Ma vengeance : chapitre 4 - Daniel
Récit érotique écrit par Bigou [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma vengeance : chapitre 4 - Daniel
Nous étions allés très loin dans les confidences. Cela nous avait rapproché. Le sexe nous manquait beaucoup. Nous avions le droit à une sortie par mois. Pour moi il n’était pas question de rentrer à la maison. Eric lui pouvait sortir. Il profitait de la présence de Jacques et Françoise dans la maison familiale pour y passer un long week-end. Il me proposa de l’accompagner la prochaine fois. Mon père donna son accord.
Eric avait gardé quelques cartes vidéos. Il me proposa de les regarder en nous branlant. Il se déshabilla. J’en fis de même. Nous avions la même stature. Sa queue dressée avait les mêmes dimensions que la mienne. Il s’approcha de moi et commença à me caresser. Il avait démarré la vidéo et je découvris les ébats de ses parents avec Françoise et Jacques. Ils étaient beaux et harmonieux. Nous étions aussi excités l’un que l’autre. Eric s’agenouilla et pris ma queue dans sa bouche pendant que je regardais sa mère se faire sodomiser par Jacques tout en suçant son père. Eric était très habile et jouait de sa langue pour me caresser le gland et la verge. C’était aussi bien qu’avec Brigitte. Il me caressait aussi les fesses et ses doigts jouaient avec ma rondelle. Sur l’écran Françoise jouait avec les seins de la mère d’Eric pendant que les hommes accéléraient leurs mouvements. Le père d’Eric jouit le premier. Se retirant de la bouche de sa femme, il lâcha de longs jets de sperme sur son visage. Jacques continuait à la sodomiser. Sentant qu’il allait jouir, il se retira, se plaça devant Eliane et se déversa aussi sur son visage. Elle était pitoyable, son maquillage avait coulé, de longs filets de sperme ruisselaient sur son visage. Françoise, abandonnant les seins qu’elle caressait se précipita pour nettoyer avec sa langue le visage de la mère d’Eric recueillant le sperme de son père et de Jacques Elles échangèrent ensuite un long baiser. Le père d’Eric pendant ce temps avait demandé à jacques de lui nettoyer la verge avec sa bouche.
Eric m’avait fait jouir au moment où son père arrosait le visage de sa mère et avait avalé ma semence. J’arrêtais le film et lui demandais de s’allonger. Je me mis tête bêche pour le sucer. J’avais placé un oreiller sous sa nuque pour qu’il puisse me bouffer le cul. Je sentais sa langue envahir mon anus, c’était sublime. Une fois bien lubrifié, il commença à m’ouvrir le fondement avec ses doigts. J’accélérais mes mouvements de succion. Sa queue venait de plus en plus vers moi, il allait jouir. Je serrais les lèvres et recueilli sa semence que j’avalais.
Tous les soirs nous regardions une des vidéos. Les corps et les pratiques de ses parents, de Jacques et de Françoise n’avaient plus de secrets pour moi. Ces visionnages étaient pour nous l’occasion de nous masturber, nous sucer nous sodomiser et de caresses prolongées.
Les autres garçons du pensionnat étaient peu intéressants. Ils nous laissaient tranquilles. Comme nous avions d’excellents résultats, l’encadrement était satisfait. Eric jouait aussi son rôle de chef de classe à la perfection. Jamais personne n’aurait imaginé que nous avions des relations sexuelles ensemble, tant nous étions des modèles de virilité.
J’étais très attiré par la mère d’Eric. J’aimais beaucoup ses traits fins, sa bouche qui savait si bien sucer, ses seins lourds aux bouts très longs, son fessier imposant et accueillant. J’en fis part à Eric qui lui aussi était attiré par elle mais savait par Françoise qu’elle avait refusé la proposition de son père de faire en sorte qu’il participe à leurs jeux.
Jacques et Françoise avaient annoncé leur venue la semaine suivante. Nous attendions avec impatience ce week-end. Au téléphone il avait annoncé à Françoise qu’il amenait son camarade de chambre avec lequel il avait des relations intimes. Elle lui avait annoncé aussi une surprise.
Jacques vint nous chercher le vendredi à 17h00. Une heure après nous étions chez les parents d’Eric. Jacques était très sympathique et se conduisait plus en ami qu’en employé. On voyait qu’il avait beaucoup d’affection pour Eric. Il se conduisait en grand frère. Il lui donna des nouvelles de ses parents. Leurs liens disait-il, s’étaient encore resserrés et il vivaient des moments forts ensemble. Eric avant de partir au pensionnat avait démonté l’installation dans la chambre de ses parents. Jacques ne savait pas que je le connaissais tous sous toutes les coutures.
Françoise nous attendait. Elle embrassa longuement Eric qui lui caressa immédiatement les fesses. Elle m’examina et parut satisfaite. Elle m’avait préparé une chambre mais Eric lui demanda de nous conduire tous les deux dans celle de ses parents. En y arrivant, Eric pris les choses en main et sous le regard de Jacques et Françoise il me demanda de me déshabiller pendant qu’il faisait de même. Il m’allongea sur le lit, se mit tête bêche et nous entamâmes une fellation réciproque. Jacques s’était rapproché et caressait les fesses d’Eric et testait sa rondelle qu’il retrouva très souple. Il se déshabilla très vite, pris un tube de gel dans la salle de bain et revint auprès d’Eric. Il me dégagea gentiment et me demanda de quitter le lit. Il mit Eric à quatre pattes, enduisit son anus de gel et commença à l’ouvrir doucement. Françoise voyant ma frustration s’était aussi vite déshabillée. Se tenant à genoux devant moi elle avait englouti ma queue et me pompait avec ardeur. Quand à moi je regardais le cul de mon ami s’ouvrir. La verge de Jacques était impressionnante. Quand il l’estima prêt, il mis aussi du gel sur son gland, le présenta sur l’anus d’Eric qu’il embrocha d’un seul coup. Eric émit un petit cri de douleur avant de commencer à bouger. Jacques ne faisait rien car c’est Eric qui imprimait le mouvement, allant et venant sur la queue de son amant. J’avais les mains sur la tête de Françoise et calquais la cadence de sa fellation sur les mouvements d’Eric. Elle m’avait empoigné les fesses et ses doigts jouaient avec mon cul qu’ils pénétraient. Les mains de Jacques jouaient avec les mamelons d’Eric qu’il titillait. Je fus le premier à jouir et j’explosais dans la bouche de Françoise qui avoir bien recueilli les dernières gouttes se précipita pour embrasser Eric. Jacques se retira. L’anus d’Eric béait. Il demanda à Françoise de se placer sur le dos et d’ouvrir son sexe. Présentant la queue d’Eric, il lui demanda de la pénétrer. Une fois en place il se présenta à nouveau et l’encula. Ils mirent un certain temps avant de coordonner leurs mouvements. Je me plaçais derrière Jacques pour lui caresser le dos et les seins. Françoise eut toutes une succession d’orgasmes avant qu’Eric explose en elle avec un grand cri. Jacques accéléra la cadence et s’effondra sur le dos de son amant, le corps agité de soubresauts pendant que je lui caressais les fesses et le dos.
Jacques devait s’absenter trois heures et devait revenir avec une surprise. Il se rhabilla et nous laissa avec Françoise qui s’allongea entre nous. Elle avait pris nos sexes dans les mains et les caressaient. Noue récupérions doucement. Eric demanda à François de placer son sexe bien ouvert sur mon visage. Avec ma langue et ma bouche, je titillais son clitoris, je pénétrais son vagin. Pendant ce temps Eric avait récupérer le tube de gel et s’occupais de lui ouvrir le cul. Il la doigtait et je voyais son anneau progressivement s’ouvrir. Il lui demanda de se placer sur mon sexe et de s’empaler. Plaçant sa queue sur son œillet il l’encula brutalement. Je réglais mes mouvements sur les siens. Je sentais les pointes de ses gros seins sur ma poitrine. Elle haletait, poussait des soupirs de satisfaction, nous demandant de la baiser, de l’enculer. Elle était vraiment hystérique et secouait sa tête de plus en plus fort. Sa jouissance fût particulièrement violente. Elle m’avait pris les épaules et s’accrochait à moi. Elle était à la limite de perdre connaissance. Mon éjaculation entraîna une nouvelle séquence d’orgasmes très rapprochés qui continuèrent quand Eric se vida en elle. Son regard était hagard. Ses ongles étaient plantés en moi. Ses jambes étaient agitées de tremblement. Nous la laissâmes récupérer dans le lit où elle s’endormit aussitôt. Nous prîmes une douche, satisfaits de nos prestations. Nous descendîmes au salon pour prendre un pot. Au bout de deux heures, Françoise nous rejoignit. Elle avait pu se laver et se remaquiller. Nous étions tous les trois nus. Elle s’absenta pour préparer le repas du soir, un brunch tout simple.
Nous attendions tranquillement le retour de Jacques qui arriva peu de temps après accompagné de deux belles femmes plantureuses d’une cinquantaine d’année qui ne furent pas surprises de nous voir nus. Elles avaient un accent américain prononcé. Elles nous embrassèrent avec pour Françoise une caresse appuyée sur ses fesses. C’était des anciennes clientes d’’Eric qu’il avait connu dans sa période gigolo. Elles aimaient le sexe et préféraient avoir des jeunes amants performants, endurants, quittes à les payer. Ils s’étaient revus aux Etats unis au cours d’une soirée avec les parents d’Eric. Comme elles devaient passer quelques jours à Genève, ces derniers leurs avaient proposé de résider chez eux. Sachant qu’Eric serait présent, ils souhaitaient qu’il puisse découvrir une nouvelle facette du libertinage. Jacques avait prévenu les parents d’Eric de ma présence.
Jacques les accompagna dans leurs chambres pour quelles puissent déposer leurs affaires, se préparer et redescendit nu. Elles venaient directement de New-York. Jacques les avait récupéré à l’aéroport de Genève. Il nous parla de ses anciennes conquêtes. Jane et Mary étaient des américaines fortunées qui avaient beaucoup vécu en France. Elles étaient mariés à des industriels plus âgés qui ne pensaient qu’à leurs affaires. Elles s’étaient constituées un cercle d’amis qui les satisfaisait.
Elles descendirent nues se tenant par la taille. Elles avaient les formes lourdes des femmes matures avec de gros seins avec de belles aréoles et des bouts développés percés par des anneaux pour Mary qui portait aussi un piercing qui traversait son clitoris. Elles avaient toutes les deux des culs bien formés et bien galbées. Elles étaient épilées.
En les voyant nos queues se dressèrent immédiatement. Jane se plaça devant Françoise jambes écartées et lui prenant la tête, elle colla sa bouche à son sexe. Mary s’assit entre moi et Eric et commença à nous caresser la queue. Jacques se présenta devant elle et prenant sa tête, il lui mit sa queue dans la bouche. Elle avait écarté les cuisses. Eric jouait avec son clitoris qui avec le piercing ressortait très bien et moi avec sexe. Elle avait avancé son bassin pour nous faciliter la tache. Voyant qu’elle s’en sortait bien, James libéra sa tête et se saisi des anneaux au bout des seins pour les étirer.
Françoise s’allongea sur le tapis. Jane se plaça au-dessus d’elle tête bêche pour la lécher. La langue de Jane était impressionnante et agile, une vrai petite queue. Elle fouillait le sexe de Françoise. Je me libérai de l’emprise de Mary, me plaçais derrière Jane pour la pénétrer, son sexe ayant été bien préparé par Françoise qui, la place étant occupée commença à me lécher les couilles et le cul. Comme Jane ressemblait beaucoup à la mère d’Eric j’avais l’impression de la baiser.
Mary demanda à Eric de s’asseoir et s’empala aussitôt sur lui. Jacques qui s’était retiré pour les laisser faire lui enfonça à nouveau sa queue dans la bouche et recommença à lui étirer les seins. Elle n’était pas gorge profonde. Elle jouait de sa langue pour exciter son gland, caresser sa verge. Elle prenait aussi ses couilles dans la bouche puis revenant à sa succion.
La langue de Jane était si efficace que Françoise fût la première à jouir. Terrassée par l’orgasme, elle avait abandonné mon cul et mes couilles. Tout en la besognant, je m’occupais de ses gros seins que je tenais bien en main. Elle gémissait sous mes coups de boutoir. Mon bas ventre tapait ses fesses de plus en plus fort. Je sentis ma jouissance arriver. Agrippant ses seins je me répandis en elle. Sentant les jets de sperme frapper sa matrice elle exprima son orgasme par un grand cri.
Mary montait et redescendait de plus en plus vite sur le sexe d’Eric qui jouait maintenant avec les anneaux de ses seins, abandonnés par James qui avait repris sa tête pour lui imprimer la cadence. Mary avait de plus en plus de mal avec ce gros sexe qui lui déformait la bouche. Son calvaire pris fin avec la jouissance de James qui éjacula sur son visage provoquant l’orgasme de sa partenaire. Sentant qu’il allait jouir, Eric força Mary à se lever, lui attrapant la tête, il éjacula dans sa bouche l’obligeant à avaler son sperme.
Après avoir récupéré et s’être nettoyés, Françoise nous proposa son brunch. Je ne pouvais m’empêcher de lui caresser les fesses à chaque passage. Elle me remerciait par un petit sourire complice. Mary et Jane étaient visiblement heureuses d’être avec nous. Je me mis soudain à sourire, imaginant la tête de ma tante et de mon père à la vue de notre assemblée. Jane en voyant mon expression me demanda ce qui se passait. Je lui expliquais en quelques mots ma situation. Elle m’interrogea aussi sur ce que je pensais d’elles, prête à se faire baiser par des jeunes qui pourraient être leurs petits-fils. Je lui répondis que pour moi l’essentiel était dans le plaisir donné et reçu et qu’il n ‘y avait pas de meilleurs professeurs que des femmes d’expérience. Elle me remercia d’un baiser. Je lui avouais que j’étais troublé par la mère d’Eric dont les photos ornaient la maison à qui elle ressemblait beaucoup. Elle me le confirma. Je lui posais des questions sur les performances sexuelles de la mère d’Eric et si j’avais des chances de la séduire. Elle me répondit que cette dernière marchait au feeling. Comme je ressemblait beaucoup à son fils, cela pourrait peut-être marcher
Elle aussi l’avait trouvée troublante et beaucoup apprécié les moments coquins passés ensemble. Elle promis de lui parler de moi lors de leur prochaine rencontre. Elle aimait aussi beaucoup Jacques qui avait été toujours gentil et délicat avec elle, faisant en sorte qu’elle soit toujours satisfaite.
Comme elles avaient voyagé toute la journée, elles proposèrent d’aller se reposer pour récupérer. Mary proposa de tirer les couples au sort. Françoise tomba avec Jacques, Eric avec Mary et moi avec Jane ce qui me satisfaisait pleinement.
Jane me prit par la main et m’entraina dans sa chambre. Une fois au lit, elle me fit l’amour d’une façon fabuleuse, prenant toutes les initiatives pour nous permettre d’atteindre ensemble l’orgasme. Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre repus et heureux.
Je me réveillais au petit matin. Elle était penchée sur moi et me regardait avec tendresse. Elle m’embrassa et me caressa le front en m’appelant mon petit chéri. Je la renversais sur le lit et la prit aussitôt. Elle était trempée. Je lui fis l’amour doucement avec toute la délicatesse voulue. Attentif à son plaisir, guettant la moindre de ses réactions. J’organisais la montée de son orgasme. Elle se pinçait de plus en plus les lèvres, son corps se tendait sous mes coups de boutoir. Je me retenais attendant qu’elle jouisse. Ses ongles s ‘enfonçaient dans mes bras. Elle eu un orgasme fulgurant qui se manifesta par une longue plainte. Je sentis son sexe réagir à chacun de mes jets de sperme et son vagin se contracter. La journée commençait bien.
Nous nous retrouvâmes au petit déjeuner. Eric était particulièrement heureux de sa nuit et se mit à rire en voyant la marque des ongles de Jane sur mes bra. Jacques nous proposa de faire une promenade dans les environs car nous avions tous fait l’amour au réveil. Le rendez-vous était fixé dans une heure. Les couples avaient changé et allaient chacun de leur côté. J’étais maintenant avec Mary, Jacques avec Jane et Eric avec Françoise.
Les trois femmes étaient habillée de la même façon : pas de soutien gorge, un chemisier blanc très échancré, une jupe serrée qui mettait en valeur leurs fesses et pas de culotte. Les hommes étaient en short, sans slip et en tee-shirt.
Françoise avait préparé sur une petite table six plugs identiques, de bonne taille pour tout le monde et des tubes de gel. Ils furent vite mis en place.
Nous commençâmes notre promenade La présence des plugs donnait à nos démarches une allure curieuse. J’avais remonté la robe de Mary à la taille pour laisser ses fesses accessibles. Tout en les lui caressant, je lui demandais pourquoi elle avait les anneaux aux tétons et le piercing. Elle me répondit que cela augmentait la sensibilité de ses seins et de son clitoris qui du fait du piercing était en permanence décalotté. A ma demande elle ouvrit son chemisier. Je me plaçais devant elle et commençait à jouer avec ses anneaux pour étirer les bouts. Par cette opération, je transformais ses seins qui commençaient à tomber, en obus. J’alternais étirement et caresses. Je lui demandais ensuite d’écarter les cuisses pour jouer avec son clitoris. Elle était trempée. En pénétrant son vagin avec mes doigts je sentais la présence du plug dans son cul. Elle offrait une image extraordinaire avec sa jupe roulée autour de la taille, son chemisier ouvert, ses gros seins libres avec les anneaux dans les bouts, le plug qui était visible entre ses fesses et son piercing au clitoris. Comme j’avais mon portable, je lui demandais de prendre des poses particulièrement chaudes et excitantes et pris des photos.
Nous continuâmes ensuite la promenade. J’avais remis une main sur ses fesses pour les caresser à nouveau. Nous avions le temps de bavarder. Elle était venue au libertinage car son mari de vingt ans son ainé était impuissant. Ils formaient un couple d’intérêt car leurs fortunes étaient liées. Elle avait choisi de faire appel à des gigolos car son mari ne voulait pas qu’elle prenne un amant dans son milieu. Il l’autorisait cependant à participer à des soirées coquines en sa présence. Leurs amis étaient habitués à voir ce vieux monsieur dans un coin un verre à la main. Un couple d’amis l’avait convaincue de se faire poser des anneaux et le piercing. Pendant un moment elle portait même des anneaux sur ses grandes lèvres mais elle les avaient abandonné cat ils déformaient trop son sexe et ils étaient trop lourds à porter. C’était la première fois qu’elle faisait l’amour à des garçons aussi jeunes. Elle nous avons trouvé très expérimentés et performants pour notre âge.
Nous nous retrouvâmes tous nus dans le salon. Françoise avait été chercher trois godes ceintures aux godes extérieurs plutôt impressionnants. Ils étaient équipés d’un gode vaginal. Jacques prit la direction des opérations. Nous étions chargés de sodomiser nos partenaires avant qu’elles nous sodomisent à leur tour. Du gel était à notre disposition. Les trois filles se mirent à quatre pattes. Nous leurs retirâmes leurs plugs. Elles avaient le cul bien ouvert. Je plaçais du gel sur la rondelle de Mary et la doigtais pour l’ouvrir encore plus. Il était vraiment très souple, ce qui montrait une longue pratique de la chose. J’enduisis mon gland de gel et au signal de Jacques, qui avait attendu qu’on soient tous prêts, nous les pénétrâmes. Mon sexe rentra sans problème à la première poussée, comme celui des autres. Nous entamâmes notre chevauchée. Jacques était le plus nerveux et rapide alors qu’Eric et moi prenions notre temps. Pendant que Mary jouait avec son piercing et se doigtait le vagin, j’avais saisi les anneaux de ses seins et je jouais avec. Jane et Françoise se masturbaient alors que Eric et Jacques avaient empoignés leurs seins qu’ils travaillaient. Mary me demanda d’accélérer la cadence et de lui défoncer le cul. Sa main s’agitait frénétiquement sur son sexe. Avec les anneaux je martyrisais le bout de ses seins. Elle eut un premier orgasme, puis un deuxième aussitôt. Sentant que j’allais exploser, j’étirais au maximum ses seins avant d’éjaculer en poussant un grand cri. Jacques suivit rapidement et Eric peu de temps après que leurs partenaires eurent exprimés leur jouissance. Elles étaient allongées sur le ventre, leurs culs bien ouverts d’où coulaient des filets de sperme. Nous étions au dessus d’elle la verge molle d’où pendait les dernières gouttes de semence. J’aidais Mary à se relever. Elle m’embrassa longuement et me remercia d’avoir compris qu’en fait sa jouissance était faite de plaisir et de douleur et qu’en martyrisant ses seins j’avais vu juste.
Après une pose ou les femmes purent se laver, elles descendirent godes ceintures en place. Elles nous placèrent en position après nous avoir ôté nos plugs. La main de Mary était très habile et je sentais mon cul s’ouvrir facilement. Quand elle eut passé quatre doigts elle m’estima prêt. Elle attendit que les autres le soient aussi et au signal elle m’encula. Je ressentis une petite douleur au passage du gland. Elle s’en aperçu et attendit que mon cul s’habitue à son gode puis elle se déchaina. Elle avait attrapé mes tétons qu’elle pinçait, qu’elle triturait. Je me branlais au rythme de ses pénétrations. A l’imitation de Françoise elles se mirent à nous traiter de pédales, de tantouzes, disant que nos culs n’étaient que des garages à bittes. L’excitation montait d’un cran. Mary me faisait mal aux tétons mais ce n’était pas désagréable. A un moment elle me demanda de changer, de m’occuper de mes tétons pendant qu’elle allait me traire, me faire cracher mon sperme. Elle me branlait d’une main avec une certaine violence et de l’autre me frappait les fesses qui devenaient toutes rouges. Elle m’insultait, me traitait de tous les noms. Etant au sommet de son excitation, elle un orgasme violent qui la fit momentanément abandonner ma queue et arrêter sa fessée. Après un petit temps de récupération, elle repris sa sodomie. Prenant mes couilles dans une main et ma queue de l’autre pour me branler elle n’arrêtait pas de me dire : « crache, crache ton jus crache salope ». Elle me dominait complètement. Je sentais que j’allais venir et le lui dis. Elle se retira brutalement, me retourna et se précipita sur ma queue pour l’emboucher. En quelques mouvements je crachais ma semence qu’elle avala. Elle retira son gode ceinture et me força à nettoyer le gode vaginal recouvert de ses sécrétions et le gode extérieur. Satisfaite de mon travail elle me donna un long baiser en me disant que j’étais une bonne petite salope.
Eric alors que Françoise avait eu son orgasme n’avait pas pu éjaculer car il n’avait pas suffisamment récupéré. Quand à Jacques les simples mouvements sur sa prostate avaient suffit à le faire juter.
La pause déjeuner nous fit du bien. Jacques nous proposa de faire une sieste. Je retrouvais donc Mary dans sa chambre. Elle me confia alors qu’elle devenait de plus en plus masochiste. Elle avait découvert à New-York un club libertin uniquement consacré aux jeux de domination et de soumission. Comme elle était seule elle s’y était rendue. Elle avait rencontré un jeune couple de dominas qui l’avait prise en main et lui demandé de se faire poser les anneaux et le piercing. Elle aimait ce mélange plaisir souffrance, cette soumission qu’ils lui imposaient. Elle retournait les voir de plus en plus souvent et s’en inquiétait surtout vis à vis de son mari. Je ne pouvais rien faire pour elle en dehors de lui travailler les seins. Elle me fit promettre de n’en parler à personne. Je la laissais se reposer.
Je retrouvais Eric, qui avait de même avec Françoise. Nous sortîmes dans le jardin. Je lui demandais s’il pouvait installer chez moi un système d’enregistrement audio et vidéo pour confondre éventuellement ma tante et se venger d’elle. Il me répondit que cela devait être possible sous réserve qu’il puisse accéder à la maison. Il fallait donc que je demande à mon père de l’inviter à m’accompagner la prochaine fois que je retournerai à la maison.
Parlant de la ressemblance de sa mère avec Jane, je lui indiquais que j’avais demandé à cette dernière de dire à sa mère que les photos que j’avais vues d’elle m’avaient troublé. Je n’avais pas pu dire à Jane sous peine de nous trahir, que je avais vu Eliane à l’œuvre et que j’avais flashé sur elle. Eric me remercia de ma franchis. Il était aussi troublé que moi par sa mère et aurais souhaité aussi que cela aille plus loin. Il me proposa d’aller rejoindre Jane pour la baiser en imaginant que c’était sa mère.
On alla frapper à la chambre de Jane. Jacques nous céda volontiers la place et nous retrouvâmes Jane dans le lit. On lui expliqua que fantasmant sur la mère d’Eric, nous souhaitions la baiser ensemble à cause de sa ressemblance avec elle. Elle se mit sur le dos et nous attira contre elle en nous embrassant. Eric lui demanda d’écarter les cuisses et se mis à lui lécher le sexe. Visiblement Jacques avait profité de la sieste pour la sodomiser une nouvelle fois. Tant mieux ce serait plus facile. Moi j’avais pris en mains ses seins. Ils étaient encore très fermes et ses mamelons très sensibles. Je présentais ma queue dans sa bouche et elle se mit aussitôt au travail. Elle utilisait sa longue langue avec une efficacité redoutable. Je n’en avais jamais vu de pareille. Je comprenais ainsi le succès qu’elle avait auprès des femmes. Elle était puissante et pouvais s’enrouler autour de ma verge et la caresser. Eric se plaça sur le dos. Jane vint au-dessus de lui afin qu’il la baise. Son cul était accessible et j’allais m’en occuper. Le sperme de Jacques me facilita le travail. Son cul était encore ouvert. Je le travaillais un peu pour le dilater et très vite j’étais en elle. Eric s’occupait de ses seins et moi de ses fesses. Nous coordonnâmes rapidement nos mouvements. Jane était visiblement heureuse d’être baisée par des si jeunes garçons ardents et terriblement efficaces. Ses soupirs de contentement de plus en plus forts en étaient la preuve. Son premier orgasme fut brutal et suivi d’une succession d’autres et terminés par nos éjaculations. Je m’imaginais que c’était la mère d’Eric que je faisais jouir et cela quintuplait mon plaisir. Jane se remit sur le dos, nous attira vers elle pour nous couvrir de baisers en nous appelant ses tous petits.
Jacques avait retrouvé Mary et Françoise pour d’autres coquineries.
Nous restâmes longtemps dans les bras de Jane. J’étais très bien et Eric aussi. Nous avions chacun notre sein que nous sucions pendant qu’elle nous caressait la tête. Jane nous raconta en détail ses rencontres avec sa mère. Ils formaient avec son père, Jacques et Françoise un groupe soudé. Leur entente et leur complicité sexuelle étaient parfaites. Jane nous avoua qu’elle n’avait pas connu depuis très longtemps une séance de cette qualité
La fin de la journée se passa très bien, les corps étant sevrés de caresses. Ils passèrent une très bonne soirée à discuter. Mary et Jane étaient particulièrement intelligentes et intéressantes et leurs firent partager les affres de la Finance
Je racontais une nouvelle fois mes soucis avec ma famille. Nous approfondîmes le projet de surveillance de ma tante, Françoise et Daniel étant prêts à nous aider. Jane pouvait aussi, mettre à notre disposition un détective privé en France.
Nous partîmes nous coucher. Cette fois-ci, j’avais hérité de François. Avant de nous endormir nous fîmes l’amour tranquillement. Cette fille était un amour. En réfléchissant bien tout ce qui m’était arrivé, depuis mon départ de la maison ce n’était que du bonheur. Il fallait cependant qu’elle paye l’addition cette salope.
Françoise attendît que je me réveille. Elle m’embrassât tendrement, s’assura que ma queue était dressée s’empala dessus et entama une furieuse chevauchée. Elle travaillait mes mamelons sachant que c’était un endroit sensible pour moi. Le résultat ne se fit pas attendre, j’explosais rapidement en elle. Elle continua ses mouvements jusqu’à jouir elle-même. Elle me remercia d’un nouveau baiser.
Jacques me proposa d’aller faire un tour à Genève avec Jane et Mary, pendant qu’il voyait avec Eric et Françoise des points concernant la propriété. Mary et Jane étaient très élégantes dans leurs tailleurs très chics. Jacques nous déposa sur le quai du Mont Blanc au bord du lac. Il devait nous reprendre quatre heures après.
Elle m’avait pris par le bras et nous nous promenions dans le parc des Eaux vives au bord du lac. J’étais très fier de me promener avec ces belles femmes élégantes. Les gens pensaient sans doute en nous voyant : « tiens des mamans avec leur fils ou leur neveu ». Ils ne pouvaient pas s’imaginer qu’ils avaient affaire à deux femmes et leur amant et que depuis deux jours, ils n’avaient pas arrêtés de faire l’amour. Elles avaient été baisées, sodomisées, elles avaient dû sucer de nombreuses queues et elles avaient surtout enchaîné orgasmes et jouissances sur orgasmes et jouissances.
Elles m’invitèrent au "Patara" un excellent restaurant Thaï primé au guide Michelin sur le quai du Mont Blanc. Il bénéficiait d’une très belle vue panoramique. Une fois installés, je leur demandais d’aller aux toilettes, de retirer leur petite culotte, de bien les imbiber de leurs sécrétions. La gagnante, celle qui m’amènerait le plus d’odeurs, aurait une récompense. Elles s’exécutèrent et me ramenèrent le bout de tissu. Elles avaient dû certainement se branler pour provoquer le maximum de secrétions. Je les portais à mon nez. Elles étaient trempées. Je respirais leurs odeurs c’était sublime. Je déclarai Mary vainqueur car sa petite culotte dégageait plus d’effluves. Je le fis constater aux deux « concurrentes » qui reconnurent la justesse de mon choix. Je profitais de l’absence du serveur pour vérifier l’état de leur chatte. Elles s’étaient bien masturbées pour arriver à leur fin.
Jane prit en note tout ce que je savais sur ma tante. Je lui parlais aussi des deux employés engagés la veille de mon départ qu’elle paraissait bien connaître. Elle me promit de contacter le détective privé qui me ferait parvenir un rapport dans les semaines à venir. Elle prenait tout en charge. C’était son cadeau de remerciement pour les moments passés ensemble. Régulièrement, je sortais de ma poche les petites culottes pour m’imprégner de leurs odeurs. Notre table bien placée, était plutôt grande. Elle était recouverte d’une longue nappe qui cachait nos jambes et nous permettait quelques petites fantaisies. Je leur demandais de remonter leur jupe et d’écarter les cuisses pour me permettre d’atteindre leur sexe. J’avais moi-même sorti ma queue et placé la main de Jane dessus. Elle avait commencé immédiatement à me branler. Je m’occupais de leurs sexes. Mes doigts jouaient avec le piercing de Mary et le sexe de Jane. C’était très excitant d’être dans ce restaurant très chic avec des maitres d’hôtel stylés, des clients élégants et fortunés et de savoir ce qui se passait sous la table. Je demandais à Mary d’aider son amie pour me branler. J’avais prévu d’éjaculer dans leurs petites culottes que j’avais préalablement sorties de ma poche et placé sur mes genoux. Elles essayaient de se tenir en place mais avait du mal avec mes doigts qui fouillaient leurs sexes. Nos jeux furent interrompus par les maitres d’hôtel nous apportaient le premier plat. J’accélérais mes mouvements et eu la satisfaction de les voir jouir avec discrétion. J’empoignais alors ma queue pour me finir. Mes soubresauts finaux indiquèrent à mes voisines que j’éjaculais. J’avais pu récupérer mon sperme dans leurs petites culottes. Je leur rendis. Elles les remirent rapidement dans leurs sacs. Je plaçais les doigts de Jane pour recueillir les dernières gouttes qu’elle porta à sa bouche. Je remis ma queue dans mon pantalon.
Elles me traitèrent en rigolant de pervers malade. Elles avaient bien apprécié mon culot et mes initiatives. Jane me demanda si je n’aurais pas préféré être avec des filles de mon âge. Je lui répondis que je les trouvais insipides, sans intérêt. J’étais peut-être un pervers mais je savais ce que les femmes mûres pouvaient m’apporter et ce que je pouvais leur donner. Un petit geste de leur part me montra qu’elles avaient apprécié la réponse.
Jacques nous attendait. Une fois sorti de Genève, je lui demandais de passer le volant à Jane et de me rejoindre à l’arrière de la limousine qui avait les vitres très fonçées. Il fallait récompenser la gagnante. Jacques et Mary se déshabillèrent. Jacques s’assit sur le côté et Mary s’empala sur lui et commença les mouvements de va et vient. Jacques était utilisé comme sextoy. J’attrapai les anneaux et commençait à travailler ses seins. Je calquais mes gestions sur les expressions du visage de Mary : satisfaction, douleur, satisfaction, douleur etc. Jacques allait exploser sous le rythme que lui imposait Mary. Il se vida en elle provoquant son orgasme. La voyant jouir, je tordis ses anneaux pour provoquer la douleur qui allait parfaire sa jouissance.
Pour nous il était l’heure de rentrer dans notre prison. Les adieux furent déchirants. Nous étions montrés des partenaires fiables, vigoureux et performants. Elles nous donnèrent leur adresse et promirent de rester en contact par internet. Jane m’assura qu’elle prenait contact avec le détective privé. Françoise nous prit dans ses bras et se mit à pleurer. Elle aurait aimé que cela continue.
Eric avait gardé quelques cartes vidéos. Il me proposa de les regarder en nous branlant. Il se déshabilla. J’en fis de même. Nous avions la même stature. Sa queue dressée avait les mêmes dimensions que la mienne. Il s’approcha de moi et commença à me caresser. Il avait démarré la vidéo et je découvris les ébats de ses parents avec Françoise et Jacques. Ils étaient beaux et harmonieux. Nous étions aussi excités l’un que l’autre. Eric s’agenouilla et pris ma queue dans sa bouche pendant que je regardais sa mère se faire sodomiser par Jacques tout en suçant son père. Eric était très habile et jouait de sa langue pour me caresser le gland et la verge. C’était aussi bien qu’avec Brigitte. Il me caressait aussi les fesses et ses doigts jouaient avec ma rondelle. Sur l’écran Françoise jouait avec les seins de la mère d’Eric pendant que les hommes accéléraient leurs mouvements. Le père d’Eric jouit le premier. Se retirant de la bouche de sa femme, il lâcha de longs jets de sperme sur son visage. Jacques continuait à la sodomiser. Sentant qu’il allait jouir, il se retira, se plaça devant Eliane et se déversa aussi sur son visage. Elle était pitoyable, son maquillage avait coulé, de longs filets de sperme ruisselaient sur son visage. Françoise, abandonnant les seins qu’elle caressait se précipita pour nettoyer avec sa langue le visage de la mère d’Eric recueillant le sperme de son père et de Jacques Elles échangèrent ensuite un long baiser. Le père d’Eric pendant ce temps avait demandé à jacques de lui nettoyer la verge avec sa bouche.
Eric m’avait fait jouir au moment où son père arrosait le visage de sa mère et avait avalé ma semence. J’arrêtais le film et lui demandais de s’allonger. Je me mis tête bêche pour le sucer. J’avais placé un oreiller sous sa nuque pour qu’il puisse me bouffer le cul. Je sentais sa langue envahir mon anus, c’était sublime. Une fois bien lubrifié, il commença à m’ouvrir le fondement avec ses doigts. J’accélérais mes mouvements de succion. Sa queue venait de plus en plus vers moi, il allait jouir. Je serrais les lèvres et recueilli sa semence que j’avalais.
Tous les soirs nous regardions une des vidéos. Les corps et les pratiques de ses parents, de Jacques et de Françoise n’avaient plus de secrets pour moi. Ces visionnages étaient pour nous l’occasion de nous masturber, nous sucer nous sodomiser et de caresses prolongées.
Les autres garçons du pensionnat étaient peu intéressants. Ils nous laissaient tranquilles. Comme nous avions d’excellents résultats, l’encadrement était satisfait. Eric jouait aussi son rôle de chef de classe à la perfection. Jamais personne n’aurait imaginé que nous avions des relations sexuelles ensemble, tant nous étions des modèles de virilité.
J’étais très attiré par la mère d’Eric. J’aimais beaucoup ses traits fins, sa bouche qui savait si bien sucer, ses seins lourds aux bouts très longs, son fessier imposant et accueillant. J’en fis part à Eric qui lui aussi était attiré par elle mais savait par Françoise qu’elle avait refusé la proposition de son père de faire en sorte qu’il participe à leurs jeux.
Jacques et Françoise avaient annoncé leur venue la semaine suivante. Nous attendions avec impatience ce week-end. Au téléphone il avait annoncé à Françoise qu’il amenait son camarade de chambre avec lequel il avait des relations intimes. Elle lui avait annoncé aussi une surprise.
Jacques vint nous chercher le vendredi à 17h00. Une heure après nous étions chez les parents d’Eric. Jacques était très sympathique et se conduisait plus en ami qu’en employé. On voyait qu’il avait beaucoup d’affection pour Eric. Il se conduisait en grand frère. Il lui donna des nouvelles de ses parents. Leurs liens disait-il, s’étaient encore resserrés et il vivaient des moments forts ensemble. Eric avant de partir au pensionnat avait démonté l’installation dans la chambre de ses parents. Jacques ne savait pas que je le connaissais tous sous toutes les coutures.
Françoise nous attendait. Elle embrassa longuement Eric qui lui caressa immédiatement les fesses. Elle m’examina et parut satisfaite. Elle m’avait préparé une chambre mais Eric lui demanda de nous conduire tous les deux dans celle de ses parents. En y arrivant, Eric pris les choses en main et sous le regard de Jacques et Françoise il me demanda de me déshabiller pendant qu’il faisait de même. Il m’allongea sur le lit, se mit tête bêche et nous entamâmes une fellation réciproque. Jacques s’était rapproché et caressait les fesses d’Eric et testait sa rondelle qu’il retrouva très souple. Il se déshabilla très vite, pris un tube de gel dans la salle de bain et revint auprès d’Eric. Il me dégagea gentiment et me demanda de quitter le lit. Il mit Eric à quatre pattes, enduisit son anus de gel et commença à l’ouvrir doucement. Françoise voyant ma frustration s’était aussi vite déshabillée. Se tenant à genoux devant moi elle avait englouti ma queue et me pompait avec ardeur. Quand à moi je regardais le cul de mon ami s’ouvrir. La verge de Jacques était impressionnante. Quand il l’estima prêt, il mis aussi du gel sur son gland, le présenta sur l’anus d’Eric qu’il embrocha d’un seul coup. Eric émit un petit cri de douleur avant de commencer à bouger. Jacques ne faisait rien car c’est Eric qui imprimait le mouvement, allant et venant sur la queue de son amant. J’avais les mains sur la tête de Françoise et calquais la cadence de sa fellation sur les mouvements d’Eric. Elle m’avait empoigné les fesses et ses doigts jouaient avec mon cul qu’ils pénétraient. Les mains de Jacques jouaient avec les mamelons d’Eric qu’il titillait. Je fus le premier à jouir et j’explosais dans la bouche de Françoise qui avoir bien recueilli les dernières gouttes se précipita pour embrasser Eric. Jacques se retira. L’anus d’Eric béait. Il demanda à Françoise de se placer sur le dos et d’ouvrir son sexe. Présentant la queue d’Eric, il lui demanda de la pénétrer. Une fois en place il se présenta à nouveau et l’encula. Ils mirent un certain temps avant de coordonner leurs mouvements. Je me plaçais derrière Jacques pour lui caresser le dos et les seins. Françoise eut toutes une succession d’orgasmes avant qu’Eric explose en elle avec un grand cri. Jacques accéléra la cadence et s’effondra sur le dos de son amant, le corps agité de soubresauts pendant que je lui caressais les fesses et le dos.
Jacques devait s’absenter trois heures et devait revenir avec une surprise. Il se rhabilla et nous laissa avec Françoise qui s’allongea entre nous. Elle avait pris nos sexes dans les mains et les caressaient. Noue récupérions doucement. Eric demanda à François de placer son sexe bien ouvert sur mon visage. Avec ma langue et ma bouche, je titillais son clitoris, je pénétrais son vagin. Pendant ce temps Eric avait récupérer le tube de gel et s’occupais de lui ouvrir le cul. Il la doigtait et je voyais son anneau progressivement s’ouvrir. Il lui demanda de se placer sur mon sexe et de s’empaler. Plaçant sa queue sur son œillet il l’encula brutalement. Je réglais mes mouvements sur les siens. Je sentais les pointes de ses gros seins sur ma poitrine. Elle haletait, poussait des soupirs de satisfaction, nous demandant de la baiser, de l’enculer. Elle était vraiment hystérique et secouait sa tête de plus en plus fort. Sa jouissance fût particulièrement violente. Elle m’avait pris les épaules et s’accrochait à moi. Elle était à la limite de perdre connaissance. Mon éjaculation entraîna une nouvelle séquence d’orgasmes très rapprochés qui continuèrent quand Eric se vida en elle. Son regard était hagard. Ses ongles étaient plantés en moi. Ses jambes étaient agitées de tremblement. Nous la laissâmes récupérer dans le lit où elle s’endormit aussitôt. Nous prîmes une douche, satisfaits de nos prestations. Nous descendîmes au salon pour prendre un pot. Au bout de deux heures, Françoise nous rejoignit. Elle avait pu se laver et se remaquiller. Nous étions tous les trois nus. Elle s’absenta pour préparer le repas du soir, un brunch tout simple.
Nous attendions tranquillement le retour de Jacques qui arriva peu de temps après accompagné de deux belles femmes plantureuses d’une cinquantaine d’année qui ne furent pas surprises de nous voir nus. Elles avaient un accent américain prononcé. Elles nous embrassèrent avec pour Françoise une caresse appuyée sur ses fesses. C’était des anciennes clientes d’’Eric qu’il avait connu dans sa période gigolo. Elles aimaient le sexe et préféraient avoir des jeunes amants performants, endurants, quittes à les payer. Ils s’étaient revus aux Etats unis au cours d’une soirée avec les parents d’Eric. Comme elles devaient passer quelques jours à Genève, ces derniers leurs avaient proposé de résider chez eux. Sachant qu’Eric serait présent, ils souhaitaient qu’il puisse découvrir une nouvelle facette du libertinage. Jacques avait prévenu les parents d’Eric de ma présence.
Jacques les accompagna dans leurs chambres pour quelles puissent déposer leurs affaires, se préparer et redescendit nu. Elles venaient directement de New-York. Jacques les avait récupéré à l’aéroport de Genève. Il nous parla de ses anciennes conquêtes. Jane et Mary étaient des américaines fortunées qui avaient beaucoup vécu en France. Elles étaient mariés à des industriels plus âgés qui ne pensaient qu’à leurs affaires. Elles s’étaient constituées un cercle d’amis qui les satisfaisait.
Elles descendirent nues se tenant par la taille. Elles avaient les formes lourdes des femmes matures avec de gros seins avec de belles aréoles et des bouts développés percés par des anneaux pour Mary qui portait aussi un piercing qui traversait son clitoris. Elles avaient toutes les deux des culs bien formés et bien galbées. Elles étaient épilées.
En les voyant nos queues se dressèrent immédiatement. Jane se plaça devant Françoise jambes écartées et lui prenant la tête, elle colla sa bouche à son sexe. Mary s’assit entre moi et Eric et commença à nous caresser la queue. Jacques se présenta devant elle et prenant sa tête, il lui mit sa queue dans la bouche. Elle avait écarté les cuisses. Eric jouait avec son clitoris qui avec le piercing ressortait très bien et moi avec sexe. Elle avait avancé son bassin pour nous faciliter la tache. Voyant qu’elle s’en sortait bien, James libéra sa tête et se saisi des anneaux au bout des seins pour les étirer.
Françoise s’allongea sur le tapis. Jane se plaça au-dessus d’elle tête bêche pour la lécher. La langue de Jane était impressionnante et agile, une vrai petite queue. Elle fouillait le sexe de Françoise. Je me libérai de l’emprise de Mary, me plaçais derrière Jane pour la pénétrer, son sexe ayant été bien préparé par Françoise qui, la place étant occupée commença à me lécher les couilles et le cul. Comme Jane ressemblait beaucoup à la mère d’Eric j’avais l’impression de la baiser.
Mary demanda à Eric de s’asseoir et s’empala aussitôt sur lui. Jacques qui s’était retiré pour les laisser faire lui enfonça à nouveau sa queue dans la bouche et recommença à lui étirer les seins. Elle n’était pas gorge profonde. Elle jouait de sa langue pour exciter son gland, caresser sa verge. Elle prenait aussi ses couilles dans la bouche puis revenant à sa succion.
La langue de Jane était si efficace que Françoise fût la première à jouir. Terrassée par l’orgasme, elle avait abandonné mon cul et mes couilles. Tout en la besognant, je m’occupais de ses gros seins que je tenais bien en main. Elle gémissait sous mes coups de boutoir. Mon bas ventre tapait ses fesses de plus en plus fort. Je sentis ma jouissance arriver. Agrippant ses seins je me répandis en elle. Sentant les jets de sperme frapper sa matrice elle exprima son orgasme par un grand cri.
Mary montait et redescendait de plus en plus vite sur le sexe d’Eric qui jouait maintenant avec les anneaux de ses seins, abandonnés par James qui avait repris sa tête pour lui imprimer la cadence. Mary avait de plus en plus de mal avec ce gros sexe qui lui déformait la bouche. Son calvaire pris fin avec la jouissance de James qui éjacula sur son visage provoquant l’orgasme de sa partenaire. Sentant qu’il allait jouir, Eric força Mary à se lever, lui attrapant la tête, il éjacula dans sa bouche l’obligeant à avaler son sperme.
Après avoir récupéré et s’être nettoyés, Françoise nous proposa son brunch. Je ne pouvais m’empêcher de lui caresser les fesses à chaque passage. Elle me remerciait par un petit sourire complice. Mary et Jane étaient visiblement heureuses d’être avec nous. Je me mis soudain à sourire, imaginant la tête de ma tante et de mon père à la vue de notre assemblée. Jane en voyant mon expression me demanda ce qui se passait. Je lui expliquais en quelques mots ma situation. Elle m’interrogea aussi sur ce que je pensais d’elles, prête à se faire baiser par des jeunes qui pourraient être leurs petits-fils. Je lui répondis que pour moi l’essentiel était dans le plaisir donné et reçu et qu’il n ‘y avait pas de meilleurs professeurs que des femmes d’expérience. Elle me remercia d’un baiser. Je lui avouais que j’étais troublé par la mère d’Eric dont les photos ornaient la maison à qui elle ressemblait beaucoup. Elle me le confirma. Je lui posais des questions sur les performances sexuelles de la mère d’Eric et si j’avais des chances de la séduire. Elle me répondit que cette dernière marchait au feeling. Comme je ressemblait beaucoup à son fils, cela pourrait peut-être marcher
Elle aussi l’avait trouvée troublante et beaucoup apprécié les moments coquins passés ensemble. Elle promis de lui parler de moi lors de leur prochaine rencontre. Elle aimait aussi beaucoup Jacques qui avait été toujours gentil et délicat avec elle, faisant en sorte qu’elle soit toujours satisfaite.
Comme elles avaient voyagé toute la journée, elles proposèrent d’aller se reposer pour récupérer. Mary proposa de tirer les couples au sort. Françoise tomba avec Jacques, Eric avec Mary et moi avec Jane ce qui me satisfaisait pleinement.
Jane me prit par la main et m’entraina dans sa chambre. Une fois au lit, elle me fit l’amour d’une façon fabuleuse, prenant toutes les initiatives pour nous permettre d’atteindre ensemble l’orgasme. Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre repus et heureux.
Je me réveillais au petit matin. Elle était penchée sur moi et me regardait avec tendresse. Elle m’embrassa et me caressa le front en m’appelant mon petit chéri. Je la renversais sur le lit et la prit aussitôt. Elle était trempée. Je lui fis l’amour doucement avec toute la délicatesse voulue. Attentif à son plaisir, guettant la moindre de ses réactions. J’organisais la montée de son orgasme. Elle se pinçait de plus en plus les lèvres, son corps se tendait sous mes coups de boutoir. Je me retenais attendant qu’elle jouisse. Ses ongles s ‘enfonçaient dans mes bras. Elle eu un orgasme fulgurant qui se manifesta par une longue plainte. Je sentis son sexe réagir à chacun de mes jets de sperme et son vagin se contracter. La journée commençait bien.
Nous nous retrouvâmes au petit déjeuner. Eric était particulièrement heureux de sa nuit et se mit à rire en voyant la marque des ongles de Jane sur mes bra. Jacques nous proposa de faire une promenade dans les environs car nous avions tous fait l’amour au réveil. Le rendez-vous était fixé dans une heure. Les couples avaient changé et allaient chacun de leur côté. J’étais maintenant avec Mary, Jacques avec Jane et Eric avec Françoise.
Les trois femmes étaient habillée de la même façon : pas de soutien gorge, un chemisier blanc très échancré, une jupe serrée qui mettait en valeur leurs fesses et pas de culotte. Les hommes étaient en short, sans slip et en tee-shirt.
Françoise avait préparé sur une petite table six plugs identiques, de bonne taille pour tout le monde et des tubes de gel. Ils furent vite mis en place.
Nous commençâmes notre promenade La présence des plugs donnait à nos démarches une allure curieuse. J’avais remonté la robe de Mary à la taille pour laisser ses fesses accessibles. Tout en les lui caressant, je lui demandais pourquoi elle avait les anneaux aux tétons et le piercing. Elle me répondit que cela augmentait la sensibilité de ses seins et de son clitoris qui du fait du piercing était en permanence décalotté. A ma demande elle ouvrit son chemisier. Je me plaçais devant elle et commençait à jouer avec ses anneaux pour étirer les bouts. Par cette opération, je transformais ses seins qui commençaient à tomber, en obus. J’alternais étirement et caresses. Je lui demandais ensuite d’écarter les cuisses pour jouer avec son clitoris. Elle était trempée. En pénétrant son vagin avec mes doigts je sentais la présence du plug dans son cul. Elle offrait une image extraordinaire avec sa jupe roulée autour de la taille, son chemisier ouvert, ses gros seins libres avec les anneaux dans les bouts, le plug qui était visible entre ses fesses et son piercing au clitoris. Comme j’avais mon portable, je lui demandais de prendre des poses particulièrement chaudes et excitantes et pris des photos.
Nous continuâmes ensuite la promenade. J’avais remis une main sur ses fesses pour les caresser à nouveau. Nous avions le temps de bavarder. Elle était venue au libertinage car son mari de vingt ans son ainé était impuissant. Ils formaient un couple d’intérêt car leurs fortunes étaient liées. Elle avait choisi de faire appel à des gigolos car son mari ne voulait pas qu’elle prenne un amant dans son milieu. Il l’autorisait cependant à participer à des soirées coquines en sa présence. Leurs amis étaient habitués à voir ce vieux monsieur dans un coin un verre à la main. Un couple d’amis l’avait convaincue de se faire poser des anneaux et le piercing. Pendant un moment elle portait même des anneaux sur ses grandes lèvres mais elle les avaient abandonné cat ils déformaient trop son sexe et ils étaient trop lourds à porter. C’était la première fois qu’elle faisait l’amour à des garçons aussi jeunes. Elle nous avons trouvé très expérimentés et performants pour notre âge.
Nous nous retrouvâmes tous nus dans le salon. Françoise avait été chercher trois godes ceintures aux godes extérieurs plutôt impressionnants. Ils étaient équipés d’un gode vaginal. Jacques prit la direction des opérations. Nous étions chargés de sodomiser nos partenaires avant qu’elles nous sodomisent à leur tour. Du gel était à notre disposition. Les trois filles se mirent à quatre pattes. Nous leurs retirâmes leurs plugs. Elles avaient le cul bien ouvert. Je plaçais du gel sur la rondelle de Mary et la doigtais pour l’ouvrir encore plus. Il était vraiment très souple, ce qui montrait une longue pratique de la chose. J’enduisis mon gland de gel et au signal de Jacques, qui avait attendu qu’on soient tous prêts, nous les pénétrâmes. Mon sexe rentra sans problème à la première poussée, comme celui des autres. Nous entamâmes notre chevauchée. Jacques était le plus nerveux et rapide alors qu’Eric et moi prenions notre temps. Pendant que Mary jouait avec son piercing et se doigtait le vagin, j’avais saisi les anneaux de ses seins et je jouais avec. Jane et Françoise se masturbaient alors que Eric et Jacques avaient empoignés leurs seins qu’ils travaillaient. Mary me demanda d’accélérer la cadence et de lui défoncer le cul. Sa main s’agitait frénétiquement sur son sexe. Avec les anneaux je martyrisais le bout de ses seins. Elle eut un premier orgasme, puis un deuxième aussitôt. Sentant que j’allais exploser, j’étirais au maximum ses seins avant d’éjaculer en poussant un grand cri. Jacques suivit rapidement et Eric peu de temps après que leurs partenaires eurent exprimés leur jouissance. Elles étaient allongées sur le ventre, leurs culs bien ouverts d’où coulaient des filets de sperme. Nous étions au dessus d’elle la verge molle d’où pendait les dernières gouttes de semence. J’aidais Mary à se relever. Elle m’embrassa longuement et me remercia d’avoir compris qu’en fait sa jouissance était faite de plaisir et de douleur et qu’en martyrisant ses seins j’avais vu juste.
Après une pose ou les femmes purent se laver, elles descendirent godes ceintures en place. Elles nous placèrent en position après nous avoir ôté nos plugs. La main de Mary était très habile et je sentais mon cul s’ouvrir facilement. Quand elle eut passé quatre doigts elle m’estima prêt. Elle attendit que les autres le soient aussi et au signal elle m’encula. Je ressentis une petite douleur au passage du gland. Elle s’en aperçu et attendit que mon cul s’habitue à son gode puis elle se déchaina. Elle avait attrapé mes tétons qu’elle pinçait, qu’elle triturait. Je me branlais au rythme de ses pénétrations. A l’imitation de Françoise elles se mirent à nous traiter de pédales, de tantouzes, disant que nos culs n’étaient que des garages à bittes. L’excitation montait d’un cran. Mary me faisait mal aux tétons mais ce n’était pas désagréable. A un moment elle me demanda de changer, de m’occuper de mes tétons pendant qu’elle allait me traire, me faire cracher mon sperme. Elle me branlait d’une main avec une certaine violence et de l’autre me frappait les fesses qui devenaient toutes rouges. Elle m’insultait, me traitait de tous les noms. Etant au sommet de son excitation, elle un orgasme violent qui la fit momentanément abandonner ma queue et arrêter sa fessée. Après un petit temps de récupération, elle repris sa sodomie. Prenant mes couilles dans une main et ma queue de l’autre pour me branler elle n’arrêtait pas de me dire : « crache, crache ton jus crache salope ». Elle me dominait complètement. Je sentais que j’allais venir et le lui dis. Elle se retira brutalement, me retourna et se précipita sur ma queue pour l’emboucher. En quelques mouvements je crachais ma semence qu’elle avala. Elle retira son gode ceinture et me força à nettoyer le gode vaginal recouvert de ses sécrétions et le gode extérieur. Satisfaite de mon travail elle me donna un long baiser en me disant que j’étais une bonne petite salope.
Eric alors que Françoise avait eu son orgasme n’avait pas pu éjaculer car il n’avait pas suffisamment récupéré. Quand à Jacques les simples mouvements sur sa prostate avaient suffit à le faire juter.
La pause déjeuner nous fit du bien. Jacques nous proposa de faire une sieste. Je retrouvais donc Mary dans sa chambre. Elle me confia alors qu’elle devenait de plus en plus masochiste. Elle avait découvert à New-York un club libertin uniquement consacré aux jeux de domination et de soumission. Comme elle était seule elle s’y était rendue. Elle avait rencontré un jeune couple de dominas qui l’avait prise en main et lui demandé de se faire poser les anneaux et le piercing. Elle aimait ce mélange plaisir souffrance, cette soumission qu’ils lui imposaient. Elle retournait les voir de plus en plus souvent et s’en inquiétait surtout vis à vis de son mari. Je ne pouvais rien faire pour elle en dehors de lui travailler les seins. Elle me fit promettre de n’en parler à personne. Je la laissais se reposer.
Je retrouvais Eric, qui avait de même avec Françoise. Nous sortîmes dans le jardin. Je lui demandais s’il pouvait installer chez moi un système d’enregistrement audio et vidéo pour confondre éventuellement ma tante et se venger d’elle. Il me répondit que cela devait être possible sous réserve qu’il puisse accéder à la maison. Il fallait donc que je demande à mon père de l’inviter à m’accompagner la prochaine fois que je retournerai à la maison.
Parlant de la ressemblance de sa mère avec Jane, je lui indiquais que j’avais demandé à cette dernière de dire à sa mère que les photos que j’avais vues d’elle m’avaient troublé. Je n’avais pas pu dire à Jane sous peine de nous trahir, que je avais vu Eliane à l’œuvre et que j’avais flashé sur elle. Eric me remercia de ma franchis. Il était aussi troublé que moi par sa mère et aurais souhaité aussi que cela aille plus loin. Il me proposa d’aller rejoindre Jane pour la baiser en imaginant que c’était sa mère.
On alla frapper à la chambre de Jane. Jacques nous céda volontiers la place et nous retrouvâmes Jane dans le lit. On lui expliqua que fantasmant sur la mère d’Eric, nous souhaitions la baiser ensemble à cause de sa ressemblance avec elle. Elle se mit sur le dos et nous attira contre elle en nous embrassant. Eric lui demanda d’écarter les cuisses et se mis à lui lécher le sexe. Visiblement Jacques avait profité de la sieste pour la sodomiser une nouvelle fois. Tant mieux ce serait plus facile. Moi j’avais pris en mains ses seins. Ils étaient encore très fermes et ses mamelons très sensibles. Je présentais ma queue dans sa bouche et elle se mit aussitôt au travail. Elle utilisait sa longue langue avec une efficacité redoutable. Je n’en avais jamais vu de pareille. Je comprenais ainsi le succès qu’elle avait auprès des femmes. Elle était puissante et pouvais s’enrouler autour de ma verge et la caresser. Eric se plaça sur le dos. Jane vint au-dessus de lui afin qu’il la baise. Son cul était accessible et j’allais m’en occuper. Le sperme de Jacques me facilita le travail. Son cul était encore ouvert. Je le travaillais un peu pour le dilater et très vite j’étais en elle. Eric s’occupait de ses seins et moi de ses fesses. Nous coordonnâmes rapidement nos mouvements. Jane était visiblement heureuse d’être baisée par des si jeunes garçons ardents et terriblement efficaces. Ses soupirs de contentement de plus en plus forts en étaient la preuve. Son premier orgasme fut brutal et suivi d’une succession d’autres et terminés par nos éjaculations. Je m’imaginais que c’était la mère d’Eric que je faisais jouir et cela quintuplait mon plaisir. Jane se remit sur le dos, nous attira vers elle pour nous couvrir de baisers en nous appelant ses tous petits.
Jacques avait retrouvé Mary et Françoise pour d’autres coquineries.
Nous restâmes longtemps dans les bras de Jane. J’étais très bien et Eric aussi. Nous avions chacun notre sein que nous sucions pendant qu’elle nous caressait la tête. Jane nous raconta en détail ses rencontres avec sa mère. Ils formaient avec son père, Jacques et Françoise un groupe soudé. Leur entente et leur complicité sexuelle étaient parfaites. Jane nous avoua qu’elle n’avait pas connu depuis très longtemps une séance de cette qualité
La fin de la journée se passa très bien, les corps étant sevrés de caresses. Ils passèrent une très bonne soirée à discuter. Mary et Jane étaient particulièrement intelligentes et intéressantes et leurs firent partager les affres de la Finance
Je racontais une nouvelle fois mes soucis avec ma famille. Nous approfondîmes le projet de surveillance de ma tante, Françoise et Daniel étant prêts à nous aider. Jane pouvait aussi, mettre à notre disposition un détective privé en France.
Nous partîmes nous coucher. Cette fois-ci, j’avais hérité de François. Avant de nous endormir nous fîmes l’amour tranquillement. Cette fille était un amour. En réfléchissant bien tout ce qui m’était arrivé, depuis mon départ de la maison ce n’était que du bonheur. Il fallait cependant qu’elle paye l’addition cette salope.
Françoise attendît que je me réveille. Elle m’embrassât tendrement, s’assura que ma queue était dressée s’empala dessus et entama une furieuse chevauchée. Elle travaillait mes mamelons sachant que c’était un endroit sensible pour moi. Le résultat ne se fit pas attendre, j’explosais rapidement en elle. Elle continua ses mouvements jusqu’à jouir elle-même. Elle me remercia d’un nouveau baiser.
Jacques me proposa d’aller faire un tour à Genève avec Jane et Mary, pendant qu’il voyait avec Eric et Françoise des points concernant la propriété. Mary et Jane étaient très élégantes dans leurs tailleurs très chics. Jacques nous déposa sur le quai du Mont Blanc au bord du lac. Il devait nous reprendre quatre heures après.
Elle m’avait pris par le bras et nous nous promenions dans le parc des Eaux vives au bord du lac. J’étais très fier de me promener avec ces belles femmes élégantes. Les gens pensaient sans doute en nous voyant : « tiens des mamans avec leur fils ou leur neveu ». Ils ne pouvaient pas s’imaginer qu’ils avaient affaire à deux femmes et leur amant et que depuis deux jours, ils n’avaient pas arrêtés de faire l’amour. Elles avaient été baisées, sodomisées, elles avaient dû sucer de nombreuses queues et elles avaient surtout enchaîné orgasmes et jouissances sur orgasmes et jouissances.
Elles m’invitèrent au "Patara" un excellent restaurant Thaï primé au guide Michelin sur le quai du Mont Blanc. Il bénéficiait d’une très belle vue panoramique. Une fois installés, je leur demandais d’aller aux toilettes, de retirer leur petite culotte, de bien les imbiber de leurs sécrétions. La gagnante, celle qui m’amènerait le plus d’odeurs, aurait une récompense. Elles s’exécutèrent et me ramenèrent le bout de tissu. Elles avaient dû certainement se branler pour provoquer le maximum de secrétions. Je les portais à mon nez. Elles étaient trempées. Je respirais leurs odeurs c’était sublime. Je déclarai Mary vainqueur car sa petite culotte dégageait plus d’effluves. Je le fis constater aux deux « concurrentes » qui reconnurent la justesse de mon choix. Je profitais de l’absence du serveur pour vérifier l’état de leur chatte. Elles s’étaient bien masturbées pour arriver à leur fin.
Jane prit en note tout ce que je savais sur ma tante. Je lui parlais aussi des deux employés engagés la veille de mon départ qu’elle paraissait bien connaître. Elle me promit de contacter le détective privé qui me ferait parvenir un rapport dans les semaines à venir. Elle prenait tout en charge. C’était son cadeau de remerciement pour les moments passés ensemble. Régulièrement, je sortais de ma poche les petites culottes pour m’imprégner de leurs odeurs. Notre table bien placée, était plutôt grande. Elle était recouverte d’une longue nappe qui cachait nos jambes et nous permettait quelques petites fantaisies. Je leur demandais de remonter leur jupe et d’écarter les cuisses pour me permettre d’atteindre leur sexe. J’avais moi-même sorti ma queue et placé la main de Jane dessus. Elle avait commencé immédiatement à me branler. Je m’occupais de leurs sexes. Mes doigts jouaient avec le piercing de Mary et le sexe de Jane. C’était très excitant d’être dans ce restaurant très chic avec des maitres d’hôtel stylés, des clients élégants et fortunés et de savoir ce qui se passait sous la table. Je demandais à Mary d’aider son amie pour me branler. J’avais prévu d’éjaculer dans leurs petites culottes que j’avais préalablement sorties de ma poche et placé sur mes genoux. Elles essayaient de se tenir en place mais avait du mal avec mes doigts qui fouillaient leurs sexes. Nos jeux furent interrompus par les maitres d’hôtel nous apportaient le premier plat. J’accélérais mes mouvements et eu la satisfaction de les voir jouir avec discrétion. J’empoignais alors ma queue pour me finir. Mes soubresauts finaux indiquèrent à mes voisines que j’éjaculais. J’avais pu récupérer mon sperme dans leurs petites culottes. Je leur rendis. Elles les remirent rapidement dans leurs sacs. Je plaçais les doigts de Jane pour recueillir les dernières gouttes qu’elle porta à sa bouche. Je remis ma queue dans mon pantalon.
Elles me traitèrent en rigolant de pervers malade. Elles avaient bien apprécié mon culot et mes initiatives. Jane me demanda si je n’aurais pas préféré être avec des filles de mon âge. Je lui répondis que je les trouvais insipides, sans intérêt. J’étais peut-être un pervers mais je savais ce que les femmes mûres pouvaient m’apporter et ce que je pouvais leur donner. Un petit geste de leur part me montra qu’elles avaient apprécié la réponse.
Jacques nous attendait. Une fois sorti de Genève, je lui demandais de passer le volant à Jane et de me rejoindre à l’arrière de la limousine qui avait les vitres très fonçées. Il fallait récompenser la gagnante. Jacques et Mary se déshabillèrent. Jacques s’assit sur le côté et Mary s’empala sur lui et commença les mouvements de va et vient. Jacques était utilisé comme sextoy. J’attrapai les anneaux et commençait à travailler ses seins. Je calquais mes gestions sur les expressions du visage de Mary : satisfaction, douleur, satisfaction, douleur etc. Jacques allait exploser sous le rythme que lui imposait Mary. Il se vida en elle provoquant son orgasme. La voyant jouir, je tordis ses anneaux pour provoquer la douleur qui allait parfaire sa jouissance.
Pour nous il était l’heure de rentrer dans notre prison. Les adieux furent déchirants. Nous étions montrés des partenaires fiables, vigoureux et performants. Elles nous donnèrent leur adresse et promirent de rester en contact par internet. Jane m’assura qu’elle prenait contact avec le détective privé. Françoise nous prit dans ses bras et se mit à pleurer. Elle aurait aimé que cela continue.
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