MA VENGEANCE. (4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA VENGEANCE. (4)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous sommes de nouveau devant le bordel où celle qui a été ma femme se prostitue pour que je récupère l’argent inverti depuis le début de notre mariage.
À l’intérieur, Viviane nom que j’ai donné pour éviter de leur donné son vrai nom ôte sa veste que lui prend Olga.
Un client s’approche et entraîne ma pute dans les chambres.
Le patron tient à me parler. Olga m’emmène dans son bureau.
J’ai oublié de dire que si j’ai emmené Véronique ici, c’est, certes, pour les bordels autorisés en Espagne, mais aussi c’est parce qu’elle parle l’espagnol appris depuis les premières classes.
Quant à moi, ma mère est catalane et nous parlions une semaine sur deux soit en français soit en espagnol et je suis parfaitement bilingue.
• Vous revoila, la punition que vous lui avez infligée la semaine dernière aurait dû vous suffire.
• Quelle punition, c’est ma sœur qui souhaitait venir dans un bordel.
• Des sœurs qui souhaitent se prostituer, j’en rencontre toutes les semaines et chaque fois c’est le frère qui les protège.
Chaque fois, ce sont en réalité les maris qui se vengent de celle qui les a trompés.
• Vous avez raison, je l’avoue.
• Se prostituer pour les femmes laisse en elles des traces indélébiles même pour celle qui le fond sans contrainte.
Je vais te faire un cadeau et après tu la libères, je refuse de vous revoir.
Viens.
Il m’emmène vers un couloir où plusieurs portes sont côte à côte.
• C’est le coin des voyeurs, chaque porte s’ouvre sur une pièce qui a un panneau.
Je vais te mettre ici et je vais envoyer ta femme pour deux heures où les clients se relayent après avoir payé auprès de moi.
• D’accord, mais à une condition, pas deux heures, mais jusqu’à ce que je la ramène dans sa cage dorée chez moi.
• Tu as bien conscience qu’elle va finir la nuit complètement défoncée, deux heures, c’est déjà beaucoup.
• Jusqu'à la fin de la nuit où elle revient la semaine prochaine.
Je dois combien pour le spectacle ?
Pour toi c’est offert, voici un passe pour éviter de mettre des pièces.
• Je suis d’accord, ce sera la dernière fois, à une autre dernière condition.
J’ai envoyé un message à son amant lui demandant de venir à vingt-deux heures précises, que tu le conduiras vers sa maîtresse qui est supposée être la copine de ta femme.
Je te paye pour isoler la cabine voisine de la mienne et amener l’amant lorsqu’il arrivera.
• Je vois jusqu’où va ta vengeance, tu veux qu’il voie sa maîtresse se faire pilonner par un ou des hommes.
Tu es sympathique à la dernière passe avant vingt-deux heures, je vais lui envoyer trois copains que je vais appeler, ils seront contents de tirer une salope gratuitement. L’amant va être fort étonné des possibilités de Viviane.
Nous partons d’un éclat de rire. Il me quitte.
Des bruits, des mouvements et Véronique entre suivis par un client.
• Ou m’avez-vous emmené, jamais on m’a fait venir ici.
Autour de la pièce où elle est entrée constituée d’un lit rond qui tourne sur lui-même.
• Alors bébé, que veux-tu que je te fasse, tu sais certainement que j’ai dit au patron que j’acceptais de baiser sans capote.
Viens que je te lave la queue, elle semble appétissante.
Regarde, j’adore nous voir nue dans toutes ces glaces qui nous entourent, je sens que je vais prendre beaucoup de plaisir ce soir.
Dommage que mon couillon de mari soit resté au bar, j’aurais aimé qu’im me vois me faire enfiler.
Il croit me punir, mais j’aime gagner du fric avec mon sexe.
Allé assez parler, mets-moi ?
A-t-elle compris que dernières ces glaces des hommes la regardent et que je fais partie de ceux-là ?
• Christian, je sais que tu regardes, Olga me la dit en m’amenant dans cette salle, c’est pourquoi je t’ai provoqué, je me sens sale, tous ces hommes qui se servent de mon corps me salissent de plus en plus,
Tu as réussi à me faire passer ce message que, lorsque l’on a trop de bonheur comme c’était mon cas avant de te tromper, on peut tout perdre par bêtise et en écoutant le chant des sirènes.
Elle finirait par presque me faire monter les larmes aux yeux surtout lorsqu’un homme la quitte remplacé quelques minutes après par un autre.
Elle se jette les seins en avant sur la première glace près d’elle.
Hélas pour elle je suis à l’opposé, mais comme a chaque changement de partenaire elle exécute la même manœuvre je peux admiré son corps collé à la vitre. Ce corps que j’ai beaucoup aimé, mais que, maintenant je vomis surtout lorsqu’elle me montre sa fente dégoulinante de sperme qu’elle oublie d’aller enlever en se nettoyant sur le bidet.
Beaucoup d’hommes auraient craqué et arrêté le massacre, mais je suis fait d’un métal tellement dur que je la laisse continuer jusqu’à ce que j’entende du bruit dans la pièce voisine.
Discrètement je vois la porte ouverte et lorsqu’il entre, je reconnais Gaétan.
Le patron est là.
• Entré, votre copine m’a prévenu de votre venue et souhaite vous faire une jolie surprise.
Il a fait l’effort de parler en anglais petit-nègre.
Dans le même temps, Véronique voit arriver les trois hommes promis par le patron.
Pendant presque une heure, ils vont la pilonner la baiser, le sodomiser, la prendre en double pénétration et de temps en temps l’un des trois en prime lui lâche une giclée de sperme dans la bouche.
En point d’orgue de cette heure de débauche, ils finissent en double anal et la troisième bite dans la chatte dommage que Gaétan ait flanché après la double pénétration anale et sexe, car j’aurais aimé qu’il voie dans quelle fange sa trahison avait précipité sa maîtresse.
À la dernière goutte de sperme, dans la bouche par l’un des sexes sortis de son cul, je suis apaisé ma vengeance ai abouti même s’il me faut terminer cette histoire avec elle part le coup de grace à mon fumier de copain.
Je retourne au bar et je suis obligé de prendre un whisky. Moi qui évite l’alcool surtout en conduisant pour le retour, j’ai besoin d’un coup de fouet.
En attendant qu’elle prenne sa douche, ce que je lui conçois afin que mes sièges restent propres, je regarde les photos que j’ai prises avec mon phone et les meilleurs vont bien m’être utiles dès lundi pour aller chez mon avocat ouvrir un dossier de divorce où je vais pouvoir prouver que mon épouse me trompe allant même jusqu’à se prostituer pour m’humilier.
J’ai conscience que les photos qui seront sur la clef U.S.B. que je vais leur fournir, la montreront à tout le tribunal dans des postures humiliantes mais mon cœur qu’elle a déchiré mérite bien qu’à son tour elle le soit aussi.
Lorsqu’elle me rejoint, je comprends très vite que j’ai bien fait de refuser de céder.
• Salop, tu me le payeras.
Cause toujours ma poulette, c’est moi qui ai décidé de vous mettre plus bas que terre et dès lundi mon plan pour laminer ton amant, va commencer à se développer suivant le scénario que j’ai prévu.
• On est bien d’accord, c’est la dernière fois que l’on se voit.
Il me donne un paquet de billets.
• Donne-les à la pute, je veux éviter de me salir les mains.
On s’en sert cinq et nous sortons.
Je la vois prendre l’argent et me suivre.
Dans la rue, elle a du mal à marcher, je la vois devant moi jucher sur ses talons haut écarter les cuisses comme si je lui avais placé un gode.
Les bites ont dû tellement là chauffer qu’elle pourra se reposer toute la semaine avant de revenir. S’il faut que je paye le patron, je souhaite qu’elle en prenne encore plus dans ses trous. Je l’ai bien vue se faire sodo plusieurs fois sans capote, mais je payerais les clients pour qu’ils entrent à deux ou trois dans la salle aux glaces et que les voyeurs aient un spectacle jamais proposé à leurs yeux dans ce bordel.
Bien sûr, c’est le scénario que j’avais échafaudé avant la fin de cette soirée et la promesse faite.
Mon cerveau que certains vont dire malade va échafauder un plan pour que je respect ma parole.
Lorsque je monte en voiture après l’avoir fait asseoir à l’arrière un brui sourd arrive à moi.
Lorsque j’arrive sur une des artères principales à Barcelone, nous sommes entourés d’un grand nombre de personnes criant Barca et encore Barca.
C’est à ce moment-là que je me souviens que le club de la ville jouait à Berlin la finale de la coupe d’Europe de football et que j’apprends que le club a gagné trois à un devant la Juventus de Turin.
Obnubilé par mes problèmes moi qui aime le football, j’avais complètement zapé la finale de la coupe aux grandes oreilles.
J’appuie sur le bouton ouvrant la vitre arrière.
• Jette tous les billets, tu vas faire des heureux.
Celle qu’il y a quelques minutes voulait me casser sors l’argent de son sac. Elle sort sa main par la vitre et jette les billets en l’air.
Une vrai bagarre ce produit qui a pour avantage de dégager l’avant de la voiture, je tourne dans une petite rue pour éviter les supporteurs en folies.
Lorsque j’arrive chez moi au matin, je la fais entrer dans sa chambre, récupère ses affaires et après l’avoir enfermé, je prends la route de chez Myriame en la réveillant avec un coup de fil lui signalant mon arrivée.
Dès que j’entre, dans la chambre 323 où je l’ai fait se retrancher en attendant le départ de Gaétan, ce dimanche soir, elle me saute au cou et malgré mon extrême fatigue, je la sexe jusqu’à son plaisir avant de sombrer dans ses bras.
Il est midi lorsque j’émerge et le soleil nous permet de manger le caviar avec champagne servi par le roomservice ainsi que les beaux choux à la crème ainsi que les éclairs au café en forme de sexes que j’aime tant.
Elle vient s’asseoir sur mes genoux pour me donner la becquée.
J’aime ses jolis tétons que je caresse d’une main nonchalante. Je sens mon sexe coincé dans sa raie et le frottement produit après chaque mouvement de son corps pour me donner un morceau de gâteau me fait redresser le gland.
Mon ex m’a dit un jour que son amie avait fait partie de l’équipe de France de gymnastique et était vice-championne d’Europe au concours général.
Elle me fait voir sa souplesse lorsqu’elle arrive à faire de la barre fixe en entrant son sexe sur mon pieu.
Dans cette position sans bouger en me regardant les yeux dans les yeux, elle me fait une chose qu’aucune femme ne m’avait faite.
Je sens ses muscles vaginaux enserrer ma bite puis la relâcher pour mieux les resserrer avant de recommencer.
À ce rythme, je rends les armes à la vitesse la plus rapide de ma vie.
Quand je la remplis, je repense à ce Gaétan m’avais dit sur les performances de sa femme.
Quel con, il a bien fait de me cocufier, car jamais ce joli petit lot aurait été mienne et je suis sûr qu’elle gagne à être connue.
Dimanche idyllique qui je l’espère de plus en plus est un point de départ à notre vie future.
De plus en plus je réfléchis la vie avec elle.
Si je regarde bien, j’ai une jolie petite salope à ma disposition, une salope positive en rapport à Véronique qui est une salope négative.
Le lundi, je vais à mon bureau avec elle, nous voulons rester le maximum de temps ensemble et je réunis mes collaborateurs pour leur annoncer mon divorce.
Tous non aucun mal à reconnaître la femme de Gaétan qu’ils ont vue lors d’apéros pour fêter la signature de nouveaux contrats.
Blanc numéro un. Je leur présente la nouvelle patronne de la boîte de Gaétan qui a signé une lettre donnant tout pouvoir à son épouse et reconnaissant son retrait de tout droit sur son entreprise.
Je charge mon adjoint de transférer les machines et le personnel du site dont Gaétan était locataire au bâtiment inoccupé parallèle à mon unité de fabrication.
Pour le personnel administratif, quelques collaborateurs devant partir à la retraite conjuguée aux contrats non renouvelés de C.D.D nous permettront de rationaliser nos services et dégageront des marges pour le nouveau projet de robot pour les centrales nucléaires qui doivent augmenter nos ventes et nos bénéfices.
Mon adjoint prendra la tête de la nouvelle entité et à ce titre libérera son bureau voisin du mien pour se rapprocher de ses nouveaux collaborateurs. Son bureau sera attribué à Myriame qui travaillera à côté du mien.
Ces ordres étant en place, je prépare avec Myriame, la lettre pour la banque avec le blanc numéro deux qui lui permet de transférer tous les avoir de Gaétan vers le compte à son seul nom que nous ouvrons avec ma signature en garant.
Nos banques étant communes et mes revenus substantiels, le banquier est très satisfait de signer tous les transferts, car jamais des attaches crochues sont passées avec mon ex-copain.
Blanc numéro trois, Gaétan reconnaît qu’il l’a trompé et accepte le divorce en reconnaissant ses torts, en dédommagement il cède tous les droits sur leur villa à sa femme qu’il a trompée ignominieusement.
Il déclare que sa maîtresse s’appelle Véronique et est la femme de son ami Christian.
Avec cette lettre et les photos copies de l’hôtel sans compter la clef U.S.B. où il reconnaît qu’il a emmené sa maîtresse se prostituer à Barcelone, nous allons ensemble, voir mon avocat qui voit les pièces aux dossiers se fait fort d’obtenir nos deux divorces dans les meilleurs délais.
Le vendredi après une semaine où j’ai commencé le cama soutra au dessin numéro un pour arriver à la page huit seulement nous avons passé une semaine de rêve. Je l’emmène chez moi pour lui avoué ce qu’est devenue Véronique et ce que je l’ai forcé à faire à Barcelone.
Lorsqu’elle monte vers la chambre, je refuse d’ouvrir jusqu’à ce qu’elle me promette d’éviter de l’étriper, car c’est grace à elle que nous nous sommes trouvés.
Après être redescendue, elle tient à faire l’amour sur mon canapé juste en dessous de la chambre où Véronique est reclus. Ses cris sont nettement plus puissants que chaque fois que je la fais chanter montrant à mon ex qui est la nouvelle patronne de nos corps.
Le samedi soir après un long dialogue avec mon petit bouchon, nous faisons monter Véro en voiture direction l’Espagne…
Nous sommes de nouveau devant le bordel où celle qui a été ma femme se prostitue pour que je récupère l’argent inverti depuis le début de notre mariage.
À l’intérieur, Viviane nom que j’ai donné pour éviter de leur donné son vrai nom ôte sa veste que lui prend Olga.
Un client s’approche et entraîne ma pute dans les chambres.
Le patron tient à me parler. Olga m’emmène dans son bureau.
J’ai oublié de dire que si j’ai emmené Véronique ici, c’est, certes, pour les bordels autorisés en Espagne, mais aussi c’est parce qu’elle parle l’espagnol appris depuis les premières classes.
Quant à moi, ma mère est catalane et nous parlions une semaine sur deux soit en français soit en espagnol et je suis parfaitement bilingue.
• Vous revoila, la punition que vous lui avez infligée la semaine dernière aurait dû vous suffire.
• Quelle punition, c’est ma sœur qui souhaitait venir dans un bordel.
• Des sœurs qui souhaitent se prostituer, j’en rencontre toutes les semaines et chaque fois c’est le frère qui les protège.
Chaque fois, ce sont en réalité les maris qui se vengent de celle qui les a trompés.
• Vous avez raison, je l’avoue.
• Se prostituer pour les femmes laisse en elles des traces indélébiles même pour celle qui le fond sans contrainte.
Je vais te faire un cadeau et après tu la libères, je refuse de vous revoir.
Viens.
Il m’emmène vers un couloir où plusieurs portes sont côte à côte.
• C’est le coin des voyeurs, chaque porte s’ouvre sur une pièce qui a un panneau.
Je vais te mettre ici et je vais envoyer ta femme pour deux heures où les clients se relayent après avoir payé auprès de moi.
• D’accord, mais à une condition, pas deux heures, mais jusqu’à ce que je la ramène dans sa cage dorée chez moi.
• Tu as bien conscience qu’elle va finir la nuit complètement défoncée, deux heures, c’est déjà beaucoup.
• Jusqu'à la fin de la nuit où elle revient la semaine prochaine.
Je dois combien pour le spectacle ?
Pour toi c’est offert, voici un passe pour éviter de mettre des pièces.
• Je suis d’accord, ce sera la dernière fois, à une autre dernière condition.
J’ai envoyé un message à son amant lui demandant de venir à vingt-deux heures précises, que tu le conduiras vers sa maîtresse qui est supposée être la copine de ta femme.
Je te paye pour isoler la cabine voisine de la mienne et amener l’amant lorsqu’il arrivera.
• Je vois jusqu’où va ta vengeance, tu veux qu’il voie sa maîtresse se faire pilonner par un ou des hommes.
Tu es sympathique à la dernière passe avant vingt-deux heures, je vais lui envoyer trois copains que je vais appeler, ils seront contents de tirer une salope gratuitement. L’amant va être fort étonné des possibilités de Viviane.
Nous partons d’un éclat de rire. Il me quitte.
Des bruits, des mouvements et Véronique entre suivis par un client.
• Ou m’avez-vous emmené, jamais on m’a fait venir ici.
Autour de la pièce où elle est entrée constituée d’un lit rond qui tourne sur lui-même.
• Alors bébé, que veux-tu que je te fasse, tu sais certainement que j’ai dit au patron que j’acceptais de baiser sans capote.
Viens que je te lave la queue, elle semble appétissante.
Regarde, j’adore nous voir nue dans toutes ces glaces qui nous entourent, je sens que je vais prendre beaucoup de plaisir ce soir.
Dommage que mon couillon de mari soit resté au bar, j’aurais aimé qu’im me vois me faire enfiler.
Il croit me punir, mais j’aime gagner du fric avec mon sexe.
Allé assez parler, mets-moi ?
A-t-elle compris que dernières ces glaces des hommes la regardent et que je fais partie de ceux-là ?
• Christian, je sais que tu regardes, Olga me la dit en m’amenant dans cette salle, c’est pourquoi je t’ai provoqué, je me sens sale, tous ces hommes qui se servent de mon corps me salissent de plus en plus,
Tu as réussi à me faire passer ce message que, lorsque l’on a trop de bonheur comme c’était mon cas avant de te tromper, on peut tout perdre par bêtise et en écoutant le chant des sirènes.
Elle finirait par presque me faire monter les larmes aux yeux surtout lorsqu’un homme la quitte remplacé quelques minutes après par un autre.
Elle se jette les seins en avant sur la première glace près d’elle.
Hélas pour elle je suis à l’opposé, mais comme a chaque changement de partenaire elle exécute la même manœuvre je peux admiré son corps collé à la vitre. Ce corps que j’ai beaucoup aimé, mais que, maintenant je vomis surtout lorsqu’elle me montre sa fente dégoulinante de sperme qu’elle oublie d’aller enlever en se nettoyant sur le bidet.
Beaucoup d’hommes auraient craqué et arrêté le massacre, mais je suis fait d’un métal tellement dur que je la laisse continuer jusqu’à ce que j’entende du bruit dans la pièce voisine.
Discrètement je vois la porte ouverte et lorsqu’il entre, je reconnais Gaétan.
Le patron est là.
• Entré, votre copine m’a prévenu de votre venue et souhaite vous faire une jolie surprise.
Il a fait l’effort de parler en anglais petit-nègre.
Dans le même temps, Véronique voit arriver les trois hommes promis par le patron.
Pendant presque une heure, ils vont la pilonner la baiser, le sodomiser, la prendre en double pénétration et de temps en temps l’un des trois en prime lui lâche une giclée de sperme dans la bouche.
En point d’orgue de cette heure de débauche, ils finissent en double anal et la troisième bite dans la chatte dommage que Gaétan ait flanché après la double pénétration anale et sexe, car j’aurais aimé qu’il voie dans quelle fange sa trahison avait précipité sa maîtresse.
À la dernière goutte de sperme, dans la bouche par l’un des sexes sortis de son cul, je suis apaisé ma vengeance ai abouti même s’il me faut terminer cette histoire avec elle part le coup de grace à mon fumier de copain.
Je retourne au bar et je suis obligé de prendre un whisky. Moi qui évite l’alcool surtout en conduisant pour le retour, j’ai besoin d’un coup de fouet.
En attendant qu’elle prenne sa douche, ce que je lui conçois afin que mes sièges restent propres, je regarde les photos que j’ai prises avec mon phone et les meilleurs vont bien m’être utiles dès lundi pour aller chez mon avocat ouvrir un dossier de divorce où je vais pouvoir prouver que mon épouse me trompe allant même jusqu’à se prostituer pour m’humilier.
J’ai conscience que les photos qui seront sur la clef U.S.B. que je vais leur fournir, la montreront à tout le tribunal dans des postures humiliantes mais mon cœur qu’elle a déchiré mérite bien qu’à son tour elle le soit aussi.
Lorsqu’elle me rejoint, je comprends très vite que j’ai bien fait de refuser de céder.
• Salop, tu me le payeras.
Cause toujours ma poulette, c’est moi qui ai décidé de vous mettre plus bas que terre et dès lundi mon plan pour laminer ton amant, va commencer à se développer suivant le scénario que j’ai prévu.
• On est bien d’accord, c’est la dernière fois que l’on se voit.
Il me donne un paquet de billets.
• Donne-les à la pute, je veux éviter de me salir les mains.
On s’en sert cinq et nous sortons.
Je la vois prendre l’argent et me suivre.
Dans la rue, elle a du mal à marcher, je la vois devant moi jucher sur ses talons haut écarter les cuisses comme si je lui avais placé un gode.
Les bites ont dû tellement là chauffer qu’elle pourra se reposer toute la semaine avant de revenir. S’il faut que je paye le patron, je souhaite qu’elle en prenne encore plus dans ses trous. Je l’ai bien vue se faire sodo plusieurs fois sans capote, mais je payerais les clients pour qu’ils entrent à deux ou trois dans la salle aux glaces et que les voyeurs aient un spectacle jamais proposé à leurs yeux dans ce bordel.
Bien sûr, c’est le scénario que j’avais échafaudé avant la fin de cette soirée et la promesse faite.
Mon cerveau que certains vont dire malade va échafauder un plan pour que je respect ma parole.
Lorsque je monte en voiture après l’avoir fait asseoir à l’arrière un brui sourd arrive à moi.
Lorsque j’arrive sur une des artères principales à Barcelone, nous sommes entourés d’un grand nombre de personnes criant Barca et encore Barca.
C’est à ce moment-là que je me souviens que le club de la ville jouait à Berlin la finale de la coupe d’Europe de football et que j’apprends que le club a gagné trois à un devant la Juventus de Turin.
Obnubilé par mes problèmes moi qui aime le football, j’avais complètement zapé la finale de la coupe aux grandes oreilles.
J’appuie sur le bouton ouvrant la vitre arrière.
• Jette tous les billets, tu vas faire des heureux.
Celle qu’il y a quelques minutes voulait me casser sors l’argent de son sac. Elle sort sa main par la vitre et jette les billets en l’air.
Une vrai bagarre ce produit qui a pour avantage de dégager l’avant de la voiture, je tourne dans une petite rue pour éviter les supporteurs en folies.
Lorsque j’arrive chez moi au matin, je la fais entrer dans sa chambre, récupère ses affaires et après l’avoir enfermé, je prends la route de chez Myriame en la réveillant avec un coup de fil lui signalant mon arrivée.
Dès que j’entre, dans la chambre 323 où je l’ai fait se retrancher en attendant le départ de Gaétan, ce dimanche soir, elle me saute au cou et malgré mon extrême fatigue, je la sexe jusqu’à son plaisir avant de sombrer dans ses bras.
Il est midi lorsque j’émerge et le soleil nous permet de manger le caviar avec champagne servi par le roomservice ainsi que les beaux choux à la crème ainsi que les éclairs au café en forme de sexes que j’aime tant.
Elle vient s’asseoir sur mes genoux pour me donner la becquée.
J’aime ses jolis tétons que je caresse d’une main nonchalante. Je sens mon sexe coincé dans sa raie et le frottement produit après chaque mouvement de son corps pour me donner un morceau de gâteau me fait redresser le gland.
Mon ex m’a dit un jour que son amie avait fait partie de l’équipe de France de gymnastique et était vice-championne d’Europe au concours général.
Elle me fait voir sa souplesse lorsqu’elle arrive à faire de la barre fixe en entrant son sexe sur mon pieu.
Dans cette position sans bouger en me regardant les yeux dans les yeux, elle me fait une chose qu’aucune femme ne m’avait faite.
Je sens ses muscles vaginaux enserrer ma bite puis la relâcher pour mieux les resserrer avant de recommencer.
À ce rythme, je rends les armes à la vitesse la plus rapide de ma vie.
Quand je la remplis, je repense à ce Gaétan m’avais dit sur les performances de sa femme.
Quel con, il a bien fait de me cocufier, car jamais ce joli petit lot aurait été mienne et je suis sûr qu’elle gagne à être connue.
Dimanche idyllique qui je l’espère de plus en plus est un point de départ à notre vie future.
De plus en plus je réfléchis la vie avec elle.
Si je regarde bien, j’ai une jolie petite salope à ma disposition, une salope positive en rapport à Véronique qui est une salope négative.
Le lundi, je vais à mon bureau avec elle, nous voulons rester le maximum de temps ensemble et je réunis mes collaborateurs pour leur annoncer mon divorce.
Tous non aucun mal à reconnaître la femme de Gaétan qu’ils ont vue lors d’apéros pour fêter la signature de nouveaux contrats.
Blanc numéro un. Je leur présente la nouvelle patronne de la boîte de Gaétan qui a signé une lettre donnant tout pouvoir à son épouse et reconnaissant son retrait de tout droit sur son entreprise.
Je charge mon adjoint de transférer les machines et le personnel du site dont Gaétan était locataire au bâtiment inoccupé parallèle à mon unité de fabrication.
Pour le personnel administratif, quelques collaborateurs devant partir à la retraite conjuguée aux contrats non renouvelés de C.D.D nous permettront de rationaliser nos services et dégageront des marges pour le nouveau projet de robot pour les centrales nucléaires qui doivent augmenter nos ventes et nos bénéfices.
Mon adjoint prendra la tête de la nouvelle entité et à ce titre libérera son bureau voisin du mien pour se rapprocher de ses nouveaux collaborateurs. Son bureau sera attribué à Myriame qui travaillera à côté du mien.
Ces ordres étant en place, je prépare avec Myriame, la lettre pour la banque avec le blanc numéro deux qui lui permet de transférer tous les avoir de Gaétan vers le compte à son seul nom que nous ouvrons avec ma signature en garant.
Nos banques étant communes et mes revenus substantiels, le banquier est très satisfait de signer tous les transferts, car jamais des attaches crochues sont passées avec mon ex-copain.
Blanc numéro trois, Gaétan reconnaît qu’il l’a trompé et accepte le divorce en reconnaissant ses torts, en dédommagement il cède tous les droits sur leur villa à sa femme qu’il a trompée ignominieusement.
Il déclare que sa maîtresse s’appelle Véronique et est la femme de son ami Christian.
Avec cette lettre et les photos copies de l’hôtel sans compter la clef U.S.B. où il reconnaît qu’il a emmené sa maîtresse se prostituer à Barcelone, nous allons ensemble, voir mon avocat qui voit les pièces aux dossiers se fait fort d’obtenir nos deux divorces dans les meilleurs délais.
Le vendredi après une semaine où j’ai commencé le cama soutra au dessin numéro un pour arriver à la page huit seulement nous avons passé une semaine de rêve. Je l’emmène chez moi pour lui avoué ce qu’est devenue Véronique et ce que je l’ai forcé à faire à Barcelone.
Lorsqu’elle monte vers la chambre, je refuse d’ouvrir jusqu’à ce qu’elle me promette d’éviter de l’étriper, car c’est grace à elle que nous nous sommes trouvés.
Après être redescendue, elle tient à faire l’amour sur mon canapé juste en dessous de la chambre où Véronique est reclus. Ses cris sont nettement plus puissants que chaque fois que je la fais chanter montrant à mon ex qui est la nouvelle patronne de nos corps.
Le samedi soir après un long dialogue avec mon petit bouchon, nous faisons monter Véro en voiture direction l’Espagne…
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Les avis des lecteurs
Enfin une histoire ou le cocu se venge
Cela change du candaulisme
Dommage pour la fin baclée
Cela change du candaulisme
Dommage pour la fin baclée
Retour en Espagne ?