Ma vie 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 4
-Bon voyage messires ?
-Oui ce fut agréable et profitable. On ramène du nouveau personnel que tu devras mettre au courant des usages ici.
-Ce sera un plaisir. Sort de là toi. Vous lui avez donné un nom ?
-Il va prendre celui que portait le mec à qui on a rendu la liberté : Trou. Nous allons nous rafraîchir et nous changer. Montre-lui notre cheptel qu’il sache qu’il n’est pas le seul.
-Ce sera fait. Toi, suis moi Trou.
Après une autre porte, un jardin ou évoluait des jeunes, tous nus et sans poils qui m’ont jeté un coup d’œil et pour certains un sourire avec un clin d’œil.
-Je suppose que tu es une lopette pour être arrivé ici. Il m’a fait passer une porte, monter des escaliers avant d’arriver dans une salle où était déjà deux jeunes attachés, l’un avait un truc de dentiste qui lui tenait la mâchoire ouverte, les cuisses écartées et une barre qui je suppose se finissait par un plug enfoncé dans son anus. En face de lui un autre était bâillonné et bavait sur son menton. Queue raide il était secoué par des fils dont je devinais l’usage sans savoir où ils étaient reliés.
Le majordome m’a mis un collier au cou et m’a attaché à un anneau en hauteur avant de me relier les mains dans le dos avec les bracelets que je portais en arrivant.
-Remarque que ton camarade n’est maintenu que par une chaîne et peut t’approcher de très près il a une certaine liberté, sauf ses mains attachées au collier. Je vous laisse, j’ai à faire dans le château.
Il faisait frais dans la pièce mais rapidement le mec bâillonné est venu se coller à mes fesses me donnant un peu de sa chaleur. J’ai bien senti sa queue raide se frotter contre moi, cherchant ma rondelle. En même temps je percevais des picotements comme on en reçois en touchant une clôture électrique. Pour lui ce devait être bien pire.
Quand il m’a pénétré l’humidité de son gland a facilité le passage du courant me faisant couiner. Après un long moment où je me suis fait pénétrer et le majordome est revenu avec une sorte d’éprouvette lourde qu’il a fixé à mon sexe, la faisant pencher et cogner contre le poids fixé à mes couilles
-Vas-y Trou, laisse-toi aller, joui.
J’ai giclé comme rarement.
Il a ôté l’éprouvette pour traire (je ne vois pas d’autres mots convenant à ce qu’il faisait) le mec qui avait la bouche maintenue ouverte et joindre son jus au mien dans le tube en verre. C’est seulement à ce moment que j’ai vu que j’ai aperçu son sexe qui dépassait de ses chausses. Au repos il était imposant, penché comme il était pour traire je voyais son entrecuisse et ses couilles. Il a vérifié l’état du sexe du mec libre et mis des gants pour lui appliquer le même traitement.
-Bien, vous avez eu du rendement. Les messieurs seront contents. Je vais déposer ça au frigo et je reviens chercher Trou.
Même avec ce qui leur occupait la bouche j’ai entendu le rire des deux attachés comme moi.
De toutes façons je ne pouvais que subir et j’y prenais goût doucement. Il est revenu me chercher m’a détaché du plafond laissant mon collier en place et on a déambulé dans le château. La partie récente était aménagée avec goût, et la partie ancienne laissait en moi une impression de malaise. Par des trous ou des fenêtres anciennes je voyais un peu partout des jeunes comme moi occupés à entretenir les jardins ou de petits bâtiments. Tous étaient nus et sans poils. J’en ai vu se toucher sans gêne le sexe ou les fesses. Ils riaient.
On est entré enfin dans une salle médiévale ou était installée sous un spot une table avec des anneaux tout autour.
-Monte et allonge toi.
Il a attaché mes poignets à deux anneaux et a passé une large lanière sous mes côtes. Me laissant seul il a dû aller chercher mes maîtres. Revenus à trois et tous nus je n’ai pu qu’admirer la taille et la perfection de leur sexe presque similaire.
-Tu vas avoir le cul éclaté doucement, tu passeras par divers stades.
Le premier a enduit mon anus d’une crème et m’a relevé les cuisses assez haut. Mes fesses soulevées et vite clouées par la queue du mec qui m’a ramoné peu de temps. Je ne voyais pas mais l’autre, passé derrière a cherché un peu de place et s’est glissé à côté du premier.
J’ai apprécié la première pénétration mais gueulé comme un veau quand le deuxième a élargi en force mon anus. Le mec juste devant moi a souri en me voyant gueuler et a craché dans ma bouche ouverte.
-On a vu le plug que tu as porté et tu peux supporter deux queues et même trois je suis sûr.
Quand l’un limait, l’autre attendait et reprenait à la même cadence que son frère, copain, ami je ne sais pas mais mon cul était sensible au frottement et je ne savais plus trop ou j’en étais quand ils ont joui l’un après l’autre retirant d’un même mouvement leur deux glands J’ai encore gueulé mais différemment car dans le mouvement j’ai giclé sur mon ventre.
-Tu aimes ça comme une vraie femelle Trou. Tu vas avoir un compagnon qui sera à ta disposition pour TOUTES tes envies. Pendant un moment tu seras notre préféré et tu auras des avantages. Profite, on aime la nouveauté et tu ne dureras pas longtemps. Il a attaché deux rubans roses à une de mes chevilles. Les autres sauront que tu es assez ouvert pour deux queues. Ils ont le droit de se servir aussi de toi s’ils ont un ruban bleu. Tu vas aller ou on a besoin de toi.
J’ai été conduit au jardin où je devais arracher les pissenlits de la pelouse. Les autres ont commencé à me regarder. Moi je matais les chevilles le majordome m’a laissé près d’une jeune assez mignon pour ne pas dire craquant.
-Voilà ton compagnon. Il baissait les yeux, je me suis aperçu que mon sexe bavait encore. Il s’est de lui-même agenouillé pour nettoyer, allant jusqu’à passer la langue sous le prépuce pour bien faire. Il avait un seul ruban rose à a cheville, sans doute déjà enculé mais par une seule queue.
Ton nom c’est comment ?
-Pour le moment ils m’appellent Gamin. Vous n’avez rien de gravé sur vos anneaux ?
Non pas encore mais je ne pense pas que ça dure. J’ai une faim de loup. On mange quand ici ?
-Je ne sais pas personne n’a de montre mais il y a une sonnerie pour nous prévenir.
Mais j’ai faim moi !
-Si tu as faim viens te servir.
Un grand black avec une bite qui pendait presque aux genoux me fixait en riant. J’ai vu son ruban bleu mais même sans je crois que j’aurais voulu. Je me suis agenouillé pour téter le bout qui a vite grossit et relevé pour suivre. Le gland était comme lui. Tout en force et en raideur. Il me remplissait bien la bouche et ma langue avait peine à faire le tour dans la bouche. Il a fait durer le plaisir, se retenant visiblement pour jouir en me tenant la tête au fond de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer et les flots arrivaient saccadés directement envoyés au fond du gosier. Il devait aimer mes mouvements de gorge pour avaler car il a grogné et s’est retiré me laissant un peu respirer avant de se faire nettoyer la queue. A ce moment-là, la sonnerie a retenti.
-Juste à temps après l’apéritif tu auras faim.
Les tables disposées en U, peu larges, permettaient à tout un chacun de vois les chevilles et l’entre jambes de ceux installés en face. Les rubans bleus se trouvaient en face des rouges. Peu nombreux par rapport à nous les sans rubans encore étaient installés à côté.
Les remarques fusaient en tous sens et il régnait une ambiance bonne enfant. Le régime variait, les actifs avaient de la viande saignante et de notre côté c’était plus salade, carottes râpées, radis à volonté. Eux avaient un peu de vin nous de l’eau sauf moi qui en premier ai dû boire le résultat de la traite du matin. Ils ont tous fixé ma mine et pour ne pas avoir des sarcasmes j’ai avalé d’un coup me léchant les lèvres ensuite à la grande stupéfaction de certains.
J’avais repéré à un bout de la table un blondinet aux cheveux frisés, sans aucuns rubans et mignon comme un ange sexué. A force de le fixer il a levé la tête et m’a souri. J’en suis resté ahuri, béat. Ne sachant pas les us et coutumes avec ceux comme lui sans rubans.
J‘ai demandé à mon voisin de table comment ça se passait. Et j’ai vite compris que le pauvre si je le voulais devait passer des essais chez les maîtres. Sans aucun résultat acquis d’avance. Le repas fini on a eu un temps de repos où je me suis rapproché de lui.
J’ai envie de toi, comme actif ou comme passif.
Il a souri.
-J’avais remarqué tes coups d’œil et ton sexe qui soulevait le poids de tes couilles. Pour former un couple réel c’est impossible, on se doit de donner de sa personne ou de s’offrir mais j’ai autant envie que toi de te découvrir et je vais faire une demande aux maîtres. Je suis prêt à en subir les conséquences aussi dure qu’elles soient.
Ne fait rien d’irréparable, je les connais pour leur dureté. Quand il s’agit de sexe ils ne comprennent pas amour mais sexe. Et comme j’ai vu que tu ne portes aucuns rubans ils peuvent te faire mal.
-Je sais, j’ai déjà discuté avec des bleus et des rouges mais j’ai trop envie de te connaître et ni toi ni moi n’y pouvons rien sans passer par les maîtres.
En parlant je voyais bien qu’il avait envie sa belle queue de jeune était tendu et le gland dépassait du capuchon. Ses tétons, durs pointaient et ses lèvres entrouvertes laissaient voir ses dents parfaites et sa langue qui passait juste derrière.
Tu sais que je suis plutôt passif ?
-J’ai vu les rubans mais je suis bien sûr de te rendre aussi actif si je le veux. Je vais parler au majordome sans tarder. Je veux bien souffrir mais pas sans te connaître après.
Il n’a pas tardé et je l’ai vu discuter et le mec me regardait, l’air étonné.
-Trou ! Approche. Je viens d’avoir une demande surprenante de Bruno. Il souhaite être ton dominateur et que tu sois son esclave. Bien évidemment tu n’as rien à objecter. Il faut bien sûr que je parle aux deux maîtres. Il devra aussi faire ses preuves mais ça tu t’en doute et dans l’état où il est, il n’aura aucune peine à prendre qui lui sera désigné. En attendant je vous interdis de vous parler, j’aurais une réponse ce soir ou demain. Ne le touche pas mais suce-moi. Devant lui !
J’ai sucé ne pouvant qu’obéir, fermant les yeux et m’imaginant sucer Bruno. J’ai pris sa purée sur le visage, il s’était retiré juste à temps pour m’humilier devant Bruno. Il m’a regardé méprisant. Je vais voir ce que disent les maîtres, viens avec moi Bruno. Et toi tu suis pour qu’ils jugent. Ne te nettoie pas.
On est monté dans les étages nobles où ils prenaient un verre en matant les jeunes s’ébattre et plus, souvent bien plus.
-Alors Tom nous avons vu ce qui se passait mais pourquoi ?
-C’est simple mes maîtres, Bruno ici présent a demandé à avoir Trou comme esclave personnel.
-Bien. Je suppose que comme tu es venu librement chez nous tu as pu voir ce qu’était un esclave et que tu nous demande de te céder les droits que nous avons sur ce sujet ?
-Oui maîtres.
-Bien alors il te reste à payer pour le posséder. Tu en connais le prix ? Tu es près à cela ?
-Je le pense oui.
-Alors installe toi sur la table basse comme font les chiens, en levrette.
J’ai vu Bruno s’installer et de lui-même écarter ses fesses voyant son trou pour la première fois. Les maîtres ont dégagé leur sexe et il a sucé l’un après l’autre avant de se faire dépuceler par leur très belle bite. Il grognait mais ne gémissait pas, dents serrées. Il n’a pas dû être fécondé mais j’ai du moi aller lécher son anus rose ouvert.
-A toi Trou. Ce sera la dernière fois puisqu’après tu seras entièrement dépendant de Bruno Il s’est allongé à terre et je suis venu m’enfiler sur lui me collant à sa poitrine, offrant un peu de place pour le deuxième. A eux deux ils m’ont fait crier alternant les coups de reins, prenant le temps avant de se répandre en moi.
-Tom tu veilleras à redonner les vêtements de Bruno quant à celui-là, laisse-lui un pantalon de jogging et un débardeur ample avec des tennis sans lacets et raccompagne-les jusqu’au prochain croisement. Bruno a déjà signé la clause de discrétion et nous les libérons. Mais avant, approche Trou je vais fixer les anneaux prévus pour toi.
Il a tiré sur un des petits anneaux pour passer l’autre plus épais et plus lourd vissant l’embout jusqu’à le déformer et fait de même avec l’autre.
-Allez dégagez tous les deux. Tu feras mes amitiés à ton père Bruno.
Une fois dehors j’ai demandé à Tom une ceinture pour le jogging.
-Tu n’en avais pas en arrivant. Tu n’as qu’à le retenir de la main.
-Oui ce fut agréable et profitable. On ramène du nouveau personnel que tu devras mettre au courant des usages ici.
-Ce sera un plaisir. Sort de là toi. Vous lui avez donné un nom ?
-Il va prendre celui que portait le mec à qui on a rendu la liberté : Trou. Nous allons nous rafraîchir et nous changer. Montre-lui notre cheptel qu’il sache qu’il n’est pas le seul.
-Ce sera fait. Toi, suis moi Trou.
Après une autre porte, un jardin ou évoluait des jeunes, tous nus et sans poils qui m’ont jeté un coup d’œil et pour certains un sourire avec un clin d’œil.
-Je suppose que tu es une lopette pour être arrivé ici. Il m’a fait passer une porte, monter des escaliers avant d’arriver dans une salle où était déjà deux jeunes attachés, l’un avait un truc de dentiste qui lui tenait la mâchoire ouverte, les cuisses écartées et une barre qui je suppose se finissait par un plug enfoncé dans son anus. En face de lui un autre était bâillonné et bavait sur son menton. Queue raide il était secoué par des fils dont je devinais l’usage sans savoir où ils étaient reliés.
Le majordome m’a mis un collier au cou et m’a attaché à un anneau en hauteur avant de me relier les mains dans le dos avec les bracelets que je portais en arrivant.
-Remarque que ton camarade n’est maintenu que par une chaîne et peut t’approcher de très près il a une certaine liberté, sauf ses mains attachées au collier. Je vous laisse, j’ai à faire dans le château.
Il faisait frais dans la pièce mais rapidement le mec bâillonné est venu se coller à mes fesses me donnant un peu de sa chaleur. J’ai bien senti sa queue raide se frotter contre moi, cherchant ma rondelle. En même temps je percevais des picotements comme on en reçois en touchant une clôture électrique. Pour lui ce devait être bien pire.
Quand il m’a pénétré l’humidité de son gland a facilité le passage du courant me faisant couiner. Après un long moment où je me suis fait pénétrer et le majordome est revenu avec une sorte d’éprouvette lourde qu’il a fixé à mon sexe, la faisant pencher et cogner contre le poids fixé à mes couilles
-Vas-y Trou, laisse-toi aller, joui.
J’ai giclé comme rarement.
Il a ôté l’éprouvette pour traire (je ne vois pas d’autres mots convenant à ce qu’il faisait) le mec qui avait la bouche maintenue ouverte et joindre son jus au mien dans le tube en verre. C’est seulement à ce moment que j’ai vu que j’ai aperçu son sexe qui dépassait de ses chausses. Au repos il était imposant, penché comme il était pour traire je voyais son entrecuisse et ses couilles. Il a vérifié l’état du sexe du mec libre et mis des gants pour lui appliquer le même traitement.
-Bien, vous avez eu du rendement. Les messieurs seront contents. Je vais déposer ça au frigo et je reviens chercher Trou.
Même avec ce qui leur occupait la bouche j’ai entendu le rire des deux attachés comme moi.
De toutes façons je ne pouvais que subir et j’y prenais goût doucement. Il est revenu me chercher m’a détaché du plafond laissant mon collier en place et on a déambulé dans le château. La partie récente était aménagée avec goût, et la partie ancienne laissait en moi une impression de malaise. Par des trous ou des fenêtres anciennes je voyais un peu partout des jeunes comme moi occupés à entretenir les jardins ou de petits bâtiments. Tous étaient nus et sans poils. J’en ai vu se toucher sans gêne le sexe ou les fesses. Ils riaient.
On est entré enfin dans une salle médiévale ou était installée sous un spot une table avec des anneaux tout autour.
-Monte et allonge toi.
Il a attaché mes poignets à deux anneaux et a passé une large lanière sous mes côtes. Me laissant seul il a dû aller chercher mes maîtres. Revenus à trois et tous nus je n’ai pu qu’admirer la taille et la perfection de leur sexe presque similaire.
-Tu vas avoir le cul éclaté doucement, tu passeras par divers stades.
Le premier a enduit mon anus d’une crème et m’a relevé les cuisses assez haut. Mes fesses soulevées et vite clouées par la queue du mec qui m’a ramoné peu de temps. Je ne voyais pas mais l’autre, passé derrière a cherché un peu de place et s’est glissé à côté du premier.
J’ai apprécié la première pénétration mais gueulé comme un veau quand le deuxième a élargi en force mon anus. Le mec juste devant moi a souri en me voyant gueuler et a craché dans ma bouche ouverte.
-On a vu le plug que tu as porté et tu peux supporter deux queues et même trois je suis sûr.
Quand l’un limait, l’autre attendait et reprenait à la même cadence que son frère, copain, ami je ne sais pas mais mon cul était sensible au frottement et je ne savais plus trop ou j’en étais quand ils ont joui l’un après l’autre retirant d’un même mouvement leur deux glands J’ai encore gueulé mais différemment car dans le mouvement j’ai giclé sur mon ventre.
-Tu aimes ça comme une vraie femelle Trou. Tu vas avoir un compagnon qui sera à ta disposition pour TOUTES tes envies. Pendant un moment tu seras notre préféré et tu auras des avantages. Profite, on aime la nouveauté et tu ne dureras pas longtemps. Il a attaché deux rubans roses à une de mes chevilles. Les autres sauront que tu es assez ouvert pour deux queues. Ils ont le droit de se servir aussi de toi s’ils ont un ruban bleu. Tu vas aller ou on a besoin de toi.
J’ai été conduit au jardin où je devais arracher les pissenlits de la pelouse. Les autres ont commencé à me regarder. Moi je matais les chevilles le majordome m’a laissé près d’une jeune assez mignon pour ne pas dire craquant.
-Voilà ton compagnon. Il baissait les yeux, je me suis aperçu que mon sexe bavait encore. Il s’est de lui-même agenouillé pour nettoyer, allant jusqu’à passer la langue sous le prépuce pour bien faire. Il avait un seul ruban rose à a cheville, sans doute déjà enculé mais par une seule queue.
Ton nom c’est comment ?
-Pour le moment ils m’appellent Gamin. Vous n’avez rien de gravé sur vos anneaux ?
Non pas encore mais je ne pense pas que ça dure. J’ai une faim de loup. On mange quand ici ?
-Je ne sais pas personne n’a de montre mais il y a une sonnerie pour nous prévenir.
Mais j’ai faim moi !
-Si tu as faim viens te servir.
Un grand black avec une bite qui pendait presque aux genoux me fixait en riant. J’ai vu son ruban bleu mais même sans je crois que j’aurais voulu. Je me suis agenouillé pour téter le bout qui a vite grossit et relevé pour suivre. Le gland était comme lui. Tout en force et en raideur. Il me remplissait bien la bouche et ma langue avait peine à faire le tour dans la bouche. Il a fait durer le plaisir, se retenant visiblement pour jouir en me tenant la tête au fond de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer et les flots arrivaient saccadés directement envoyés au fond du gosier. Il devait aimer mes mouvements de gorge pour avaler car il a grogné et s’est retiré me laissant un peu respirer avant de se faire nettoyer la queue. A ce moment-là, la sonnerie a retenti.
-Juste à temps après l’apéritif tu auras faim.
Les tables disposées en U, peu larges, permettaient à tout un chacun de vois les chevilles et l’entre jambes de ceux installés en face. Les rubans bleus se trouvaient en face des rouges. Peu nombreux par rapport à nous les sans rubans encore étaient installés à côté.
Les remarques fusaient en tous sens et il régnait une ambiance bonne enfant. Le régime variait, les actifs avaient de la viande saignante et de notre côté c’était plus salade, carottes râpées, radis à volonté. Eux avaient un peu de vin nous de l’eau sauf moi qui en premier ai dû boire le résultat de la traite du matin. Ils ont tous fixé ma mine et pour ne pas avoir des sarcasmes j’ai avalé d’un coup me léchant les lèvres ensuite à la grande stupéfaction de certains.
J’avais repéré à un bout de la table un blondinet aux cheveux frisés, sans aucuns rubans et mignon comme un ange sexué. A force de le fixer il a levé la tête et m’a souri. J’en suis resté ahuri, béat. Ne sachant pas les us et coutumes avec ceux comme lui sans rubans.
J‘ai demandé à mon voisin de table comment ça se passait. Et j’ai vite compris que le pauvre si je le voulais devait passer des essais chez les maîtres. Sans aucun résultat acquis d’avance. Le repas fini on a eu un temps de repos où je me suis rapproché de lui.
J’ai envie de toi, comme actif ou comme passif.
Il a souri.
-J’avais remarqué tes coups d’œil et ton sexe qui soulevait le poids de tes couilles. Pour former un couple réel c’est impossible, on se doit de donner de sa personne ou de s’offrir mais j’ai autant envie que toi de te découvrir et je vais faire une demande aux maîtres. Je suis prêt à en subir les conséquences aussi dure qu’elles soient.
Ne fait rien d’irréparable, je les connais pour leur dureté. Quand il s’agit de sexe ils ne comprennent pas amour mais sexe. Et comme j’ai vu que tu ne portes aucuns rubans ils peuvent te faire mal.
-Je sais, j’ai déjà discuté avec des bleus et des rouges mais j’ai trop envie de te connaître et ni toi ni moi n’y pouvons rien sans passer par les maîtres.
En parlant je voyais bien qu’il avait envie sa belle queue de jeune était tendu et le gland dépassait du capuchon. Ses tétons, durs pointaient et ses lèvres entrouvertes laissaient voir ses dents parfaites et sa langue qui passait juste derrière.
Tu sais que je suis plutôt passif ?
-J’ai vu les rubans mais je suis bien sûr de te rendre aussi actif si je le veux. Je vais parler au majordome sans tarder. Je veux bien souffrir mais pas sans te connaître après.
Il n’a pas tardé et je l’ai vu discuter et le mec me regardait, l’air étonné.
-Trou ! Approche. Je viens d’avoir une demande surprenante de Bruno. Il souhaite être ton dominateur et que tu sois son esclave. Bien évidemment tu n’as rien à objecter. Il faut bien sûr que je parle aux deux maîtres. Il devra aussi faire ses preuves mais ça tu t’en doute et dans l’état où il est, il n’aura aucune peine à prendre qui lui sera désigné. En attendant je vous interdis de vous parler, j’aurais une réponse ce soir ou demain. Ne le touche pas mais suce-moi. Devant lui !
J’ai sucé ne pouvant qu’obéir, fermant les yeux et m’imaginant sucer Bruno. J’ai pris sa purée sur le visage, il s’était retiré juste à temps pour m’humilier devant Bruno. Il m’a regardé méprisant. Je vais voir ce que disent les maîtres, viens avec moi Bruno. Et toi tu suis pour qu’ils jugent. Ne te nettoie pas.
On est monté dans les étages nobles où ils prenaient un verre en matant les jeunes s’ébattre et plus, souvent bien plus.
-Alors Tom nous avons vu ce qui se passait mais pourquoi ?
-C’est simple mes maîtres, Bruno ici présent a demandé à avoir Trou comme esclave personnel.
-Bien. Je suppose que comme tu es venu librement chez nous tu as pu voir ce qu’était un esclave et que tu nous demande de te céder les droits que nous avons sur ce sujet ?
-Oui maîtres.
-Bien alors il te reste à payer pour le posséder. Tu en connais le prix ? Tu es près à cela ?
-Je le pense oui.
-Alors installe toi sur la table basse comme font les chiens, en levrette.
J’ai vu Bruno s’installer et de lui-même écarter ses fesses voyant son trou pour la première fois. Les maîtres ont dégagé leur sexe et il a sucé l’un après l’autre avant de se faire dépuceler par leur très belle bite. Il grognait mais ne gémissait pas, dents serrées. Il n’a pas dû être fécondé mais j’ai du moi aller lécher son anus rose ouvert.
-A toi Trou. Ce sera la dernière fois puisqu’après tu seras entièrement dépendant de Bruno Il s’est allongé à terre et je suis venu m’enfiler sur lui me collant à sa poitrine, offrant un peu de place pour le deuxième. A eux deux ils m’ont fait crier alternant les coups de reins, prenant le temps avant de se répandre en moi.
-Tom tu veilleras à redonner les vêtements de Bruno quant à celui-là, laisse-lui un pantalon de jogging et un débardeur ample avec des tennis sans lacets et raccompagne-les jusqu’au prochain croisement. Bruno a déjà signé la clause de discrétion et nous les libérons. Mais avant, approche Trou je vais fixer les anneaux prévus pour toi.
Il a tiré sur un des petits anneaux pour passer l’autre plus épais et plus lourd vissant l’embout jusqu’à le déformer et fait de même avec l’autre.
-Allez dégagez tous les deux. Tu feras mes amitiés à ton père Bruno.
Une fois dehors j’ai demandé à Tom une ceinture pour le jogging.
-Tu n’en avais pas en arrivant. Tu n’as qu’à le retenir de la main.
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