Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 554 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 213 644 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 631 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 4
Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 4
J'ai devant moi trois beautés entièrement dénudées qui ne songent qu’à une seule chose, faire monter mon plaisir à des niveaux de plus en plus haut jusqu'à l'orgasme final. C’est à cette occasion que Nina, esseulée car Alice fait du cheval sur ma bite et que tata insère ma tête entre ses cuisses pour me faire dévorer sa foufoune, tente une autre approche. Nina prend ma main, redresse mon majeur pour se doigter avec quand soudain elle s'écrie :
-Il bouge putain ! il bouge !
Ma tante et ma cousine tournent leur tête vers elle et lui demandent en cœur :
-Qu'est ce qui bouge ?
-Son doigt, il bouge son doigt dans ma chatte !
Suite :
Et c'est ainsi que les jours suivants, l'une après l'autre ou deux en même temps, elles se servaient de mes mains pour se donner du plaisir pendant que la troisième stimulait le centre névralgique de mon corps et m'embrassait à pleine bouche pour faire travailler ma langue et mes lèvres. Maintenant quatre parties de mon corps avaient repris du service. La progression était énorme. Les deux extrémités supérieures ayant retrouvé de la dextérité, elles essayèrent avec mes pieds qu’elles glissaient entre leurs cuisses, essayant d'en entrer ce qu’elles pouvaient dans leur vulve.
Ces trois folles avait dépassé toutes les limites, mais c'était tellement efficace que j'y avais droit pratiquement tous les jours. Je sais bien que c'était pour mon bien, mais je subodore que c'était aussi pour le leur.
Un jour, une personne inconnue est venue se joindre à mes tourmenteuses. Elle s'appelle Sylvie et est romancière. L’un des sujets de son prochain roman sera sur un jeune handicapé qui retrouve toutes ces capacités après de longs mois d’immobilisation.
(Sylvie)
Je sais un peu à quoi m'attendre puisque je suis au courant de la pratique que cette famille fait vivre à Jocelyn. La première surprise, assez agréable je dois dire, c'est de découvrir que ce garçon est doté d’un organe qui ferait la joie de beaucoup de femmes. Mais quand sa tante aidée de ses cousines fait entrer en érection la verge flasque de ce garçon devant moi, j'en suis presque tombée sur le cul.
La taille de son engin déjà conséquente s'est allongée expansionnellement comme je ne l’ai jamais vu
Sa verge a bien gagné pratiquement huit centimètres, sans parler de cette chose demi-molle qui maintenant à la dureté d’une poutre hyper massive.
Je dois vous avouer il m'est très difficile de ne pas me joindre à ces trois femmes pour moi aussi profiter d’un tel organe. A chaque fois que par la suite j'assistais à une telle séance, ma petite culotte était à tordre après.
Ces petites salopes se donnent le mot pour faire jouir leur cousin et que je profite du spectacle. Mais il est très long à trouver le plaisir. La première fois que j'assiste à l’éjaculation de Jocelyn, je n'en reviens pas... Il foutrait la honte à tous les amants que j'ai eu dans ma vie. La quantité de foutre qu’expulse sa lance est aussi dantesque que son braquemard.
J’assiste aussi au jour où il parle de nouveau. Et ses deux premiers mots sont :
-Aaahhh ! Je jouis !
(Jocelyn)
Putain ! Ce sont les premiers mots que j’arrive à articuler depuis des mois de silence...et quels mots !
Ma tante s'arrête net de bouger, n’en croyant pas ses oreilles ! Je viens de me vider dans sa chatte, mais pour elle, ces quelques mots ont une importance bien plus forte.
Elle est folle de joie, et mes cousines aussi, certaines que maintenant je vais m'en sortir !
Je n’avais guère de chance de passer d'un handicap qui aurait pu être définitif au résultat qu’elles ont obtenu en se dévouant sans compter. Je me déplace maintenant en fauteuil roulant. Elles me donnent la becquée au moment des repas. Mes cousines ont inventé un nouveau jeu, elles me branlent pour que mon sexe soit au garde à vous et pendant que l'une pousse mon fauteuil, l'autre s'assoit sur moi et s'embroche sur ma poutre. Elle se soulève à la force des bras avec l'aide des accoudoirs du fauteuil puis se laisse retomber pour s'empaler à nouveau le plus loin possible sur mon rostre. L’une après l'autre fait un tour de manège et en guise de pompon, celle qui arrive à me faire jouir a droit à un tour de manège gratuit.
(Sylvie)
Dans les derniers temps de ce mois d’observation, il avait pratiquement retrouvé toutes ses capacités physiques. Une seule fois elles m'ont autorisée à saisir cette formidable verge. Je suis d'une nature assez frêle et cette chose avait pratiquement la grosseur de mon poignet. Prise d’une envie folle, j'avais embouché avec difficulté cette énorme prune mais cette famille était peu partageuse et n'a pas voulu que j'aille plus loin, se réservant pour elles toute seules la future dose de crème.
Elles m’ont raconté que les jours et les semaines qui ont suivi, elles ont redoublé de zèle et abnégation pour le guider sur le chemin de la guérison totale.
Les médecins n’en revenaient pas des progrès accomplis, mais s’en félicitaient comme si c’était grâce à eux. S’ils avaient su de qu’elle manière sa famille avait pratiqué pour obtenir de tels résultats !!!
Quelques mois après la parution de mon livre, Jocelyn était redevenu un jeune homme comme les autres, enfin presque. Il avait retrouvé toutes ses capacités physiques, mais le traitement que lui avait fait subir ses sœurs et sa mère avait complètement changé sa libido.
Les confidences de sa tante lors d’une de nos entrevues me permirent de savoir que Jocelyn était devenu un véritable accro au sexe et que ses cousines ou sa tante devaient subir ses assauts régulièrement. Mais Alexia n’avait pas l’air de s’en plaindre et à ses dires, ses filles non plus.
Il faut dire que quand on a un étalon sous son toit obsédé par le sexe et monté comme un poney, pourquoi aller cherchez plus loin le bonheur ?
Alexia avait exposé sa « pratique » sur un site internet spécialisé pour savoir ce que les gens en pensaient. Bien sûr il y avait toujours les « mal baisées » qui y allaient de commentaires injurieux.
« Espèce de chaudasse, tu aimes tellement le cul que tu t’es servi d’un infirme, et en plus, c’est ton neveu ! »
J’ai demandé à Jocelyn de passer chez moi pour avoir son point de vue sur ces longs mois d’épreuves et ce qu’il pense de mon livre. Je ne vous raconterai pas tout ce qu'il a raconté. Je ne suis pas médecin mais ne veux pas trahir la confiance qu'il a en moi en racontant son point de vue. Mais ce qu'il me dit après me mis dans tous mes états.
-Chère Sylvie, je me souviens de la seule fois où mes cousines t’ont permis de me toucher. J’en garde un excellent souvenir et j'espère que toi aussi. Ça m'a laissé sur ma faim et si tu es partante, je veux bien qu'on reprenne au moment où tu t'es arrêtée.
-Je ne sais pas Jocelyn. Ce serait un peu trahir ta tante après qu'elle m’a autorisé à être présente pendant leur séance. Mais je dois dire que ça me tente beaucoup.
Je me souvenais de la première fois que j'ai vu son sexe et j'en étais restée bouche bée. Une queue comme ça, je n'en n'avais jamais vu auparavant. Mon mari est bien membré, et avant lui j'ai eu de nombreux amants bien montés mais la queue que je voyais ne ressemblait à rien de ce que je connaissais. J'essayais de contrôler ma respiration mais c'était difficile. La scène d’inceste qui se déroulait sous mes yeux était obscène et malgré cela je n'arrivais pas à détacher mes yeux du spectacle. Une bite qui devait mesurer largement plus que vingt centimètres et qui était d'une largeur énorme, presque monstrueuse. J'étais presque choquée et forcée d'admettre qu'elle était réellement hors normes. L’image de cette bite monstrueuse n'arrêtais pas de me hanter, et aujourd’hui…
Pendant que je parle, Jocelyn a pris ma main et l’a posée entre ses cuisses. Une bosse prometteuse gonfle le devant de son pantalon. Je sais très bien ce qu’il cache mais pour cette fois, ça ne sera que pour moi. Je caresse à travers le tissu cette bosse qui enfle sous mes doigts. Je n'y tiens plus, défais sa ceinture, déboutonne sa braguette puis avec son aide, lui retire son pantalon. Je reprends mes caresses cette fois directement sur son boxer qui a beaucoup de mal à contenir l'expansion folle de cette formidable verge. Il porte un boxer très moulant qui lui fait un sacré paquet entre les jambes, je m'approche de lui et le lui enlève...sa queue se libère et elle est déjà bien épaisse et assez longue et repose sur une très grosse paire de couilles,
Je lui retire ce dernier voile pour avoir en face de moi son formidable phallus. En quelques caresses savantes, je vois renaître le Phénix. J’ai de nouveau sous les yeux ce pieu hyper massif de mes souvenirs. Je le caresse avec volupté pour l'amener à la croissance maximum. Il me demande alors :
-J'ai un fantasme Sylvie, veux-tu me faire ma toilette ?
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
J'ai devant moi trois beautés entièrement dénudées qui ne songent qu’à une seule chose, faire monter mon plaisir à des niveaux de plus en plus haut jusqu'à l'orgasme final. C’est à cette occasion que Nina, esseulée car Alice fait du cheval sur ma bite et que tata insère ma tête entre ses cuisses pour me faire dévorer sa foufoune, tente une autre approche. Nina prend ma main, redresse mon majeur pour se doigter avec quand soudain elle s'écrie :
-Il bouge putain ! il bouge !
Ma tante et ma cousine tournent leur tête vers elle et lui demandent en cœur :
-Qu'est ce qui bouge ?
-Son doigt, il bouge son doigt dans ma chatte !
Suite :
Et c'est ainsi que les jours suivants, l'une après l'autre ou deux en même temps, elles se servaient de mes mains pour se donner du plaisir pendant que la troisième stimulait le centre névralgique de mon corps et m'embrassait à pleine bouche pour faire travailler ma langue et mes lèvres. Maintenant quatre parties de mon corps avaient repris du service. La progression était énorme. Les deux extrémités supérieures ayant retrouvé de la dextérité, elles essayèrent avec mes pieds qu’elles glissaient entre leurs cuisses, essayant d'en entrer ce qu’elles pouvaient dans leur vulve.
Ces trois folles avait dépassé toutes les limites, mais c'était tellement efficace que j'y avais droit pratiquement tous les jours. Je sais bien que c'était pour mon bien, mais je subodore que c'était aussi pour le leur.
Un jour, une personne inconnue est venue se joindre à mes tourmenteuses. Elle s'appelle Sylvie et est romancière. L’un des sujets de son prochain roman sera sur un jeune handicapé qui retrouve toutes ces capacités après de longs mois d’immobilisation.
(Sylvie)
Je sais un peu à quoi m'attendre puisque je suis au courant de la pratique que cette famille fait vivre à Jocelyn. La première surprise, assez agréable je dois dire, c'est de découvrir que ce garçon est doté d’un organe qui ferait la joie de beaucoup de femmes. Mais quand sa tante aidée de ses cousines fait entrer en érection la verge flasque de ce garçon devant moi, j'en suis presque tombée sur le cul.
La taille de son engin déjà conséquente s'est allongée expansionnellement comme je ne l’ai jamais vu
Sa verge a bien gagné pratiquement huit centimètres, sans parler de cette chose demi-molle qui maintenant à la dureté d’une poutre hyper massive.
Je dois vous avouer il m'est très difficile de ne pas me joindre à ces trois femmes pour moi aussi profiter d’un tel organe. A chaque fois que par la suite j'assistais à une telle séance, ma petite culotte était à tordre après.
Ces petites salopes se donnent le mot pour faire jouir leur cousin et que je profite du spectacle. Mais il est très long à trouver le plaisir. La première fois que j'assiste à l’éjaculation de Jocelyn, je n'en reviens pas... Il foutrait la honte à tous les amants que j'ai eu dans ma vie. La quantité de foutre qu’expulse sa lance est aussi dantesque que son braquemard.
J’assiste aussi au jour où il parle de nouveau. Et ses deux premiers mots sont :
-Aaahhh ! Je jouis !
(Jocelyn)
Putain ! Ce sont les premiers mots que j’arrive à articuler depuis des mois de silence...et quels mots !
Ma tante s'arrête net de bouger, n’en croyant pas ses oreilles ! Je viens de me vider dans sa chatte, mais pour elle, ces quelques mots ont une importance bien plus forte.
Elle est folle de joie, et mes cousines aussi, certaines que maintenant je vais m'en sortir !
Je n’avais guère de chance de passer d'un handicap qui aurait pu être définitif au résultat qu’elles ont obtenu en se dévouant sans compter. Je me déplace maintenant en fauteuil roulant. Elles me donnent la becquée au moment des repas. Mes cousines ont inventé un nouveau jeu, elles me branlent pour que mon sexe soit au garde à vous et pendant que l'une pousse mon fauteuil, l'autre s'assoit sur moi et s'embroche sur ma poutre. Elle se soulève à la force des bras avec l'aide des accoudoirs du fauteuil puis se laisse retomber pour s'empaler à nouveau le plus loin possible sur mon rostre. L’une après l'autre fait un tour de manège et en guise de pompon, celle qui arrive à me faire jouir a droit à un tour de manège gratuit.
(Sylvie)
Dans les derniers temps de ce mois d’observation, il avait pratiquement retrouvé toutes ses capacités physiques. Une seule fois elles m'ont autorisée à saisir cette formidable verge. Je suis d'une nature assez frêle et cette chose avait pratiquement la grosseur de mon poignet. Prise d’une envie folle, j'avais embouché avec difficulté cette énorme prune mais cette famille était peu partageuse et n'a pas voulu que j'aille plus loin, se réservant pour elles toute seules la future dose de crème.
Elles m’ont raconté que les jours et les semaines qui ont suivi, elles ont redoublé de zèle et abnégation pour le guider sur le chemin de la guérison totale.
Les médecins n’en revenaient pas des progrès accomplis, mais s’en félicitaient comme si c’était grâce à eux. S’ils avaient su de qu’elle manière sa famille avait pratiqué pour obtenir de tels résultats !!!
Quelques mois après la parution de mon livre, Jocelyn était redevenu un jeune homme comme les autres, enfin presque. Il avait retrouvé toutes ses capacités physiques, mais le traitement que lui avait fait subir ses sœurs et sa mère avait complètement changé sa libido.
Les confidences de sa tante lors d’une de nos entrevues me permirent de savoir que Jocelyn était devenu un véritable accro au sexe et que ses cousines ou sa tante devaient subir ses assauts régulièrement. Mais Alexia n’avait pas l’air de s’en plaindre et à ses dires, ses filles non plus.
Il faut dire que quand on a un étalon sous son toit obsédé par le sexe et monté comme un poney, pourquoi aller cherchez plus loin le bonheur ?
Alexia avait exposé sa « pratique » sur un site internet spécialisé pour savoir ce que les gens en pensaient. Bien sûr il y avait toujours les « mal baisées » qui y allaient de commentaires injurieux.
« Espèce de chaudasse, tu aimes tellement le cul que tu t’es servi d’un infirme, et en plus, c’est ton neveu ! »
J’ai demandé à Jocelyn de passer chez moi pour avoir son point de vue sur ces longs mois d’épreuves et ce qu’il pense de mon livre. Je ne vous raconterai pas tout ce qu'il a raconté. Je ne suis pas médecin mais ne veux pas trahir la confiance qu'il a en moi en racontant son point de vue. Mais ce qu'il me dit après me mis dans tous mes états.
-Chère Sylvie, je me souviens de la seule fois où mes cousines t’ont permis de me toucher. J’en garde un excellent souvenir et j'espère que toi aussi. Ça m'a laissé sur ma faim et si tu es partante, je veux bien qu'on reprenne au moment où tu t'es arrêtée.
-Je ne sais pas Jocelyn. Ce serait un peu trahir ta tante après qu'elle m’a autorisé à être présente pendant leur séance. Mais je dois dire que ça me tente beaucoup.
Je me souvenais de la première fois que j'ai vu son sexe et j'en étais restée bouche bée. Une queue comme ça, je n'en n'avais jamais vu auparavant. Mon mari est bien membré, et avant lui j'ai eu de nombreux amants bien montés mais la queue que je voyais ne ressemblait à rien de ce que je connaissais. J'essayais de contrôler ma respiration mais c'était difficile. La scène d’inceste qui se déroulait sous mes yeux était obscène et malgré cela je n'arrivais pas à détacher mes yeux du spectacle. Une bite qui devait mesurer largement plus que vingt centimètres et qui était d'une largeur énorme, presque monstrueuse. J'étais presque choquée et forcée d'admettre qu'elle était réellement hors normes. L’image de cette bite monstrueuse n'arrêtais pas de me hanter, et aujourd’hui…
Pendant que je parle, Jocelyn a pris ma main et l’a posée entre ses cuisses. Une bosse prometteuse gonfle le devant de son pantalon. Je sais très bien ce qu’il cache mais pour cette fois, ça ne sera que pour moi. Je caresse à travers le tissu cette bosse qui enfle sous mes doigts. Je n'y tiens plus, défais sa ceinture, déboutonne sa braguette puis avec son aide, lui retire son pantalon. Je reprends mes caresses cette fois directement sur son boxer qui a beaucoup de mal à contenir l'expansion folle de cette formidable verge. Il porte un boxer très moulant qui lui fait un sacré paquet entre les jambes, je m'approche de lui et le lui enlève...sa queue se libère et elle est déjà bien épaisse et assez longue et repose sur une très grosse paire de couilles,
Je lui retire ce dernier voile pour avoir en face de moi son formidable phallus. En quelques caresses savantes, je vois renaître le Phénix. J’ai de nouveau sous les yeux ce pieu hyper massif de mes souvenirs. Je le caresse avec volupté pour l'amener à la croissance maximum. Il me demande alors :
-J'ai un fantasme Sylvie, veux-tu me faire ma toilette ?
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...