Ma tante et moi 5
Récit érotique écrit par Mcfps [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma tante et moi 5
V- Sa première domination
Suite à notre dernière nuit de sexe intense dans son lit conjugal, ma tante m’envoie un SMS pour me dire qu’elle peut se libérer et venir passer une nuit chez moi. J’accepte évidement sans hésitation ! Sophie me dit alors qu’elle aimerait que je la domine. Elle voudrait que je l’attache ou encore que je lui fasse faire des choses sans lui demander son avis. J’accepte à nouveau avec joie. Elle me dit qu’elle me fera juste une surprise sur sa tenue et que je devrai m’occuper du reste.
Je décide donc d’aller acheter des menottes, un bâillon, un martinet et un gode dont les dimensions sont équivalentes à ma bite. Le fameux soir arrive enfin et lorsque l’on frappe à ma porte, je bande directe en voyant la tenue de Sophie. Ma tatie chérie porte un pantalon de cuir qui moule à merveille son cul si délicieux. Elle porte un haut ultra moulant qui met en avant sa petite poitrine. On s’embrasse directement et lorsque je lui mets la main aux fesses, je constate qu’elle ne porte rien sous son pantalon. Je remonte alors par-dessous son haut et ma main ne rencontre pas de tissus, je touche directement ses seins déjà tout durs. Elle me regarde droit dans les yeux et me demande de la dominer mais de ne pas lui laisser de marque sur le corps.
Je la balance de suite sur mon lit. Je m’assoie sur le bord et je lui ordonne de venir pour que je lui mette la fessé. Elle s’allonge donc de manière à ce que son cul soit au niveau de mes genoux. Avoir son cul sous le nez m’excite au plus haut point. Pour ne pas laisser de marque sur son corps, je décide de ne pas lui enlever son pantalon. Je commence par toucher délicatement son cul, je le malaxe puis je mets quelques fessées dessus. J’attrape alors mon martinet et la frappe plus fort. Elle pousse des cris de douleurs mais en même temps de satisfaction. Je la frappe toujours de plus en plus fort. Notre excitation est extrême. J’ai envie de plus, je lui arrache alors son haut et mets de petites tapes sur ses seins. Je lui ordonne d’enlever son pantalon en laissant son cul à porté de ma bouche. J’en profite pour lui lécher un peu le cul, qui est tout rouge à cause du traitement que je lui ai infligé, mais aussi de sa chatte lisse et si humide. Elle prend l’initiative de me déshabiller mais ne lui en ayant pas donné l’ordre, je lui mets une gifle et la fait mettre à genoux les mains dans le dos.
Je lui attache les mains dans le dos et me place devant elle. Je suis maintenant nu, avec ma bite devant son visage. Je l’enfonce doucement dans sa bouche de salope de tante puis je la ressort. Je frappe son visage avec ma bite et la vision de ma bite sur le doux visage de ma marraine m’excite énormément. Je lui mets pas mal de giffles, ce qu’elle me dit apprécier. J’entre alors ma bite dans sa bouche et me branle dedans. Puis je place mes mains derrière sa tête et je m’enfonce jusqu’au bout. Même si Sophie manque de vomir, elle arrive à accueillir ma bite dans toute sa longueur. Je lui fais remarque que c’est une bonne salope et qu’elle pourra me faire des gorges profondes. Je fourre sa bouche un long moment puis je la jette sur le lit. Je sors alors le gode et lui annonce qu’elle va en prendre par tous les trous. Elle commence à me dire qu’elle ne veut pas mais pour ne plus entendre ses gémissement, j’insère le baillons dans sa bouche. Elle est donc couchée sur le coté, les mains attachées dans le dos, à ma merci. Je lèche encore sa chatte et son cul que je fesse au passage, puis je me place derrière elle. Je commence à bourrer son superbe cul de salope qui s’ouvre sans difficulté depuis que je lui ai dépucelé l’autre jour. Au bout de cinq minutes, je prends le gode et l’insère dans sa chatte en même temps que je la saute. Elle pousse des grognements énormes même malgré le bâillon. Je la fourre ainsi très fort pendant un long moment puis je sens un puissant jet sortir de sa chatte. Cela m’excite et me fais jouir au fond de son cul.
Je lui détache les mains et la fait mettre à quatre pates sur le lit. J’attache ses mains et ses pieds aux quatre coins du lit. J’enlève son bâillon et j’insère ma bite dans sa bouche. Elle fait tourner sa langue autour de ma queue et cela me fait bander. Je me place alors derrière elle et plante ma bite dans sa chatte. Je lui mets alors de violents coups sur les fesses et je lui malaxe. Je commence à la bourrer assez fort mais cette salope me supplie d’être plus violent. J’attrape alors ses cheveux mi long et lui tire la tête en arrière. Cela l’oblige à se cambrer et m’offre un angle de pénétration encore plus important. Je ne lâche pas ses cheveux et je la bourre à toute vitesse en écoutant ses râles de plaisir. Nous finissons par jouir ensemble dans un orgasme démentiel.
Je la détache et nous nous calinons. Nous avons refait l’amour normalement plusieurs fois dans la nuit. Je dois lui prêter un pull pour qu’elle rentre chez elle car j’ai déchiré son haut. En rentrant chez elle, elle m’appelle pour me dire qu’elle a été obligé de mentir à son mari à propos du sort de son haut. Je lui dis que ce n’est pas le seul mensonge qu’elle lui dit. Elle me répond qu’elle a hâte de devoir lui en cacher d’autres. Quelle salope ma tatie Sophie !
Suite à notre dernière nuit de sexe intense dans son lit conjugal, ma tante m’envoie un SMS pour me dire qu’elle peut se libérer et venir passer une nuit chez moi. J’accepte évidement sans hésitation ! Sophie me dit alors qu’elle aimerait que je la domine. Elle voudrait que je l’attache ou encore que je lui fasse faire des choses sans lui demander son avis. J’accepte à nouveau avec joie. Elle me dit qu’elle me fera juste une surprise sur sa tenue et que je devrai m’occuper du reste.
Je décide donc d’aller acheter des menottes, un bâillon, un martinet et un gode dont les dimensions sont équivalentes à ma bite. Le fameux soir arrive enfin et lorsque l’on frappe à ma porte, je bande directe en voyant la tenue de Sophie. Ma tatie chérie porte un pantalon de cuir qui moule à merveille son cul si délicieux. Elle porte un haut ultra moulant qui met en avant sa petite poitrine. On s’embrasse directement et lorsque je lui mets la main aux fesses, je constate qu’elle ne porte rien sous son pantalon. Je remonte alors par-dessous son haut et ma main ne rencontre pas de tissus, je touche directement ses seins déjà tout durs. Elle me regarde droit dans les yeux et me demande de la dominer mais de ne pas lui laisser de marque sur le corps.
Je la balance de suite sur mon lit. Je m’assoie sur le bord et je lui ordonne de venir pour que je lui mette la fessé. Elle s’allonge donc de manière à ce que son cul soit au niveau de mes genoux. Avoir son cul sous le nez m’excite au plus haut point. Pour ne pas laisser de marque sur son corps, je décide de ne pas lui enlever son pantalon. Je commence par toucher délicatement son cul, je le malaxe puis je mets quelques fessées dessus. J’attrape alors mon martinet et la frappe plus fort. Elle pousse des cris de douleurs mais en même temps de satisfaction. Je la frappe toujours de plus en plus fort. Notre excitation est extrême. J’ai envie de plus, je lui arrache alors son haut et mets de petites tapes sur ses seins. Je lui ordonne d’enlever son pantalon en laissant son cul à porté de ma bouche. J’en profite pour lui lécher un peu le cul, qui est tout rouge à cause du traitement que je lui ai infligé, mais aussi de sa chatte lisse et si humide. Elle prend l’initiative de me déshabiller mais ne lui en ayant pas donné l’ordre, je lui mets une gifle et la fait mettre à genoux les mains dans le dos.
Je lui attache les mains dans le dos et me place devant elle. Je suis maintenant nu, avec ma bite devant son visage. Je l’enfonce doucement dans sa bouche de salope de tante puis je la ressort. Je frappe son visage avec ma bite et la vision de ma bite sur le doux visage de ma marraine m’excite énormément. Je lui mets pas mal de giffles, ce qu’elle me dit apprécier. J’entre alors ma bite dans sa bouche et me branle dedans. Puis je place mes mains derrière sa tête et je m’enfonce jusqu’au bout. Même si Sophie manque de vomir, elle arrive à accueillir ma bite dans toute sa longueur. Je lui fais remarque que c’est une bonne salope et qu’elle pourra me faire des gorges profondes. Je fourre sa bouche un long moment puis je la jette sur le lit. Je sors alors le gode et lui annonce qu’elle va en prendre par tous les trous. Elle commence à me dire qu’elle ne veut pas mais pour ne plus entendre ses gémissement, j’insère le baillons dans sa bouche. Elle est donc couchée sur le coté, les mains attachées dans le dos, à ma merci. Je lèche encore sa chatte et son cul que je fesse au passage, puis je me place derrière elle. Je commence à bourrer son superbe cul de salope qui s’ouvre sans difficulté depuis que je lui ai dépucelé l’autre jour. Au bout de cinq minutes, je prends le gode et l’insère dans sa chatte en même temps que je la saute. Elle pousse des grognements énormes même malgré le bâillon. Je la fourre ainsi très fort pendant un long moment puis je sens un puissant jet sortir de sa chatte. Cela m’excite et me fais jouir au fond de son cul.
Je lui détache les mains et la fait mettre à quatre pates sur le lit. J’attache ses mains et ses pieds aux quatre coins du lit. J’enlève son bâillon et j’insère ma bite dans sa bouche. Elle fait tourner sa langue autour de ma queue et cela me fait bander. Je me place alors derrière elle et plante ma bite dans sa chatte. Je lui mets alors de violents coups sur les fesses et je lui malaxe. Je commence à la bourrer assez fort mais cette salope me supplie d’être plus violent. J’attrape alors ses cheveux mi long et lui tire la tête en arrière. Cela l’oblige à se cambrer et m’offre un angle de pénétration encore plus important. Je ne lâche pas ses cheveux et je la bourre à toute vitesse en écoutant ses râles de plaisir. Nous finissons par jouir ensemble dans un orgasme démentiel.
Je la détache et nous nous calinons. Nous avons refait l’amour normalement plusieurs fois dans la nuit. Je dois lui prêter un pull pour qu’elle rentre chez elle car j’ai déchiré son haut. En rentrant chez elle, elle m’appelle pour me dire qu’elle a été obligé de mentir à son mari à propos du sort de son haut. Je lui dis que ce n’est pas le seul mensonge qu’elle lui dit. Elle me répond qu’elle a hâte de devoir lui en cacher d’autres. Quelle salope ma tatie Sophie !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j adore ta tante sophie...elle ne laisse pas insensible...continue