Ma vie 11
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 11
-C’est con mais il faudra, les autres n’ont pas besoin de savoir. Je ne l’ai jamais vu en colère à ce point. Allons déjà voir ton protégé.
Il gémissait sous les coups de godes, trempant le sol de sperme et de bave mêlée. Machine arrêtée il a mis un temps à reprendre ses esprits. Pendant qu’on le détachait. Il a titubé en se mettant debout.
On lui a dit de se mettre à genoux et il a pompé Bruno, moi et Justin, avalant le jus de chacun sans rechigner. Son cul était luisant de bave et de ses humeurs. Encore un peu ouvert il formait une sorte de fente et non une rondelle. Comme tous ceux que j’avais vu.
Ecoute bien je vais te prendre moi à l’essai mais tu ne devras jamais dire non. Tu acceptes ou pas ?
-Je suis bien sûr d’accord.
Dans la journée tu bosses et le soir tu n’es qu’une femelle qui a besoin de bites. La mienne ou celle de que je voudrais. La nuit tu resteras à disposition. Demain tu vas au travail avec ta voiture. Je serais un peu en retard surement tu prépareras les dossiers urgents.
Bruno a pris la parole.
-Ce soir Éric je change les poids de tes tétons pour les étirer un peu plus avant les photos officielles tu dormiras sur le ventre. Le lit est spécial et tu auras les poids qui passeront dans le vide au niveau de ta poitrine. Des sangles te maintiendront dans cette position. Au réveil une douche et tu ne mets qu’un blouson jusqu’au garage où je vais t’offrir une voiture digne de ton job. Après, passage chez le photographe pour mes affiches et les étiquettes comme le marquage sur les canettes et tu pourras revenir te changer pour aller au travail.
Une voiture ?
-Tu ne peux plus monter avec moi, ni avec ton lope, ça jaserait mais elle te servira pour aller au travail et pour tes déplacements à Paris. Au fait, le lit est aussi troué pour faire passer ta queue. Le bâtard pourra sucer. On passe à table, Justin tu as prévu quoi ?
-Rien pour le moment mais si un repas froid vous convient je peux préparer ça en peu de temps.
-Alors au boulot. On sera au salon, j’ai une nouvelle bière à vous faire gouter. Toi tu nous suis à genoux !
Docile Willy a suivi.
-Tu as essayé de t’allonger la queue avec une pompe ?
-Non jamais je ne pense pas que ça marche
Assis sur de profonds fauteuils et les chopes servies, je l’ai fait se renverser en arrière, cuisses ouvertes.
Justin qui avait entendu est venu avec une pompe à sexe. Une fois le petit embout caoutchouté dépassé, et après quelques coups de pompe, son sexe a rempli le tube en épaisseur.
Je donnerais un coup de pompe à chaque gorgée goutée.
La bière avait un coup un peu spécial, plus forte mais légère quand même.
Tu as ajouté une épice ?
-Disons plutôt un mélange d’épices et ce qui fait sa force donne aussi de la vigueur sexuelle. Je pense que vers Paris et plus spécialement les Halles tu devrais faire un malheur et les folles seront heureuses tout autant que les femmes des honteuses.
J’ai donné un coup de pompe. Will a eu un frémissement, sa bave faisait office de lubrifiant. Coincée dans le tube, sa mini teub a dû avancer de 2mm.
Et la campagne commence quand ?
-Une fois les épreuves de ta photo faite, je pense que dans une semaine ça va rouler et tu auras des caisses d’échantillon à distribuer dans les bars à succès. Pour les affiches ce sera plus rapide et dans trois ou quatre jours les colleurs seront au travail.
Tu peux en mettre une sur le déroulant de l’arrêt du bus que prend mon père ?
-J’attendais cette demande de ta part et je l’approuve entièrement. Nul doute que ça va jaser dans ton ex-quartier.
Du coup j’ai donné deux coups de pompe, faisant gémir Will.
On doit donc se lever tôt et pour bien dormir une seule solution, baiser. Will, penche-toi en avant sur la queue de Justin, Bruno lui je vais le sucer puis il mettra une capote et moi aussi. Et je te prendrais pendant que Bruno fera de même en moi.
Aussitôt dis aussitôt fait et on a bien labouré. Chacun a joui plus ou moins vite. Même Will qui a giclé dans l’embout de la pompe. Une fois celle-ci retirée il a bu son jus en bonne lopette. Et on a pris une douche avant de se coucher. Moi avec Bruno et Will avec Justin. Le lit était conforme à la description de Bruno et sanglé sur le ventre il a fixé un poids bien plus lourd à chacune de mes tétines.
Le sommeil a été long à venir. C’est une claque sur les fesses qui m’a réveillé. Bruno a défait la sangle.
-Lève-toi mais détache les poids que je vois ce que ça donne. Ne regarde pas, reste la tête droite. Tu as vraiment de belles tétines qui ne demandent qu’à être travaillées. Je vais prendre ma douche tu iras après et tu te déplaceras avec les poids.
Je suis resté debout le temps de sa douche je matais mes bouts de seins pendre, étirés par les poids. Quand il a fini je me suis déplacé à mon tour chaque pas me faisait grimacer mais sous la douche, chaque geste me faisait frôler les poids ou les faisaient se balancer. Me sécher fut une épreuve également et enfin, une fois sorti il a ôté les poids. Le sang revenant aux bouts m’a fait grimacer de douleur. Les pointes tirées vers le bas se sont relevées et quand il les a frôlés j’ai frissonné.
-Aller passe un tee-shirt et un short de sport on va voir le photographe.
Lui a enfilé un pantalon et une chemisette et on est allé dans le centre ou était le studio.
Une file de mecs attendaient et on est passé devant. Pas eu le temps de voir qui mais une main est passée sur mes fesses et on est entré dans le studio.
-Merde ! Je n’aime pas être dérangé quand je travaille. Ha c’est vous. Bon mettez des peignoirs et attendez. Les deux mecs en pleine forme sexuelle se sont vêtus et moi j’ai ôté le tee-shirt et le short.
-Tu te débrouilles mais je le veux près à tout sur la photo.
-Bah ces deux-là vont lui faire briller les yeux à vouloir bouffer de la saucisse humaine. Aller les mecs donnez-vous du plaisir, mais hors champ que je ne vois ni ombre ni rien.
Ils étaient mignons tous les deux et je les matais avec une sérieuse envie de les bouffer, cul, bite, bouche tout me faisait envie. Je n’entendais pas le bruit de l’appareil, bandant comme un fou.
-Voilà, ça doit être bon. Va les rejoindre pendant que je fais une planche et que Bruno choisisse. Il a été long à mon grand plaisir et j’ai autant utilisé leur corps qu’eux le mien avant que Bruno m’appelle.
Sur l’écran de télévision on me voyait torse nu, tétons pointés, une bouteille de bière à la bouche, marque bien visible, avec sous le coude une impression : Pour ceux qui en ont. J’ai d’abord rougi puis me suis vu. Ils avaient légèrement modifié les pointes de mes tétons les faisant plus proéminant.
Waouh ! Pour être reconnu je vais l’être et on devinera bien ce que j’aime en bouche.
-Profites en, c’est mon premier acte en tant que directeur. La signature du bon à tirer pour les affiches et les étiquettes sur les bouteilles. Il a apposé son paraphe sous la photo. Bon, passe au vestiaire tes fringues de travail sont là. Je les ai sorties du coffre. Maintenant en route pour le concessionnaire.
Même s’il se servait de moi j’avais la sensation d’être entretenu comme une fille.
Dans le patio du garage Audi une voiture était sous un tissu rouge avec un gros nœud jaune sur le toit.
-Voilà pour ton travail et ce que tu vas faire encore pour l’entreprise. Découvre là.
J’ai ôté le nœud factice et le tissu, découvrant une Audi sport noir mat.
C’est beaucoup trop Bruno, je rêve !
-J’ai pris tes papiers et elle est à ton nom, l’assurance est prise en charge par l’entreprise L’immatriculation est de Bavière et j’ai pu grâce à mon père avoir le numéro qui convient je pense.
BR69ER tu t’en souviendras. Un employé va ramener ma voiture et toi tu vas faire les premiers tours avec moi. Aller Éric à toi le volant.
Les gars du garage ont dû m’expliquer la boîte automatique mais c’est assez simple en revanche je n’avais que peu de temps de conduite et une fois dans la circulation j’ai un peu paniqué. Bruno m’aidait et j’ai doucement maitrisé un peu l’engin. Un peu, car des haut-parleurs sortaient une voix me donnant tout un tas d’infos. On est sorti de la ville et Bruno m’a fait stopper sur une voie de dégagement. Reste au volant mais suce-moi. Montre ton plaisir tu auras le mien.
Je me suis penché sur le côté et une fois sa braguette ouverte j’ai massé le sexe dans le slip avant de le baisser et de l’avaler doucement lèvres serrées sur sa chair tendue à demi décalottée et j’ai découvert le gland avec les lèvres. Le goût de son pré jus était agréable et j’ai pompé doucement. Il se glissait un peu sur son siège et ma bouche suivait. Sa main posée sur ma tête appuyait un peu à chaque fois que je croyais l’avoir en entier. Malgré moi je bavais sur son sexe et il a forcé un peu plus, me maintenant la tête il a joui, envoyant son jus je crois au fond de ma gorge j’ai cru étouffer. Je respirais comme je pouvais par le nez mais sa queue bloquait le passage entre ma bouche et mon nez. Quand il m’a relâché j’ai dû reprendre de grande goulée d’air. Lui souriait.
-Tu as été parfait comme toujours lopette Éric. Ramène-nous au pavillon que je prenne ma voiture On mangera plus tard à la cantine des cadres. Le travail nous attend.
Ma conduite se faisait plus souple avec l’habitude et heureusement qu’il y avait un limiteur car j’aurais facilement dépassé la vitesse autorisée. Au pavillon ne restait que Justin. Will était parti préparer mon travail. La voiture de Bruno était revenue et il est aussitôt parti au travail. Je suis allé me rincer la bouche. Justin sur le perron matait ma voiture.
-Chouette voiture que vous avez là !
Il gémissait sous les coups de godes, trempant le sol de sperme et de bave mêlée. Machine arrêtée il a mis un temps à reprendre ses esprits. Pendant qu’on le détachait. Il a titubé en se mettant debout.
On lui a dit de se mettre à genoux et il a pompé Bruno, moi et Justin, avalant le jus de chacun sans rechigner. Son cul était luisant de bave et de ses humeurs. Encore un peu ouvert il formait une sorte de fente et non une rondelle. Comme tous ceux que j’avais vu.
Ecoute bien je vais te prendre moi à l’essai mais tu ne devras jamais dire non. Tu acceptes ou pas ?
-Je suis bien sûr d’accord.
Dans la journée tu bosses et le soir tu n’es qu’une femelle qui a besoin de bites. La mienne ou celle de que je voudrais. La nuit tu resteras à disposition. Demain tu vas au travail avec ta voiture. Je serais un peu en retard surement tu prépareras les dossiers urgents.
Bruno a pris la parole.
-Ce soir Éric je change les poids de tes tétons pour les étirer un peu plus avant les photos officielles tu dormiras sur le ventre. Le lit est spécial et tu auras les poids qui passeront dans le vide au niveau de ta poitrine. Des sangles te maintiendront dans cette position. Au réveil une douche et tu ne mets qu’un blouson jusqu’au garage où je vais t’offrir une voiture digne de ton job. Après, passage chez le photographe pour mes affiches et les étiquettes comme le marquage sur les canettes et tu pourras revenir te changer pour aller au travail.
Une voiture ?
-Tu ne peux plus monter avec moi, ni avec ton lope, ça jaserait mais elle te servira pour aller au travail et pour tes déplacements à Paris. Au fait, le lit est aussi troué pour faire passer ta queue. Le bâtard pourra sucer. On passe à table, Justin tu as prévu quoi ?
-Rien pour le moment mais si un repas froid vous convient je peux préparer ça en peu de temps.
-Alors au boulot. On sera au salon, j’ai une nouvelle bière à vous faire gouter. Toi tu nous suis à genoux !
Docile Willy a suivi.
-Tu as essayé de t’allonger la queue avec une pompe ?
-Non jamais je ne pense pas que ça marche
Assis sur de profonds fauteuils et les chopes servies, je l’ai fait se renverser en arrière, cuisses ouvertes.
Justin qui avait entendu est venu avec une pompe à sexe. Une fois le petit embout caoutchouté dépassé, et après quelques coups de pompe, son sexe a rempli le tube en épaisseur.
Je donnerais un coup de pompe à chaque gorgée goutée.
La bière avait un coup un peu spécial, plus forte mais légère quand même.
Tu as ajouté une épice ?
-Disons plutôt un mélange d’épices et ce qui fait sa force donne aussi de la vigueur sexuelle. Je pense que vers Paris et plus spécialement les Halles tu devrais faire un malheur et les folles seront heureuses tout autant que les femmes des honteuses.
J’ai donné un coup de pompe. Will a eu un frémissement, sa bave faisait office de lubrifiant. Coincée dans le tube, sa mini teub a dû avancer de 2mm.
Et la campagne commence quand ?
-Une fois les épreuves de ta photo faite, je pense que dans une semaine ça va rouler et tu auras des caisses d’échantillon à distribuer dans les bars à succès. Pour les affiches ce sera plus rapide et dans trois ou quatre jours les colleurs seront au travail.
Tu peux en mettre une sur le déroulant de l’arrêt du bus que prend mon père ?
-J’attendais cette demande de ta part et je l’approuve entièrement. Nul doute que ça va jaser dans ton ex-quartier.
Du coup j’ai donné deux coups de pompe, faisant gémir Will.
On doit donc se lever tôt et pour bien dormir une seule solution, baiser. Will, penche-toi en avant sur la queue de Justin, Bruno lui je vais le sucer puis il mettra une capote et moi aussi. Et je te prendrais pendant que Bruno fera de même en moi.
Aussitôt dis aussitôt fait et on a bien labouré. Chacun a joui plus ou moins vite. Même Will qui a giclé dans l’embout de la pompe. Une fois celle-ci retirée il a bu son jus en bonne lopette. Et on a pris une douche avant de se coucher. Moi avec Bruno et Will avec Justin. Le lit était conforme à la description de Bruno et sanglé sur le ventre il a fixé un poids bien plus lourd à chacune de mes tétines.
Le sommeil a été long à venir. C’est une claque sur les fesses qui m’a réveillé. Bruno a défait la sangle.
-Lève-toi mais détache les poids que je vois ce que ça donne. Ne regarde pas, reste la tête droite. Tu as vraiment de belles tétines qui ne demandent qu’à être travaillées. Je vais prendre ma douche tu iras après et tu te déplaceras avec les poids.
Je suis resté debout le temps de sa douche je matais mes bouts de seins pendre, étirés par les poids. Quand il a fini je me suis déplacé à mon tour chaque pas me faisait grimacer mais sous la douche, chaque geste me faisait frôler les poids ou les faisaient se balancer. Me sécher fut une épreuve également et enfin, une fois sorti il a ôté les poids. Le sang revenant aux bouts m’a fait grimacer de douleur. Les pointes tirées vers le bas se sont relevées et quand il les a frôlés j’ai frissonné.
-Aller passe un tee-shirt et un short de sport on va voir le photographe.
Lui a enfilé un pantalon et une chemisette et on est allé dans le centre ou était le studio.
Une file de mecs attendaient et on est passé devant. Pas eu le temps de voir qui mais une main est passée sur mes fesses et on est entré dans le studio.
-Merde ! Je n’aime pas être dérangé quand je travaille. Ha c’est vous. Bon mettez des peignoirs et attendez. Les deux mecs en pleine forme sexuelle se sont vêtus et moi j’ai ôté le tee-shirt et le short.
-Tu te débrouilles mais je le veux près à tout sur la photo.
-Bah ces deux-là vont lui faire briller les yeux à vouloir bouffer de la saucisse humaine. Aller les mecs donnez-vous du plaisir, mais hors champ que je ne vois ni ombre ni rien.
Ils étaient mignons tous les deux et je les matais avec une sérieuse envie de les bouffer, cul, bite, bouche tout me faisait envie. Je n’entendais pas le bruit de l’appareil, bandant comme un fou.
-Voilà, ça doit être bon. Va les rejoindre pendant que je fais une planche et que Bruno choisisse. Il a été long à mon grand plaisir et j’ai autant utilisé leur corps qu’eux le mien avant que Bruno m’appelle.
Sur l’écran de télévision on me voyait torse nu, tétons pointés, une bouteille de bière à la bouche, marque bien visible, avec sous le coude une impression : Pour ceux qui en ont. J’ai d’abord rougi puis me suis vu. Ils avaient légèrement modifié les pointes de mes tétons les faisant plus proéminant.
Waouh ! Pour être reconnu je vais l’être et on devinera bien ce que j’aime en bouche.
-Profites en, c’est mon premier acte en tant que directeur. La signature du bon à tirer pour les affiches et les étiquettes sur les bouteilles. Il a apposé son paraphe sous la photo. Bon, passe au vestiaire tes fringues de travail sont là. Je les ai sorties du coffre. Maintenant en route pour le concessionnaire.
Même s’il se servait de moi j’avais la sensation d’être entretenu comme une fille.
Dans le patio du garage Audi une voiture était sous un tissu rouge avec un gros nœud jaune sur le toit.
-Voilà pour ton travail et ce que tu vas faire encore pour l’entreprise. Découvre là.
J’ai ôté le nœud factice et le tissu, découvrant une Audi sport noir mat.
C’est beaucoup trop Bruno, je rêve !
-J’ai pris tes papiers et elle est à ton nom, l’assurance est prise en charge par l’entreprise L’immatriculation est de Bavière et j’ai pu grâce à mon père avoir le numéro qui convient je pense.
BR69ER tu t’en souviendras. Un employé va ramener ma voiture et toi tu vas faire les premiers tours avec moi. Aller Éric à toi le volant.
Les gars du garage ont dû m’expliquer la boîte automatique mais c’est assez simple en revanche je n’avais que peu de temps de conduite et une fois dans la circulation j’ai un peu paniqué. Bruno m’aidait et j’ai doucement maitrisé un peu l’engin. Un peu, car des haut-parleurs sortaient une voix me donnant tout un tas d’infos. On est sorti de la ville et Bruno m’a fait stopper sur une voie de dégagement. Reste au volant mais suce-moi. Montre ton plaisir tu auras le mien.
Je me suis penché sur le côté et une fois sa braguette ouverte j’ai massé le sexe dans le slip avant de le baisser et de l’avaler doucement lèvres serrées sur sa chair tendue à demi décalottée et j’ai découvert le gland avec les lèvres. Le goût de son pré jus était agréable et j’ai pompé doucement. Il se glissait un peu sur son siège et ma bouche suivait. Sa main posée sur ma tête appuyait un peu à chaque fois que je croyais l’avoir en entier. Malgré moi je bavais sur son sexe et il a forcé un peu plus, me maintenant la tête il a joui, envoyant son jus je crois au fond de ma gorge j’ai cru étouffer. Je respirais comme je pouvais par le nez mais sa queue bloquait le passage entre ma bouche et mon nez. Quand il m’a relâché j’ai dû reprendre de grande goulée d’air. Lui souriait.
-Tu as été parfait comme toujours lopette Éric. Ramène-nous au pavillon que je prenne ma voiture On mangera plus tard à la cantine des cadres. Le travail nous attend.
Ma conduite se faisait plus souple avec l’habitude et heureusement qu’il y avait un limiteur car j’aurais facilement dépassé la vitesse autorisée. Au pavillon ne restait que Justin. Will était parti préparer mon travail. La voiture de Bruno était revenue et il est aussitôt parti au travail. Je suis allé me rincer la bouche. Justin sur le perron matait ma voiture.
-Chouette voiture que vous avez là !
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