Ma vie 21
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 21
Pendant quelques jours je n’ai eu aucune nouvelle de Hans, surement occupé par d’autres culs ou bouches. A la fin du mois Will m’a amené le jeune mec de l’aéroport.
-Il dit s’appeler clebs et veux vous voir.
Oui je le connais reste là Will et toi le clebs tu te fous totalement nu.
Il a eu un regard vers Will puis s’est décidé et à tout ôter sous le regard amusé de Will.
-Je ne sais pas où tu l’as trouvé mais il est chaud celui-là.
Toujours décidé à n’être qu’une chienne ?
-Près à tout pour un mâle, un qui en a quoi.
Laisse tout ici, prends seulement tes papiers et va voir Kurt à côté qu’il te mette dans les employés et tu reviens.
Nu ?
Evidemment, tu n’es pas un caniche qui a besoin d’un manteau. Lui s’il te bouffe ce sera la queue.
Il s’est penché sur ses fringues pour sortir sa carte d’identité.
Montre-moi avant. Tu mériterais que je te vire, La dernière fois tu n’étais pas majeure lopette.
Il a baissé la tête.
-Oui mais j’ai aimé et vous aussi et maintenant je le suis.
File voir Kurt ! Il a remué son petit cul en sortant, mignon comme tout.
-C’est qui ce mec m’a demandé Will.
Le futur garçon de l’accueil. Je me le réserve pour le moment. Je préviendrais Bruno que celui-là m’est réservé et que Hans n’y touche pas. J’ai envie de me défouler les nerfs sur ce gamin, je verrais vraiment ce qu’il a dans le ventre. Il a des couilles ok mais je veux bien plus de lui.
-Hum je sens les cris et les pleurs.
Qui est à l’accueil en ce moment ?
-Une nana qui prend aussi les appels et oriente selon les demandes.
Ok elle y reste le temps que le clebs sache ce qu’on attend de lui et on la mettra au bar pour les bons clients. Laisse-moi et laisse aussi la porte ouverte. Au fait comment s’’est passé la nuit pour Kurt ?
-Pas trop mal il a des valises comme des malles sous les yeux. Il est sorti en rigolant.
Peu après le clebs est revenu et a attendu laissant la porte ouverte. Je lisais un rapport sur mon ordi. Le matant par-dessus l’ordi d’un œil. Il l’a remarqué et sa bite s’est déployée. J’ai refermé l’ordi.
Suis-moi on monte sur la terrasse.
Il n’a rien dit et m’a suivi vers l’ascenseur. Une fois dehors, j’ai pris ses couilles dans la main et j’ai serré. J’ai vu ses yeux s’agrandir et se mouiller mais il attendait, confiant en moi.
Ecoute bien, dans cette entreprise tu es à mon entière disposition, ça comprend tes couilles, ta queue, ton cul et tout le reste, tétons compris. Si je te demande quoi que ce soit tu obéis. C’est bien ce que tu voulais ?
-J’en avais très envie oui et je serais votre serviteur, esclave si vous préférez. J’ai la mentalité faites pour ça.
Mets-toi à genoux et va contre la rambarde. J’ai pris une cravache posée sur un petit placard. Je sais que le gazon artificielle pique les genoux mais avance et passe la tête entre les barreaux assez bas, regarde la rue. J’ai passé les menottes à chaque poignet et à un barreau différent pour le tenir bras écarté. J’ai fini par lui passer un collier que j’ai fixé lui à un des barreaux horizontaux. Cambre-toi bien. J’ai passé un nœud coulant autour de ses couilles et l’ai fixé au sol. Il bandait dur et a été forcé de se cambrer encore plus pour ne pas râper le gland sur le gazon.
Tu vois du monde dans la rue ?
-Oui m…aître.
Le panneau publicitaire n’est pas encore allumé mais ne va pas tarder et on verra ta tête. J’ai passé doucement la tige de ma cravache entre ses fesses, le petit bout de cuir frottant à peine sur le gland tendu. Il a commencé à respirer assez fort. Le premier coup entre son a anus et ses couilles l’a fait chouiner pourtant je n’avais pas tapé fort. Le deuxième sur ses fesses a été plus fort et il a tenté de rentrer les fesses vers l’avant mais retenu par les couilles. J’ai vu son gland baver un peu ce qui lui a valu un coup dessus.
Tu aimes ça petite chienne ?
J’ai entendu un mot assez bas.
Dis le plus fort !
-Oui maître j’aime.
Bien la vraie correction va commencer, le panneau s’est allumé. Je ne veux entendre que des oui, encore, merci et maître. J’ai alterné les coups sur les reins et sur les fesses, quelques-uns touchant les couilles. C’était bandant de le voir creuser les reins sans savoir ou le coup allait arriver. Son anus à chaque fois se serrait sur le coup mais palpitait entre. Lui criait des OUI, des ENCORE et des OH MAÎTRE. J’entendais des mecs crier et applaudir dans la rue et je me suis relevé pour le prendre sans avertissement.
Je l’ai entendu couiner à l’intromission puis haleter de plus en plus fort au rythme de mes coups de reins. On ne pouvait que deviner de la rue au vu des mouvements ce qui se passait. Appuyé à ma rambarde, je voyais les gens en bas, lever la tête en riant. Sans tenir compte de lui j’ai eu la meilleure jouissance de ma vie à part celle avec Bruno. En me retirant j’ai vu des traces de sperme sur la moquette synthétique, ma chienne avait joui
Je l’ai détaché mettant une laisse au collier.
Tu vois ce que tu as fait ? La prochaine fois tu te retiendras en attendant lèche ton jus. Penché en avant sur les coudes, montrant son cul d’où sortait mon sperme il a léché, bavant de la queue. Une fois fini il a levé la tête vers moi.
-Merci maître même dans mes rêves je n’avais jamais imaginé ça.
Ce n’est pas fini. J’ai tiré sur la laisse jusqu’à un fauteuil ou je me suis assis. J’ai levé un pied devant son visage. Lèche le cuir de mon tennis et une fois propre enlève le et lèche ma chaussette.
Il était tel que moi que le voulais et a léché docilement J’ai passé l’autre pied entre ses fesses. Ce petit clebs bandait et bavait encore. Une fois la chaussette léchée je lui ai fait retirer avec les dents et mis les orteils dans la bouche. Suce les uns par un comme des petites bites avant de passer à l’autre tennis tachée de mon sperme et de sa bave qu’il a dû traiter comme le premier pied. J’ai tiré sur la laisse pour amener sa tête sur mon sexe bandé, gorgé de sang.
Tu apprécies j’espère !
Oui maître.
Remercie ce qui t’as fait du bien ! Commence par les boules et remonte lentement en me regardant. Lèche et fini en suçant mais ne jouis pas !
Je lisais dans ses yeux le plaisir qu’il prenait à rendre service.
Demain Alain que tu ne connais pas encore te trouveras un institut pour un épilage total sauf ta tête. Il doit y en avoir dans le coin. J’ai retenu de la main sa tête sur ma queue les temps de jouir et qu’il avale.
Mets-toi sur le dos et branle toi en me regardant. Par la suite tu ne jouiras pas aussi librement.
-Vous déciderez maître.
Il a été secoué de spasme et giclé haut sur sa poitrine.
Bien tu feras un parfait petit bâtard personnel. Dans le coin de la terrasse il y a un jet pour te laver et une canule pour nettoyer l’intérieur de ton cul. Va, je lâche la laisse mais te regarde. Je me suis habillé en le matant en détail. Juste quelques poils sur la poitrine et un filet jusqu’au pubis touffu. Le devant des cuisses poilues et de dos, des poils du début de la raie des fesses et à l’arrière du haut des cuisses.
Pour te sécher tu as une serviette sur la rambarde. J’ai repris la laisse pour le guider vers l’ascenseur et on est descendu à l’étage de mon bureau.
Prends te fringues dans les bras et on remonte aux appartements. Il marchait serrant les fesses, on est passé par l’escalier. De dos ses petites fesses qui remuaient étaient une invite. Dans ma chambre je lui au fait déposer les fringues sur le lit.
Comme j’aime que tu sois serré tu n’auras pas de plug mais un string ficelle remontant haut sur les hanches. Et comme tu ne dois pas te branler en attendant de trouver une cage adaptée à ta queue Je vais t’en poser une où tu pourras bander mais incurvé vers le bas. Va te passer la queue sous l’eau froide et revient.
J’ai mis un peu de gras dans le tube chromé et à son retour j’ai fait passer son sac de couilles et sa queue dans un anneau et guidé sa queue décalottée dans le tube. Refermant le tout par un cadenas. L’extrémité libre, j‘ai passé le doigt et frotté le bout du gland dans le tube. Il s’est tortillé devenant tout rouge.
Tu voudrais bander ?
-Oui maître mais je ne peux pas, enfin si mais ça fait mal de gonfler à l’envers.
Il faudra t’y habituer. Passe le string et remonte-le sur les hanches. Bien. Maintenant ce jean taille basse. Et le teeshirt court.
Tu fais un bâtard présentable. Je vais te montrer ou tu vas bosser. Dans ascenseur j’ai ôté la laisse laissant le collier. Cette fois on est descendu niveau de la rue dans le couloir entre le bar pour les acheteurs et la réception. Avance. On est passé derrière le bar ou les exclamations ont été nombreuses. Style, tu nous avais caché ça des sifflets et des mots tels que lopette, chienne.
Il était tout rouge mais je suis sur qu’il bandait et on est arrivé à la réception.
Voilà où tu vas bosser pour le moment. La nana en place lui a indiqué un tabouret. Dans son dos une glace permettait de voir le haut du string et la ficelle qui disparaissait. Tu lui explique et tu lui indique aussi en passant qui fait quoi ici. D’accord Elise ?
-Oui patron. Elle m‘a jeté un coup d’œil. Il est bon ?
J’ai souri. Tu n’as pas entendu des cris et des applaudissements dans la rue ?
-Si je n’ai pas osé sortir.
Tu as bien fait, ils étaient pour lui. Sur la terrasse, enfin plutôt contre.
-Il dit s’appeler clebs et veux vous voir.
Oui je le connais reste là Will et toi le clebs tu te fous totalement nu.
Il a eu un regard vers Will puis s’est décidé et à tout ôter sous le regard amusé de Will.
-Je ne sais pas où tu l’as trouvé mais il est chaud celui-là.
Toujours décidé à n’être qu’une chienne ?
-Près à tout pour un mâle, un qui en a quoi.
Laisse tout ici, prends seulement tes papiers et va voir Kurt à côté qu’il te mette dans les employés et tu reviens.
Nu ?
Evidemment, tu n’es pas un caniche qui a besoin d’un manteau. Lui s’il te bouffe ce sera la queue.
Il s’est penché sur ses fringues pour sortir sa carte d’identité.
Montre-moi avant. Tu mériterais que je te vire, La dernière fois tu n’étais pas majeure lopette.
Il a baissé la tête.
-Oui mais j’ai aimé et vous aussi et maintenant je le suis.
File voir Kurt ! Il a remué son petit cul en sortant, mignon comme tout.
-C’est qui ce mec m’a demandé Will.
Le futur garçon de l’accueil. Je me le réserve pour le moment. Je préviendrais Bruno que celui-là m’est réservé et que Hans n’y touche pas. J’ai envie de me défouler les nerfs sur ce gamin, je verrais vraiment ce qu’il a dans le ventre. Il a des couilles ok mais je veux bien plus de lui.
-Hum je sens les cris et les pleurs.
Qui est à l’accueil en ce moment ?
-Une nana qui prend aussi les appels et oriente selon les demandes.
Ok elle y reste le temps que le clebs sache ce qu’on attend de lui et on la mettra au bar pour les bons clients. Laisse-moi et laisse aussi la porte ouverte. Au fait comment s’’est passé la nuit pour Kurt ?
-Pas trop mal il a des valises comme des malles sous les yeux. Il est sorti en rigolant.
Peu après le clebs est revenu et a attendu laissant la porte ouverte. Je lisais un rapport sur mon ordi. Le matant par-dessus l’ordi d’un œil. Il l’a remarqué et sa bite s’est déployée. J’ai refermé l’ordi.
Suis-moi on monte sur la terrasse.
Il n’a rien dit et m’a suivi vers l’ascenseur. Une fois dehors, j’ai pris ses couilles dans la main et j’ai serré. J’ai vu ses yeux s’agrandir et se mouiller mais il attendait, confiant en moi.
Ecoute bien, dans cette entreprise tu es à mon entière disposition, ça comprend tes couilles, ta queue, ton cul et tout le reste, tétons compris. Si je te demande quoi que ce soit tu obéis. C’est bien ce que tu voulais ?
-J’en avais très envie oui et je serais votre serviteur, esclave si vous préférez. J’ai la mentalité faites pour ça.
Mets-toi à genoux et va contre la rambarde. J’ai pris une cravache posée sur un petit placard. Je sais que le gazon artificielle pique les genoux mais avance et passe la tête entre les barreaux assez bas, regarde la rue. J’ai passé les menottes à chaque poignet et à un barreau différent pour le tenir bras écarté. J’ai fini par lui passer un collier que j’ai fixé lui à un des barreaux horizontaux. Cambre-toi bien. J’ai passé un nœud coulant autour de ses couilles et l’ai fixé au sol. Il bandait dur et a été forcé de se cambrer encore plus pour ne pas râper le gland sur le gazon.
Tu vois du monde dans la rue ?
-Oui m…aître.
Le panneau publicitaire n’est pas encore allumé mais ne va pas tarder et on verra ta tête. J’ai passé doucement la tige de ma cravache entre ses fesses, le petit bout de cuir frottant à peine sur le gland tendu. Il a commencé à respirer assez fort. Le premier coup entre son a anus et ses couilles l’a fait chouiner pourtant je n’avais pas tapé fort. Le deuxième sur ses fesses a été plus fort et il a tenté de rentrer les fesses vers l’avant mais retenu par les couilles. J’ai vu son gland baver un peu ce qui lui a valu un coup dessus.
Tu aimes ça petite chienne ?
J’ai entendu un mot assez bas.
Dis le plus fort !
-Oui maître j’aime.
Bien la vraie correction va commencer, le panneau s’est allumé. Je ne veux entendre que des oui, encore, merci et maître. J’ai alterné les coups sur les reins et sur les fesses, quelques-uns touchant les couilles. C’était bandant de le voir creuser les reins sans savoir ou le coup allait arriver. Son anus à chaque fois se serrait sur le coup mais palpitait entre. Lui criait des OUI, des ENCORE et des OH MAÎTRE. J’entendais des mecs crier et applaudir dans la rue et je me suis relevé pour le prendre sans avertissement.
Je l’ai entendu couiner à l’intromission puis haleter de plus en plus fort au rythme de mes coups de reins. On ne pouvait que deviner de la rue au vu des mouvements ce qui se passait. Appuyé à ma rambarde, je voyais les gens en bas, lever la tête en riant. Sans tenir compte de lui j’ai eu la meilleure jouissance de ma vie à part celle avec Bruno. En me retirant j’ai vu des traces de sperme sur la moquette synthétique, ma chienne avait joui
Je l’ai détaché mettant une laisse au collier.
Tu vois ce que tu as fait ? La prochaine fois tu te retiendras en attendant lèche ton jus. Penché en avant sur les coudes, montrant son cul d’où sortait mon sperme il a léché, bavant de la queue. Une fois fini il a levé la tête vers moi.
-Merci maître même dans mes rêves je n’avais jamais imaginé ça.
Ce n’est pas fini. J’ai tiré sur la laisse jusqu’à un fauteuil ou je me suis assis. J’ai levé un pied devant son visage. Lèche le cuir de mon tennis et une fois propre enlève le et lèche ma chaussette.
Il était tel que moi que le voulais et a léché docilement J’ai passé l’autre pied entre ses fesses. Ce petit clebs bandait et bavait encore. Une fois la chaussette léchée je lui ai fait retirer avec les dents et mis les orteils dans la bouche. Suce les uns par un comme des petites bites avant de passer à l’autre tennis tachée de mon sperme et de sa bave qu’il a dû traiter comme le premier pied. J’ai tiré sur la laisse pour amener sa tête sur mon sexe bandé, gorgé de sang.
Tu apprécies j’espère !
Oui maître.
Remercie ce qui t’as fait du bien ! Commence par les boules et remonte lentement en me regardant. Lèche et fini en suçant mais ne jouis pas !
Je lisais dans ses yeux le plaisir qu’il prenait à rendre service.
Demain Alain que tu ne connais pas encore te trouveras un institut pour un épilage total sauf ta tête. Il doit y en avoir dans le coin. J’ai retenu de la main sa tête sur ma queue les temps de jouir et qu’il avale.
Mets-toi sur le dos et branle toi en me regardant. Par la suite tu ne jouiras pas aussi librement.
-Vous déciderez maître.
Il a été secoué de spasme et giclé haut sur sa poitrine.
Bien tu feras un parfait petit bâtard personnel. Dans le coin de la terrasse il y a un jet pour te laver et une canule pour nettoyer l’intérieur de ton cul. Va, je lâche la laisse mais te regarde. Je me suis habillé en le matant en détail. Juste quelques poils sur la poitrine et un filet jusqu’au pubis touffu. Le devant des cuisses poilues et de dos, des poils du début de la raie des fesses et à l’arrière du haut des cuisses.
Pour te sécher tu as une serviette sur la rambarde. J’ai repris la laisse pour le guider vers l’ascenseur et on est descendu à l’étage de mon bureau.
Prends te fringues dans les bras et on remonte aux appartements. Il marchait serrant les fesses, on est passé par l’escalier. De dos ses petites fesses qui remuaient étaient une invite. Dans ma chambre je lui au fait déposer les fringues sur le lit.
Comme j’aime que tu sois serré tu n’auras pas de plug mais un string ficelle remontant haut sur les hanches. Et comme tu ne dois pas te branler en attendant de trouver une cage adaptée à ta queue Je vais t’en poser une où tu pourras bander mais incurvé vers le bas. Va te passer la queue sous l’eau froide et revient.
J’ai mis un peu de gras dans le tube chromé et à son retour j’ai fait passer son sac de couilles et sa queue dans un anneau et guidé sa queue décalottée dans le tube. Refermant le tout par un cadenas. L’extrémité libre, j‘ai passé le doigt et frotté le bout du gland dans le tube. Il s’est tortillé devenant tout rouge.
Tu voudrais bander ?
-Oui maître mais je ne peux pas, enfin si mais ça fait mal de gonfler à l’envers.
Il faudra t’y habituer. Passe le string et remonte-le sur les hanches. Bien. Maintenant ce jean taille basse. Et le teeshirt court.
Tu fais un bâtard présentable. Je vais te montrer ou tu vas bosser. Dans ascenseur j’ai ôté la laisse laissant le collier. Cette fois on est descendu niveau de la rue dans le couloir entre le bar pour les acheteurs et la réception. Avance. On est passé derrière le bar ou les exclamations ont été nombreuses. Style, tu nous avais caché ça des sifflets et des mots tels que lopette, chienne.
Il était tout rouge mais je suis sur qu’il bandait et on est arrivé à la réception.
Voilà où tu vas bosser pour le moment. La nana en place lui a indiqué un tabouret. Dans son dos une glace permettait de voir le haut du string et la ficelle qui disparaissait. Tu lui explique et tu lui indique aussi en passant qui fait quoi ici. D’accord Elise ?
-Oui patron. Elle m‘a jeté un coup d’œil. Il est bon ?
J’ai souri. Tu n’as pas entendu des cris et des applaudissements dans la rue ?
-Si je n’ai pas osé sortir.
Tu as bien fait, ils étaient pour lui. Sur la terrasse, enfin plutôt contre.
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