MA VENGEANCE. (5) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Alors que nous avons fini de faire l’amour avec Myriame, nous préparons Véronique à partir pour son bordel favori.
Nous sommes dans la voiture et Myriame qui m’accompagne apostrophe son ancienne amie.

• Alors, salope, on va te faire ramoner toute la soirée, Christian a trouvé la bonne solution pour te punir de l’avoir trompé avec mon mari.
Je te remercie de ce que tu as fait, car grâce à toi nous sommes devenues les meilleurs amants du monde.
J’étais frustré avec Gaétan qui me prenait pour une gourde au lit alors que mon amant a su faire exploser la cocotte-minute qui bouillait en moi.
Dommage, tu es trop loin pour regarder, je lui ouvre sa braguette, tu te souviens de sa queue, c’est moi qui m’approche d’elle, elle est toute dure et c’est moi qui vais l’aval…
Une nouvelle fois rideau, elle est dans l’impossibilité de parler avec mon gland déjà en bouche.

• Qu’elle est bonne, j’y retourne, je te tiens informé puisque tu es privée de cette bonne fellation.

En plus d’être une gentille pute très, salope, Myriame, lie le vice en humiliant mon ex.
C’est bizarre, la voiture zigzag sur la route, non, c’est normal au moment où je lui remplis la bouche.
En bafouillant avec ce que je lui ai mis, elle s’adresse à sa voisine de derrière.

• Avance ta bouche que je t’embrasse, je vais te donner une avance sur ce que tes clients vont te faire avaler ce soir.
Tu refuses, c’est sympa, j’en aurai plus.

Je l’entends déglutir et je la vois se lécher les lèvres.

• On peut s’arrêter, j’ai envie de faire pipi.
• On arrive à La Junquera, je vais m’arrêter, il faut que je prenne un café.

Trois kilomètres, et je mets mon clignotant.
Avant de descendre, je demande à Véronique si elle souhaite aller aux toilettes.
Aucune réponse me parvient alors nous prenons le chemin du Restoroute.
En partant je ferme la porte à clef la rendant prisonnière.
Une demi-heure et nous revenons, Myriame me tombe dans les bras et m’embrasse tendrement.

• Merci mon cœur du stratagème que tu as accepté pour qu’elle parte, après une demi-heure, j’espère qu’elle est loin.

En effet, chez moi après avoir fait l’amour sur le canapé Myriame m’a fait comprendre que les deux soirées au bordel étaient une punition suffisante et que si je l’aimais maintenant qu’elle savait comment je l’avais punie, il était hors de question qu’elle fasse le trajet avec moi jusqu'au bordel.
Notre amour étant en jeu sans hésiter j’ai accepté, mais je voulais trouver une solution qui m’évite de lui ouvrir la porte de la maison ou de la voiture en lui disant d’aller se faire baiser ailleurs.
C’est elle qui a trouvé la solution de l’arrêt.
Certes, les portes arrière étaient condamnées, mais il était facile pour une femme m’ayant montré sa dextérité à bouger son corps avec ses clients de passer à l’avant de la voiture et partir.

• Comme je te l’avais promis Christian direction Barcelone, non pas au bordel bien que peut-être on pût envisager d’essayer une fois, mais pour le palace, les pieds dans l’eau que j’ai réservé avec ma jolie carte de crédit que la banque m’a donnée avec seulement mon nom sans celui de mon ex.
Grace à toi je suis une femme amoureuse et riche.

Nous reprenons la route, ce soir c’est la dernière fois de ma vie que je voyais Véronique. Toute la procédure, s'est faite par l’intermédiaire de mon avocat.
La situation avec elle était facilitée par le contrat que nous avions signé à notre mariage stipulant qu’elle n'avait aucun droit en cas de conduite inconvenante envers moi.
Mon avocat m’a dit, qu'elle s’était défendue en argumentant que pour elle, tromper son mari était loin d’être inconvenant.

Arrivée au palace, notre chambre a un balcon donnant sur la mer avec une surface suffisante pour organiser une soirée dansante pour deux cent personnes. J’exagère un peu certainement, mais j’ai assez de place pour lui faire une nouvelle fois, non, de nombreuses fois l’amour.
Dès notre arrivée, elle est sur le balcon à regarder la mer, je lui baisse son slip de bain et je lui fourre la vulve sans faire attention si des clients peuvent nous voir. Je lui mets la main sur la bouche pour éviter qu’elle n’ameute toute l’Espagne.
C’est en repensant à celle qui a dû courir très vite que je lui lâche mes premiers jets de semences qui vont être suivis de nombreux autres tout au long de notre séjour.
Un restaurant, les pieds dans l’eau, un coup de bite, encore un restaurant aux chandelles, la nuit, les espagnoles ayant l’habitude de réveillonner tous les soirs, et un nouveau coup de bite dans l’anus ce coup-ci.
Vous répétez ce type de journée pendant quatre jours et madame doit prendre le volant pour notre retour alors que je dors à son côté.
Lorsque je me réveille à quelques kilomètres de chez nous, comme elle me l’a fait à l’aller, je plonge ma tête sous sa minijupe et après l’avoir relevée, je plonge dans sa fourche toujours aussi odorante.
La position pour un homme est moins facile que pour une femme qui n'a qu’à ouvrir sa bouche mais les cuisses qu’elle écarte au maximum me permettent de glisser ma langue sans la pénétrer.
Le résultat est le même qu’à l’aller, la voiture fait la même embarder au moment où elle arrive à jouir.

De retour des States où je l’ai libéré, Gaétan, arrive dans mon bureau.
Myriame se réfugie dans le sien me laissant seul avec son pitbull.

• Je vais te casser la gueule, comment as-tu pu me faire tout cela après toutes nos années de galère ensemble.
• Tu es culotté, bien que tu l’aies baisée devant Véronique dans ma propre cuisine pour la niquer le propre jour de mon anniversaire.
Recule.
• Tu vas voir ta gueule, je vais te massacrer.
• Bouge un doigt sur moi ou Myriame, cela, t’éviteras de coucher sous les ponts, car nous avons porté plainte contre toi pour agression répétée dont une fois dans mon bureau devant les responsables de nos deux sociétés.
Tu m’excuses d’avoir menti et eux aussi, il faut bien qu’il bouffe, ils ont signé la plainte surtout avec la prime que je leur ai versé qui aurait été celle que toi tu aurais touchée sur la vente américaine ou comme d’habitude tu as juste survolé le dossier.
Alors, tire-toi, tu as une journée pour prendre une valise, demain un serrurier doit passer pour changer toutes les serrures de la maison qui est propriété de celle que j’épouse dès que nos divorces seront prononcés.
À oui, dernière chose, tu as vu, comment j’ai réglé le problème avec Véronique à Barcelone, j’étais dans la salle voisine de la tienne, va-la rejoindre, je t’autorise à demander à mon avocat où elle est puisqu'il est en contact.
Nul doute voyant le maquereau que tu es, tu arriveras sans problème à faire tapiner celle que tu as vue se déchaîner avec son cul dans le bordel où je l’ai conduite.
Au moins, elle baisera utile et rapportera du fric.

La queue basse, il quitte mon bureau, immédiatement remplacé par Myriame qui repousse, ma chaise directoriale, sort ma queue et vient s’empaler, la séquence avec Gaétan ayant déclenché pour nous une irrésistible envie de baiser.

Nous vendons les deux maisons, souvenirs de ceux qui nous ont trompés.
Je vais construire une magnifique maison à la hauteur de Myriame qui fait flamber mon cœur et je la remplis quelques mois plus tard avec la naissance de notre fils qui sera suivi par le choix du roi lorsque Jade rejoindra Jules.
Nos sociétés sont florissantes et ma femme arrive certaines années à dégager plus de bénéfices que la mienne.
Il y a une frontière que nous passons une fois par an tous les deux, c’est celle qui mène à Barcelone où nous retrouvons la chambre où je l’ai amenée au début de notre aventure. Elle est réservée d’une année sur l’autre pour cette date souvenir.

Dans un rêve une nuit, j’ai vu notre retraite au soleil sur la plage de notre hôtel avec des personnes nous servant puisque nous l’avons acheté alors que nos deux enfants chacun ont repris les deux sociétés…