ma trop jolie nièce
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
ma trop jolie nièce
J’ai aujourd’hui 58 ans, mais l’histoire se passe il y a sept ans. Je suis marié 2 fils. Pas de fille donc, mais une adorable petite nièce, c’est-à-dire la fille du frère de ma femme. Elle s’appelle Marjorie. Dès sa naissance, on a été attiré l’un vers l’autre. C’est pour cette raison qu’on m’a demandé d’être son parrain. Toute petite, quand elle venait à la maison, je m’en occupait comme des mes propres enfants, donnant le bain, l’habillant, etc... Très caline Marjorie adorait venir se blottir sur mes genoux et j’en étais très fier. Quand elle a grandi, rien à changer, à 7 ou 8 ans, je lui donnait toujours son bain, se montrer nue devant moi ne la dérangeait pas le moins du monde ! Puis elle a eu 13 ans. Sa poitrine a commencé a poussé mais à cet age là, elle n’avait plus besoin de moi pour la baigner ! Pas plus pudique pour autant, elle se promenait aisément devant moi en petite culotte, ou même sans. Puis est venu le jour ou elle a dû porter son premier soutien-gorge. Elle était aller l’acheter avec sa mère et quand elle est rentrée, j’étais présent, et très fière elle m’a annoncé qu’elle était une femme maintenant puisqu’elle allait mettre un soutien-gorge. Joignant le geste à la parole, elle s’est déshabillée et j’ai pu admirer ses charmants petits bourgeons. Parrain, à toi l’honneur m’a-t-elle dit, mets moi mon soutien-gorge. J’hésitais, mais encouragée par sa mère, je lui ai donc passé son soutifs. Je crois bien que c’est la première fois que j’ai vu ma filleule autrement que dans une gamine. Je crois bien que j’ai un peu bandé.
Les années ont passé, et pendant 4 ans je n’ai plus revu ma nièce dénudée. J’ai cependant pu voir son corps se transformer. Les petits bourgeons étaient à ne pas en douter devenus de jolis petits roberts, les fesses étaient plus rondes, plus fermes. Ca j’avais pu le constater au fil des ans, car Marjorie n’avait pas perdu son habitude de me faire des calins et je sentais les rondeurs de son corps s’épanouir.
Les choses ont changé le jour où nous sommes allés voir un parent à l’hôpital l’été de ses 18 ans. Marjorie était assise quand je suis arrivé. Je me suis penché pour l’embrasser et là j’ai pu constater qu’à coup sûr elle n’avait pas de soutien-gorge. Faute de siège, je suis resté debout, derrière ma jolie nièce et mon regard plongeait dans son décolleté. Quel charmant spectacle que la vision de la naissance de ses seins au galbe déjà bien plein. Comble de bonheur, elle s’est penchée un peu pour parler avec notre malade et là j’ai pu admirer une belle aréole rose et la pointe d’un téton.
J’avais pris ma décision, je ferais tout pour amener Marjorie dans mon lit. J’avais envie de faire l’amour avec cette enfant que j’avais vu grandir. Envie de baiser cette adolescente de 34 ans ma cadette.
L’occasion s’est présentée 3 semaines plus tard. Nous passions le week-end chez mon beauf et déjà le samedi soir, quand Marjorie est venue nous embrasser avant d’aller coucher, elle était en pyjama, et pendant le câlin traditionnel, par l’échancrure de la veste j’ai aperçu un sein, un merveilleux petit sein que j’ai eu envie de prendre dans ma main et de caresser, mais bien sûr je n’ai pas pu le faire...
Le lendemain, nos hôtes et ma femme sont allés au marché. Je suis resté à la maison prétextant un léger mal de crâne. J’étais assis dans le canapé devant la télé quand Marjorie s’est levée. Elle est venue m’embrasser, j’ai passer ma main autour sa taille et je sentais son corps encore tout chaud. Comme à son habitude, j’ai eu le droit au câlin. Elle s’est assise à coté de moi, la tête contre mon thorax et m’a donné quelques petits bisous dans le cou et sur la joue.
Puis elle s’est allongée, sa tête reposait sur mon bas ventre, presque sur mon sexe qui durcissait déjà. Comme à l’accoutumée je lui ai caressé une hanche. Marjorie était blottie contre moi comme un chaton. Ma main est lentement remontée sur sa taille, sur ses cotes, puis sur la face externe du sein. Marjorie aimait cette caresse car elle s’est alors redressée, venant poser sa bouche tout près de la mienne, en m’enlaçant. Dans la manoeuvre, un bouton de la veste avait cédé et j’apercevais maintenant la naissance d’un sein.
Prudemment, j’ai fait glissé ma main sur un nichon et je l’ai très doucement caressé. Marjorie n’a pas réagi. J’ai alors poussé mon avantage et j’ai pressé un peu plus fort, emprisonnant son nibard au creux de ma paume. Marjorie a alors gémi doucement et a posé tendrement ses lèvres sur ma bouche. Ho un baiser léger, furtif, mais pour moi un encouragement.
J’ai alors continué ma pression sur le doux globe chaud et ferme puis j’ai fait sauter un deuxième bouton de la veste de pyjama. Je voyais maintenant parfaitement la petite mamelle de Marjorie et mes doigts ont glissé dessus. Je tenais maintenant un sein dans la paume de ma main. Un doux sein, soyeux, chaud, une petite poire ferme avec une toute petite aréole rose terminée par un téton dur et charnu. Je l’ai un peu malaxé, craignant les réactions de ma filleule, mais loin de me repousser, elle appuya plus fortement ses lèvres sur les miennes et murmura à mon oreille : “ parrain.... c’est agréable, ne t’arrête pas.... caresse moi encore ”.
La suite plus tard...
Les années ont passé, et pendant 4 ans je n’ai plus revu ma nièce dénudée. J’ai cependant pu voir son corps se transformer. Les petits bourgeons étaient à ne pas en douter devenus de jolis petits roberts, les fesses étaient plus rondes, plus fermes. Ca j’avais pu le constater au fil des ans, car Marjorie n’avait pas perdu son habitude de me faire des calins et je sentais les rondeurs de son corps s’épanouir.
Les choses ont changé le jour où nous sommes allés voir un parent à l’hôpital l’été de ses 18 ans. Marjorie était assise quand je suis arrivé. Je me suis penché pour l’embrasser et là j’ai pu constater qu’à coup sûr elle n’avait pas de soutien-gorge. Faute de siège, je suis resté debout, derrière ma jolie nièce et mon regard plongeait dans son décolleté. Quel charmant spectacle que la vision de la naissance de ses seins au galbe déjà bien plein. Comble de bonheur, elle s’est penchée un peu pour parler avec notre malade et là j’ai pu admirer une belle aréole rose et la pointe d’un téton.
J’avais pris ma décision, je ferais tout pour amener Marjorie dans mon lit. J’avais envie de faire l’amour avec cette enfant que j’avais vu grandir. Envie de baiser cette adolescente de 34 ans ma cadette.
L’occasion s’est présentée 3 semaines plus tard. Nous passions le week-end chez mon beauf et déjà le samedi soir, quand Marjorie est venue nous embrasser avant d’aller coucher, elle était en pyjama, et pendant le câlin traditionnel, par l’échancrure de la veste j’ai aperçu un sein, un merveilleux petit sein que j’ai eu envie de prendre dans ma main et de caresser, mais bien sûr je n’ai pas pu le faire...
Le lendemain, nos hôtes et ma femme sont allés au marché. Je suis resté à la maison prétextant un léger mal de crâne. J’étais assis dans le canapé devant la télé quand Marjorie s’est levée. Elle est venue m’embrasser, j’ai passer ma main autour sa taille et je sentais son corps encore tout chaud. Comme à son habitude, j’ai eu le droit au câlin. Elle s’est assise à coté de moi, la tête contre mon thorax et m’a donné quelques petits bisous dans le cou et sur la joue.
Puis elle s’est allongée, sa tête reposait sur mon bas ventre, presque sur mon sexe qui durcissait déjà. Comme à l’accoutumée je lui ai caressé une hanche. Marjorie était blottie contre moi comme un chaton. Ma main est lentement remontée sur sa taille, sur ses cotes, puis sur la face externe du sein. Marjorie aimait cette caresse car elle s’est alors redressée, venant poser sa bouche tout près de la mienne, en m’enlaçant. Dans la manoeuvre, un bouton de la veste avait cédé et j’apercevais maintenant la naissance d’un sein.
Prudemment, j’ai fait glissé ma main sur un nichon et je l’ai très doucement caressé. Marjorie n’a pas réagi. J’ai alors poussé mon avantage et j’ai pressé un peu plus fort, emprisonnant son nibard au creux de ma paume. Marjorie a alors gémi doucement et a posé tendrement ses lèvres sur ma bouche. Ho un baiser léger, furtif, mais pour moi un encouragement.
J’ai alors continué ma pression sur le doux globe chaud et ferme puis j’ai fait sauter un deuxième bouton de la veste de pyjama. Je voyais maintenant parfaitement la petite mamelle de Marjorie et mes doigts ont glissé dessus. Je tenais maintenant un sein dans la paume de ma main. Un doux sein, soyeux, chaud, une petite poire ferme avec une toute petite aréole rose terminée par un téton dur et charnu. Je l’ai un peu malaxé, craignant les réactions de ma filleule, mais loin de me repousser, elle appuya plus fortement ses lèvres sur les miennes et murmura à mon oreille : “ parrain.... c’est agréable, ne t’arrête pas.... caresse moi encore ”.
La suite plus tard...
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