Ma vidéo surveillance
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vidéo surveillance
Ce matin au réveil je bandais comme un fou, j’ai réfléchi et me suis rendu compte que c’était normal, il y avait quelques jours que je n’avais pas pratiqué mon sport favori. J’ai déjeuné, fait ma toilette, je bandais toujours, je suis parti dans la salle de vidéosurveillance pour chercher laquelle de mes maîtresses serait susceptible de me calmer. La première que j’ai vu, c’était Marie-Christine, elle était en train de changer une couche, ensuite Géraldine, en pleine tétée tout comme Ursula. Décidément ces bébés ça chamboule complètement notre vie. Je passais d’une caméra à l’autre quand j’ai vu Béatrice, la commerciale de l’autre jour arriver en voiture. Je l’ai suivi avec mes caméras jusqu’à son bureau. Là, elle a posé sa serviette, s’est assise sur sa chaise et s’est mise à se caresser en regardant un dossier. J’avais trouvé ma victime, en plus elle devait se protéger pour accepter que les ouvriers jouissent en elle, c’était la femme idéale pour calmer mes pulsions, belle, qui aimait le sexe. La femme parfaite. J'ai rejoins mon bureau et l’appellais par le téléphone pour lui demander de venir me voir.
Elle entra. Au lieu de lui proposer de s’asseoir, je lui dis :
- Déshabilles-toi
Elle m’a regardé avec des yeux éberlués sans rien faire, j’ai insisté.
- Déshabilles-toi vite.
Comme elle ne réagissait toujours pas, je me suis levé, approché d’elle et j’ai sorti mon chibre bandé en lui disant :
- Suces-moi, je sais que tu aimes la bite.
- Mais monsieur, c’est de l’abus, je me plaindrai.
- De l’abus et les ouvriers que tu détournes, c’est quoi, je ne les paye pas pour te baiser moi !
- Comment vous savez ça ?
- J’ai mes sources, déshabilles-toi et suces moi, je vais voir si je te garde ou si je te vire.
Elle s’est déshabillée langoureusement en posant ses vêtements l’un après l’autre sur la chaise, elle était très belle.
Quand elle s’est mise à me sucer, j’ai compris qu’elle voulait que je la garde, elle me prenait jusqu’au fond de sa gorge en me caressant les couilles, je n’avais jamais eu autant de plaisir sur une fellation. Quand j’ai senti que je ne résisterai pas très longtemps, je l’ai faite se relever puis s’asseoir sur le bureau. Je lui ai sucé le sexe, il dégoulinait de mouille, elle avait très bon goût et une odeur divine. Quand elle a commencé à gémir, je l’ai pénétré doucement. Elle a serré ses jambes dans mon dos et s’est mise à faire bouger son bassin en contractant ses muscles intimes pour me faire jouir rapidement. J’ai adoré ça mais malgré l’envie que j’avais de la remplir tout de suite, je me suis retiré, je l’ai faite se retourner et je me suis enfoncé dans ses fesses en lui caressant le sexe de mes deux mains. Elle a gémis très fort quand je suis entré puis elle s’est mise à haleter au rythme de mes coups de boutoir en elle. Là, je ne me suis pas retenu et je l’ai rempli de mon plaisir. Après m’être retiré et après avoir remis de l’ordre dans mes vêtements je lui ai dit :
- Je vous garde à l’essai, il va falloir que vous passiez me voir tous les jeudis soir environ deux heures pour un débriefing j’espère que ça vous convient ?
- Oui, monsieur, c’est très bien.
- Rhabillez-vous et partez travailler.
Je m’étais trouvé une bonne occupation pour le jeudi soir.
Le lendemain comme je m’embêtais un peu et que j’avais envie d’un peu de sport, j’ai appelé Mira, elle était chez elle et n’avait pas de rendez-vous pour la journée, je l’ai rejoins chez elle. Quand je suis entré, je l’ai vu, magnifique, nue sous sa nuisette transparente. Je ne savais pas si chez elle, elle était toujours habillée de la sorte ou si elle s’était changée pour me recevoir mais j’ai adoré sa tenue et je me suis mis à bander tout de suite.
- Le pauvre Jean Marc à besoin de voir Mira ?
- Oui, j’ai énormément envie de toi.
- Le pauvre Jean Marc s’est fait mettre dehors par ses femmes ?
- Non, pas par elles mais par les bébés, elles ne s’arrêtent pas de s’occuper d’eux et plus de moi. J’ai besoin qu’on s’occupe de moi.
Elle a retiré sa nuisette pour m’apparaître entièrement nue et a murmuré :
- Viens bébé prendre ta tétée avec Mira.
Puis elle m’a mis un de ses magnifiques tétons dans la bouche. Pendant que je suçais avidement elle dégrafait mon pantalon pour libérer mon chibre et le branler. Au bout d’un petit moment elle a dit :
- Viens, suis moi dans la chambre, je désire assouvir ta soif. Tu vas me téter le vagin je suis sure que tu boiras plus que sur ma poitrine sèche.
J’ai retiré complètement mon pantalon que j’avais aux chevilles et je l’ai suivi dans la chambre. Elle s’est couchée sur le lit, a écarté les jambes en disant :
- Viens boire mon jus.
Je me suis exécuté, je l’ai léché et caressé jusqu'à ce qu’un jet de cyprine me remplisse la bouche puis je suis remonté sur elle et je l’ai pénétré. Dans ses gémissements elle me disais :
- Fais attention, je ne prends rien Ah ! ah !!!! oui !!!!!! ne restes pas, non !!!!!! restes encore !!!!!!! ah !!!!!!!!! encore, je vais jouir !!!!!!! encore un peu !!!!! ah !!! oui !!!! je jouis !!!! continue aaaaaah ! encore !! reste encore un peu !!!!! ahhh !! c’est bon !!!! encore !!!! je jouis encore !!!! continue !! oui !! oui !!!encore !!!
Je n’en pouvais plus, j’étais au bord de la jouissance totale, je me suis retiré.
- Nooon !!! reviens !!! c’est trop bon !!! encore !!!!encore un peu !!!!!!!
J’ai replongé en elle.
- Ahhh !!! ahhhh !!!! oui, c’est bon !!!!!!! je jouis encore ahhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!
En catastrophe je suis sorti pour lui inonder l’entrée du vagin. Elle s’est levée et est partie à la salle d’eau. Pendant que je reprenais mon souffle j’ai entendu le bruit de la douchette, j’étais bien, je m’endormais. C’est sa bouche et ses mains fraîches sur mes parties qui m’ont réveillé. Elle me suçait et me caressait pour que je bande de nouveau. Quand j’ai été bien raide elle m’a dit :
- On recommence, c’est trop bon, mai n’oublie pas, je ne prends rien, tu te retires.
- Bien sur, je me retire comme tout a l’heure.
- Avant, tout à l’heure tu as failli jouir en moi.
- C’est toi qui a insisté pour que je revienne en toi quand je suis sorti la première fois, si tu recommences et qu’il arrive un accident il ne faudra t’en prendre qu’à toi.
- Non, fais attention, ne me mets pas en cloque c’est tout ce que je te demande.
Sans un mot je suis revenu sur elle et je l’ai pénétré, c’était doux serré, chaud, humide à souhait, j’étais bien en elle, je bougeais juste un tout petit peu en la caressant pour faire monter son plaisir. Rapidement elle s’est mise à râler
- Ahhh ! c’est bon !!!!! vas-y plus fort !!!!!!j’aime !!!!!!
J’ai amplifié mes mouvements en continuant de la caresser.
- Ahhhh !!! j’aime !!!!! plus fort !!!!!! ahhhhh !!!!! je t’aime !!!! continue !!!!!! ouiiii !!!!
J’ai passé mes mains sous ses fesses et je me suis mis à lui dilater la rondelle. J’ai à nouveau senti une inondation sur mon bas ventre, j’ai relevé ses jambes à la verticale et je me suis enfoncé au plus profond. Quand j’ai butté contre le fond de son vagin elle s’est tétanisée puis elle s’est mise à crier des mots sans suite. Je sentais tout son vagin se contracter sur moi, je suis sorti.
- Nooonnn !!!!! reste encore !!!!!! c’est trop bon !!!!
J’ai replongé dans ses fesses, mes doigts avaient bien préparés le terrain, je suis entré sans forcer. Tout en lui pistonnant l’anus, j’ai pincé avec mes doigts son petit bouton, un cri strident m’a vrillé les oreilles et un jet puissant m’a à nouveau arrosé. Je suis sorti de ses fesses pour quelques aller et retours au plus profond de son vagin. Elle était secouée de spasmes, c’était merveilleux, je sentais que j’allais jouir, je suis ressorti pour replonger dans ses fesses et je me suis vidé. Ça a été tellement fort que je me suis écroulé sur elle quasi comateux. Ce n’est qu’un très long moment après que j’ai roulé sur le côté pour m’endormir profondément. A mon réveil, la nuit était déjà tombée, je me suis rhabillé puis j’ai fait un gros câlin à Mira pour la réveiller et lui dire au revoir.
- Non, ne pars pas, restes avec moi, on recommencera, tu me donnes tant de plaisir que je ne veux pas que tu partes.
- Je dois partir pour rentrer chez moi.
- Non, restes.
Et en disant ça elle me caressait l’entre jambe. Je me suis remis à bander.
- Tu vois, même ton chibre demande à rester.
- Non il faut que je rentre, elles vont s’inquiéter puis il faut que je me repose un peu, j’ai du travail demain.
- Elles ne s’inquiéteront pas, elles sont occupées avec les bébés et ton travail il peut attendre un peu. Restes avec moi cette nuit.
- Non, si tu veux être avec moi cette nuit viens avec moi, chez moi.
- Et qu’est-ce qu’elles vont dire en me voyant ?
- Rien, j’habite dans l’entreprise, elles ne sauront pas que tu es là.
- D’accord, je m’habille et je te suis. Mais promets moi de bien me faire jouir chez toi.
- Oui, promis, j’ai juste un petit truc à contrôler au bureau en arrivant et je te fais jouir comme jamais. Promis.
Nous sommes partis chacun dans sa voiture, en arrivant, je l’ai faite entrer dans ma chambre et je suis reparti dans mon bureau pour contrôler grâce à la vidéosurveillance ce qui se passait à la maison. Ursula, était sur son lit et se caressait doucement, le bébé semblait dormir dans un couffin à côté d’elle. Marie-Christine et Géraldine dormaient profondément ainsi que mes enfants dans les studios. Tout était calme, après avoir regardé une nouvelle fois Ursula se donner du plaisir toute seule sur son lit, je suis parti retrouver Mira dans la chambre. Elle s’était déshabillée et dormais sur le cêté, nue en travers du lit. Je me suis déshabillé à mon tour et je me suis couché tête-bêche face à elle, je me suis mis à lui embrasser sa touffe. Inconsciemment elle a écarté les jambes j’en ai profité pour passer mes mains et en pistonnant son vagin et son anus avec mes doigts je lui tétais son bourgeon. Le plaisir qui l’a envahi a du la réveiller, je l’ai senti prendre mon chibre dans sa bouche et me le pomper énergiquement en le masturbant. En gémissant de plaisir, elle s’est retournée pour passer sur moi puis elle m’a presque étouffé avec son sexe en s’enfonçant mon chibre au fond de sa gorge et en me malaxant les couilles. Sous l’intensité de cette caresse, et l’inondation de mon visage par un jet de cyprine, j’ai failli jouir, il m’a fallu faire un très gros effort de concentration pour ne pas éjaculer au fond de sa bouche. Elle m’a relâché et m’a dit :
- Ce qui est merveilleux avec toi, c’est que tu te contrôles bien, habituellement quand je fais ça à mes amants ils se vident complètement. Pas toi, je t’aime, tu es le jouet sexuel idéal pour moi.
- Moi, ton jouet sexuel ?
- Oui, tu ne peux que me faire jouir et rien d’autre, tu as un tel contrôle de toi et tu fais tellement attention, ce n’est pas comme les autres hommes que j’ai connu qui prenaient leur plaisir sans trop penser au mien ni au fait que je ne me protégeais pas, à cause d’eux j’ai du faire deux interruption de grossesse, avec toi, je ne risque pas de tels déboires, c’est pour ça que je dis que tu est mon jouet sexuel préféré.
- Je préférerais que ce soit toi mon jouet et ne pas avoir à me contrôler en permanence, tu sais, c’est très dur de résister. Mais j’y suis obligé, que ce soit avec toi ou les autres, je suis en permanence obligé de contrôler. Il n’y a qu’avec ma commerciale Béatrice que je peux faire tout ce que je veux sans me soucier de quoi que ce soit.
- Quoi, tu as une autre maîtresse, Géraldine, Marie-Christine, et moi nous ne te suffisons pas ?
- Tu oublies Ursula. Oui, c’est vrai, vous ne me suffisez pas, vous êtes toutes les mêmes, vous ne prenez rien pour vous protéger et c’est moi qui dois me contrôler en permanence. Les rares fois où je croyais être tranquille et jouir normalement, elles se sont retrouvées en cloque alors maintenant, je ne fais plus confiance à personne, je me contrôle en permanence avec vous, il a bien fallu que je me trouve un jouet moi aussi, un jouet qui accepte tout ce qui me passe par la tête sans rechigner, ce jouet parfait c’est Béatrice.
Elle s’est avancée sur moi pour mettre son sexe sur le mien puis elle s’est mise à faire onduler son bassin en tenant mon chibre contre sa fente et tout en m’empêchant de la pénétrer, elle se frottait contre moi, elle me branlait avec son minou en se donnant à elle aussi du plaisir, ses gémissements s’amplifiaient comme si je la baisais alors que je n’entrais pas en elle. De mes mains je lui caressais le dos et la poitrine. Elle s’est mise à râler très fort et a jouis en m’inondant le bas ventre de son jus. Je n’en pouvais plus, profitant de son accalmie après son orgasme, j’ai poussé un peu sur mon chibre pour qu’il se présente à l’entrée de son vagin et je me suis enfoncé en elle. Sous cette pénétration elle s’est remise à gémir et à faire bouger son bassin au rythme de son plaisir et elle m’a chevauché de plus en plus vite, de plus en plus fort en gémissant jusqu’au moment où j’ai poussé sur ses fesses pour la désarçonner et exploser.
- Tu vois, tu es le jouet parfait. Avec toi, je ne risque rien.
Elle s’est couchée à coté de moi et on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre.
A suivre
Elle entra. Au lieu de lui proposer de s’asseoir, je lui dis :
- Déshabilles-toi
Elle m’a regardé avec des yeux éberlués sans rien faire, j’ai insisté.
- Déshabilles-toi vite.
Comme elle ne réagissait toujours pas, je me suis levé, approché d’elle et j’ai sorti mon chibre bandé en lui disant :
- Suces-moi, je sais que tu aimes la bite.
- Mais monsieur, c’est de l’abus, je me plaindrai.
- De l’abus et les ouvriers que tu détournes, c’est quoi, je ne les paye pas pour te baiser moi !
- Comment vous savez ça ?
- J’ai mes sources, déshabilles-toi et suces moi, je vais voir si je te garde ou si je te vire.
Elle s’est déshabillée langoureusement en posant ses vêtements l’un après l’autre sur la chaise, elle était très belle.
Quand elle s’est mise à me sucer, j’ai compris qu’elle voulait que je la garde, elle me prenait jusqu’au fond de sa gorge en me caressant les couilles, je n’avais jamais eu autant de plaisir sur une fellation. Quand j’ai senti que je ne résisterai pas très longtemps, je l’ai faite se relever puis s’asseoir sur le bureau. Je lui ai sucé le sexe, il dégoulinait de mouille, elle avait très bon goût et une odeur divine. Quand elle a commencé à gémir, je l’ai pénétré doucement. Elle a serré ses jambes dans mon dos et s’est mise à faire bouger son bassin en contractant ses muscles intimes pour me faire jouir rapidement. J’ai adoré ça mais malgré l’envie que j’avais de la remplir tout de suite, je me suis retiré, je l’ai faite se retourner et je me suis enfoncé dans ses fesses en lui caressant le sexe de mes deux mains. Elle a gémis très fort quand je suis entré puis elle s’est mise à haleter au rythme de mes coups de boutoir en elle. Là, je ne me suis pas retenu et je l’ai rempli de mon plaisir. Après m’être retiré et après avoir remis de l’ordre dans mes vêtements je lui ai dit :
- Je vous garde à l’essai, il va falloir que vous passiez me voir tous les jeudis soir environ deux heures pour un débriefing j’espère que ça vous convient ?
- Oui, monsieur, c’est très bien.
- Rhabillez-vous et partez travailler.
Je m’étais trouvé une bonne occupation pour le jeudi soir.
Le lendemain comme je m’embêtais un peu et que j’avais envie d’un peu de sport, j’ai appelé Mira, elle était chez elle et n’avait pas de rendez-vous pour la journée, je l’ai rejoins chez elle. Quand je suis entré, je l’ai vu, magnifique, nue sous sa nuisette transparente. Je ne savais pas si chez elle, elle était toujours habillée de la sorte ou si elle s’était changée pour me recevoir mais j’ai adoré sa tenue et je me suis mis à bander tout de suite.
- Le pauvre Jean Marc à besoin de voir Mira ?
- Oui, j’ai énormément envie de toi.
- Le pauvre Jean Marc s’est fait mettre dehors par ses femmes ?
- Non, pas par elles mais par les bébés, elles ne s’arrêtent pas de s’occuper d’eux et plus de moi. J’ai besoin qu’on s’occupe de moi.
Elle a retiré sa nuisette pour m’apparaître entièrement nue et a murmuré :
- Viens bébé prendre ta tétée avec Mira.
Puis elle m’a mis un de ses magnifiques tétons dans la bouche. Pendant que je suçais avidement elle dégrafait mon pantalon pour libérer mon chibre et le branler. Au bout d’un petit moment elle a dit :
- Viens, suis moi dans la chambre, je désire assouvir ta soif. Tu vas me téter le vagin je suis sure que tu boiras plus que sur ma poitrine sèche.
J’ai retiré complètement mon pantalon que j’avais aux chevilles et je l’ai suivi dans la chambre. Elle s’est couchée sur le lit, a écarté les jambes en disant :
- Viens boire mon jus.
Je me suis exécuté, je l’ai léché et caressé jusqu'à ce qu’un jet de cyprine me remplisse la bouche puis je suis remonté sur elle et je l’ai pénétré. Dans ses gémissements elle me disais :
- Fais attention, je ne prends rien Ah ! ah !!!! oui !!!!!! ne restes pas, non !!!!!! restes encore !!!!!!! ah !!!!!!!!! encore, je vais jouir !!!!!!! encore un peu !!!!! ah !!! oui !!!! je jouis !!!! continue aaaaaah ! encore !! reste encore un peu !!!!! ahhh !! c’est bon !!!! encore !!!! je jouis encore !!!! continue !! oui !! oui !!!encore !!!
Je n’en pouvais plus, j’étais au bord de la jouissance totale, je me suis retiré.
- Nooon !!! reviens !!! c’est trop bon !!! encore !!!!encore un peu !!!!!!!
J’ai replongé en elle.
- Ahhh !!! ahhhh !!!! oui, c’est bon !!!!!!! je jouis encore ahhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!
En catastrophe je suis sorti pour lui inonder l’entrée du vagin. Elle s’est levée et est partie à la salle d’eau. Pendant que je reprenais mon souffle j’ai entendu le bruit de la douchette, j’étais bien, je m’endormais. C’est sa bouche et ses mains fraîches sur mes parties qui m’ont réveillé. Elle me suçait et me caressait pour que je bande de nouveau. Quand j’ai été bien raide elle m’a dit :
- On recommence, c’est trop bon, mai n’oublie pas, je ne prends rien, tu te retires.
- Bien sur, je me retire comme tout a l’heure.
- Avant, tout à l’heure tu as failli jouir en moi.
- C’est toi qui a insisté pour que je revienne en toi quand je suis sorti la première fois, si tu recommences et qu’il arrive un accident il ne faudra t’en prendre qu’à toi.
- Non, fais attention, ne me mets pas en cloque c’est tout ce que je te demande.
Sans un mot je suis revenu sur elle et je l’ai pénétré, c’était doux serré, chaud, humide à souhait, j’étais bien en elle, je bougeais juste un tout petit peu en la caressant pour faire monter son plaisir. Rapidement elle s’est mise à râler
- Ahhh ! c’est bon !!!!! vas-y plus fort !!!!!!j’aime !!!!!!
J’ai amplifié mes mouvements en continuant de la caresser.
- Ahhhh !!! j’aime !!!!! plus fort !!!!!! ahhhhh !!!!! je t’aime !!!! continue !!!!!! ouiiii !!!!
J’ai passé mes mains sous ses fesses et je me suis mis à lui dilater la rondelle. J’ai à nouveau senti une inondation sur mon bas ventre, j’ai relevé ses jambes à la verticale et je me suis enfoncé au plus profond. Quand j’ai butté contre le fond de son vagin elle s’est tétanisée puis elle s’est mise à crier des mots sans suite. Je sentais tout son vagin se contracter sur moi, je suis sorti.
- Nooonnn !!!!! reste encore !!!!!! c’est trop bon !!!!
J’ai replongé dans ses fesses, mes doigts avaient bien préparés le terrain, je suis entré sans forcer. Tout en lui pistonnant l’anus, j’ai pincé avec mes doigts son petit bouton, un cri strident m’a vrillé les oreilles et un jet puissant m’a à nouveau arrosé. Je suis sorti de ses fesses pour quelques aller et retours au plus profond de son vagin. Elle était secouée de spasmes, c’était merveilleux, je sentais que j’allais jouir, je suis ressorti pour replonger dans ses fesses et je me suis vidé. Ça a été tellement fort que je me suis écroulé sur elle quasi comateux. Ce n’est qu’un très long moment après que j’ai roulé sur le côté pour m’endormir profondément. A mon réveil, la nuit était déjà tombée, je me suis rhabillé puis j’ai fait un gros câlin à Mira pour la réveiller et lui dire au revoir.
- Non, ne pars pas, restes avec moi, on recommencera, tu me donnes tant de plaisir que je ne veux pas que tu partes.
- Je dois partir pour rentrer chez moi.
- Non, restes.
Et en disant ça elle me caressait l’entre jambe. Je me suis remis à bander.
- Tu vois, même ton chibre demande à rester.
- Non il faut que je rentre, elles vont s’inquiéter puis il faut que je me repose un peu, j’ai du travail demain.
- Elles ne s’inquiéteront pas, elles sont occupées avec les bébés et ton travail il peut attendre un peu. Restes avec moi cette nuit.
- Non, si tu veux être avec moi cette nuit viens avec moi, chez moi.
- Et qu’est-ce qu’elles vont dire en me voyant ?
- Rien, j’habite dans l’entreprise, elles ne sauront pas que tu es là.
- D’accord, je m’habille et je te suis. Mais promets moi de bien me faire jouir chez toi.
- Oui, promis, j’ai juste un petit truc à contrôler au bureau en arrivant et je te fais jouir comme jamais. Promis.
Nous sommes partis chacun dans sa voiture, en arrivant, je l’ai faite entrer dans ma chambre et je suis reparti dans mon bureau pour contrôler grâce à la vidéosurveillance ce qui se passait à la maison. Ursula, était sur son lit et se caressait doucement, le bébé semblait dormir dans un couffin à côté d’elle. Marie-Christine et Géraldine dormaient profondément ainsi que mes enfants dans les studios. Tout était calme, après avoir regardé une nouvelle fois Ursula se donner du plaisir toute seule sur son lit, je suis parti retrouver Mira dans la chambre. Elle s’était déshabillée et dormais sur le cêté, nue en travers du lit. Je me suis déshabillé à mon tour et je me suis couché tête-bêche face à elle, je me suis mis à lui embrasser sa touffe. Inconsciemment elle a écarté les jambes j’en ai profité pour passer mes mains et en pistonnant son vagin et son anus avec mes doigts je lui tétais son bourgeon. Le plaisir qui l’a envahi a du la réveiller, je l’ai senti prendre mon chibre dans sa bouche et me le pomper énergiquement en le masturbant. En gémissant de plaisir, elle s’est retournée pour passer sur moi puis elle m’a presque étouffé avec son sexe en s’enfonçant mon chibre au fond de sa gorge et en me malaxant les couilles. Sous l’intensité de cette caresse, et l’inondation de mon visage par un jet de cyprine, j’ai failli jouir, il m’a fallu faire un très gros effort de concentration pour ne pas éjaculer au fond de sa bouche. Elle m’a relâché et m’a dit :
- Ce qui est merveilleux avec toi, c’est que tu te contrôles bien, habituellement quand je fais ça à mes amants ils se vident complètement. Pas toi, je t’aime, tu es le jouet sexuel idéal pour moi.
- Moi, ton jouet sexuel ?
- Oui, tu ne peux que me faire jouir et rien d’autre, tu as un tel contrôle de toi et tu fais tellement attention, ce n’est pas comme les autres hommes que j’ai connu qui prenaient leur plaisir sans trop penser au mien ni au fait que je ne me protégeais pas, à cause d’eux j’ai du faire deux interruption de grossesse, avec toi, je ne risque pas de tels déboires, c’est pour ça que je dis que tu est mon jouet sexuel préféré.
- Je préférerais que ce soit toi mon jouet et ne pas avoir à me contrôler en permanence, tu sais, c’est très dur de résister. Mais j’y suis obligé, que ce soit avec toi ou les autres, je suis en permanence obligé de contrôler. Il n’y a qu’avec ma commerciale Béatrice que je peux faire tout ce que je veux sans me soucier de quoi que ce soit.
- Quoi, tu as une autre maîtresse, Géraldine, Marie-Christine, et moi nous ne te suffisons pas ?
- Tu oublies Ursula. Oui, c’est vrai, vous ne me suffisez pas, vous êtes toutes les mêmes, vous ne prenez rien pour vous protéger et c’est moi qui dois me contrôler en permanence. Les rares fois où je croyais être tranquille et jouir normalement, elles se sont retrouvées en cloque alors maintenant, je ne fais plus confiance à personne, je me contrôle en permanence avec vous, il a bien fallu que je me trouve un jouet moi aussi, un jouet qui accepte tout ce qui me passe par la tête sans rechigner, ce jouet parfait c’est Béatrice.
Elle s’est avancée sur moi pour mettre son sexe sur le mien puis elle s’est mise à faire onduler son bassin en tenant mon chibre contre sa fente et tout en m’empêchant de la pénétrer, elle se frottait contre moi, elle me branlait avec son minou en se donnant à elle aussi du plaisir, ses gémissements s’amplifiaient comme si je la baisais alors que je n’entrais pas en elle. De mes mains je lui caressais le dos et la poitrine. Elle s’est mise à râler très fort et a jouis en m’inondant le bas ventre de son jus. Je n’en pouvais plus, profitant de son accalmie après son orgasme, j’ai poussé un peu sur mon chibre pour qu’il se présente à l’entrée de son vagin et je me suis enfoncé en elle. Sous cette pénétration elle s’est remise à gémir et à faire bouger son bassin au rythme de son plaisir et elle m’a chevauché de plus en plus vite, de plus en plus fort en gémissant jusqu’au moment où j’ai poussé sur ses fesses pour la désarçonner et exploser.
- Tu vois, tu es le jouet parfait. Avec toi, je ne risque rien.
Elle s’est couchée à coté de moi et on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre.
A suivre
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