'active dans ma grotte. Je réalise soudain que ce plaisir intense me permet de me lâcher.
-Tu vois Alice, ce n'est pas si difficile que ça. Maintenant il faut que tu surmontes tes appréhensions et essaies par toi-même.
Je suis un peu indécise mais qu'est-ce que je risque ? Je fais ressortir la totalité de la teub de Jocelyn d'entre mes fesses, saisis la bête et la présente à l'entrée de mon intimité. J’essaie plusieurs fois de faire entrer cette grosse prune entre mes lèvres intimes mais n'y parviens pas. Au bout de deux centimètres, je me ressers tellement que même un crayon ne pourrait s'y introduire.
Je suis triste mais je veux vaincre ce handicap.
Pendant les jours suivants, je m'arrange pour être seule avec Jocelyn et me remets à l'ouvrage. J’arrive enfin après plus d'une semaine d'efforts et d’innombrables essais à réussir à introduire le gland de Jocelyn dans ma chatte. Avec quelques jours de persévérance supplémentaires, j'arrive à faire buter l'extrémité de son sexe sur mon hymen toujours intact. Ce contact fait revenir aussitôt mes mauvaises pensées et mes muscles se resserrent inexorablement sur l'intrus l'empêchant de s'introduire plus loin.
Cela fait maintenant plus de dix fois que j'arrive à ce stade mais ça ne peut plus durer ainsi. Je suis de nouveau dans cette position et avec un peu de volonté, pour cette fois, je me laisse retomber de tout mon poids sur le corps de mon cousin, me pourfendant plus que de raison et perdant ainsi mon pucelage.
La douleur et assez violente, il a dû me pourfendre avec la totalité de sa queue mais quand je me penche pour regarder son bas-ventre, je suis stupéfaite car plus de la moitié de sa verge est encore visible.
Il me faut un long moment avant que je ne puisse me détendre, relâcher mes muscles intimes et continuer la progression sur son rostre. Allez ma fille, encore un peu de courage... J’arrive enfin après des allers-retours de plus en plus longs à absorber la quasi-totalité de son organe qui bute enfin au plus profond de moi. Cela déclenche en moi un réflexe presque automatique qui me fait resserrer les muscles de mon vagin avec une force incroyable, emprisonnant comme dans un étau son chibre.
Je suis comme soudée à lui, ne pouvant plus bouger, j’adhère à lui comme une ventouse. Je me couche sur le corps de mon cousin, écrasant ma poitrine contre la sienne. Je reste ainsi pratiquement dix minutes avant que je me détende suffisamment et pouvoir libérer de mon étau le phallus de mon cousin.
Doucement, très doucement, je bouge mon bassin, ressentant lentement le plaisir monter. Je réalise enfin que je viens de dépasser mon blocage et m’active de plus en plus fort, de plus en plus vite sur le sexe de mon cousin, mais je ne peux empêcher ma gaine de régulièrement se resserrer, se contracter, broyant sans le vouloir son manche de pioche plus que de raison.
Je m’interromps quand soudain je l'entends geindre. Je suis folle de joie que lui aussi vienne de passer un cap dans sa guérison. Je le regarde et je vois dans ses yeux qui pétillent que lui aussi ressent du plaisir. Une sensation incroyable me traverse. C’est sûrement ce qu'on appelle l'orgasme. Ça me sert tellement les tripes que j'expulse la bête de mon vagin et ne peux m'empêcher de jouir. Mais contrairement à ma sœur, je ne peux retenir un liquide abondant qui jaillit de ma fente en plusieurs jets d'une puissance folle qui montent dans les airs à plusieurs mètres et inondent le corps de mon cousin. Qu’est ce qui m'arrive ? je viens de passer de jeune vierge à femme fontaine comme m’a expliqué ma sœur quand je lui en ai parlé. Mais contrairement à ce que j'ai visionné ensuite sur le net, mes jets de cyprine sont monstrueux. Une fois le geyser asséché, je n'ai qu'une envie c'est de me poignarder à nouveau sur la verge toujours en pleine érection de mon cousin. Plusieurs fois de suite, je ne peux m'empêcher de noyer à nouveau son corps avant de nouveau rechercher le plaisir sur son sexe. Quand soudain sous des grognements assourdis de mon cousin, je sens un liquide abondant noyer ma grotte. Jocelyn vient de jouir en moi. C’est la première fois que ça m'arrive et je ne me rends pas compte tout de suite de la dose importante de sperme qu'il vient d'expulser de sa lance. Il faut dire que je n'ai pas beaucoup de points de comparaison.
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Je lâche son manche et me recule précipitamment, je me rapproche, prends une serviette et la pose sur son bas-ventre pour le cacher. Mais c’est encore pire, la serviette forme comme un tipi tellement son mandrin en pleine érection est dur et bien dressé à la verticale. Je ne sais pas si c'est dû à son handicap mais quand il bande ça dure très longtemps. Il peut rester comme ça pratiquement une demi-heure avant que très doucement son organe redevienne à une taille plus normale.
Pour me changer les idées et redescendre dans les tours, je lui lave les jambes, tout en évitant de trop m’approcher de ce sexe incroyable, mais je ne peux m'empêcher de jeter de nombreux regards en coin à ce mat dressé à peine caché par la serviette. C’est encore plus érotique tellement c’est subjectif et j'ai du mal à me concentrer sur ce que je fais.
Suite :
Je suis même si peu concentrée que je suis surprise en constatant qu’une de mes mains a glissé vers son entre jambe et touche la base de sa hampe. Je n’y tiens plus et pose mes doigts sur sa queue, remonte la main sur le très long tuyau… Mon dieu quel gourdin !
Je le caresse, pensant à ce que je pourrais faire avec un tel engin, il est si gros qu’il pourrait me déchirer ma petite chatte. Je prends une de ses mains et serre ses doigts à la base de la hampe. Je me recule et peut admirer la vision de ce piquet de tente érigé au centre de son corps.
Je me suis tellement rapprochée que son énorme gourdin est maintenant à quelques centimètres de mon visage. Malgré un peu d’appréhension devant cette monstrueuse queue, je ne vais pas me dégonfler et décide de voir si Jocelyn réagira encore plus à une autre sollicitation. Je passe ma langue à la base de sa teub, la lèche et remonte tout le long de la hampe majestueuse vers son gland pas complètement décalotté. Je serre ma main et la descend pour mettre au jour cette énorme fraise mûre, ouvre ma petite bouche et tente de prendre son gland entre mes lèvres, il est si gros que je dois écarter mes mâchoires au maximum. Sa grosse quetsche me déforme la bouche comme jamais. Il me faut un certain temps pour prendre petit à petit la mesure de ce gourdin et tenter de lui prodiguer une belle fellation. Je reprends entre mes lèvres son gland massif, j'ai des difficultés à prendre en bouche cette verge si longue que je n'en goûte que les premiers centimètres. Je rencontre des difficultés à faire tourner ma langue autour d’un tel phallus. Comme je veux varier mon seul plaisir, j’enlève mon soutien-gorge et fais glisser son manche entre mes seins.
-Que fais-tu Nina ? Ooohhh !
Ma sœur vient d'entrer dans la pièce et m’a surprise dans cette drôle de position. Pendant un instant, je ne sais que faire. Oh et puis tant pis... Je reprends mon activité sous le regard de ma sœur horrifiée. Mais je vois bien que ça lui fait de l'effet car elle a glissé sa main droite sous sa jupe. D'un regard je l’incite à venir me rejoindre. Il ne lui faut pas longtemps avant qu'elle décide elle aussi de venir jouer avec le beau sexe de notre cousin. L'avantage avec lui c'est qu'il peut rester en érection pendant pratiquement un temps infini. Sa teub passe de mains en mains et de bouche en bouche. Ma sœur a encore plus de difficultés que moi à emboucher un tel calibre.
Pendant des jours nous nous amusons, si l'on peut le concevoir ainsi, ou plutôt nous travaillons pour que notre cousin redevienne comme avant. Nous avons remarqué que son regard vide a pris de l'éclat. On dirait que nos petites séances portent leurs fruits.
Dans l'espoir de le voir se rétablir plus vite, nous venons habillées en tenue de plus en plus légère et provocante. Nous voyons son regard s’allumer et suivre nos silhouettes en partie dénudées. Ce stratagème imparable porte ces fruits. Il suffit que nous posions une main sur son bas-ventre pour que sa queue se mette à grossir et qu’il cligne des yeux d'approbation.
(Jocelyn ; 😉 😉 😉, Il n’y a pas que ma queue qui se réveille, j’éprouve un plaisir infini qui doucement me ramène à la vie aux sollicitations de mes cousines)
Nos mains savonneuses vont et viennent sur ses couilles, glissent vers son anus, puis reviennent vers sa queue, pour aller et venir de concert sur tout son long. L'avantage avec Jocelyn, c'est que son pénis est si long que nos mains où nos bouches ont largement de quoi faire.
Ce n'est plus une toilette, mais une masturbation suivie d’une fellation dans les règles...
Nous insistons sur son organe en érection sans jamais réussir à le faire éjaculer. Nous décidons donc de passer à une étape supérieure. Alice me propose comme si c’était évident :
- Nina, Tu vas le chevaucher et t'empaler sur son manche de pioche. Moi je ne pourrai jamais y arriver.
Je me présente de face, Je passe une jambe au-dessus de lui et m'installe à califourchon sur son corps... Je suis positionnée au-dessus de son sexe, le saisis d'une main, le dirige vers ma vulve et m’assois complètement dessus... La pénétration est difficile, je vais et viens de plus en plus loin sur son mandrin, j'ai vraiment mal mais la douleur se transforme vite en plaisir. Mais ma sœur m'ordonne de me retourner pour le chevaucher en posant mes mains sur ses cuisses. Je ne sais pas si certaines d'entre vous ont tenté cette position avec un pieu aussi énorme dans la chatte, mais c'est pour moi une manœuvre des plus délicates. Je me pilonne maintenant avec fureur comme pour m'achever, les cris de plaisir s'échappent de mes lèvres dans un flot ininterrompu.
(Jocelyn ; 😉 😉 😉. J'ai comme de l'électricité qui me dévore le bas- ventre, ou plutôt la pine. Je réalise que les sensations que je ressens depuis plusieurs jours me font le plus grand bien. Je bande comme un âne et ce n'est pas sans raison. Mon cerveau vient de se rallumer un peu plus. J’ai la vision de Nina complètement nue en train de pratiquer l'équitation sur mon corps. Je suis le destrier et ma bite sert de selle.
Ma propre cousine et en train de se donner de plaisir en se pénétrant avec ma teub. J'en éprouve un plaisir fou, déjà de voir ma cousine s'activer avec plaisir sur mon corps, mais surtout de ressentir les terminaisons nerveuses de mon sexe éclater dans mon cerveau. Je n'ai pas encore l'électricité à tous les étages mais c'est un incommensurable plaisir de ressentir enfin quelque chose dans ce corps qui est ma prison depuis tant de jours. Je ne maîtrise pas mon corps et malgré le plaisir que j'éprouve, je n'arrive pas à atteindre l'orgasme pour le plus grand plaisir de ma cousine Nina. Ma teub est comme une entité libre que je ne commande plus. J’ai déjà connu des filles, mais je n'ai jamais pu garder une érection aussi longue. Je suis comme un homme frapper de priapisme. Je ne suis plus qu’un garçon avec une verge qui ne veut plus débander.
Qui plus est, je vois en même temps sa belle poitrine qui remue dans tous les sens, ce qui renforce mon excitation...)
Chaque jour, mes cousines arrivent dans la chambre en petite nuisette ou en petite culotte légère pour m'exciter. Sous les nuisettes, des soutiens gorges aussi très légers (quand elles en portent) laissent apparaître les mamelons et les tétons par transparence…
Je ne peux pas dire que cette vue me déplait... Mais je ne peux rien dire, ni protester, encore moins bouger...
Mais si je ne peux bouger, contrairement à ce qu'elles croient, je ressens tout ! Mon épiderme a repris toute sa sensibilité. Je suis prisonnier dans mon corps mais je ressens avec un immense plaisir toutes leurs attentions les plus généreuses pour ne pas dire érotiques. Je ne comprends pas pourquoi il n'y a que Nina qui profite de mes bonnes dispositions pour se donner du plaisir.
Un nouveau sens vient de se rallumer en plus de la vision, j'entends maintenant tout ce qui se passe dans la pièce et c'est édifiant. J’apprends ainsi un secret qu’Alice avait bien gardé.
(Alice)
-Il faut que je t'avoue Nina, je suis encore vierge. Je peux à peine introduire un doigt dans ma chatte tellement c’est douloureux pour moi. Je suis allée consulter une gynécologue qui m'a dit que ça s'appelait du vaginisme. Ce n'est pas que je n'aurais pas envie de profiter de Jocelyn et de son chibre, mais tu comprends qu'avec mes problèmes et avec la taille de sa verge, c'est inenvisageable pour moi.
La réponse de ma sœur me choque.
-Si tu ne peux pas introduire son manche dans ton vagin, mets-le-toi dans le cul.
Je suis abasourdie mais n'ai qu'une peur : que ça ne soit pas vraiment agréable. Mais peut être qu'en faisant cela j'arriverai peut-être à dépasser mon blocage.
C'est là que Nina dépasse les bornes... Elle quitte non sans un petit regret sa cavalcade sur le sexe de mon cousin, se redresse et vient vers moi, porte les mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge puis retire ma petite culotte. Heureusement que mon cousin ne se rend compte de rien car je n'aurais jamais osé me dénuder complètement devant lui. Ma sœur va chercher un tube de vaseline puis passe une main entre mes cuisses pour graisser abondamment mon anus et y introduire un doigt, puis deux.
Je suis aussi pucelle du cul que de la chatte. Nina me force à chevaucher Jocelyn dont la tige n'a pas perdu un centimètre d’érection. C'est à se demander si la vue lui plait.
Malgré mes appréhensions je me laisse descendre et mes fesses entrent en contact avec la matraque érigée par ma sœur. Elle promène le gland dans le sillon fessier avant de le pointer sur mon sphincter. Je sens cette chose dure appuyer à cet endroit. Ma sœur appuie sur mes reins de plus en plus fort et malgré ma résistance, je ne peux empêcher le bout du manche de se frayer un chemin. Je ne peux pas dire que les choses soient des plus agréables mais je ne peux rien faire d'autre que serrer les dents et desserrer mon cul. Je me lâche soudain laissant se détendre mon anus qui accepte enfin de céder devant l’intrus. Après un instant de douleur et d'adaptation, je ressens pour la première fois un plaisir intense, comme une sorte de plénitude. J’ai été à bonne école en regardant faire ma sœur et maintenant, comme une grande, je m'explose après un temps d’adaptation l’arrière-train sur ce défonce-cul infatigable.
(Jocelyn)
Mon excitation est à son comble et le gonflement de ma verge aussi de les sentir se délecter du spectacle que je leur offre bien malgré moi à cause du flux sanguin qui gonfle mon sexe et que je ne peux contrôler. Nina ne veut pas rester inactive. La sensation de ses mains parcourant ma verge et mes testicules est incroyable. Entre Alice qui se poignarde le cul sur mon chibre et Nina qui me triture sans cesse les couilles, je suis prêt à exploser.
Je suis dans l'impossibilité totale de refuser tout ce qu'elles me font subir et de toute façon je ne le refuserais pas tellement les sensations ressenties sont merveilleuses.
Je me délecte du spectacle offert. Nina me chatouille dessous les testicules tout en s'amusant à faire ressortir mon gland du cul de sa sœur pour l'enduire de sa salive et de le faire replonger à nouveau dans cette grotte sombre. On dirait qu'elle aime jouer de la sorte avec le bout de ma queue pensant que moi aussi je devrais surement apprécier et qu'elle finira bien par me faire lâcher un son.
Je ferme les yeux pour essayer de vider ma tête... Mais ses mains sont si expertes !
Je sens ma queue sur le bord d'exploser ...
(Alice)
Une sensation incroyable me noue les tripes. J’éprouve un plaisir indicible à me pourfendre sur le bâton dressé de mon cousin. Je suis si détendue que je ne me rends même pas compte que ma sœur Nina vient d'introduire un de ses doigts dans mon vagin. Instinctivement je resserre mes muscles vaginaux et emprisonne son doigt. Mais le plaisir est si grand que je me détends et que la main de Nina s'active dans ma grotte. Je réalise soudain que ce plaisir intense me permet de me lâcher.
-Tu vois Alice, ce n'est pas si difficile que ça. Maintenant il faut que tu surmontes tes appréhensions et essaies par toi-même.
Je suis un peu indécise mais qu'est-ce que je risque ? Je fais ressortir la totalité de la teub de Jocelyn d'entre mes fesses, saisis la bête et la présente à l'entrée de mon intimité. J’essaie plusieurs fois de faire entrer cette grosse prune entre mes lèvres intimes mais n'y parviens pas. Au bout de deux centimètres, je me ressers tellement que même un crayon ne pourrait s'y introduire.
Je suis triste mais je veux vaincre ce handicap.
Pendant les jours suivants, je m'arrange pour être seule avec Jocelyn et me remets à l'ouvrage. J’arrive enfin après plus d'une semaine d'efforts et d’innombrables essais à réussir à introduire le gland de Jocelyn dans ma chatte. Avec quelques jours de persévérance supplémentaires, j'arrive à faire buter l'extrémité de son sexe sur mon hymen toujours intact. Ce contact fait revenir aussitôt mes mauvaises pensées et mes muscles se resserrent inexorablement sur l'intrus l'empêchant de s'introduire plus loin.
Cela fait maintenant plus de dix fois que j'arrive à ce stade mais ça ne peut plus durer ainsi. Je suis de nouveau dans cette position et avec un peu de volonté, pour cette fois, je me laisse retomber de tout mon poids sur le corps de mon cousin, me pourfendant plus que de raison et perdant ainsi mon pucelage.
La douleur et assez violente, il a dû me pourfendre avec la totalité de sa queue mais quand je me penche pour regarder son bas-ventre, je suis stupéfaite car plus de la moitié de sa verge est encore visible.
Il me faut un long moment avant que je ne puisse me détendre, relâcher mes muscles intimes et continuer la progression sur son rostre. Allez ma fille, encore un peu de courage... J’arrive enfin après des allers-retours de plus en plus longs à absorber la quasi-totalité de son organe qui bute enfin au plus profond de moi. Cela déclenche en moi un réflexe presque automatique qui me fait resserrer les muscles de mon vagin avec une force incroyable, emprisonnant comme dans un étau son chibre.
Je suis comme soudée à lui, ne pouvant plus bouger, j’adhère à lui comme une ventouse. Je me couche sur le corps de mon cousin, écrasant ma poitrine contre la sienne. Je reste ainsi pratiquement dix minutes avant que je me détende suffisamment et pouvoir libérer de mon étau le phallus de mon cousin.
Doucement, très doucement, je bouge mon bassin, ressentant lentement le plaisir monter. Je réalise enfin que je viens de dépasser mon blocage et m’active de plus en plus fort, de plus en plus vite sur le sexe de mon cousin, mais je ne peux empêcher ma gaine de régulièrement se resserrer, se contracter, broyant sans le vouloir son manche de pioche plus que de raison.
Je m’interromps quand soudain je l'entends geindre. Je suis folle de joie que lui aussi vienne de passer un cap dans sa guérison. Je le regarde et je vois dans ses yeux qui pétillent que lui aussi ressent du plaisir. Une sensation incroyable me traverse. C’est sûrement ce qu'on appelle l'orgasme. Ça me sert tellement les tripes que j'expulse la bête de mon vagin et ne peux m'empêcher de jouir. Mais contrairement à ma sœur, je ne peux retenir un liquide abondant qui jaillit de ma fente en plusieurs jets d'une puissance folle qui montent dans les airs à plusieurs mètres et inondent le corps de mon cousin. Qu’est ce qui m'arrive ? je viens de passer de jeune vierge à femme fontaine comme m’a expliqué ma sœur quand je lui en ai parlé. Mais contrairement à ce que j'ai visionné ensuite sur le net, mes jets de cyprine sont monstrueux. Une fois le geyser asséché, je n'ai qu'une envie c'est de me poignarder à nouveau sur la verge toujours en pleine érection de mon cousin. Plusieurs fois de suite, je ne peux m'empêcher de noyer à nouveau son corps avant de nouveau rechercher le plaisir sur son sexe. Quand soudain sous des grognements assourdis de mon cousin, je sens un liquide abondant noyer ma grotte. Jocelyn vient de jouir en moi. C’est la première fois que ça m'arrive et je ne me rends pas compte tout de suite de la dose importante de sperme qu'il vient d'expulser de sa lance. Il faut dire que je n'ai pas beaucoup de points de comparaison.
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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