Ma vie 1
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 1
Bonjour, j’ai 20ans et je toujours me suis toujours senti attiré par les mecs.
Bruno avec qui je vis, a tenu à ce que je vous parle de mes expériences avant de vivre avec lui.
Je ne dirais rien de mes amours de jeunesse tumultueuse qui m'ont fait comme je suis.
J’ai, du fait de mon physique fin, pas maigre mais pas efféminé, eu presque le choix de mes partenaires. J’avais paraît-il du charme. L’anniversaire de mes 18ans fut pour moi une libération et aussi une éviction du milieu familial. Un peu ivre j’avais parlé de ma vie et la colère de mon père fut radicale.
-Prépare tes affaires et demain tu pars sans retour. Pas de PD chez moi !
J’avais peu d’amis avec un appartement mais en faisant le tour grâce à mon iPhone j’ai trouvé Paul, Un garçon charmant et gentil hélas pour moi passif mais il acceptait de me garder une semaine.
Mon sac fut vite fait j’avais presque plus de sous-vêtements que de vêtements réels. Je suis parti avant leur réveil. Blouson sur l'épaule et le sac à la main.
Le métro à cette heure-là n’était pas bondé. Et après un changement je me suis trouvé aux halles. Peu de monde là aussi et j’ai trouvé l’adresse. Un appel par l’interphone et j’ai eu Paul qui m’a dit de boire un café en face avant de repasser. J’ai compris qu’il n’était pas seul et sur un ok rigolard je suis allé en face dans un bar déjà ouvert ou qui n’avait pas fermé.
Assis seul en terrasse le sac à mes pieds je guettais par pure curiosité qui allait sortir de l’immeuble de Paul. J’ai vu après un petit moment deux beurs sortir en souriant, parlant fort. Visiblement satisfait. Mon i phone a sonné et Paul m’a donné son code.
-Monte, c’est ouvert je prends une douche.
J’avais payé le café et je me suis trouvé assez rapidement chez lui. J’entendais l’eau couler et je suis allé jeter un œil. Pas mal gaulé le Paul mais je voyais des zébrures sur son dos. Je suis allé au salon poser mon sac pour l’attendre. Il est arrivé en polo et short. Il a vu mon sourire.
-Tu les as vu sortir ?
Oui et désolé, je t’ai maté sous la douche et j’ai vu ton dos. C’est eux ?
-Ouais je donne un peu dans le maso quand les mecs sont bien montés et mignons. C’est encore plus excitant avant et pendant. Tu devrais essayer.
Tu es dingue je n’ai pas envie de me faire tabasser.
-Attends, il a amené son portable et tapé quelques mots. Regarde.
Un mec de nos âges était mis à poil et allongé sur une table, attaché aux quatre coins. Il ne bandait pas mais son sexe a été enduit de mousse à raser et le rasoir a fait le reste, ne lui laissant aucuns poils au pubis jusqu’à sous les couilles. Là sa queue s’est déployée et le bout du gland a pointé. On lui a mis un collier comme à un clebs avant de le changer de position sur la table, cette fois à quatre pattes et les cuisses écartées. Le rasage s’est poursuivi autour de l’anus.
J’ai senti la main de Paul sur mon pantalon de jogging qu’il a baissé. Je bandais et il m’a sucé. La vidéo se poursuivait par une sodomie et une fellation sur deux mecs. Le mec grognait et se branlait.
Vu par un des actifs ils lui ont attachés les mains dans le dos. Et la baise a repris, sauvage. Sur des plans ont voyait le visage du mec sucer et sur d’autres une queue en gros plan s’enfiler dans le cul du mec. A ce moment je n’ai pas tenu et joui sans prévenir dans la bouche de Paul.
Il s’est retiré, souriant les lèvres luisantes et a arrêté la vidéo.
-Tu t’imaginais à sa place ?
Un max oui. Surtout au début mais la fin est sympa aussi. T’en a profité dis donc !
-Ne me dis pas que tu étais contre.
Tu as raison j’ai apprécié.
-Si ça te dit j’ai des potes pour ce genre de plan.
Ne déconne pas. Et je dormirais où moi ?
-Ben le temps de te retourner tu peux rester chez moi.
Tu m’imagines sans poils ? Moi je perdrais ma virilité.
-Arrête ! Tu l’as vu débander ?
Non c’est vrai. Au contraire oui, une fois rasé il bandait un max.
-Comme toi. Je t’observais et tu as commencé à bander à ce moment-là.
Tu as surement fait comme moi. Je te connais.
-Même pas, j’ai trop joui avant que t’arrives et je connais la vidéo. Si tu veux on peut organiser un plan où tu serais sur la table si ça te donne envie. Moi je ne ferais que filmer pour le souvenir.
En fait tu profites du fait que tu m’héberges et ça payerai la location, tu es un peu salaud.
-Non je t’assure. J’ai bien vu que ça t’excitait.
Ecoute, je vais réfléchir. Je dis, ni oui ni non.
-Normal mais pour te rassurer ceux qui s’occuperont de toi n’auront pas plus de trente ans. Pose ton sac dans la chambre et prends une douche. On va manger dans un petit resto pour ton arrivée.
Hé ! Je n’ai pas de fric moi !
-T’inquiètes pas, j’offre.
Ok j’ai posé mon sac dans piaule dans un état abominable. Draps tachés et chiffonnés. On sentait le sperme. Je me suis dessapé et suis allé à la douche.
-Beau petit cul, il y a quelquefois ou j’aimerais être actif.
Bah tu l’as déjà vu. Mais remets un peu en état la chambre et aère.
J’ai pu sous la douche utiliser un embout certainement laissé là par Paul pour nettoyer mon trou à fond ce que je ne pouvais faire à la maison. J’étais propre de partout en sortant de la douche.
Paul était habillé et bon j’ai fait avec ce que j’avais et enfilé un jean, des tennis et un polo.
Pas trop chic ton resto j’espère.
-Non ne t’en fais pas dans le coin t’as le look qu’il faut. En plus tu n’as même pas mis de slip !
Bah faut avoir ton œil pour le savoir.
-Je ne serais pas le seul à le remarquer. Fait glisser ta queue dans une jambe du jean ! Là, c’est bien visible. On peut aller manger.
Dès l’entrée j’ai senti que ce n’était pas un resto normal. Tous les regards tournés vers nous, des mecs la quarantaine avec leur minet et des couples improbables en cuir. Le serveur qui nous a accueilli nous a guidé à une table, je sentais sa main sur mon dos. Un apéritif a demandé Paul.
Oui pour une fois je me fiche de mon haleine. Un américano.
-Deux a fait signe au garçon. Tassé pour mon ami.
-Je vous laisse la carte. C’est parti.
-Redresse toi sur ta chaise tu as de belles fesses, fais-les ressortir.
Je me suis cambré, amusé par le jeu de séduction. Le serveur est arrivé les verres à la main et a sorti carnet et stylo.
-Bon je choisis pour toi. Deux tartares bien épicés et si tu as quelques trances de chorizo pour l’apéritif je prends.
-La soirée sera chaude alors !
Une fois parti j’ai demandé à Paul si tous étaient comme nous, il a jeté un coup d’œil autour.
-Oui je pense. Ton cul fait des merveilles. Trinquons à tes amours.
J’ai avalé l’américano surement maison. Il n’avait pas le goût d’un sorti de sa bouteille.
Assis tranquille j’ai commencé à me décontracter. J’ai senti entre mes jambes le pied de Paul se poser contre mon sexe libre sous le tissu du jean.
Arrête je sais bien que tu es passif comme moi.
-Je ne fais pas ça pour moi mais pour ceux qui te regarde.
J’ai piqué un petit fard en voyant en effet ceux assis autour mater sous la table.
-Dis donc ça ne te déplais pas !
Heureusement le serveur amenait deux autres apéros et des rondelles de chorizo et j’ai pu me reprendre sans débander. Je ne sais pas où ils achetaient le chorizo mais il était pas fait pour les gamins.
-Tu veux un verre d’eau ?
Non ce sera pire mais ça va passer. Les tartares arrivaient déjà préparés avec un peu de frites et un bout de salade. Je me sentais planer de plaisir. J’étais bien et j’ai mangé de bon appétit. Il avait commandé une bouteille de morgon pour aller avec et on lui a fait un sort en mangeant tout en discutant. Il a orienté la conversation sur la vidéo que l’on venait de voir.
On papotait mais je me sentais lentement, non pas ivre mais léger comme aérien. Et je n’ai plus eu de souvenir de la suite. Mon dernier souvenir était qu’on me soulevait de ma chaise.
J’ignore combien de temps j’ai mis pour me remettre et constater que j’étais allongé, écartelé et quand j’ai voulu me passer la main sur le front pour me réveiller totalement j’ai senti une sorte de bracelet de cuir m’empêcher de bouger. De même que mes chevilles. Paul me regardait attentif et a déclaré : C’est bon il se réveille.
Qu’est ce qui se passe Paul ?
-Tu es tombé de ta chaise alors on t’a amené ici avec des potes. Tu vas être le sujet du film.
Euh ! Quel film ?
-Tu ne te souviens pas de la vidéo qu’on a vu ensemble ?
Ha si. Tu veux dire que je vais être utilisé comme dans la vidéo ?
-Ici je ne suis plus maître de l’usage qu’ils feront de toi.
Je suis dans la merde quoi, et c’est toi qui as tout prévu.
-Le début oui. La drogue non. Je vois que les spots s’allument je vais filmer dans un coin.
Oui reste là j’ai un peu la frousse. Je ne le voyais plus disparu dans l’ombre et j’étais ébloui par des projecteurs. Deux mecs sont entrés. Torses nus, cagoulés. Un short de jogging en nylon ne cachait pas trop leurs attributs.
Tu sais pourquoi tu es là ? La voix était rauque, très masculine.
J’ai une petite idée.
-Oh non, tu ne sais pas encore tout. Mais pour le moment tu vas te taire. Il a attrapé un bâillon gode qu’il a enfilé dans ma bouche. L’autre que je devinais plus jeune palpait mon corps du cou à mes baskets qu’il m’a ôté avant de me gratter la plante des pieds me faisant me tortiller.
Je soulevais la tête pour le voir mais l’autre a mis un collier immobilisant mon cou par une chaîne fixée au sol. J’ai du coup réalisé que j’étais en fait en croix sur un truc surélevé en bois en X. Ma tête pouvait juste se mettre dans le prolongement de mon cou mais pas plus. Il a pris un opinel, ce qui ne m’a pas rassuré mais j’ai senti le Polo être découpé de haut en bas puis les manches ont disparues aussi. J’avais le torse nu.
Celui que je pensais le plus jeune est venu me pincer les bouts de seins, tirant dessus pour jouer et a posé une pince à linge sur chaque. J’ai serré les dents sur le gode. L’autre a défait ma braguette avant de découper toujours avec son opinel chaque jambe de mon jean.
Nu dessous il a eu un grognement, tirant sur mes poils.
On va t’enlever tout cela mon joli. Paul nous a dit que tu craignais de perdre ta virilité. On verra bien. En attendant pour que tu ne bouges plus je te passe une sangle entre tes poils du pubis et ceux qui poussent sous ta poitrine. La salope que tu vas devenir n’a pas besoin de ses poils.
(Moi, une salope ? J’ai pas trop compris j’avais toujours choisi mes mecs ou était choisi par eux et ne me sentais pas salope du tout.)
Bruno avec qui je vis, a tenu à ce que je vous parle de mes expériences avant de vivre avec lui.
Je ne dirais rien de mes amours de jeunesse tumultueuse qui m'ont fait comme je suis.
J’ai, du fait de mon physique fin, pas maigre mais pas efféminé, eu presque le choix de mes partenaires. J’avais paraît-il du charme. L’anniversaire de mes 18ans fut pour moi une libération et aussi une éviction du milieu familial. Un peu ivre j’avais parlé de ma vie et la colère de mon père fut radicale.
-Prépare tes affaires et demain tu pars sans retour. Pas de PD chez moi !
J’avais peu d’amis avec un appartement mais en faisant le tour grâce à mon iPhone j’ai trouvé Paul, Un garçon charmant et gentil hélas pour moi passif mais il acceptait de me garder une semaine.
Mon sac fut vite fait j’avais presque plus de sous-vêtements que de vêtements réels. Je suis parti avant leur réveil. Blouson sur l'épaule et le sac à la main.
Le métro à cette heure-là n’était pas bondé. Et après un changement je me suis trouvé aux halles. Peu de monde là aussi et j’ai trouvé l’adresse. Un appel par l’interphone et j’ai eu Paul qui m’a dit de boire un café en face avant de repasser. J’ai compris qu’il n’était pas seul et sur un ok rigolard je suis allé en face dans un bar déjà ouvert ou qui n’avait pas fermé.
Assis seul en terrasse le sac à mes pieds je guettais par pure curiosité qui allait sortir de l’immeuble de Paul. J’ai vu après un petit moment deux beurs sortir en souriant, parlant fort. Visiblement satisfait. Mon i phone a sonné et Paul m’a donné son code.
-Monte, c’est ouvert je prends une douche.
J’avais payé le café et je me suis trouvé assez rapidement chez lui. J’entendais l’eau couler et je suis allé jeter un œil. Pas mal gaulé le Paul mais je voyais des zébrures sur son dos. Je suis allé au salon poser mon sac pour l’attendre. Il est arrivé en polo et short. Il a vu mon sourire.
-Tu les as vu sortir ?
Oui et désolé, je t’ai maté sous la douche et j’ai vu ton dos. C’est eux ?
-Ouais je donne un peu dans le maso quand les mecs sont bien montés et mignons. C’est encore plus excitant avant et pendant. Tu devrais essayer.
Tu es dingue je n’ai pas envie de me faire tabasser.
-Attends, il a amené son portable et tapé quelques mots. Regarde.
Un mec de nos âges était mis à poil et allongé sur une table, attaché aux quatre coins. Il ne bandait pas mais son sexe a été enduit de mousse à raser et le rasoir a fait le reste, ne lui laissant aucuns poils au pubis jusqu’à sous les couilles. Là sa queue s’est déployée et le bout du gland a pointé. On lui a mis un collier comme à un clebs avant de le changer de position sur la table, cette fois à quatre pattes et les cuisses écartées. Le rasage s’est poursuivi autour de l’anus.
J’ai senti la main de Paul sur mon pantalon de jogging qu’il a baissé. Je bandais et il m’a sucé. La vidéo se poursuivait par une sodomie et une fellation sur deux mecs. Le mec grognait et se branlait.
Vu par un des actifs ils lui ont attachés les mains dans le dos. Et la baise a repris, sauvage. Sur des plans ont voyait le visage du mec sucer et sur d’autres une queue en gros plan s’enfiler dans le cul du mec. A ce moment je n’ai pas tenu et joui sans prévenir dans la bouche de Paul.
Il s’est retiré, souriant les lèvres luisantes et a arrêté la vidéo.
-Tu t’imaginais à sa place ?
Un max oui. Surtout au début mais la fin est sympa aussi. T’en a profité dis donc !
-Ne me dis pas que tu étais contre.
Tu as raison j’ai apprécié.
-Si ça te dit j’ai des potes pour ce genre de plan.
Ne déconne pas. Et je dormirais où moi ?
-Ben le temps de te retourner tu peux rester chez moi.
Tu m’imagines sans poils ? Moi je perdrais ma virilité.
-Arrête ! Tu l’as vu débander ?
Non c’est vrai. Au contraire oui, une fois rasé il bandait un max.
-Comme toi. Je t’observais et tu as commencé à bander à ce moment-là.
Tu as surement fait comme moi. Je te connais.
-Même pas, j’ai trop joui avant que t’arrives et je connais la vidéo. Si tu veux on peut organiser un plan où tu serais sur la table si ça te donne envie. Moi je ne ferais que filmer pour le souvenir.
En fait tu profites du fait que tu m’héberges et ça payerai la location, tu es un peu salaud.
-Non je t’assure. J’ai bien vu que ça t’excitait.
Ecoute, je vais réfléchir. Je dis, ni oui ni non.
-Normal mais pour te rassurer ceux qui s’occuperont de toi n’auront pas plus de trente ans. Pose ton sac dans la chambre et prends une douche. On va manger dans un petit resto pour ton arrivée.
Hé ! Je n’ai pas de fric moi !
-T’inquiètes pas, j’offre.
Ok j’ai posé mon sac dans piaule dans un état abominable. Draps tachés et chiffonnés. On sentait le sperme. Je me suis dessapé et suis allé à la douche.
-Beau petit cul, il y a quelquefois ou j’aimerais être actif.
Bah tu l’as déjà vu. Mais remets un peu en état la chambre et aère.
J’ai pu sous la douche utiliser un embout certainement laissé là par Paul pour nettoyer mon trou à fond ce que je ne pouvais faire à la maison. J’étais propre de partout en sortant de la douche.
Paul était habillé et bon j’ai fait avec ce que j’avais et enfilé un jean, des tennis et un polo.
Pas trop chic ton resto j’espère.
-Non ne t’en fais pas dans le coin t’as le look qu’il faut. En plus tu n’as même pas mis de slip !
Bah faut avoir ton œil pour le savoir.
-Je ne serais pas le seul à le remarquer. Fait glisser ta queue dans une jambe du jean ! Là, c’est bien visible. On peut aller manger.
Dès l’entrée j’ai senti que ce n’était pas un resto normal. Tous les regards tournés vers nous, des mecs la quarantaine avec leur minet et des couples improbables en cuir. Le serveur qui nous a accueilli nous a guidé à une table, je sentais sa main sur mon dos. Un apéritif a demandé Paul.
Oui pour une fois je me fiche de mon haleine. Un américano.
-Deux a fait signe au garçon. Tassé pour mon ami.
-Je vous laisse la carte. C’est parti.
-Redresse toi sur ta chaise tu as de belles fesses, fais-les ressortir.
Je me suis cambré, amusé par le jeu de séduction. Le serveur est arrivé les verres à la main et a sorti carnet et stylo.
-Bon je choisis pour toi. Deux tartares bien épicés et si tu as quelques trances de chorizo pour l’apéritif je prends.
-La soirée sera chaude alors !
Une fois parti j’ai demandé à Paul si tous étaient comme nous, il a jeté un coup d’œil autour.
-Oui je pense. Ton cul fait des merveilles. Trinquons à tes amours.
J’ai avalé l’américano surement maison. Il n’avait pas le goût d’un sorti de sa bouteille.
Assis tranquille j’ai commencé à me décontracter. J’ai senti entre mes jambes le pied de Paul se poser contre mon sexe libre sous le tissu du jean.
Arrête je sais bien que tu es passif comme moi.
-Je ne fais pas ça pour moi mais pour ceux qui te regarde.
J’ai piqué un petit fard en voyant en effet ceux assis autour mater sous la table.
-Dis donc ça ne te déplais pas !
Heureusement le serveur amenait deux autres apéros et des rondelles de chorizo et j’ai pu me reprendre sans débander. Je ne sais pas où ils achetaient le chorizo mais il était pas fait pour les gamins.
-Tu veux un verre d’eau ?
Non ce sera pire mais ça va passer. Les tartares arrivaient déjà préparés avec un peu de frites et un bout de salade. Je me sentais planer de plaisir. J’étais bien et j’ai mangé de bon appétit. Il avait commandé une bouteille de morgon pour aller avec et on lui a fait un sort en mangeant tout en discutant. Il a orienté la conversation sur la vidéo que l’on venait de voir.
On papotait mais je me sentais lentement, non pas ivre mais léger comme aérien. Et je n’ai plus eu de souvenir de la suite. Mon dernier souvenir était qu’on me soulevait de ma chaise.
J’ignore combien de temps j’ai mis pour me remettre et constater que j’étais allongé, écartelé et quand j’ai voulu me passer la main sur le front pour me réveiller totalement j’ai senti une sorte de bracelet de cuir m’empêcher de bouger. De même que mes chevilles. Paul me regardait attentif et a déclaré : C’est bon il se réveille.
Qu’est ce qui se passe Paul ?
-Tu es tombé de ta chaise alors on t’a amené ici avec des potes. Tu vas être le sujet du film.
Euh ! Quel film ?
-Tu ne te souviens pas de la vidéo qu’on a vu ensemble ?
Ha si. Tu veux dire que je vais être utilisé comme dans la vidéo ?
-Ici je ne suis plus maître de l’usage qu’ils feront de toi.
Je suis dans la merde quoi, et c’est toi qui as tout prévu.
-Le début oui. La drogue non. Je vois que les spots s’allument je vais filmer dans un coin.
Oui reste là j’ai un peu la frousse. Je ne le voyais plus disparu dans l’ombre et j’étais ébloui par des projecteurs. Deux mecs sont entrés. Torses nus, cagoulés. Un short de jogging en nylon ne cachait pas trop leurs attributs.
Tu sais pourquoi tu es là ? La voix était rauque, très masculine.
J’ai une petite idée.
-Oh non, tu ne sais pas encore tout. Mais pour le moment tu vas te taire. Il a attrapé un bâillon gode qu’il a enfilé dans ma bouche. L’autre que je devinais plus jeune palpait mon corps du cou à mes baskets qu’il m’a ôté avant de me gratter la plante des pieds me faisant me tortiller.
Je soulevais la tête pour le voir mais l’autre a mis un collier immobilisant mon cou par une chaîne fixée au sol. J’ai du coup réalisé que j’étais en fait en croix sur un truc surélevé en bois en X. Ma tête pouvait juste se mettre dans le prolongement de mon cou mais pas plus. Il a pris un opinel, ce qui ne m’a pas rassuré mais j’ai senti le Polo être découpé de haut en bas puis les manches ont disparues aussi. J’avais le torse nu.
Celui que je pensais le plus jeune est venu me pincer les bouts de seins, tirant dessus pour jouer et a posé une pince à linge sur chaque. J’ai serré les dents sur le gode. L’autre a défait ma braguette avant de découper toujours avec son opinel chaque jambe de mon jean.
Nu dessous il a eu un grognement, tirant sur mes poils.
On va t’enlever tout cela mon joli. Paul nous a dit que tu craignais de perdre ta virilité. On verra bien. En attendant pour que tu ne bouges plus je te passe une sangle entre tes poils du pubis et ceux qui poussent sous ta poitrine. La salope que tu vas devenir n’a pas besoin de ses poils.
(Moi, une salope ? J’ai pas trop compris j’avais toujours choisi mes mecs ou était choisi par eux et ne me sentais pas salope du tout.)
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour Gaston merci du commentaire mais j'ai commencé ma vie il y a pas mal de temps et le refuge n'existait pas!
Moi aussi j’attends la suite de potes de bahut mais Ma vie me tient en haleine et suscite l’excitation. T’es récits toujours aussi bon. Merci
J'avoue ne plus me souvenir de la suite écrite puis effacée mais tu en retrouveras plus tard. Celle ci (ma vie) est très longue.
Beau début pour cette nouvelle histoire... J'espère que la suite entrera dans le détail de ce que le premier épisode promet... Par ailleurs, j'espère toujours une suite de ton histoire précédente "Potes de Bahut" Merci.
Plutôt excitant même si le récit est parfois un peu chaotique. C'est sûr qu'à ta place, je serais allé au Refuge plutôt que chez ce copain un peu bizarre. Passons sur le kidnapping précédé d'un cocktail pimenté à la drogue...J'attends la suite de tes aventures.