Ma tante Jo - histoire érotique

Ma mère m'expédie chez ma tante Jo, dans le midi. Je n'en suis pas contente, je sais
que je vais m'ennuyer chez elle, seule, sans copain. Il est resté chez lui. Je me
passerais de lui, je m'en fais une raison. Jo vient le chercher à la gare en voiture
avec une copine Rose. Je me doute des relations ambiguës qu'il doit y avoir entre
elle. Qu'elles ne compte pas sur moi pour m’immiscer dans leur ébats.
Il fait chaud, Jo me propose d'aller passer un maillot pour aller prendre un bain dans
la piscine. Quand j'arrive les deux femmes discutent, Rose à plat ventre sur la
margelle. Jo est dans l'eau, appuyée sur ses avant bras. Au passage je regarde le
corps de Rose : elle est bien fichue. Je pense que si j'étais un homme je n'hésiterais
pas à la draguer pour passer un moment agréable avec elle.Bien sur Jo est plus âgée
que moi, elle aussi,je le sais est bien faite.
Ce que je connais de ma tante vient des dires de ma mère. Est-elle vraiment
lesbienne, je n'en sais rien. Je me méfie quand même comme si elle pouvais me violer.
Je plonge pour trouver la fraîcheur. Ma tante me rejoint dans l'eau me prend par les
jambes, me fait aller au fond. Elle ne me lâche que quand je suis sur le point
d'étouffer. Je suis en colère quand je vois les deux femmes rire de ma mésaventure.
Elles sont toutes le deux dans la piscine, pour me consoler, Rose m'embrasse sur les
joue.
Je ne suis plus une gosse, je me rebiffe. Voyant mon mauvais caractère les deux
copines me laisse seule. Je fais quelques brasses, chose que je pratique souvent avec
mon copain avant de sortir, avant de retourner dans ma chambre. Les deux femmes sont
dans la même chambre,en face de la mienne, la porte grande ouverte. Je regarde pour
les voir enlacées. Elles s'embrassent sur la bouche. Je reste spectatrice curieuse. Je
n'ai jamais vu de femme s'embrasser. Comment font réellement les femmes entre elles ?
C'est tout juste si je ne m'assois pour les regarder. Je reconnais qu'elle sont
adorables quand elles s'embrassent tendrement. Il me semble qu'elle mettent de la
douceur. Leurs mains caressent le corps de l'autre avec complaisance. Si elles
cherchent le sexe de l'autre, c'est sans précipitation, comme pour retarder
l'échéance. Je les vois se masturber lentement, avec des précautions infinies comme
pour ne pas blesser l'amante.
Elle jouissent ensemble ou presque avant de changer de posture, elles sont la tête au
pied, les jambes ouvertes. Elles se font un 69, chose que je fais souvent avec mon
copain. Je m'aperçois que ma main est sur ma chatte : je me branle en les regardant.
Je file dans ma chambre : je fini de me masturber pour jouir comme il faut. J'ai mis
deux doigts dans mon vagin, j'aime bien me doigter. Heureusement que j'ai fermé la
porte, je ne voudrais pas qu'elles me surprennent quand je me donne du plaisir. Mes
doigts entrent et sorte de mon con. Je me cabre juste avant de partir dans l'orgasme.
Ouf j'enlève le soutien gorge du maillot. Il rejoins le slip qui gît par terre.
Je me dépêche pour passer une petite robe avant que les deux femmes sortent de la
chambre. Je descend vers le séjour quand elles arrivent enfin. Je ne vois pas de trace
de jouissance sur leur visage. Tant mieux. Il est l'heure de passer à table. En fille
bien élevée j'aide pour passer les plats.
La conversation est banale, sauf qu'elle me demande si j'ai un copain. Je le décris
comme je peux. Arrive la grande question :
Vous faites l'amour ?
Bien sur.
Tu aimes.
Oui, beaucoup.
Je parle de lui comme je n'en ai jamais parlé à ma mère. Je décris même certaines
positions. Les deux femmes approuvent ce que je dit quand je préfère l'avoir devant
que derrière, mais des fois, je demande une sodomie, choses qu'elles n'ont jamais
pratiqué. Je dis aussi que l'aime bien le sucer, que j'aime son goût. Je m'excite
seule, enfin c'est ce que je crois. C'est Rose qui avoue enfin qu'elle font l'amour
toutes les deux, comme cet après midi. Elles comptent bien recommencer en sortant de
table. Si je veux je peux me joindre à elles. Je décline l'invitation même si au fond
de moi je me dis que ce ne serait pas grave d'aller avec elles. Jo me propose un de
ses godes pour me branler.
Si elle me prend par les sentiment !! Elle me porte ce qu'elle appelle son amant.Un
gode magnifique ressemblant à une vraie queue,comme celle de mon copain.
Maintenant qu'elles m'ont dit ce qu'elles vont faire, elles ne se gênent plus devant
moi. Elles s'embrassent encore longuement. Je vois leur langues dans la bouche de
l'autre. Jo commence à caresser les seins de sa partenaire. Rose, passe sa main sur la
chatte de Jo qui écarte les jambes. Elles se mettent à baiser devant moi sans
complexe.
Je mouille quand elle commencent à jouir. J'allais me coucher dans l' optique de me
masturber. Elles se lèvent pour aller à la piscine où elles me demandent de les
suivre. Il fait chaud, je n'hésite pas, je sais que je pourrais me servir seule du
gode tout à l'heure.
Maintenant elle se mettent nues, se caressent à peine avant de plonger dans l'eau
fraîche. j'hésite avant de me déshabiller, après un moment d'hésitation je fais comme
elles. L'eau est bonne, nous nous amusons à nous asperger comme des gamines. Jo fait
la planche quand Rose s'approche d'elle en lui écartant les jambes. Devant moi, sans
gêne, elle passe sa main sur la chatte de ma tante qui ferme les yeux. Elle pousse de
nombreux soupirs de plaisir, quand Rose remplace les doigts par sa bouche. Je suis à
nouveau excitée, je passe ma main entre mes cuisses. Je ne me gêne plus pour me
branler devant elles.
Dès que je jouis, je sors de l'eau Rose me demande si j'ai pris mon plaisir. Je ne
cache rien, je réponds la vérité : oui, j'ai eu un bon orgasme. J'avoue que me baigner
nue me paraît la meilleure des solutions : pas besoin de maillot, ni autre
serviette. Je monte lentement dans ma chambre. Je prend le gode, l'examine dans tous
les sens. Il vibre, ce qui ajoute à mon excitation. Si mon copain me voyait, il me la
mettrait directement dans le cul. Ça doit être bon avec le gode devant et sa queue
dans le cul. Il faudra que je le lui demande après à mon retour.
J'écarte lentement les jambes en caressant l'intérieur de mes cuisses. Je fais comme
s'il me pelotait. Je trouve bien sur mon bouton, je le fais sortir de sa cachette, je
le caresse doucement. Sans le faire exprès je jouis. Tant mieux finalement : je vais
recommencer. Je suis toujours mouillée. Je prends le gode, en le mettant en route pour
voir simplement comment ça fait dans la main. J'en frissonne en pensant au plaisir que
je vais avoir. Lentement je le rentre dans mon intimité. Je le pousse à fond, jusqu'à
le sentir sur une zone sensible au fond du vagin. Je le laisse en place avant de le
faire marcher. J'hésite beaucoup avant de tourner le curseur.
Je met en route le machin. Je sursaute de plaisir quand il vibre dans mon con. Je le
fais aller et venir, il doit être sur mon point G pour me faire tant jouir. Je cri
trop fort sans doute. Les autres savent que je me masturbe maintenant. Et puis, zut,
c'est trop bon, je continue longtemps. J'arrête les vibrations en le laissant dedans.
J'ai tellement eu d'orgasmes que je m'endors avec l'amant de ma tante dans le ventre.
En bougeant je me réveille avec le gode en place. Quand je commence à le sortir, je
ressent encore du plaisir. Je me branle encore une fois, ainsi que le matin au réveil.
Au petit déjeuner les deux amantes sont nues. Elles se cajolent devant moi. Elles me
donnent envie de me mêler à leurs étreintes.
J'ai envie moi aussi de jouir avec vous.
Ce te prends comme ça ?
Non, je vous ai vu faire, ça me donne des envies, baisez moi s'il vous plaît. Je
n'attends pas longtemps les lèvres de Rose qui semble mener le couple. Sa langue
cherche à pénétrer dans ma bouche que j'ouvre pour qu'elle me fasse ce qui lui plaît.
Une main passe à l'intérieur de mes cuisses, lentement monte vers ma chatte qui est
entièrement mouillée. Heureusement que je suis nue, sinon je tâcherais ce que je
porte.
Rose entre deux ou trois doigts, je ne sais pas exactement, dans mon vagin elle les
fait aller et venir de plus en plus vite. C'est bon, encore meilleur que ce que je
pensais. C'est au moins aussi bon qu'une bite. Je ne peux tenir longtemps. Je me
laisse aller vers le sublime. Mes spasmes doivent être forts puisque les doigts de
Rose sortent difficilement.
Pour une première c'est une réussite. J'ai excité les femmes qui maintenant devant moi
se masturbent, les fesses contre la table. Elles aussi mettent des doigts dans ou sur
la chatte de l'autre amante. J'entends les soupirs de contentement.
Le reste de la journée est simple. Nous devons aller nous balader dans l'arrière pays.
Nous passons ce que nous avons de plus léger, à moitié nues, nous partons sur les
routes. Nous nous arrêtons pour le pique nique dans un pré près d'une rivière.
Personne n'est en vu, Jo la première décide d'aller prendre un rafraîchissant bain.
Elle est vite nue. Je la suis de près. Elle m'accueille par un long baiser. Je prend
la décision de la masturber, seule devant Rose qui nous regarde, nue elle aussi, sa
main sur sa chatte. Elle se masturbe dans la même cadence que j'ai donné à ma main. Je
suis derrière Jo, mon pubis contre ses fesses. Mes mains passent devant facilement. Si
je la caresse au début sur le clitoris j'entre trois doigts dans son con. Elle est
chaude dedans, pire que moi. Je mets mon autre main entre ses fesses pour trouver son
cul. Là, sans forcer j'entre un seul doigt, le majeur. Je le fais aller et venir. Je
sens les muscles de son anus s'ouvrir et se fermer, sauf quand elle jouit. Ses spasmes
sont puissants presque trop.
Rose vient nous rejoindre. Si elle est là, c'est qu'elle a envie de moi, de mon corps
jeune, agréable, sexy, ouvert à sa déchéance. Elle me masturbe comme souvent avec ses
trois doigts. Elle me fais jouir sans que je puisse lui faire autre chose que regarder
la main de ma tante qui la caresse.
Nous formons un drôle de trio de lesbienne, car je crois bien l'être devenue. Depuis
quelques jours je le suis lancé dans les cunnilingus : j'aime ça, mieux qu'une bite.
J'ai commencé par le sexe de Jo, puis comme elle aime ça, j'ai continuer par celui de
Rose. J'ai trouvé une légère différence de goût sans plus. Mais les deux sexes sont
différents par des petits détails. Je préfère de con de ma tante, il est plein de
machins en plus. Depuis j'aime aussi les 69. Nous avons même essayer de nous lécher à
trois pour un résultat médiocre.
Se ne sont plus des vacances, se sont des plaisirs mufti-quotidiens. Je téléphone à ma
mère pour lui dire que je continue à passer le reste des vacance chez ma tante. Elle
accepte bien sur étonnée quand même. Si elle savait pourquoi. Et mon copain qui doit
se branler en pensant à mon corps ? Je m'en fiche, j'ai mes rations quotidiennes
d'orgasmes.