MA VENGEANCE. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA VENGEANCE. (1)
J’ai épousé Véronique, il y a cinq ans et depuis ce jour, j’ai pris soin qu’elle ait toutes choses qu’une jolie blonde de vingt-deux ans puisse rêver.
J’ai un travail qui lui permet de vivre à la maison et d’avoir tout ce qu’elle veut.
Je lui accepte tous ses caprices même si par moments ses envies semblent saugrenues.
Il m’arrive de partir deux mais jamais plus de trois jours consécutifs pour l’étranger pour passer des contrats ou livrer des machines-outils que je fabrique dans l’entreprise que j’ai créée.
Exceptionnellement et pour la première fois je pars pour six jours.
Chaque jour, je suis attentionné jusqu’au lit où je prends soin qu’une jeune femme comme elle ait du plaisir à la hauteur de sa beauté.
Elle a sa voiture coupée sport et je lui ai attribué un compte en banque renouvelé tous les mois qui l’autorise à dépenser ce qu’elle veut sans risquer de mettre l’entreprise en pérille.
Nous sommes nés le même jour à des années différentes.
Je viens d’avoir trente ans alors qu’elle a eu vingt-sept.
Nous avons fêté nos anniversaires pendant huit jours au soleil dans un hôtel de Marbella en Andalousie.
Nous sommes rentrés, car ce matin, je pars six jours à New York pour traiter une affaire phénoménale pour moi. J’ai emporté le contrat à une boîte allemande qui m’a toujours battu depuis des années.
• Au revoir mon cœur que vas-tu faire pendant tous ces jours ?
• Rien, je vais récupérer de nos jours de vacances où tu m’as épuisé.
Ces mots prononcés avec un large sourire me permettent de partir sereins.
Je gare ma voiture sur le parking de l’aéroport Perpignan Rivesaltes.
Arrivée dans la salle d’embarquement la rumeur d’une grève pour plusieurs jours des contrôleurs aériens annule mon départ.
J’appelle mon commercial qui est chez le client et en accord avec mon homologue américain, il traitera l’affaire et je reviendrais le voir suivant nos agendas.
Je retourne à la société pour envoyer un message d’excuse à mon homologue américain et faire savoir à mon responsable pendant mes absences de l’annulation de mon voyage.
Je quitte ma boîte et lorsque j’arrive à quelques mètres de chez, je vois la Mercédès de ma femme partir.
Je suis d’un naturel confiant, mais il y a moins de deux heures, elle se reposait et là où pouvait-elle aller.
Je la suis et je la vois entrer dans le parking souterrain d’un grand hôtel de la ville.
Mon malheur ou son malheur a voulu qu’une voiture parte et qu’une place de parking se vide et que je puisse me garer rapidement.
Pour entrer dans l’hôtel mon costume trois-pièces me permet de le faire sans que l’on me pose la moindre question.
J’ai le temps de me mettre derrière une colonne lorsque je la voie sortir de l’ascenseur menant au parking et se diriger vers le réceptionniste.
Je suis assez prêt pour entendre que la chambre 323 est au troisième étage.
L’escalier est à quelques mètres et ma forme entretenue tous les week-ends en salle l’hiver et dans un parc l’été d’arriver à l’étage avant madame en montant rapidement.
Cachée derrière la porte, elle passe à quelques centimètres de moi ce qui me permet de sentir son parfum qui me plait autant.
Elle frappe mais celui ou celle qui lui ouvre la fait entrer sans que je puisse saisir ce qu’ils se disent. La porte fermée, je suis bien avancé, car je me vois mal écouter derrière la porte.
Je passe devant lorsque la porte de la chambre voisine s’ouvre. Deux femmes de ménage en sortent avec le chariot de leur matériel.
• Laisse la porte ouverte, elle va passer contrôlée.
Elles ont fait deux mètres lorsque subrepticement je me glisse à l’intérieur.
Difficiles de se cacher dans une chambre sauf derrière les doubles-rideaux comme dans les films. Le lit est trop bas pour que je puise me glisser dessous.
La responsable entre, je l’entends tourner, venir à cinquante centimètres de moi regarder que la fenêtre soit bien fermée et j’ai la chance que sa tête soit tournée de l’autre côté.
Son inspection terminée, je l’entends aller dans la salle de bain et la porte claquée.
L’hôtel est de qualité mais très ancien et il y a une porte de communication.
Lorsque j’ouvre de mon côté la porte rembourrée étant censé arrêter les bruits, je suis presque assis sur le pied du lit et d’entendre mon épouse jouir sous les coups de sexe de son amant.
Il est inutile de chercher plus loin, lorsqu’ils ont fini de baiser avec de la part de ma femme des mots jamais prononcés avec moi et très explicites de ce qu’il lui fait.
• Fini moi comme cela et après tu m’enculeras.
• Il te la fait pendant vos vacances.
• Je t’avais promis que ma rosette t’était réservée, j’ai tenu parole, je lui ai toujours refusé.
Pour une jeune fille élevée au couvent des oiseaux le langage est très châtié.
Après leur première copulation, je les entends bouger et certainement s’allonger.
• Comment tu as fait avec Myriame pour partir de chez toi ?
• Je lui ai dit que j’avais trois jours de séminaire pour mon travail, nous avons trop jours pour que je te prouve mon amour.
Myriame, ce prénom me dit quelque chose comme la voix de celui qui fait de moi un cocu que je pense être immérité.
Mon meilleur copain d’enfance a une gentille femme qui a ce prénom et les intonations de la voix correspondent à celle de Gaétan qui me doit tout jusqu’à son entreprise filiale de la mienne et qui me fabrique des composants pour mes machines.
J’ai devant moi une immonde ordure qui est incapable de respecter un ami et qui manque de reconnaissance du ventre.
S’il en manque pour moi il en a pour celui de ma femme, car avant de quitter la chambre, je l’entends dire qu’il s’enfonce dans le cul de celle qui ne perd rien pour attendre.
J’ai toujours mes valises et l’idée qui m’est venue va se mettre en place quelques heures après lorsque je prends l’autoroute pour Barcelone.
Dans Google, je trouve deux adresses me permettant de réaliser ma vengeance.
À la première adresse l’atmosphère est trop glauque et je vais à la deuxième qui correspondant en tout point à ce que je cherche.
Lorsque j’entre, je vais rencontrer le responsable qui accepte ma proposition et nous nous donnons rendez-vous pour le samedi quinze heures.
De retour à Perpignan, le lendemain après une nuit blanche, je vais dans un magasin de bricolage et j’achète du matériel qui va me permettre de bricoler.
Tout est fini le soir et je peux attendre ma salope en toute quiétude.
Elle arrive et me trouve dans le salon en train de lire un magazine.
• Au mon chéri, tu es déjà entré, j’étais chez Myriame.
Elle a un aplomb digne des plus grandes artistes.
Ils ont dû baiser sans regarder autre chose que leurs yeux car le soir à la télévision ils disent après deux jours que la grève des contrôleurs est suspendue après avoir obtenu ce qu’ils souhaitaient.
• Monte dans la chambre et ferme la porte, j’arrive.
Elle est médusée du ton que j’ai employé pour lui donner cet ordre.
Elle me regarde interrogative et prend l’escalier et monte.
Elle est sûre le palier lorsque je l’entends hurler.
• Non.
Et si mon cœur, tu vas comprendre de quel bois je me chauffe.
Je me lève et je la rejoins rapidement.
• Qu’est-ce que c’est que tout cela ?
• C’est la pièce où tu vas vivre toute la semaine. Tu as notre la salle de bains entièrement à ta disposition.
• Pourquoi as-tu cloué des planches sur la fenêtre ?
• Pour éviter que le voisin te reluque comme, tu vas vivre nue.
Tu sembles aimer cela avec Gaétan alors pourquoi être habillé chez nous.
Comme les clichés le disent, la terre lui serait tombée sur la tête, sa réaction aurait été identique, elle s’écroule sur le lit anéanti.
• Enlève tes affaires, tu as la télévision à ta disposition.
Tu as et auras tout le temps de quoi te faire belle pour moi comme tu l’as fait pour ton amant.
Et médite, tu aimes, la bite alors tous les samedis, tu vas être comblé.
Elle enlève ses affaires et je sors en la laissant nue.
Lorsque j’étais seule, toutes nos affaires ont quitté la chambre.
Je me suis installé dans la chambre d’amis au rez-de-chaussée.
Je sors et ferme la porte en fermant les trois cadenas que j’ai posés.
En descendant j’entends de gros sanglots sortir de la chambre.
Le soir, je lui apporte à manger, elle se jette à mes pieds qu’elle entoure.
• J’ai compris la leçon, jamais je recommencerais.
Je pose le plateau et je sors sans regarder son corps nu que j’ai tellement aimé.
Le samedi en début d’après-midi, j’entre dans la chambre avec des affaires.
• C’est bien, tu es maquillé, habilles toi, on sort.
Dès qu’elle est prête, la tenue qu’elle porte devait lui faire comprendre ce que j’attends d’elle.
Je la fais passer dans le garage et monté à l’arrière de ma voiture dont j’ai condamné les sécurités enfants.
Moins de deux heures et je suis devant la boîte que j’ai visitée, il y a deux jours.
• Véronique, on va entrer dans cette boîte à pute et tu vas pouvoir t’éclater la chatte jusqu’à minuit.
Comme chez nous lea seule chose que j’entends.
• Non.
• Tu te tais, tu as perdu le droit de t’exprimer, va voir si les bites des clients qui vont te troncher sont aussi bonnes que celles de Gaétan.
J’oublie la mienne que tu as bafoué alors qu’elle a toujours tout fait pour te rendre heureuse.
Maintenant, entre le patron t’attend, il va, te brifer pour t’apprendre ton boulot, tu vas arrêter de vivre à mes crochets et je vais me rembourser de la confiance que je t’ai donnée dès notre mariage de dépenser l’argent que je gagnais pour notre couple.
Elle veut surenchérir.
• Assez gagné du temps, au boulot.
Je lui ouvre la porte et je la dirige vers la porte ou je la suis.
• Bonjour, c’est votre sœur.
• Oui, Viviane est à votre disposition.
• Olga, prends madame en main et, suis là dans ses premiers moments parmi nous.
J’entre et comme je lui avais demandé, je vais m’asseoir au bout du bar comme un simple client.
Dix minutes et un premier client se présentent.
Elle suit Olga et en vingt minutes après Véronique revient en étant devenue une pute.
Vingt fois elle va suivre les hommes qui vont se servir de son corps.
Dommage qu’il m’était impossible de là voire se mettre en levrette pour se faire enfiler la chatte ou le cul…
• Patron, à la semaine prochaine mêmes heures.
J’ai un travail qui lui permet de vivre à la maison et d’avoir tout ce qu’elle veut.
Je lui accepte tous ses caprices même si par moments ses envies semblent saugrenues.
Il m’arrive de partir deux mais jamais plus de trois jours consécutifs pour l’étranger pour passer des contrats ou livrer des machines-outils que je fabrique dans l’entreprise que j’ai créée.
Exceptionnellement et pour la première fois je pars pour six jours.
Chaque jour, je suis attentionné jusqu’au lit où je prends soin qu’une jeune femme comme elle ait du plaisir à la hauteur de sa beauté.
Elle a sa voiture coupée sport et je lui ai attribué un compte en banque renouvelé tous les mois qui l’autorise à dépenser ce qu’elle veut sans risquer de mettre l’entreprise en pérille.
Nous sommes nés le même jour à des années différentes.
Je viens d’avoir trente ans alors qu’elle a eu vingt-sept.
Nous avons fêté nos anniversaires pendant huit jours au soleil dans un hôtel de Marbella en Andalousie.
Nous sommes rentrés, car ce matin, je pars six jours à New York pour traiter une affaire phénoménale pour moi. J’ai emporté le contrat à une boîte allemande qui m’a toujours battu depuis des années.
• Au revoir mon cœur que vas-tu faire pendant tous ces jours ?
• Rien, je vais récupérer de nos jours de vacances où tu m’as épuisé.
Ces mots prononcés avec un large sourire me permettent de partir sereins.
Je gare ma voiture sur le parking de l’aéroport Perpignan Rivesaltes.
Arrivée dans la salle d’embarquement la rumeur d’une grève pour plusieurs jours des contrôleurs aériens annule mon départ.
J’appelle mon commercial qui est chez le client et en accord avec mon homologue américain, il traitera l’affaire et je reviendrais le voir suivant nos agendas.
Je retourne à la société pour envoyer un message d’excuse à mon homologue américain et faire savoir à mon responsable pendant mes absences de l’annulation de mon voyage.
Je quitte ma boîte et lorsque j’arrive à quelques mètres de chez, je vois la Mercédès de ma femme partir.
Je suis d’un naturel confiant, mais il y a moins de deux heures, elle se reposait et là où pouvait-elle aller.
Je la suis et je la vois entrer dans le parking souterrain d’un grand hôtel de la ville.
Mon malheur ou son malheur a voulu qu’une voiture parte et qu’une place de parking se vide et que je puisse me garer rapidement.
Pour entrer dans l’hôtel mon costume trois-pièces me permet de le faire sans que l’on me pose la moindre question.
J’ai le temps de me mettre derrière une colonne lorsque je la voie sortir de l’ascenseur menant au parking et se diriger vers le réceptionniste.
Je suis assez prêt pour entendre que la chambre 323 est au troisième étage.
L’escalier est à quelques mètres et ma forme entretenue tous les week-ends en salle l’hiver et dans un parc l’été d’arriver à l’étage avant madame en montant rapidement.
Cachée derrière la porte, elle passe à quelques centimètres de moi ce qui me permet de sentir son parfum qui me plait autant.
Elle frappe mais celui ou celle qui lui ouvre la fait entrer sans que je puisse saisir ce qu’ils se disent. La porte fermée, je suis bien avancé, car je me vois mal écouter derrière la porte.
Je passe devant lorsque la porte de la chambre voisine s’ouvre. Deux femmes de ménage en sortent avec le chariot de leur matériel.
• Laisse la porte ouverte, elle va passer contrôlée.
Elles ont fait deux mètres lorsque subrepticement je me glisse à l’intérieur.
Difficiles de se cacher dans une chambre sauf derrière les doubles-rideaux comme dans les films. Le lit est trop bas pour que je puise me glisser dessous.
La responsable entre, je l’entends tourner, venir à cinquante centimètres de moi regarder que la fenêtre soit bien fermée et j’ai la chance que sa tête soit tournée de l’autre côté.
Son inspection terminée, je l’entends aller dans la salle de bain et la porte claquée.
L’hôtel est de qualité mais très ancien et il y a une porte de communication.
Lorsque j’ouvre de mon côté la porte rembourrée étant censé arrêter les bruits, je suis presque assis sur le pied du lit et d’entendre mon épouse jouir sous les coups de sexe de son amant.
Il est inutile de chercher plus loin, lorsqu’ils ont fini de baiser avec de la part de ma femme des mots jamais prononcés avec moi et très explicites de ce qu’il lui fait.
• Fini moi comme cela et après tu m’enculeras.
• Il te la fait pendant vos vacances.
• Je t’avais promis que ma rosette t’était réservée, j’ai tenu parole, je lui ai toujours refusé.
Pour une jeune fille élevée au couvent des oiseaux le langage est très châtié.
Après leur première copulation, je les entends bouger et certainement s’allonger.
• Comment tu as fait avec Myriame pour partir de chez toi ?
• Je lui ai dit que j’avais trois jours de séminaire pour mon travail, nous avons trop jours pour que je te prouve mon amour.
Myriame, ce prénom me dit quelque chose comme la voix de celui qui fait de moi un cocu que je pense être immérité.
Mon meilleur copain d’enfance a une gentille femme qui a ce prénom et les intonations de la voix correspondent à celle de Gaétan qui me doit tout jusqu’à son entreprise filiale de la mienne et qui me fabrique des composants pour mes machines.
J’ai devant moi une immonde ordure qui est incapable de respecter un ami et qui manque de reconnaissance du ventre.
S’il en manque pour moi il en a pour celui de ma femme, car avant de quitter la chambre, je l’entends dire qu’il s’enfonce dans le cul de celle qui ne perd rien pour attendre.
J’ai toujours mes valises et l’idée qui m’est venue va se mettre en place quelques heures après lorsque je prends l’autoroute pour Barcelone.
Dans Google, je trouve deux adresses me permettant de réaliser ma vengeance.
À la première adresse l’atmosphère est trop glauque et je vais à la deuxième qui correspondant en tout point à ce que je cherche.
Lorsque j’entre, je vais rencontrer le responsable qui accepte ma proposition et nous nous donnons rendez-vous pour le samedi quinze heures.
De retour à Perpignan, le lendemain après une nuit blanche, je vais dans un magasin de bricolage et j’achète du matériel qui va me permettre de bricoler.
Tout est fini le soir et je peux attendre ma salope en toute quiétude.
Elle arrive et me trouve dans le salon en train de lire un magazine.
• Au mon chéri, tu es déjà entré, j’étais chez Myriame.
Elle a un aplomb digne des plus grandes artistes.
Ils ont dû baiser sans regarder autre chose que leurs yeux car le soir à la télévision ils disent après deux jours que la grève des contrôleurs est suspendue après avoir obtenu ce qu’ils souhaitaient.
• Monte dans la chambre et ferme la porte, j’arrive.
Elle est médusée du ton que j’ai employé pour lui donner cet ordre.
Elle me regarde interrogative et prend l’escalier et monte.
Elle est sûre le palier lorsque je l’entends hurler.
• Non.
Et si mon cœur, tu vas comprendre de quel bois je me chauffe.
Je me lève et je la rejoins rapidement.
• Qu’est-ce que c’est que tout cela ?
• C’est la pièce où tu vas vivre toute la semaine. Tu as notre la salle de bains entièrement à ta disposition.
• Pourquoi as-tu cloué des planches sur la fenêtre ?
• Pour éviter que le voisin te reluque comme, tu vas vivre nue.
Tu sembles aimer cela avec Gaétan alors pourquoi être habillé chez nous.
Comme les clichés le disent, la terre lui serait tombée sur la tête, sa réaction aurait été identique, elle s’écroule sur le lit anéanti.
• Enlève tes affaires, tu as la télévision à ta disposition.
Tu as et auras tout le temps de quoi te faire belle pour moi comme tu l’as fait pour ton amant.
Et médite, tu aimes, la bite alors tous les samedis, tu vas être comblé.
Elle enlève ses affaires et je sors en la laissant nue.
Lorsque j’étais seule, toutes nos affaires ont quitté la chambre.
Je me suis installé dans la chambre d’amis au rez-de-chaussée.
Je sors et ferme la porte en fermant les trois cadenas que j’ai posés.
En descendant j’entends de gros sanglots sortir de la chambre.
Le soir, je lui apporte à manger, elle se jette à mes pieds qu’elle entoure.
• J’ai compris la leçon, jamais je recommencerais.
Je pose le plateau et je sors sans regarder son corps nu que j’ai tellement aimé.
Le samedi en début d’après-midi, j’entre dans la chambre avec des affaires.
• C’est bien, tu es maquillé, habilles toi, on sort.
Dès qu’elle est prête, la tenue qu’elle porte devait lui faire comprendre ce que j’attends d’elle.
Je la fais passer dans le garage et monté à l’arrière de ma voiture dont j’ai condamné les sécurités enfants.
Moins de deux heures et je suis devant la boîte que j’ai visitée, il y a deux jours.
• Véronique, on va entrer dans cette boîte à pute et tu vas pouvoir t’éclater la chatte jusqu’à minuit.
Comme chez nous lea seule chose que j’entends.
• Non.
• Tu te tais, tu as perdu le droit de t’exprimer, va voir si les bites des clients qui vont te troncher sont aussi bonnes que celles de Gaétan.
J’oublie la mienne que tu as bafoué alors qu’elle a toujours tout fait pour te rendre heureuse.
Maintenant, entre le patron t’attend, il va, te brifer pour t’apprendre ton boulot, tu vas arrêter de vivre à mes crochets et je vais me rembourser de la confiance que je t’ai donnée dès notre mariage de dépenser l’argent que je gagnais pour notre couple.
Elle veut surenchérir.
• Assez gagné du temps, au boulot.
Je lui ouvre la porte et je la dirige vers la porte ou je la suis.
• Bonjour, c’est votre sœur.
• Oui, Viviane est à votre disposition.
• Olga, prends madame en main et, suis là dans ses premiers moments parmi nous.
J’entre et comme je lui avais demandé, je vais m’asseoir au bout du bar comme un simple client.
Dix minutes et un premier client se présentent.
Elle suit Olga et en vingt minutes après Véronique revient en étant devenue une pute.
Vingt fois elle va suivre les hommes qui vont se servir de son corps.
Dommage qu’il m’était impossible de là voire se mettre en levrette pour se faire enfiler la chatte ou le cul…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En toute amitié avec le lecteur trouvant cette histoire bandante par rapports aux autres digne de ce site.
Cet opinions n'engage que lui lorsque je vois les centaines de E-mail direct que je reçois au fur et à mesure de mes écrits.
S'il écris lui même, qu'il me donne son pseudo sur mon E-mail que je puisse voir ce qu'il écrit pour que je deviennes un auteur digne du site HDS.
Qu'il n'oubli pas qu'il y a des règles à ne pas dépassé et que je respecte.
Ceci dit bien sur sans aucune animosité, toute critique est salvatrice.
CHRIST71
Cet opinions n'engage que lui lorsque je vois les centaines de E-mail direct que je reçois au fur et à mesure de mes écrits.
S'il écris lui même, qu'il me donne son pseudo sur mon E-mail que je puisse voir ce qu'il écrit pour que je deviennes un auteur digne du site HDS.
Qu'il n'oubli pas qu'il y a des règles à ne pas dépassé et que je respecte.
Ceci dit bien sur sans aucune animosité, toute critique est salvatrice.
CHRIST71
genial vite la suite
Enfin une histoire bandante à souhait, je désesperais que ce fut jamais le cas avec les precedents recits, celui vaut son detour, merci d'etre enfin devenu un auteur digne de ce site
bon debut
Cela commence pas mal et je pense que va s'éclater et se faire éclater comme il se doit. Aussi j'attends la suite pour lire comment va se dérouler le reste de la vengeance.
Belle écriture continuez.
Belle écriture continuez.
elle est terrible cette vengeance j' adore
toujours aussi bonne tes histoires
merci
toujours aussi bonne tes histoires
merci