MA VENGEANCE. (2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA VENGEANCE. (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ma vengeance a pris, forme maintenant que Véronique sort pour sa première soirée où elle a fait la pute dans un bordel de haut standing à Barcelone.
Lorsque nous sommes arrivés, j’ai donné mes cent euros pour réserver une chambre pour Véronique, Viviane pour le patron du bordel.
Nous roulons vers Perpignan, ma pute de femme prostrée sur le siège arrière.
• Raconte.
• Gaétan, les clients ?
• Les clients, pour le moment je refuse d’entendre parler de ce fumier de Gaétan.
L’argent donne l’argent gagné avec ton cul.
Je l’entends fouiller dans son sac et dans le rétro, je la vois plier les billets contentieusement avant de me les tendres.
J’entrouvre sa fenêtre avec le bouton à ma disposition.
• Jette-les.
• Christian, tu es fou, je les ai gagnés.
• Jette-les.
Je savais que je pouvais être dur dans les affaires, mais de là à lui répondre de la manière dont je l’ai faite, je comprends qu’elle fasse passer les billets par la fenêtre sans rechigner une nouvelle fois.
En même temps que, je referme la fenêtre, je vois les derniers billets volés dans le halo des phares arrière.
• Maintenant que tu t’es lavé de la pourriture que tu avais introduite dans ma voiture racontes.
• J’étais paniqué en attendant la première personne avec qui je serais obligé de coucher pour de l’argent.
• Non, la deuxième, la première, c’est moi, si tu m’avais aimé, tu aurais résisté à Gaétan.
Un portefeuille pour toi, je suis un simple portefeuille comme l’ont été tous tes clients ce soir.
• C’est faux, je t’aime.
• Tu m’aimes, alors que tu as couché avec vingt mecs ce soir.
• Mais c’est toi qui m’as forcé.
• Forcé, comme tu y vas, à aucun moment, tu t’es rebellé.
D’ailleurs, tu aurais essayé, tu serais tombé sur un mur, j’ai horreur de la trahison encore plus de la tienne, j’évite de te dire ce que ton amant va subir.
• Tu vas lui faire du mal.
• Que crois-tu que j’ai subi lorsque je t’ai entendu lui demandé de t’enculer, depuis notre mariage, j’ai attendu cela et j’ai respecté ton refus.
• En entrant, tu pourras m’enculer et me pardonner.
• Mais tu es encore plus putes que toute celle qui était autour de nous ce soir.
Une petite pipe et une bonne sodo et j’oublie tous. J’ai appris à mes dépens la femme que tu étais, mais là une salope comme toi cela dépasse tous les entendements.
Alors les clients ?
• Lorsque Olga m’a guidé vers la chambre que tu as louée pour la nuit, j’avais un lit un bidet et un lavabo avec des serviettes à ma disposition.
Elle m’a fait voir comment laver soigneusement la queue du client et de lui mettre une capote avant de me faire allonger sur le lit après avoir enlevé mes affaires. L’homme s’est couché sur moi et sans préliminaire, il m’a pénétré, il me triturait les seins dans tous les sens à croire qu’il voulait me les arracher.
J’avais mal, mais c’était supportable et lorsque j’ai senti qu’il éjaculait, j’ai été contente de sentir son poids se retirer.
Il s’est lavé et j’en ai fait de même dans le bidet.
• Tu as mis des capotes toutes les passes.
• Oui, chaque fois alors que le quatrième client ou Olga m’a laissé seule et qu’elle m’a dit que je savais faire et que je pouvais m’éclater, car j’étais devenu une bonne pute, il m’a proposé de baiser sans capote et de gagner plus d’argent. J’ai refusé, j’ai pensé à toi la prochaine fois que tu me feras l’amour que tu sois protégé.
• La semaine prochaine, tu accepteras de baiser sans capote et tu me rapporteras plus de fric.
• Pour que tu le mettes par la fenêtre.
• Je fais ce que je veux de l’argent que je gagne, j’en ai bien donné pendant des années à la prostituée que j’avais épousée.
Quand tu baisais avec Gaétan, il enfilait des capotes ?
• Avec lui, j’avais confiance.
• Tu avais confiance, tu me prends pour un con, quelle confiance peut-on avoir en un mec qui trompe sa femme.
Qui te dit que je te suis fidèle et que toutes les semaines, je baise avec des salopes dans ton genre qui pour un coup de sexe peuvent ramener la vérole chez leur mari.
Alors si tu aimes jouer à la roulette russe, on va y jouer, toutes les fois où on te le proposera, tu accepteras.
Si elle est intelligente et vu sa tromperie, j’en doute, elle le fera qu’avec capote, je suis dans l’impossibilité de contrôler si les clients en mettent.
De retour à la maison, je lui fais enlever ses vêtements, elle tente une nouvelle manœuvre de séduction, je la renvoie dans les cordes directes.
• J’ai faim s’il te plait.
• Appelle ton amant, il fera venir le roomservice et il te nourrira, Qui dort dîne, monte immédiatement, et va méditer sur les conséquences de tes actes.
Elle monte et je vais fermer les verrous avant de me mettre au lit après avoir mangé le petit repas que j’avais prévu.
Le lendemain matin, j’apporte le petit déjeuner lui montrant par ce geste toute la haine qui m’habite.
Elle se jette une nouvelle fois à mes pieds me demandant que je reste humain.
Loger, nourrie blanchie, où ma position est inhumaine ?
Dès que je suis dans le bureau dans mon entreprise, j’appelle le patron de la PME allemande qui travaille avec moi en collaboration. Nous tombons d’accord sur la remise de dix pour cent sur le contrat en cours avec eux.
• Allo, Gaétan, comment vas-tu ?
• Bien, la vie est belle.
Elle peut être belle, tu baises ma femme et tu me fais cocu.
• Tu pars trois jours à Berlin dans deux heures.
• Pourquoi ?
• Je travaille avec eux sur un projet et une grosse partie sera confiée à ton entreprise.
• Pourquoi trois jours ?
• Ils attendent une réponse d’un autre groupe avec lequel vous travailler et il faudra que tu restes sur place en attendant.
Tu pourras visiter les quartiers chauds de Berlin, je te connais, tu trouveras bien une cochonne pour combler le temps.
• Arrête, je suis marié, j’aime Myriame et il me serait impossible de la tromper.
Fumier, et avec Véronique !
• Tu veux me faire divorcer, je suis déjà partie trois jours la semaine dernière en séminaire.
• Si tu es fidèle, tout est permis, tu ne crains rien.
Tu vas gagner un max d’argent, cela vos bien trois jours de servitude.
Mon plan se met en place, passons à l’étape suivantes.
Je prends la direction de l’hôtel de mes déboires conjugaux.
• Bonjour, la chambre 323 est-elle libre pendant deux nuits ?
• Je regarde, oui monsieur.
• Je la prends.
Je regarde si une personne de l’hôtel peut m’entendre.
• Pouvez-vous me dire le nom de celui qui l’a réservé Mardi dernier pour plusieurs jours ?
En lui disant cela, je lui présente un billet de cent euros.
• Monsieur, la déontologie m’oblige à refuser.
Dans les affaires, je connais le prix de la déontologie.
Comme un prestidigitateur, son petit frère rejoint le premier.
• Attendez, je vais voir mon responsable.
En disant cela, il prend le cahier des entrées et par dans la pièce voisine.
Il ressort et me tend plusieurs photocopies.
• Mon responsable est d’accord si vous pouvez recommencer la multiplication.
Si je sais faire de la prestidigitation, il est très fort, car les cinq billets disparaissent de ma main en une fraction de seconde.
Je règle la chambre et je monte.
Sur les feuillets aux dates où ils étaient là, il s’est inscrit sous son vrai nom.
Il est encore plus con que je le pensais, mais c’est ce que j’espérais.
Phase suivante, Myriame.
Je sors le portable que j’ai pris dans mon bureau à usage unique dont j’ai plusieurs modèles dans mon coffre et qui me serve lorsque j’effectue des transactions et que je souhaite qu’il soit impossible de remonter jusqu'à ma boîte.
Je l’appelle en mettant mon mouchoir devant le micro.
• Bonjour, votre mari vous trompe avec la femme de son copain au grand hôtel du centre, chambre 323.
Je suis un huissier qui va établir un constat d’adultère, on vous attend, ils y sont en ce moment.
Et je raccroche.
Je sors une boucle d’oreille de Véronique que j’ai apportée et que je place sous le lit, le long du pied.
Mon d’une demi-heure et l’on frappe à la porte.
Je vais ouvrir.
• Que fais-tu là ?
• Entre, je vais t’expliquer.
• Un homme m’a téléphoné pour me dire que Gaétan me trompait avec ta femme et qu’il fallait que je vienne pour le constat d’adultère.
• C’est bien le cas, mais c’était la semaine dernière et certainement en ce moment, car il y a deux heures Véronique m’a téléphoné pour me dire que tu souhaitais aller à Bordeaux avec elle pour les trois prochains jours.
• Gaétan en a fait de même pour me dire que tu l’envoyais à Berlin.
• Je suis sûr qu’ils ont trouvé ces motifs pour partir ensemble.
Pour la semaine dernière, regardent les photos copies du registre de l’hôtel, il était là avec Véronique pendant trois jours.
• Comment as-tu eu ses photos copies ?
• Tout s’achète.
Attends, avant que tu arrives, je cherchais une boucle d’oreille qu’elle a perdue la semaine dernière et dont je suis persuadé qu’elle est ici.
• Comment cela ?
• Jeudi en revenant d’ici s’en avoir l’air de rien car j’étais censé être parti les trois jours, lorsque je lui ai fait remarquer qu’une de ses boucles manquait avec aplomb, elle m’a dit l’avoir perdu en faisant des cours avec toi.
• Mais pourquoi t’a-t-elle dit cela, j’ai profité de son absence pour aller voir maman.
• Bien sûr, puisqu’elle baisait avec ton mari.
Aide moi a cherché.
Je vais vers la salle de bain et habilement je la dirige vers le pied de lit.
À quatre pattes tous les deux, si nous jouions comme des enfants à un moment, j’aurais dit, « tu brûles ». Mais elle s’écarte.
• Tu as bien regardé au pied, souvent c’est là que les choses se nichent.
Elle revient et sa chauffe tellement qu’elle lance un cri de victoire.
• Elle est là, c’est vraiment celle que je lui ai offerte pour son dernier anniversaire.
Je les avais choisis dans sa boîte à bijoux sachant que Myriame les reconnaîtrait.
Prestement je suis près d’elle et je l’aide à se relever.
Son corps se plaque le long du mien et elle me regarde comme quelqu’un que l’on voie pour la première fois.
Au moment où nos bouches vont se trouver, je tourne la tête.
• Non, j’aurai l’impression de profiter de ton désarroi.
• Si, il y a longtemps que j’ai envie de ta bouche, mais le respect de mon époux m’empêchait de le faire même qu’il y a bien longtemps que je me doute qu’il me trompe.
De là à baiser avec la femme de son ami d’enfance ce fumier va entendre parlé de moi.
C’est une vraie tornade que je couche sur la moquette, elle arrache littéralement ses affaires pendant que nos bouches se trouvent et que j’ai à peine le temps de sortir mon sexe et qu’elle se l’enfile dans le vagin.
• Baise-moi, et après tu m’enculeras, ce sera ma vengeance, je suis vierge de ma rosette.
Est-ce la chambre qui prédispose ces dames à vouloir se faire sodomiser.
En tout cas, au bout des deux jours, sans jamais sortir et en se faisant livrer par le roomservice, j’explore toutes les parcelles de son corps surtout là où j’ai trouvé des terres vierges.
Elles sont toutes arrosées lorsque nous nous quittons avec la promesse de venir passer la nuit chez elle le soir même, car elle veut le tromper dans le lit conjugal.
Cela me rend service, pour le moment je souhaite laisser cacher ma salope enfermée…
Ma vengeance a pris, forme maintenant que Véronique sort pour sa première soirée où elle a fait la pute dans un bordel de haut standing à Barcelone.
Lorsque nous sommes arrivés, j’ai donné mes cent euros pour réserver une chambre pour Véronique, Viviane pour le patron du bordel.
Nous roulons vers Perpignan, ma pute de femme prostrée sur le siège arrière.
• Raconte.
• Gaétan, les clients ?
• Les clients, pour le moment je refuse d’entendre parler de ce fumier de Gaétan.
L’argent donne l’argent gagné avec ton cul.
Je l’entends fouiller dans son sac et dans le rétro, je la vois plier les billets contentieusement avant de me les tendres.
J’entrouvre sa fenêtre avec le bouton à ma disposition.
• Jette-les.
• Christian, tu es fou, je les ai gagnés.
• Jette-les.
Je savais que je pouvais être dur dans les affaires, mais de là à lui répondre de la manière dont je l’ai faite, je comprends qu’elle fasse passer les billets par la fenêtre sans rechigner une nouvelle fois.
En même temps que, je referme la fenêtre, je vois les derniers billets volés dans le halo des phares arrière.
• Maintenant que tu t’es lavé de la pourriture que tu avais introduite dans ma voiture racontes.
• J’étais paniqué en attendant la première personne avec qui je serais obligé de coucher pour de l’argent.
• Non, la deuxième, la première, c’est moi, si tu m’avais aimé, tu aurais résisté à Gaétan.
Un portefeuille pour toi, je suis un simple portefeuille comme l’ont été tous tes clients ce soir.
• C’est faux, je t’aime.
• Tu m’aimes, alors que tu as couché avec vingt mecs ce soir.
• Mais c’est toi qui m’as forcé.
• Forcé, comme tu y vas, à aucun moment, tu t’es rebellé.
D’ailleurs, tu aurais essayé, tu serais tombé sur un mur, j’ai horreur de la trahison encore plus de la tienne, j’évite de te dire ce que ton amant va subir.
• Tu vas lui faire du mal.
• Que crois-tu que j’ai subi lorsque je t’ai entendu lui demandé de t’enculer, depuis notre mariage, j’ai attendu cela et j’ai respecté ton refus.
• En entrant, tu pourras m’enculer et me pardonner.
• Mais tu es encore plus putes que toute celle qui était autour de nous ce soir.
Une petite pipe et une bonne sodo et j’oublie tous. J’ai appris à mes dépens la femme que tu étais, mais là une salope comme toi cela dépasse tous les entendements.
Alors les clients ?
• Lorsque Olga m’a guidé vers la chambre que tu as louée pour la nuit, j’avais un lit un bidet et un lavabo avec des serviettes à ma disposition.
Elle m’a fait voir comment laver soigneusement la queue du client et de lui mettre une capote avant de me faire allonger sur le lit après avoir enlevé mes affaires. L’homme s’est couché sur moi et sans préliminaire, il m’a pénétré, il me triturait les seins dans tous les sens à croire qu’il voulait me les arracher.
J’avais mal, mais c’était supportable et lorsque j’ai senti qu’il éjaculait, j’ai été contente de sentir son poids se retirer.
Il s’est lavé et j’en ai fait de même dans le bidet.
• Tu as mis des capotes toutes les passes.
• Oui, chaque fois alors que le quatrième client ou Olga m’a laissé seule et qu’elle m’a dit que je savais faire et que je pouvais m’éclater, car j’étais devenu une bonne pute, il m’a proposé de baiser sans capote et de gagner plus d’argent. J’ai refusé, j’ai pensé à toi la prochaine fois que tu me feras l’amour que tu sois protégé.
• La semaine prochaine, tu accepteras de baiser sans capote et tu me rapporteras plus de fric.
• Pour que tu le mettes par la fenêtre.
• Je fais ce que je veux de l’argent que je gagne, j’en ai bien donné pendant des années à la prostituée que j’avais épousée.
Quand tu baisais avec Gaétan, il enfilait des capotes ?
• Avec lui, j’avais confiance.
• Tu avais confiance, tu me prends pour un con, quelle confiance peut-on avoir en un mec qui trompe sa femme.
Qui te dit que je te suis fidèle et que toutes les semaines, je baise avec des salopes dans ton genre qui pour un coup de sexe peuvent ramener la vérole chez leur mari.
Alors si tu aimes jouer à la roulette russe, on va y jouer, toutes les fois où on te le proposera, tu accepteras.
Si elle est intelligente et vu sa tromperie, j’en doute, elle le fera qu’avec capote, je suis dans l’impossibilité de contrôler si les clients en mettent.
De retour à la maison, je lui fais enlever ses vêtements, elle tente une nouvelle manœuvre de séduction, je la renvoie dans les cordes directes.
• J’ai faim s’il te plait.
• Appelle ton amant, il fera venir le roomservice et il te nourrira, Qui dort dîne, monte immédiatement, et va méditer sur les conséquences de tes actes.
Elle monte et je vais fermer les verrous avant de me mettre au lit après avoir mangé le petit repas que j’avais prévu.
Le lendemain matin, j’apporte le petit déjeuner lui montrant par ce geste toute la haine qui m’habite.
Elle se jette une nouvelle fois à mes pieds me demandant que je reste humain.
Loger, nourrie blanchie, où ma position est inhumaine ?
Dès que je suis dans le bureau dans mon entreprise, j’appelle le patron de la PME allemande qui travaille avec moi en collaboration. Nous tombons d’accord sur la remise de dix pour cent sur le contrat en cours avec eux.
• Allo, Gaétan, comment vas-tu ?
• Bien, la vie est belle.
Elle peut être belle, tu baises ma femme et tu me fais cocu.
• Tu pars trois jours à Berlin dans deux heures.
• Pourquoi ?
• Je travaille avec eux sur un projet et une grosse partie sera confiée à ton entreprise.
• Pourquoi trois jours ?
• Ils attendent une réponse d’un autre groupe avec lequel vous travailler et il faudra que tu restes sur place en attendant.
Tu pourras visiter les quartiers chauds de Berlin, je te connais, tu trouveras bien une cochonne pour combler le temps.
• Arrête, je suis marié, j’aime Myriame et il me serait impossible de la tromper.
Fumier, et avec Véronique !
• Tu veux me faire divorcer, je suis déjà partie trois jours la semaine dernière en séminaire.
• Si tu es fidèle, tout est permis, tu ne crains rien.
Tu vas gagner un max d’argent, cela vos bien trois jours de servitude.
Mon plan se met en place, passons à l’étape suivantes.
Je prends la direction de l’hôtel de mes déboires conjugaux.
• Bonjour, la chambre 323 est-elle libre pendant deux nuits ?
• Je regarde, oui monsieur.
• Je la prends.
Je regarde si une personne de l’hôtel peut m’entendre.
• Pouvez-vous me dire le nom de celui qui l’a réservé Mardi dernier pour plusieurs jours ?
En lui disant cela, je lui présente un billet de cent euros.
• Monsieur, la déontologie m’oblige à refuser.
Dans les affaires, je connais le prix de la déontologie.
Comme un prestidigitateur, son petit frère rejoint le premier.
• Attendez, je vais voir mon responsable.
En disant cela, il prend le cahier des entrées et par dans la pièce voisine.
Il ressort et me tend plusieurs photocopies.
• Mon responsable est d’accord si vous pouvez recommencer la multiplication.
Si je sais faire de la prestidigitation, il est très fort, car les cinq billets disparaissent de ma main en une fraction de seconde.
Je règle la chambre et je monte.
Sur les feuillets aux dates où ils étaient là, il s’est inscrit sous son vrai nom.
Il est encore plus con que je le pensais, mais c’est ce que j’espérais.
Phase suivante, Myriame.
Je sors le portable que j’ai pris dans mon bureau à usage unique dont j’ai plusieurs modèles dans mon coffre et qui me serve lorsque j’effectue des transactions et que je souhaite qu’il soit impossible de remonter jusqu'à ma boîte.
Je l’appelle en mettant mon mouchoir devant le micro.
• Bonjour, votre mari vous trompe avec la femme de son copain au grand hôtel du centre, chambre 323.
Je suis un huissier qui va établir un constat d’adultère, on vous attend, ils y sont en ce moment.
Et je raccroche.
Je sors une boucle d’oreille de Véronique que j’ai apportée et que je place sous le lit, le long du pied.
Mon d’une demi-heure et l’on frappe à la porte.
Je vais ouvrir.
• Que fais-tu là ?
• Entre, je vais t’expliquer.
• Un homme m’a téléphoné pour me dire que Gaétan me trompait avec ta femme et qu’il fallait que je vienne pour le constat d’adultère.
• C’est bien le cas, mais c’était la semaine dernière et certainement en ce moment, car il y a deux heures Véronique m’a téléphoné pour me dire que tu souhaitais aller à Bordeaux avec elle pour les trois prochains jours.
• Gaétan en a fait de même pour me dire que tu l’envoyais à Berlin.
• Je suis sûr qu’ils ont trouvé ces motifs pour partir ensemble.
Pour la semaine dernière, regardent les photos copies du registre de l’hôtel, il était là avec Véronique pendant trois jours.
• Comment as-tu eu ses photos copies ?
• Tout s’achète.
Attends, avant que tu arrives, je cherchais une boucle d’oreille qu’elle a perdue la semaine dernière et dont je suis persuadé qu’elle est ici.
• Comment cela ?
• Jeudi en revenant d’ici s’en avoir l’air de rien car j’étais censé être parti les trois jours, lorsque je lui ai fait remarquer qu’une de ses boucles manquait avec aplomb, elle m’a dit l’avoir perdu en faisant des cours avec toi.
• Mais pourquoi t’a-t-elle dit cela, j’ai profité de son absence pour aller voir maman.
• Bien sûr, puisqu’elle baisait avec ton mari.
Aide moi a cherché.
Je vais vers la salle de bain et habilement je la dirige vers le pied de lit.
À quatre pattes tous les deux, si nous jouions comme des enfants à un moment, j’aurais dit, « tu brûles ». Mais elle s’écarte.
• Tu as bien regardé au pied, souvent c’est là que les choses se nichent.
Elle revient et sa chauffe tellement qu’elle lance un cri de victoire.
• Elle est là, c’est vraiment celle que je lui ai offerte pour son dernier anniversaire.
Je les avais choisis dans sa boîte à bijoux sachant que Myriame les reconnaîtrait.
Prestement je suis près d’elle et je l’aide à se relever.
Son corps se plaque le long du mien et elle me regarde comme quelqu’un que l’on voie pour la première fois.
Au moment où nos bouches vont se trouver, je tourne la tête.
• Non, j’aurai l’impression de profiter de ton désarroi.
• Si, il y a longtemps que j’ai envie de ta bouche, mais le respect de mon époux m’empêchait de le faire même qu’il y a bien longtemps que je me doute qu’il me trompe.
De là à baiser avec la femme de son ami d’enfance ce fumier va entendre parlé de moi.
C’est une vraie tornade que je couche sur la moquette, elle arrache littéralement ses affaires pendant que nos bouches se trouvent et que j’ai à peine le temps de sortir mon sexe et qu’elle se l’enfile dans le vagin.
• Baise-moi, et après tu m’enculeras, ce sera ma vengeance, je suis vierge de ma rosette.
Est-ce la chambre qui prédispose ces dames à vouloir se faire sodomiser.
En tout cas, au bout des deux jours, sans jamais sortir et en se faisant livrer par le roomservice, j’explore toutes les parcelles de son corps surtout là où j’ai trouvé des terres vierges.
Elles sont toutes arrosées lorsque nous nous quittons avec la promesse de venir passer la nuit chez elle le soir même, car elle veut le tromper dans le lit conjugal.
Cela me rend service, pour le moment je souhaite laisser cacher ma salope enfermée…
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