ma trop jolie nèce 3
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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ma trop jolie nèce 3
Après l'avoir copieusement peloté, marjo m'a taillé la plus belle pipe de ma vie. elle me demanda ensuite de la déflorer...
Je m’apercevais alors que je ne maîtrisait plus du tout la situation, mais que bien au contraire, c’est elle qui dirigeait les opérations. En fait, c’est moi qui me faisais baiser par cette petite putain. Mais devant une telle invite, quel homme aurait pu résister ? Pas moi en tout cas et sans plus attendre j’allais lui donner satisfaction et je l’allongeais en travers du lit,
Totalement impudique, Marjo écartait et relevait les cuisses au maximum, écartant les grandes lèvres de ses doigts et la vision de sa touffe blonde et de sa chatte grande ouverte me refit instantanément bander. Je posais ma bouche sur un sein au téton hyper tendu et dur comme du bois, puis sur l’autre. Après avoir titiller quelques instants ses splendides nibards, je continuais mon exploration, descendant vers le nombril dans lequel ma langue se perdit un moment avant de continuer vers la touffe.
Mes lèvres embrassaient les rares poils blonds et bouclés de ma maîtresse. Je bouffais cette petite touffe à pleine bouche tandis que mes mains préparaient la vulve dégoulinante de Marjorie. Elles écartaient les grandes lèvres pourtant déjà bien ouvertes et titillaient les petites lèvres roses. Marjo poussait de petits cris de bonheur et lorsque ma langue prit le relais de mes mains et qu’elles fouillèrent ce con si largement offert, elle lâcha littéralement un râle de plaisir. Il faut dire que je venais de trouver son petit bouton bien dur et qui entrait lui aussi en érection. Son clito doubla en effet de volume et un nouveau jet de cyprine m’inonda la bouche. Elle m’avait bien dit que son clitoris attendait mes caresses, mais je pensais pas que c’était à se point. Marjorie soulevait son cul pour que ma langue s’enfonce un plus encore dans son vagin. La position de ma belle et jeune amante me donna l’idée de venir explorer une partie encore plus intime de son corps. Ma langue abandonna un moment ce joli con qu’elle fouillait pour descendre sur son petit trou du cul plissé. Je lui écartais les fesses avec mes mains et l’orifice ainsi largement dévoilé se décontracta rapidement sous l’action experte de ma langue. Jamais je n’avais pris autant de plaisir à pratiquer une telle pétale de rose. Il faut dire que la différence d’age et la parenté qui me liait a cette adorable salope y étaient pour quelque chose ! Marjorie était littéralement en transe et avait perdu dans cette occasion le peu d’éducation qui lui restait. Elle avait adopté un langage que j’osais moi-même à peine utiliser.
“ Ho que c’est bon ! Oui, fouille mon cul ! Doigte-le, dilate le bien pour pouvoir m’enculer ! Baise-moi, encule-moi, fourre ta queue dans tous mes trous ! Je suis ta chienne, ta chose, ta salope ! Fais-moi jouir comme une vieille pute !
Vite ! Enfonce ton pieu dans mon con, fais sauter cette putain de pastille ! Ramone-moi la chatte ! ”
Comment voulez-vous résister à un tel appel ! J’abandonnai donc son trou du cul et je lui écartais au maximum les cuisses avant de venir m’installer sur elle. Ma queue lui labourait la vulve et n’y tenant plus, Marjorie vint la guider elle-même vers l’entrée de son gouffre secret. Mon gland s’inséra très facilement dans la chatte grande ouverte mais vint buter contre l’hymen encore présent. Un coup de rein et la fleur de Marjo vola en éclat ! La jeune dépucelée poussa un petit cri bref quant sa pastille sauta, mais immédiatement elle souleva son bassin pour permettre à mon braquemart d’entrer plus profondément.
Marjorie s’avérait être une partenaire formidable ! Tandis que mes coups de boutoirs emplissaient son petit con, elle balançait les hanches de droite à gauche et lançait son bassin en avant de telle sorte que ma queue venait taper contre le fond de son vagin.
“ Viens encore, plus profond, plus vite, baise-moi à fond, ho ouiii, je vais jouir! Vas-y lamine moi-moi bien! Ho que c’est bon ta bite qui perfore mon ventre ! Continue ! Défonce ma chatte ! ”
Je sentais que j’allais lâcher ma purée aussi j’ai prévenu Marjorie que j’allais me retirer pour juter sur son pubis et sur sa fente, mais elle m’en empêcha :
“ Non, éjacule dans ma chatte ! Je veux sentir ta liqueur dans mon vagin ! De toute façon je prend la pilule ”
Un long flot de sperme s’échappa alors de ma tige et inonda son con. Marjo au même moment eut un orgasme gigantesque et hurla de plaisir. Je venais de faire de ma nièce, de ma filleule, cette gamine de 18 ans, ma maîtresse, ma femme, mon amante.
Je me retirais enfin de cette fente si accueillante et je repris la succion de ses tétons pendant que mes mains remplaçaient ma queue dans sa chatte et sur son anus...
Mais Marjo visiblement en demandait encore plus. Après quelques courtes minutes de récupération passées à se caresser, Marjorie reprenait de l’activité et essayait de diriger ma queue à nouveau vers sa fente. J’avais personnellement d’autres idées en tête et je me laissais glisser à côté de ma jeune maîtresse. Elle cru un instant que j’étais trop fatigué pour reprendre nos ébats et je vis une jolie moue se dessiner sur son visage. Je lui fis comprendre alors immédiatement que pour moi aussi on en était qu’au premier round et que la suite allait la combler.
Une fois installer sur le dos, ma queue triomphante pointée vers le plafond de la chambre, je l’invitais à venir sur moi. Elle me chevaucha sans se faire prier et je sentais sa vulve toute mouillée contre mon ventre. L’effet fut immédiat et mon pieu pris encore quelques centimètres de plus. La tenant par les fesses que je pétrissais au passage, je l’installais au dessus de mon braquemart et elle n’eut plus que se laisser descendre pour venir s’empaler.
Cette deuxième pénétration eut l’air de lui plaire car elle gémit aussitôt et très vite elle se dandina. Elle avait très vite compris que c’est elle qui dirigeait les opérations et qui prenait son pied comme elle l’entendait.
Sa croupe remuait sans cesse de plus en plus vite. Elle masturbait elle même ma queue avec son con pourtant bien dilaté. Forcément, le déhanchement de plus en plus rapide qu’elle imposait à son bassin faisait également remuer ses seins et j’avais devant mes yeux le spectacle hallucinant de ces deux superbes mamelles qui ballottaient dans tous les sens. J’attirais alors ma jeune nièce vers moi et pris un téton en bouche, tandis que mes mains se chargeaient de les malaxer.
J’aspirais goulûment cette splendide aréole rosée qu’une de mes mains faisait saillir davantage. Ce nichon m’affolait totalement et je le tétais comme un nouveau né. Marjorie râlait de plaisir et en demandais encore plus. Je joignis alors les 2 bouts de ses mamelons et je les pris tous les 2 dans ma bouche avide. Marjo était aux anges... et moi aussi ! Elle accentuait encore le va et vient de son con sur ma queue et bientôt, je ne pu plus me retenir et pour la deuxième fois je balançais ma purée dans sa chatte.
“ Ah!!! Oui mon chéri, que c’est bon! J’aime comme tu me baises! Ne t’arrête pas mon amour. Fais moi encore jouir... ”
Je ne pensais plus alors qu’à donner du plaisir à cette petite salope de nièce, à cette gamine tout juste majeure qui venait de m’envoûter. Je ne me contrôlais plus. Son corps me fascinait et je n’avais en tête que de la baiser encore et encore...
Pendant encore quelques longues minutes nous avons continuer à baiser, elle, empalée sur ma queue qui ne ramollissait toujours pas et moi qui donnait de furieux coups de boutoir pour bien envahir sa chatte tellement dilatée.
Marjorie se retira elle-même enfin et s’allongea de tout son long sur moi. Je sentais ses seins écrasés contre mon torse, sa petite touffe contre mon ventre et sa fente appuyée contre ma queue redevenue enfin toute molle. C’est elle qui vint embrasser mes lèvres et en forcer le passage avec sa langue. Bientôt, nos 2 langues s’entrelacèrent et nos salives s’échangèrent. Sentir ce corps juvénile, ferme et doux à la fois contre le mien décuplait mes envies et mes mains se mirent a pétrir ce magnifique petit cul, ces jolies fesses roses rondes et dures comme de la pierre.
Sans vraiment m'en rendre compte, mes doigts se promenaient maintenant sur la raie des fesses et allaient de la fente aux reins, sans oublier de passer sur son anus. Puis inconsciemment, mon majeur s'arrêta sur sa petite rosette et commença à la masser. Marjorie réagit immédiatement. Elle se cambra et poussa un râle de plaisir. Je m'attardais donc un peu plus sur ce petit trou intime. Mes doigts que j'avais enduit du foutre prélever dans sa chatte maintenant massaient savamment son oignon. Par pressions d'abord légères puis de plus en plus appuyées, je travaillais cet anus qui, je le sentais se relâchait. Bientôt, je pus introduire un doigt dans ce petit trou, puis un deuxième. Marjo appréciait beaucoup ce traitement car elle râlait doucement. La position n'étant pas des plus confortable, je m'extirpais de ma sous ma jolie maîtresse et vint me placer derrière elle. Je commençais par poser ma langue sur son bel anus puis mes doigts reprirent leur place dans cet oignon qui m'était offert. Marjorie maintenant criait de bonheur. Cette fouille de son intimité, secrète semblait lui procurer un bonheur intense. Je me mis alors à penser que ça, allait être l'extase quand ma queue qui avait retrouvé toute sa rigidité remplacerait mes doigts.
N’y tenant plus, j’ôtais mes doigts de sa caverne plissée et approchait mon gland turgescent et monstrueux. Je l’appuyais doucement contre l’entrée de cette grotte puis l’enlevais et l’appuyais à nouveau. Ce manège la rendait littéralement folle. Elle s’imaginait à chaque pression que j’allais la défoncer, et à chaque recul elle laissait échapper un gémissement de déception. N’en pouvant plus, elle essayait de s’empaler elle-même le cul sur ma bite par des coups de cul, mais je la tenais fermement par ses merveilleuses hanches. J’écartais enfin ses fesses au maximum afin de bien dégager l’entrée de son intimité et appuyais plus fermement ma queue. Un premier coup de boutoir et mon gland pénétrait dans son cul.
«Aieeeee !!!! Ça fait mal ! Mais j’aime ça ! Ouiiiiiii, vas-y parrain, a fond défonce-moi le cul à fond!!! »
Un 2ème coup sec et me voilà, la queue presque totalement dans son cul. C’est Marjorie, d’un coup de rein violent et inattendu qui termina la besogne. Mon madrier était maintenant entièrement dans l’oignon de ma jeune maîtresse qui hurlait de plaisir. Il fallait la voir se dandiner, remuer son cul pour bien sentir mon braquemart dans ses entrailles! Mes couilles frappaient contre ses miches. Dans le miroir accroché au mur, j’apercevais les magnifiques nibards de Marjo ballotter. Cette fille me rendait complètement fou. Je la pistonnais maintenant violemment. Chaque coup de boutoir arrachait à la petite salope un cri de bonheur. Je la maintenais fermement d’une main tandis que l’autre glissait vers sa fente que je pénétrais. Nouvel extase de ma petite pute.
Je ne pus pas me retenir plus longtemps et sans la prévenir, je lâchais une giclée de foutre dans son cul. Au même moment, elle jouit encore plus fort que quand je l’ai dépucelée.
« Haaaa, ouiiii, c’est bon! J’aime ça! Encore parrain....Continue, encore plus fort! Rentre encore plus loin! Défonce mon cul! Ooouuuiiiii comme ça! C’est bonnn!!! Je t’aime mon chéri! J’aime ta queue, j’aime ton foutre! Encule-moi encore! »
Une seconde rasade de foutre arrivait, mais je me retirais alors de ma filleule chérie pour la lâcher sur son cul. Dans la superbe raie du cul qu’elle m’offrait. Ma liqueur descendait maintenant sur son trou du cul puis continuait vers sa chatte en feu.
Marjorie en voulait plus encore... Elle prit elle-même ma queue à pleine main et la ramena sur son petit trou. Viens, remet le couvert Parrain, mon cul n’en a pas eu encore assez. ! Vous pourriez résister à une telle demande? Pas moi ! Aussi ma queue étant encore suffisamment raide, je l’enfonçais à nouveau dans l’anus dilaté de ma jeune maîtresse. Cette fois-ci, mon braquemart pénétra sans peine. Je pilonnais donc à nouveau le cul de cette chienne en rut. De grands coups de boutoirs bien appuyés. Je retirais totalement ma bite puis l’enfonçais à nouveau à fonds. On entendait le bruit sec de mes couilles qui battaient contre les merveilleuses fesses bien rondes et potelées de la petite salope. A chaque coup de boutoir, je lui claquais le cul et ses miches commençaient à rougir. Elle avait mal mais elle en redemandait. Passant une main entre ses cuises, Marjo vint pétrir mes burnes ce qui eut pour effet de me faire à nouveau décharger le peu de foutre qui me restait dans l’anus totalement dilaté.
A bout de force, je me retirais, à regret et m’allongeais sur le dos, épuisé.
Marjorie devait aussi avoir laisser pas mal de force dans la bataille car elle ne protesta pas cette fois et vint s’allonger à côté de moi, pantelante.
Reprenant enfin conscience, on se rendit compte que cela faisait bientôt une heure qu’on se tringlait et que les autres n’allaient pas tarder à revenir.
Une bonne douche fût décidée. Je proposais à Marjo d’y aller la première.
Elle se leva langoureusement et le spectacle de ce jeune corps repu d’amour, luisant de sueur et de foutre me fit instantanément rebander. C’est pourquoi je décidais de la suivre dans la salle de bains.
Je montais avec elle dans la baignoire et tandis qu’elle s’aspergeait d’eau avec la pomme de la douche, je me plaçais derrière elle, la queue contre la raie de ses fesses, les mains plaquées sur ses seins.
- »Non parrain, c’est pas raisonnable, les autres vont revenir.... »
Elle mettait bien peu de conviction dans ces protestations et lorsque ma main vint se poser sur sa chatte, c’est plus un petit gémissement de plaisir qu’une réprimande que j’entendis....
Elle avait maintenant reposé la douche et elle guidait elle -même ma main dans son petit con. L’autre main pétrissait ses si jolis nichons dont les tétons étaient à nouveau durs et érigés. Ma queue ne restait pas inactive et je la frottais contre l’anus de ma jeune maîtresse.
C’est Marjorie qui la première a craqué.
- »Hoooo mon chéri, tant pis si on se fait surprendre.... Mais j’ai trop envie.... défonce-moi encore... »
Je ne désobéi pas à un tel ordre et je la fis je pencher en avant, jambes écartées, mains contre le mur de la salle de bain. Dans cette position, les seins de marjo pendaient un peu et je malaxais généreusement. J’ai pris un téton dans chaque main et je les étirais. La petite pute eut l’air d’aimer ce traitement car elle se mit à lâcher un long râle de bonheur. Je ne pouvais plus la faire attendre plus longtemps et lâchant ses pointes de seins, je dirigeai mon madrier vers l’entrée de sa fente déjà largement ouverte et dégoulinante de cyprine.
Il ne me fallu qu’un ou deux coups de boutoirs pour envahir entièrement à nouveau ce con qui était encore vierge il y a même pas une heure et qui subissait les assauts de mon pieu pour la troisième fois avec le même désir bestial. Je limais cette chatte impudiquement offerte à cadence de plus en plus soutenue, chaque coup de queue arrachant un nouveau gémissement.
Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps comme ça et que bientôt une nouvelle giclée de foutre allait prouver ma jouissance à cette gamine. Comme il faudrait quand même finir par mettre fin à cette orgie, je voulus terminer en beauté et je retirais prestement mon dard de sa chatte, non sans un cri de protestation de sa part, mais bien vite étouffé quand elle comprit que maintenant je m’attaquais pour la deuxième fois à a rondelle intime.
Cette fois-ci, le chemin ayant déjà été forcé peu de temps auparavant, je n’eus aucun mal à introduire da bite dans ce cul tellement accueillant. Marjorie avait d’ailleurs lâché le mur d’un main afin d’écarter elle-même une fesse pour me faciliter le passage ! Décidément cette petite apprenait bien vite et je ne doutais pas qu’elle soit par la suite un sacré bon coup pour ses copains....Mais pour l’heure c’est moi qui en profitais et je ne boudais pas mon plaisir. Une fois mon gland facilement introduit, c’est elle qui par deux coups de reins en arrière vint s’empaler totalement sur ma queue. J’entrepris alors de la pistonner sauvagement. Je donnais de grands coups de boutoirs, mon membre démesuré s’enfonçait un plus chaque fois dans ce cul de rêve, mes couilles cognaient contre les fesses dodues et fermes et les cris que ne pouvaient pas maîtriser ma filleule étaient autant des cris de douleurs que de plaisir. Il faut dire que maintenant, je ne pensais plus du tout à l’âge de ma partenaire mais je pensais uniquement à mon plaisir et je l’enculais rageusement, ses cris m’encourageant au contraire à la défoncer encore plus fort....
Mes mains avaient quitté ses hanches et pétrissaient, malaxaient, brutalisaient à nouveau ses seins. J’enfonçais mes ongles dans sa peau, étirais, pinçais ses tétons meurtris tout en continuant de limer sauvagement son étroit fourreau. J’embrassais, je mordillais son cou et je me rendis compte qu’involontairement je lui avais fait un énorme suçon sur l’épaule !
Je n’étais plus homme faisant l’amour à une merveilleuse jeune femme, non j’étais devenu une bête sauvage assouvissant ses besoins d’accouplement.
Après quelques minutes de cette orgie, c’est un nouveau long jet de foutre qu’elle recueillit au fond de ses entrailles.
Quand je suis enfin sorti de cet oignon rougi par le pistonnage furieux qu’il venait de subir je remarquais que Marjorie pleurait doucement. Je bus ses larmes et je retrouvais toute ma tendresse...
- »tu m’as fait mal parrain..... Mais c’était si bon... Tu m’as enfin prise comme toutes les salopes que tu sautes d’habitudes et non pas comme ta pauvre petite filleule qui voulait être déniaisée... merci de m’avoir aimer comme ça... «
Elle interrompit sa phrase en plongeant sa langue dans ma bouche en un baiser passionné....
On a pris enfin notre douche et on s’est vite rhabillé.
Je m’apercevais alors que je ne maîtrisait plus du tout la situation, mais que bien au contraire, c’est elle qui dirigeait les opérations. En fait, c’est moi qui me faisais baiser par cette petite putain. Mais devant une telle invite, quel homme aurait pu résister ? Pas moi en tout cas et sans plus attendre j’allais lui donner satisfaction et je l’allongeais en travers du lit,
Totalement impudique, Marjo écartait et relevait les cuisses au maximum, écartant les grandes lèvres de ses doigts et la vision de sa touffe blonde et de sa chatte grande ouverte me refit instantanément bander. Je posais ma bouche sur un sein au téton hyper tendu et dur comme du bois, puis sur l’autre. Après avoir titiller quelques instants ses splendides nibards, je continuais mon exploration, descendant vers le nombril dans lequel ma langue se perdit un moment avant de continuer vers la touffe.
Mes lèvres embrassaient les rares poils blonds et bouclés de ma maîtresse. Je bouffais cette petite touffe à pleine bouche tandis que mes mains préparaient la vulve dégoulinante de Marjorie. Elles écartaient les grandes lèvres pourtant déjà bien ouvertes et titillaient les petites lèvres roses. Marjo poussait de petits cris de bonheur et lorsque ma langue prit le relais de mes mains et qu’elles fouillèrent ce con si largement offert, elle lâcha littéralement un râle de plaisir. Il faut dire que je venais de trouver son petit bouton bien dur et qui entrait lui aussi en érection. Son clito doubla en effet de volume et un nouveau jet de cyprine m’inonda la bouche. Elle m’avait bien dit que son clitoris attendait mes caresses, mais je pensais pas que c’était à se point. Marjorie soulevait son cul pour que ma langue s’enfonce un plus encore dans son vagin. La position de ma belle et jeune amante me donna l’idée de venir explorer une partie encore plus intime de son corps. Ma langue abandonna un moment ce joli con qu’elle fouillait pour descendre sur son petit trou du cul plissé. Je lui écartais les fesses avec mes mains et l’orifice ainsi largement dévoilé se décontracta rapidement sous l’action experte de ma langue. Jamais je n’avais pris autant de plaisir à pratiquer une telle pétale de rose. Il faut dire que la différence d’age et la parenté qui me liait a cette adorable salope y étaient pour quelque chose ! Marjorie était littéralement en transe et avait perdu dans cette occasion le peu d’éducation qui lui restait. Elle avait adopté un langage que j’osais moi-même à peine utiliser.
“ Ho que c’est bon ! Oui, fouille mon cul ! Doigte-le, dilate le bien pour pouvoir m’enculer ! Baise-moi, encule-moi, fourre ta queue dans tous mes trous ! Je suis ta chienne, ta chose, ta salope ! Fais-moi jouir comme une vieille pute !
Vite ! Enfonce ton pieu dans mon con, fais sauter cette putain de pastille ! Ramone-moi la chatte ! ”
Comment voulez-vous résister à un tel appel ! J’abandonnai donc son trou du cul et je lui écartais au maximum les cuisses avant de venir m’installer sur elle. Ma queue lui labourait la vulve et n’y tenant plus, Marjorie vint la guider elle-même vers l’entrée de son gouffre secret. Mon gland s’inséra très facilement dans la chatte grande ouverte mais vint buter contre l’hymen encore présent. Un coup de rein et la fleur de Marjo vola en éclat ! La jeune dépucelée poussa un petit cri bref quant sa pastille sauta, mais immédiatement elle souleva son bassin pour permettre à mon braquemart d’entrer plus profondément.
Marjorie s’avérait être une partenaire formidable ! Tandis que mes coups de boutoirs emplissaient son petit con, elle balançait les hanches de droite à gauche et lançait son bassin en avant de telle sorte que ma queue venait taper contre le fond de son vagin.
“ Viens encore, plus profond, plus vite, baise-moi à fond, ho ouiii, je vais jouir! Vas-y lamine moi-moi bien! Ho que c’est bon ta bite qui perfore mon ventre ! Continue ! Défonce ma chatte ! ”
Je sentais que j’allais lâcher ma purée aussi j’ai prévenu Marjorie que j’allais me retirer pour juter sur son pubis et sur sa fente, mais elle m’en empêcha :
“ Non, éjacule dans ma chatte ! Je veux sentir ta liqueur dans mon vagin ! De toute façon je prend la pilule ”
Un long flot de sperme s’échappa alors de ma tige et inonda son con. Marjo au même moment eut un orgasme gigantesque et hurla de plaisir. Je venais de faire de ma nièce, de ma filleule, cette gamine de 18 ans, ma maîtresse, ma femme, mon amante.
Je me retirais enfin de cette fente si accueillante et je repris la succion de ses tétons pendant que mes mains remplaçaient ma queue dans sa chatte et sur son anus...
Mais Marjo visiblement en demandait encore plus. Après quelques courtes minutes de récupération passées à se caresser, Marjorie reprenait de l’activité et essayait de diriger ma queue à nouveau vers sa fente. J’avais personnellement d’autres idées en tête et je me laissais glisser à côté de ma jeune maîtresse. Elle cru un instant que j’étais trop fatigué pour reprendre nos ébats et je vis une jolie moue se dessiner sur son visage. Je lui fis comprendre alors immédiatement que pour moi aussi on en était qu’au premier round et que la suite allait la combler.
Une fois installer sur le dos, ma queue triomphante pointée vers le plafond de la chambre, je l’invitais à venir sur moi. Elle me chevaucha sans se faire prier et je sentais sa vulve toute mouillée contre mon ventre. L’effet fut immédiat et mon pieu pris encore quelques centimètres de plus. La tenant par les fesses que je pétrissais au passage, je l’installais au dessus de mon braquemart et elle n’eut plus que se laisser descendre pour venir s’empaler.
Cette deuxième pénétration eut l’air de lui plaire car elle gémit aussitôt et très vite elle se dandina. Elle avait très vite compris que c’est elle qui dirigeait les opérations et qui prenait son pied comme elle l’entendait.
Sa croupe remuait sans cesse de plus en plus vite. Elle masturbait elle même ma queue avec son con pourtant bien dilaté. Forcément, le déhanchement de plus en plus rapide qu’elle imposait à son bassin faisait également remuer ses seins et j’avais devant mes yeux le spectacle hallucinant de ces deux superbes mamelles qui ballottaient dans tous les sens. J’attirais alors ma jeune nièce vers moi et pris un téton en bouche, tandis que mes mains se chargeaient de les malaxer.
J’aspirais goulûment cette splendide aréole rosée qu’une de mes mains faisait saillir davantage. Ce nichon m’affolait totalement et je le tétais comme un nouveau né. Marjorie râlait de plaisir et en demandais encore plus. Je joignis alors les 2 bouts de ses mamelons et je les pris tous les 2 dans ma bouche avide. Marjo était aux anges... et moi aussi ! Elle accentuait encore le va et vient de son con sur ma queue et bientôt, je ne pu plus me retenir et pour la deuxième fois je balançais ma purée dans sa chatte.
“ Ah!!! Oui mon chéri, que c’est bon! J’aime comme tu me baises! Ne t’arrête pas mon amour. Fais moi encore jouir... ”
Je ne pensais plus alors qu’à donner du plaisir à cette petite salope de nièce, à cette gamine tout juste majeure qui venait de m’envoûter. Je ne me contrôlais plus. Son corps me fascinait et je n’avais en tête que de la baiser encore et encore...
Pendant encore quelques longues minutes nous avons continuer à baiser, elle, empalée sur ma queue qui ne ramollissait toujours pas et moi qui donnait de furieux coups de boutoir pour bien envahir sa chatte tellement dilatée.
Marjorie se retira elle-même enfin et s’allongea de tout son long sur moi. Je sentais ses seins écrasés contre mon torse, sa petite touffe contre mon ventre et sa fente appuyée contre ma queue redevenue enfin toute molle. C’est elle qui vint embrasser mes lèvres et en forcer le passage avec sa langue. Bientôt, nos 2 langues s’entrelacèrent et nos salives s’échangèrent. Sentir ce corps juvénile, ferme et doux à la fois contre le mien décuplait mes envies et mes mains se mirent a pétrir ce magnifique petit cul, ces jolies fesses roses rondes et dures comme de la pierre.
Sans vraiment m'en rendre compte, mes doigts se promenaient maintenant sur la raie des fesses et allaient de la fente aux reins, sans oublier de passer sur son anus. Puis inconsciemment, mon majeur s'arrêta sur sa petite rosette et commença à la masser. Marjorie réagit immédiatement. Elle se cambra et poussa un râle de plaisir. Je m'attardais donc un peu plus sur ce petit trou intime. Mes doigts que j'avais enduit du foutre prélever dans sa chatte maintenant massaient savamment son oignon. Par pressions d'abord légères puis de plus en plus appuyées, je travaillais cet anus qui, je le sentais se relâchait. Bientôt, je pus introduire un doigt dans ce petit trou, puis un deuxième. Marjo appréciait beaucoup ce traitement car elle râlait doucement. La position n'étant pas des plus confortable, je m'extirpais de ma sous ma jolie maîtresse et vint me placer derrière elle. Je commençais par poser ma langue sur son bel anus puis mes doigts reprirent leur place dans cet oignon qui m'était offert. Marjorie maintenant criait de bonheur. Cette fouille de son intimité, secrète semblait lui procurer un bonheur intense. Je me mis alors à penser que ça, allait être l'extase quand ma queue qui avait retrouvé toute sa rigidité remplacerait mes doigts.
N’y tenant plus, j’ôtais mes doigts de sa caverne plissée et approchait mon gland turgescent et monstrueux. Je l’appuyais doucement contre l’entrée de cette grotte puis l’enlevais et l’appuyais à nouveau. Ce manège la rendait littéralement folle. Elle s’imaginait à chaque pression que j’allais la défoncer, et à chaque recul elle laissait échapper un gémissement de déception. N’en pouvant plus, elle essayait de s’empaler elle-même le cul sur ma bite par des coups de cul, mais je la tenais fermement par ses merveilleuses hanches. J’écartais enfin ses fesses au maximum afin de bien dégager l’entrée de son intimité et appuyais plus fermement ma queue. Un premier coup de boutoir et mon gland pénétrait dans son cul.
«Aieeeee !!!! Ça fait mal ! Mais j’aime ça ! Ouiiiiiii, vas-y parrain, a fond défonce-moi le cul à fond!!! »
Un 2ème coup sec et me voilà, la queue presque totalement dans son cul. C’est Marjorie, d’un coup de rein violent et inattendu qui termina la besogne. Mon madrier était maintenant entièrement dans l’oignon de ma jeune maîtresse qui hurlait de plaisir. Il fallait la voir se dandiner, remuer son cul pour bien sentir mon braquemart dans ses entrailles! Mes couilles frappaient contre ses miches. Dans le miroir accroché au mur, j’apercevais les magnifiques nibards de Marjo ballotter. Cette fille me rendait complètement fou. Je la pistonnais maintenant violemment. Chaque coup de boutoir arrachait à la petite salope un cri de bonheur. Je la maintenais fermement d’une main tandis que l’autre glissait vers sa fente que je pénétrais. Nouvel extase de ma petite pute.
Je ne pus pas me retenir plus longtemps et sans la prévenir, je lâchais une giclée de foutre dans son cul. Au même moment, elle jouit encore plus fort que quand je l’ai dépucelée.
« Haaaa, ouiiii, c’est bon! J’aime ça! Encore parrain....Continue, encore plus fort! Rentre encore plus loin! Défonce mon cul! Ooouuuiiiii comme ça! C’est bonnn!!! Je t’aime mon chéri! J’aime ta queue, j’aime ton foutre! Encule-moi encore! »
Une seconde rasade de foutre arrivait, mais je me retirais alors de ma filleule chérie pour la lâcher sur son cul. Dans la superbe raie du cul qu’elle m’offrait. Ma liqueur descendait maintenant sur son trou du cul puis continuait vers sa chatte en feu.
Marjorie en voulait plus encore... Elle prit elle-même ma queue à pleine main et la ramena sur son petit trou. Viens, remet le couvert Parrain, mon cul n’en a pas eu encore assez. ! Vous pourriez résister à une telle demande? Pas moi ! Aussi ma queue étant encore suffisamment raide, je l’enfonçais à nouveau dans l’anus dilaté de ma jeune maîtresse. Cette fois-ci, mon braquemart pénétra sans peine. Je pilonnais donc à nouveau le cul de cette chienne en rut. De grands coups de boutoirs bien appuyés. Je retirais totalement ma bite puis l’enfonçais à nouveau à fonds. On entendait le bruit sec de mes couilles qui battaient contre les merveilleuses fesses bien rondes et potelées de la petite salope. A chaque coup de boutoir, je lui claquais le cul et ses miches commençaient à rougir. Elle avait mal mais elle en redemandait. Passant une main entre ses cuises, Marjo vint pétrir mes burnes ce qui eut pour effet de me faire à nouveau décharger le peu de foutre qui me restait dans l’anus totalement dilaté.
A bout de force, je me retirais, à regret et m’allongeais sur le dos, épuisé.
Marjorie devait aussi avoir laisser pas mal de force dans la bataille car elle ne protesta pas cette fois et vint s’allonger à côté de moi, pantelante.
Reprenant enfin conscience, on se rendit compte que cela faisait bientôt une heure qu’on se tringlait et que les autres n’allaient pas tarder à revenir.
Une bonne douche fût décidée. Je proposais à Marjo d’y aller la première.
Elle se leva langoureusement et le spectacle de ce jeune corps repu d’amour, luisant de sueur et de foutre me fit instantanément rebander. C’est pourquoi je décidais de la suivre dans la salle de bains.
Je montais avec elle dans la baignoire et tandis qu’elle s’aspergeait d’eau avec la pomme de la douche, je me plaçais derrière elle, la queue contre la raie de ses fesses, les mains plaquées sur ses seins.
- »Non parrain, c’est pas raisonnable, les autres vont revenir.... »
Elle mettait bien peu de conviction dans ces protestations et lorsque ma main vint se poser sur sa chatte, c’est plus un petit gémissement de plaisir qu’une réprimande que j’entendis....
Elle avait maintenant reposé la douche et elle guidait elle -même ma main dans son petit con. L’autre main pétrissait ses si jolis nichons dont les tétons étaient à nouveau durs et érigés. Ma queue ne restait pas inactive et je la frottais contre l’anus de ma jeune maîtresse.
C’est Marjorie qui la première a craqué.
- »Hoooo mon chéri, tant pis si on se fait surprendre.... Mais j’ai trop envie.... défonce-moi encore... »
Je ne désobéi pas à un tel ordre et je la fis je pencher en avant, jambes écartées, mains contre le mur de la salle de bain. Dans cette position, les seins de marjo pendaient un peu et je malaxais généreusement. J’ai pris un téton dans chaque main et je les étirais. La petite pute eut l’air d’aimer ce traitement car elle se mit à lâcher un long râle de bonheur. Je ne pouvais plus la faire attendre plus longtemps et lâchant ses pointes de seins, je dirigeai mon madrier vers l’entrée de sa fente déjà largement ouverte et dégoulinante de cyprine.
Il ne me fallu qu’un ou deux coups de boutoirs pour envahir entièrement à nouveau ce con qui était encore vierge il y a même pas une heure et qui subissait les assauts de mon pieu pour la troisième fois avec le même désir bestial. Je limais cette chatte impudiquement offerte à cadence de plus en plus soutenue, chaque coup de queue arrachant un nouveau gémissement.
Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps comme ça et que bientôt une nouvelle giclée de foutre allait prouver ma jouissance à cette gamine. Comme il faudrait quand même finir par mettre fin à cette orgie, je voulus terminer en beauté et je retirais prestement mon dard de sa chatte, non sans un cri de protestation de sa part, mais bien vite étouffé quand elle comprit que maintenant je m’attaquais pour la deuxième fois à a rondelle intime.
Cette fois-ci, le chemin ayant déjà été forcé peu de temps auparavant, je n’eus aucun mal à introduire da bite dans ce cul tellement accueillant. Marjorie avait d’ailleurs lâché le mur d’un main afin d’écarter elle-même une fesse pour me faciliter le passage ! Décidément cette petite apprenait bien vite et je ne doutais pas qu’elle soit par la suite un sacré bon coup pour ses copains....Mais pour l’heure c’est moi qui en profitais et je ne boudais pas mon plaisir. Une fois mon gland facilement introduit, c’est elle qui par deux coups de reins en arrière vint s’empaler totalement sur ma queue. J’entrepris alors de la pistonner sauvagement. Je donnais de grands coups de boutoirs, mon membre démesuré s’enfonçait un plus chaque fois dans ce cul de rêve, mes couilles cognaient contre les fesses dodues et fermes et les cris que ne pouvaient pas maîtriser ma filleule étaient autant des cris de douleurs que de plaisir. Il faut dire que maintenant, je ne pensais plus du tout à l’âge de ma partenaire mais je pensais uniquement à mon plaisir et je l’enculais rageusement, ses cris m’encourageant au contraire à la défoncer encore plus fort....
Mes mains avaient quitté ses hanches et pétrissaient, malaxaient, brutalisaient à nouveau ses seins. J’enfonçais mes ongles dans sa peau, étirais, pinçais ses tétons meurtris tout en continuant de limer sauvagement son étroit fourreau. J’embrassais, je mordillais son cou et je me rendis compte qu’involontairement je lui avais fait un énorme suçon sur l’épaule !
Je n’étais plus homme faisant l’amour à une merveilleuse jeune femme, non j’étais devenu une bête sauvage assouvissant ses besoins d’accouplement.
Après quelques minutes de cette orgie, c’est un nouveau long jet de foutre qu’elle recueillit au fond de ses entrailles.
Quand je suis enfin sorti de cet oignon rougi par le pistonnage furieux qu’il venait de subir je remarquais que Marjorie pleurait doucement. Je bus ses larmes et je retrouvais toute ma tendresse...
- »tu m’as fait mal parrain..... Mais c’était si bon... Tu m’as enfin prise comme toutes les salopes que tu sautes d’habitudes et non pas comme ta pauvre petite filleule qui voulait être déniaisée... merci de m’avoir aimer comme ça... «
Elle interrompit sa phrase en plongeant sa langue dans ma bouche en un baiser passionné....
On a pris enfin notre douche et on s’est vite rhabillé.
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