Ma vie 22 - histoire érotique

-Ah oui je devine et donc il va prendre ma place ?

Non mais je crois qu’il va y avoir de plus en plus de monde et tu seras seule quand j’aurais besoin de lui. C’est à dire souvent. Et pour tous y compris Hans, pas touche il est à moi.

-Je ferais passer la consigne.

Merci Elise. Je suis passé au bar discuter un peu avec les acheteurs du coin. Tenant de grosses brasseries dont pas mal dans le marais Ils savaient tout avant tout le monde mais ont été surpris par le clebs.

-D’où tu sors ce bel objet ?

Motus mais il adore être ce qu’il est et moi j’apprécie.

-On a vu ça dans la rue tu as fait un attroupement. Tu ne voyais pas sa tête mais nous si. Ses cris étaient certes de douleur mais son visage exprimait des sentiments différents.

Ce que vous n’avez pas vu ensuite m’a beaucoup plu aussi. Je vous laisse avec Alain j’ai encore du travail.
Je suis monté à mon bureau d’où j’ai téléphoné à Bruno.

Coucou amour, j’ai troué une perle.

-A quel point de vue ?

Un petit bâtard mignon comme tout et en plus il est soumis dans l’âme, enfin si l’âme est dans les fesses ou dans la bouche.
Je l’ai entendu rire.

-Il faut que tu me montre cette merveille. Il est où là ?

Je l’ai mis à l’accueil. Branche la cam tu devrais le voir.

-Ah oui ! Je comprends. Mignon en plus et avec la glace derrière je vois la ficelle du string.

Je te téléphone surtout pour que Hans n’y touche pas. Préviens-le, je me le réserve.

-Je ne sais pas qui est le plus cochon entre toi et moi. Je le préviens mais attends-toi à subir Hans en présence de ton bâtard. Il comprendra la différence entre un maître et un baiseur.

Je m’attendais à cette réponse et je le ferais tu sais bien que pour toi je fais tout.

-La prochaine fois amène le en venant à Munich.

J’ai prévu pour lui une séance d’épilation rapidement. Et je mettrais la cam ce soir dans ma chambre.

-Je me demande parfois qui est le plus salope de toi ou moi !

Ne cherche pas tu es un maître en salope et j’ai gagné sur ce coup-là.

-Alors tu vas me le prouver. Tu vas surement faire dormir ta merveille dans ta chambre et je ne te dis pas quand mais laisse la cam de ta chambre allumée pendant quelques jours. Je ne te dis pas quand mais Hans passera te voir le jour où je l’aurais décidé. Pas pour lui mais pour toi. Et je verrais vos réactions. Tu sauras aussi que je te vois te faire défoncer. Je suis sûr que tu en bandes ! Mais promis ton chien ne servira pas.

Tu as gagné, je bande oui et je ferais comme tu l’as décidé.

-Au fait je ne t’ai pas dit mais mon père a pris une participation sur un hélico avec notre logo sur la carlingue. Il est venu me le montrer, très classe, avec une cabine vitrée mais isolée phoniquement. Pas possible de le rater. J’ai fait faire une aire pour l’hélico derrière la brasserie de Munich.

Et les autres participants ?

-Ils l’utilisent beaucoup pour des vols avec leurs lopes mâles ou femelles. Pas discret mais au moins le ou la, sait ce qui l’attend en montant. En passant ils font de la pub pour notre bière.

Joli coup de pub.

-C’est tout mon père et je tiens de lui.

J’ai bien compris et j’aime autant tes vices qui vont très bien avec les miens.

-Aller bonne baise, moi je vais voir Klaus Je me suis bien fait à son gland de monstre.

Salut

C’est vrai que je bandais comme un dingue d’imaginer Hans me fourrer sa queue devant le chien. J’ai appelé le standard et demandé à Elise de m’envoyer son voisin.

-Je le fais tout de suite monsieur mais il s’appelle comment ?

Le seul nom qu’il a je lui ai donné : Chien.

-Parfaitement son look. Il est en route.

J’ai raccroché. Il a tout de suite été là frappant à ma porte.

J’ai demandé porte fermée, c’est toi le chien ?

-Oui maître.

Entre et referme la porte. Reste collée à elle, devant moi. C’est quoi la tache sur ton jean ?

-Euh Je pensais à tout ce que vous m’avez imposé et j’ai bavé, ça a dû traverser le string et le jean.
Donc rien que d’y penser tu aurais aimé bander.

-Oui mais j’aimais aussi savoir et sentir que je ne pourrais pas.

Baisse ton jean. Et approche avec la laisse qui est sur la table.
Le string moulait la cage et tendait le lycra. Plus près et à genoux que je fixe la laisse Regarde-moi et défait ma ceinture Ouvre ma braguette Je me suis soulevé un peu. Baisse mon jean, pose la main sur mon slip.
Raconte-moi tes débuts.

-Pas facile pour moi maître. Ils me regardaient tous avec des yeux lubriques, je n’ai vu la glace derrière moi qu’ensuite et j’ai compris qu’ils mataient la ficelle qui s’’enfonçait entre mes fesses et puis j’ai compris que vous vouliez qu‘ils me voient comme ça et je me suis cambré pour les allumer. Elise je crois, a saisi mon manège et m’a souri. Elle m’a dit qu’il allait y avoir plus de monde à la réception qu’au bar. Sans ceinture le jean baillait et on voyait la raie plus loin. Dès qu’un mec s’approchait de trop, elle disait que j’étais au patron. Ils me laissaient tranquille mais je devinais la bosse dans leurs pantalons.

Je suis resté tour le temps excité et vous voyez le résultat.

Tout en parlant il caressait ma bite à travers le slip et évidemment elle est devenue raide aux premiers mots.

-Vous vouliez que l’on me voie bien, c’est ça maître ?

Entre autres oui. Et ça t’as excité comme je l’attendais. Ôte ton string. Et va chercher la cravache sur le petit meuble. A genoux, remue des fesses. Donne-moi ton string. Nu et conscient que je voyais son anus dans les poils il a ramené la cravache dans les dents.
Avance le buste sur le lit sans que la cage ne le touche et creuse les reins.
Il a obéi, je voyais un filet de bave descendre de la cage. La peau de son dos juste en passant la main dessus a eu des frissons.
Tu as déjà vu des mecs se faire prendre ?

-Quelques fois oui maître. C’est excitant j’imagine pour les deux et ça l’était pour moi. Je me suis branlé sans qu’ils me voient.
J’ai donné quelques coups de cravache sur son dos pour le faire gémir et creuser un peu plus avant de frapper ses fesses.

Alors comme ça on mate les mecs se baiser !

-Oui. Aïe maître.

Je venais de donner un coup un peu bas qui a tapé sas couilles. J’ai laissé la cravache pour donner de petits coups avec la main ouverte sur ses boules. Comme il gémissait plus fort j’ai mis le string encore humide dans sa bouche et j’ai repris mes petits coups. Il grognait dans le bâillon et j’ai cessé. Redresse-toi, J’ai pincé un téton. Ses yeux se sont écarquillés. Et la cage a eu un sursaut. J’ai retiré le bâillon.

Tu es sensible des bouts de seins ?

-Oui mais je ne le savais pas.

Je l’ai laissé pour ouvrir un tiroir avec des pinces crocos reliées par une chaine
Mets les mains dans le dos. Je les ai menottées puis j’ai posé la première pince sans trop la serrer. Il a soufflé puis serré les dents et j’ai mis la deuxième.

-C’est douloureux maître.


J’ai souri et passé le doigt dans le tube de sa cage le retirant tout baveux.
Lèche ta bave sur mon droit et ne me dis pas que c’est douloureux.
Il l’a fait comme on lèche une bite avant de la sucer lentement.

Tu as envie de me sucer ?
J’ai vu ses yeux briller.

-Oui maître !