Ma vie 2

- Par l'auteur HDS Conteur -
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Ma vie 2
Le bruit d’une tondeuse comme celle des coiffeurs m’a paru assourdissant mais en fait c’est parce qu’il passait très près de mes oreilles, sous mes bras. Je pouvais tourner la tête et voir mes aisselles devenir non pas lisse totalement mais mes poils coupés très court. Le passage autour de mes tétons m’a plus chatouillé et surpris je ne savais pas en avoir là.
Puis je n’ai plus vu mais senti la tondeuse passer sur le bas du ventre, de sous le nombril à la base de ma bite recroquevillée dans son cocon. Entre mes couilles et les cuisses la tondeuse passait, je frémissais quand il a attaqué mes cuisses et le dessous de mes genoux. Je n’avais pas imaginé qu’il allait raser tous mes poils.
Après une pose ou je sentais le regard du jeune passer sur moi. Il est sorti puis revenu avec une cuvette d’eau et un rasoir à main. Son petit regard vicieux me fixait et est resté sur mes yeux pendant que l’autre rasait cette fois avec de la mousse tout le devant de mon corps. J’ai fermé les yeux le temps qu’il rase autour de ma queue et près des couilles, jusqu’au-dessous. Le reste de mes cuisses et jambes n’a pas été long.
-Il a des poils dans le dos a demandé le plus âgé ?
-Je n’en ai pas vu du tout a répondu Paul.
-Bien alors le plus simple est de lui soulever les jambes bien écartées à décoller les fesses du bois.
Aidé du jeune il a changé la fixation de mes chevilles pour les attacher à des chaînes pendant du plafond que je n’avais pas remarqué.
Il y a une énorme différence entre montrer ses fesses entre gays volontairement et celle d’avoir l’intimité exhibée en force et je n’ai pu empêcher mon sexe de se raidir cette fois je voyais ma queue lisse et plus le regard du jeune, fixé maintenant entre mes cuisses, sur mon anus. La tondeuse a démarré à nouveau, cette fois tout autour de ma rondelle me faisant frissonner. Il a fini par le rasoir à main, enduisant l’intérieur de mes cuisses et mon trou d’un liquide genre après rasage mais gras qui m’a soulagé un instant.
Le collier m’a été ôté et j’ai pu voir dans le miroir occupant le mur d’en face mon corps totalement glabre. Fesses ouvertes et queue bandée.
-Bien maintenant on va se servir de toi et tu ne sortiras pas tout de suite. Ta bouche comme ton cul vont être exploités sans retenue par qui voudra se servir. Tu n’auras aucun choix que de subir les mâles qui vont se succéder ici. Éric à côté de toi sera ton surveillant moi tu vas me sucer pour le boulot que j’ai fait.
Il a dégagé son sexe raide du short pour sans manière me pincer le nez pour que j’ouvre la bouche et s’engouffrer dedans.
Pas préparé à cet assaut j’ai eu un haut le cœur et de ma salive a coulé sur ma joue. Je n’ai plus vu Éric, passé entre mes cuisses largement ouverte il entrouvrait mon anus des doigts de chaque côté.
-Plissé comme est ton cul t’en as déjà pris mais pas des grosses. Je vais profiter pour commencer de ton petit cul serré de frousse.
Avec le gel passé après le rasage il n’a pas eu à forcer pour me pénétrer. Ne pas pouvoir agir de mon côté était pire que quand je faisais l’amour avec un mec que je connaissais. Il s’accrochait à mes couilles dans ses va et vient tirant dessus pour aller au plus loin. Dans ma bouche le mec donnait des coups de bite et a joui abondamment. Son jus coulait une fois dégagé de moi quand j’ai repris haleine. La plus grosse part étant allé directement dans ma gorge et avalé.
Entre mes cuisses le jeune s’est retiré pour se branler et gicler sur mon ventre et ma queue.
Paul a donné un clap.
-Il faut que je change de cassette.
-Fais vite je vais lui donner une leçon après.
-C’est bon, je redémarre.
J’ai eu le souffle coupé quand sans prévenir il a donné une tape assez violente sur mes couilles. J’ai dû me cambrer retenu par la sangle.
-Comprends bien une chose. Ici tu n’es qu’un objet de plaisir. Et ça, ça fait partie de mon plaisir. Pour le début je vais te mettre un anneau pour te tirer les couilles. Cinq cents grammes en inox de 4 centimètres. Je verrais par la suite pour mettre plus de poids. Comme je vais avoir besoin de ton aide, je n’ai pas dit consentement, je te mets un collier différent de l’autre avec des fines pointes à l’intérieur et des anneaux autour permettant de fixer ce que je veux.
Il a posé le collier juste serré sans trop de jeu avant de me détacher un poignet.
-Mets tes doigts autour de tes couilles et tire les vers le bas un maximum. Que tu ais mal est le dernier de mes soucis.
Tranquillement je l’ai vu ajuster l’anneau en deux parties et une fois la peau bien placée, serrer avec une clé Allen.
-Je te détache, tu vas gentiment te lever et te retourner. Là tu tiens debout ? L’effet de la drogue est passé ?
Oui ça va mais ça tire sur mes boules.
-Normal c’est fait pour. Viens vers cette table et pose tes bras devant toi.
J’ai failli me rebeller mais ensuite ? Je ne savais pas où j’étais et j’étais plus que nu. Alors j’ai obéi. La table était juste à la hauteur pour que mon sexe bute sous le rebord et il m’a attaché cette fois les bras réunis et une cheville à chacun des deux pieds de la table.
-Je suis sympa sous le rebord tu sens ? J’ai collé une éponge et le coté vert ça frotter sur ta queue ou sur ton gland s’il sort.
Il a ouvert une cloison que je croyais être un mur, dévoilant un assortiment de gadgets sexuels. Pour certains j’ignorais jusqu’à leur existence.
-On va commencer par te faire la chatte. Car tu n’auras plus un cul mais une chatte, et il faut qu’elle accepte tous les calibres, bites, doigts ou mains. Il faut aussi que tu y trouves du plaisir pour que le mâle qui te prends se sente fort. Pour commencer j’enduis ton trou d’un produit lubrifiant mais échauffant.
J’ai senti ses doigts s’introduire dans mon anus et très vite une chaleur dans mon trou.
-Bien tu réagis en gigotant et le moment va être plaisant. Approche avec ta caméra Paul.
Je l’ai vu choisir un gode qu’il a passé sous mes yeux avant de me faire lécher et saliver dessus. Tout autour de petits picots dépassaient. Il a installé une cam devant moi fixée sur mon visage et je ne l’ai plus vu, j’ai senti le gode s’enfoncer lentement, chaque picot me faisait tressaillir mais il poussait pour l’introduire à fond.
-Tu as l’air d’aimer ça ! On dirait un asticot qui se tortille quand l’hameçon le transperce. Et si tu voyais ta queue ! Tu as un filet de bave qui descend vers le sol. Je vais ôter ma cagoule tu sauras qui est ton maître. Au point où tu en es, je ne crains plus de rebellions.
Comme je l’avais pressenti il devait avoir dix-huit ou dix-neuf ans, métis assez clair. Visage imberbe.
-Tu as sans doute compris que tu seras mon objet sexuel, que je pourrais t’utiliser, t’exhiber en tout lieu que je juge bon et devant qui je veux. Je connais la loi et de ce côté ni toi ni moi n’iront en tôle. Toi tu pourras être enfermé évidemment. Maintenant regarde à quoi tu vas obéir.
Il a baissé son short laissant échapper un gros sexe circoncis, déjà bandé avec de petits poils frisés. Il a retiré le gode d’un coup sec, les picots sont passés d’un seul coup me faisant couiner mais il a vite remplacé le gode par sa queue. Je l’ai sentie passer sur toute sa longueur.
-Creuse les reins chienne que je te défonce encore plus loin.
En creusant les reins mon gland qui frottait sur le truc râpeux ne m’a pas obéi et a lâché un jet de sperme sous la table.
-Tu aimes ça encore plus que je croyais.
C’était Paul qui filmait qui parlait.
-J’avais senti que tu allais aimer mais pas à ce point.
Le mec m’a bourré le cul sans pitié, me pilonnant jusqu’au moment où sa queue entrait et sortait très vite. Il s’est dégagé pour jouir dans un verre. Dans lequel il a ajouté deux cachets.
-Avale et allonge-toi sur le dos. Tu vas te calmer et dormir profondément.
Boire du sperme ne m’a jamais déplu et j’ai avalé les cachets avec. La relaxation ne dut pas immédiate mais je me suis senti partir dans les vaps, aérien et plus rien.
Sans avoir de notion de l’heure j’ai émergé et voulu passer la main sur mon visage mais elles étaient liées au collier. Toute la situation m’est revenue progressivement. La pièce était vide à part le matelas sur lequel j’étais allongé. Je n’avais pas rêvé, je sentais le poids autour du sac de couilles entre mes cuisses. Une douleur diffuse est arrivée venant de la poitrine et le peu de liberté que ma tête avait m’a permis de voir un pansement sur chaque téton.

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