Ma vie 20

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 20 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 20
-Alors on a le temps avant midi de te voir te faire mettre par Hans. Je veux que tous ici soyez en même temps actif et passif. Un mec qui bande a besoin d’un trou et Hans en ce moment à la queue dressée en te matant. Pose le buste sur la balançoire tu as des anneaux pour te retenir et ouvre bien tes cuisses.

On voyait bien les poils collés autour de l’anus et l’espace rose au centre. Hans a eu du mal à pénétrer, poussant le corps de Jim avec la balançoire mais le poids de Jim a aidé et d’un coup tout a disparu dans son fondement dans un grand cri primaire de Jim. La suite était géniale, il se retirait un peu, le ventre se libérait un peu mais d’un coup il était renvoyé en avant. Sans se fatiguer Hans limait Jim qui a bavé avant de ne plus se retenir et de pisser et jouir en même temps sur le sol en béton. Hans a limé encore avant de se retirer pour jouir sur son dos. Ce devait être Hans le dernier qui m’avait pris le cul.

Will s’était collé à Alain et moi dans Bruno. Une odeur de sexe et de cul embaumait la salle, excitante, autant que les cris de Jim.

-Alain doit surement connaître un salon d’épilation gay à Paris et tu iras à Paris te faire épiler ton cul comme ta queue. Ici et dans la boîte les gays sont tous glabre du pubis aux fesses. Ce devrait être rapide et tu feras un selfie que je vérifie, au plus tard mardi. En attendant va te raffermir le trou à la rivière. Et toi Will laisse Alain ou va l’aider à la cuisine. On a à causer moi, Éric, Jim à son retour et Hans. En revenant sort une bouteille de champagne.

On a attendu en se reposant un peu son retour avec la bouteille et les verres.
-Bon, nous voilà entre nous. Je repars ce soir et j’ai des trucs à mettre au point. Jim a déjà l’entretien et la surveillance de la propriété et je suggère qu’il prenne un chien., Assez imposant pour en imposer et affectueux avec les hommes. Tu devras quand tu es ici, évoluer en jock cul libre la journée Je pense avoir été clair. Si tu as un mec qui sonne par trois fois tu lui ouvres la porte.
Hans va rentrer à Paris avec Alain et Will. Je passerais au siège parisien pour le connaître avant d’aller à l’aéroport d’hélicoptère ou je prendrais le vol pour Munich.
Hans sera votre garde et nuit et jour sauf cas de travail urgent vous serez à ses ordres sexuels.
Ce ne sera pas facile pour vous mais vous aurez le cul bien accessible.
Je l’ai moi-même expérimenté et n’attendez pas de douceur.
Jim a eu un sursaut.

-Tout le temps à sa disposition ?

-Oui comme vous tous même Éric. Ce sera en plus de votre travail mais en plus agréable je pense. Will va avoir pas mal de travail si comme je le souhaite il prenne la direction de la succursale de Paris à la place d’Éric et ne va surement plus avoir beaucoup de temps à consacrer au sexe Il se rattrapera ici en fin de semaine. En attendant, trinquons il paraît que le champage aide côté sexuel.
Avant de partir. Sachez tous qu’Éric est et reste mon seul amour et mes frasques comme les siennes ne sont que l’assouvissement de nos sentiments animaux comme tous. Maintenant je vous laisse manger entre vous, je pars avec Éric. J’ai tant de choses à voir avant de repartir.

On allait s’habiller quand il m’a demandé de mettre le slip acheté par Frank. J’ai dû retourner dans le coffre et le ramener pour l’enfiler.
Il a passé la main intérieur et extérieur avant de prendre la peau de mon sac et faire passer mes boules
.
-Tu es superbe comme ça. Juste un peu de mal pour t’assoir non ?

Un peu oui car l’anneau est situé assez bas et que je m’assois sur mes couilles.


-Tel que je te connais tu dois apprécier de les sentir écrasées.

Oui je bande à chaque fois quand je m’assois et les petites pointes intérieures n’arrange rien alors je bave.

-Tu es vraiment comme je te rêvais et celui que je voulais. Tu me feras faire le même que tu m’enverras, je le porterais en pensant à toi. Aller continue de t’habiller je veux voir l’entrepôt et les bureaux. Tu m’emmèneras ensuite à l’héliport.

On a pris ma voiture laissant celle de location pour rentrer à ceux qui restaient.

L’après-midi la route était fluide et on est passé au port de Gennevilliers ou, reconnu par le gardien on est entré. C’était désert à l’extérieur et on est allé voir les palettes. L’intérieur était immense et à moitié vide, le flot des livraisons reprendrait lundi comme celui des arrivages par péniche.

On est allé ensuite au siège ou on est descendu au sous-sol. Bruno tenait à voir les passages dans le béton vers les lieux ou Frank m’avait amené. Il avait les codes des serrures et dans la lumière tout était différent et immense. Une vraie cathédrale souterraine. J’ai pu voir là où j’avais subi sous contrôle les différents pénis.

-On monte chez toi ? Je veux te montrer un truc fabriqué pour des hommes comme nous en vidéo. J’ai donné les codes des caves à Hans.

Dans l’ascenseur il m’a peloté les couilles à travers le pantalon et une fois à l’appartement vide il a allumé l’ordi branché sur une énorme télévision. La clarté des images ne souffrait pas des agrandissements et j’ai vu deux barres fermées d’un côté par une charnière et un mec dont je ne voyais que le dos s’asseyant, les barres coinçant la base des boules. Je ne voyais que la cravache s’abattre sur les fesses. On s’était mis plus à l’aise. Bruno nu et moi en slip cuir, couilles à l’air, bandant dans le cuir.
Je n’avais pas remarqué au début mais la barre était plus épaisse en se rapprochant de la charnière. Le mec avait les mains attachées au cou et ne pouvait que se pencher pour avancer à chaque coup de cravache. Etirant un peu plus à chaque avancée ses couilles. Et s’ouvrant bien involontairement les fesses, exhibant son anus qui palpitait.

-Pas mal non ? Hans a fait fabriquer cet engin à Munich et va en faire faire le même ici. Regarde ensuite comme le mec se fait chevaucher et avance encore entre les barres lubrifiées par sa bave. Regarde sous cet angle la longueur qu’atteint le scrotum et le final qui arrive.

Il se branlait en me pelotant les couilles.

-Vient dans ta chambre j’ai besoin de plus que ma main, met toi à quatre pattes ce ne sera pas long mais j’aime trop ton cul pour perdre ma semence ailleurs, Je peux me retenir mais là je suis à bout. Et je devine que ton cul doit être humide.

Il a descendu le zip entre mes fesses et s’est enfoncé avec un soupir d’aise. J’avais moi aussi terriblement envie de lui et ma bite gorgée de sang n’a pas tenue plus que la sienne J’ai joui dans mon slip contre les petites pointes.

Tu as vu l’heure ? Passe un jogging, je m’habille et tu m’emmènes à l’héliport. La prochaine fois c’est toi qui viendras me voir par hélico. C’est sympa et rapide.

Mais je suis trempé dans le slip !

-Et alors tu vas sentir ton sperme et tu laveras le slip en rentrant. Fais le nu. Ce serait marrant que Hans te voie nu en arrivant avec les autres. Tu nettoieras tes fesses mais pas l’intérieur. Il glissera dans mon sperme.

Il tripotait entre mes cuisses mes boules à travers le tissu.

Je vais être encore plus trempé et ça va traverser le jogging.

-Bah tu m’accompagne jusqu’à l’hélico à pied et tu repars.

Les gens vont bien voir que je mouille entre les cuisses !

-Et alors ? Moi j’aurais le plaisir de te voir t’exhiber. Aller gare toi là, il faut que le pilote vienne me chercher. Viens dans le hall.

Hall moderne où une hôtesse nous a demandé pour quel vol nous allions.

-Munich et le pilote est prévenu. Mon ami reste et repartira avec la voiture.

Elle m’a jeté un coup d’œil, me jugeant d’après mes vêtements et mon odeur forte d’après l’amour.

-Je préviens le pilote si vous voulez bien patienter.

-Pas de problème.

Elle est repartie parler dans un micro tout en me fixant et a discuté après avec des jeunes de l’entretien des hélicos. L’un d’eux a eu un sourire et il m’avait visiblement reconnu par la photo des canettes et les affiches. Le pilote est venu chercher Bruno qui sans complexe m’a embrassé en me laissant. Je l’ai vu par la baie vitrée monter dans un hélico, s’attacher, et la porte fermée a esquissé un sourire et moteur démarré l’hélice a tourné et il est parti. Je me suis retourné pour aller à la voiture tombant nez à nez avec le mec tout sourire.

-Bonjour, c’est vous le mec de la bière de ceux qui en ont ?

Oui, je suis le directeur France.

-Et…C’est votre ami qui s’envole ?

Le directeur à Munich oui, mais il faut que je retourne au siège je suis attendu.

-J’aime bien votre slogan et ne bois plus que ça, au goulot.

Il me fixait et j’ai compris ce qu’il attendait. Il y a des toilettes ici ?

-Bien sûr, même pour handicapés, plus grandes. Venez, je vous guide.

De dos je voyais son petit cul moulé dans son jean remuer, imaginant déjà ce qu’il devait y avoir dedans.
Dès l’entrée dans la toilette handicapée il s’est retourné et penché sur mon jogging l’a malaxé des lèvres et une fois baissé il a eu la surprise de voir le slip en cuir avec les couilles dehors.

Puisque t’en a baissé mon slip il pue mon sperme, tu dois aimer. Je bandais de la tronche de ce petit jeune devant ma queue. Aller gamin, apprends à sucer les teubs qui viennent de jouir. Il a hésité un moment et a plongé bouche ouverte sa langue a tourné autour m’excitant encore plus. Si tu baissais ton froc que je voie si en effet tu en as ?
Il y avait de la place et il a tout ôté, jean et chemisette, slip, sans hésiter. J’ai palpé ses boules. Jolies pas énorme mais belles. Il bandait, nu avec l’ardeur d’un môme qui attend.

T’es puceau du cul ?

-Par une bite oui mais pas par les godes que j’enfile moi-même.

Alors tourne toi, ma queue est plus chaude qu’un gode, appuies toi sur la cuvette. J’ai salivé et craché sur son trou que j’ai doigté, en effet il était souple et accueillant et je n’ai pas hésité à le prendre.

Il ne pouvait pas crier les toilettes étaient publiques et s’est mordu les lèvres tout le temps que je l’ai limé. Je ne me suis pas retenu et me suis fini dans son cul. Restant dans ses fesses je lui ai ordonné de se branler et rapidement il a expulsé son sperme dans la cuvette. Je lui ai fait nettoyer ma queue ce qu’il a fait sans hésiter. Il s’est essuyé avec le papier toilette et s’est redressé.

-Dites, monsieur, je suis ici en CDD et je vais finir sous peu. Vous n’avez pas besoin de quelqu’un à l’accueil au siège ?

Si tu viens tu seras bouffé par mes potes et ton cul sera un grand ouvert.

-Je vous ai prouvé que j’en avais. Non ?

Oui en effet plutôt direct d’ailleurs et ça ne m’a pas déplu. Quand tu fini ton CDD passe à l’accueil et demande-moi. Éric. Et toi ? Il a lu sur la médaille du collier que je portais.

-Clebs si ça vous plait et pour me situer. Après vous me trouverez un nom.

Ok il va-t’en falloir si tu restes chez nous. A plus. Je suis sorti laissant volontairement la porte ouverte et j’ai rejoint ma voiture pour rentrer aux bureaux. En arrivant j’ai vu la voiture des autres, garée et je suis monté à ma chambre me changer et me doucher.
De retour à l’accueil je suis passé devant le petit bar réservé aux gros acheteurs et aux futurs, généralement propriétaires de plusieurs brasseries et j’ai pu discuter un moment avec eux.
Pour la plupart, pas gays mais profitant de la vague LGBT, accueillant tout le monde, assurant un brassage de population entre gays et hétéros.

-Sacré idée que vous avez eu et quelle pub d’attaque. On me demande de plus en plus souvent votre bière.

J’ai eu un sourire.

Vous en profitez autant sinon plus que nous.

-C’est vrai, en plus il faut avouer que même pour un hétéro elle me fait bander.

Il va falloir changer la pub alors ?

-Non ! Nous aussi on en a et il rigolé.

J’ai vu Hans arriver et me faire signe.

Il y a un problème ?

-Non, pas si tu me suis.

J’ai eu un frémissement et me suis excusé vis-à-vis de mon interlocuteur. Hans sans m’attendre était monté dans mon bureau.

-Fous toi à poil salope.

Je savais ce qu’avait dit Bruno et je n’ai pas attendu pour tout ôter.

-Tourne toi et montre tes fesses, penché et pieds écartés.

Il y a longtemps que je n’avais plus de pudeur et j’ai montré mon cul. Il est passé devant moi, grosse teub molle.

-Attrape la de la bouche et suce.

En tournant la tête de côté j’ai pu choper le prépuce et le lécher, langue pointée à l’intérieur. Il a grossi au point d’envahir toute ma bouche et j’ai respiré fort par le nez. Sans me retenir quand il a tenté un va et vient mes yeux m’ont piqué au point de presque chialer.

-Tu devras t’habituer progressivement mais t’as assez bavé et ton cul, je vais l’ouvrir et en faire un garage.

Il est passé derrière moi et a frotté le gland décalotté dans ma raie, poussant dans le trou peu à peu. J’ai dû m’appuyer au bureau pour me retenir et relâcher mes muscles pour qu’il me pénètre. Il était vraiment énorme. Un vrai taurillon. Il était collé à mes fesses quand sans prévenir Will est entré, restant bloqué sur place de surprise

-Reste la petit, regarde ton patron se faire mettre et couiner comme une salope tu n’auras pas de honte quand ce sera ton tour.

Il a refermé la porte et s’est appuyé dessus dégageant sa queue pour se branler. Hans a eu un ricanement.

Petite bite, ça me plait tu dois avoir un beau cul à bien défoncer.

Tout en parlant il allait et venait dans mon cul, lentement. Je sentais son énorme gland frotter en moi.

-Bientôt je te prendrais mais pas de cette façon. Je veux vraiment que Bruno soit fier de mon travail et je te pénétrerais et me retirerais à chaque coup de bite. Au début tu en chialeras mais après tu réclameras de la queue. Toi le voyeur ce sera pareil. Tu auras le cul comme le vagin d’une chienne. Prés pour tout.

Rien que d’y penser Will a eu un énorme spasme et creusant les reins a giclé devant lui.

-Tu vois l’effet quand tu penses à ma queue et que tu l’imagines te ramoner le fion ! Regarde ! Tu as giclé sur le bureau, lèche ton jus et fais ça bien.

En matant Will j’ai senti sa queue grossir et un jet puissant, comme une purge, me remplir les fesses. Il s’est retiré plus facilement, la bite luisante.

-Cette nuit, je te rejoindrais dans ta piaule Will. Arrange-toi pour avoir le cul propre.

Il a remonté son pantalon et est sorti.

-La vache patron avec lui ce ne sera pas du gâteau. Vous voulez de l’aide pour aller à la douche ?

Viens toujours oui, moi je n’ai pas joui et toi si. Passe-moi la boîte de mouchoir que j’essuie mon cul et ne me regarde pas comme ça t’es encore que le remplaçant prévu si tu bosses bien.

Je sais patron mais je matais votre anus se contracter et avoir de petits spasmes éjectant la purée qu’il a envoyé.

Il m’a aidé à marcher jusqu’à la douche ou j’ai pu me laver et je l’ai fait accroupir devant moi.

Suce et à fond !

Il n’a pas hésité une seconde.

La prochaine fois qu’il me prendra je te prendrais en même temps. Pour bien lui montrer qui était le patron je me suis reculé pour gicler sur son visage lui remettant ma queue dans la bouche pour la nettoyer.
Reste sous la douche te nettoyer je me sèche et m’habille.

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