Ma vie 5
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 5
On s’est retrouvé à un carrefour où il nous a laissé sur le bas-côté.
Ton père savait que tu étais là ?
-Bien sûr il a aussi en plus modeste un château plus moderne pas très loin d’ici. Tu verras, c’est sympa le parc est vaste. Et pour mon père rassure toi, il est aussi passé par une maison d’éducation très semblable mais surement plus sévère. Bon je vais te donner ma ceinture, moi à ne rien faire mon jean tient bien. Les conducteurs ne sont pas comme chez vous et s’arrêtent facilement.
Ce ne fut pas le premier, une camionnette ni le suivant, complet mais le troisième s’est arrêté. Et allant vers chez Bruno nous a pratiquement déposé devant l’allée bordée d’arbres.
-Viens dans ce fourré je veux cette fois te connaître un maximum.
En peu de temps il a tout ôté sa queue raide était un appel pour moi et ôtant la ceinture le jogging est tombé à mes chevilles. Je me suis penché pour entamer une superbe pipe qu’il a apprécié. Je l’entendais au-dessus de moi haleter et se pencher sur mes fesses qu’il avait déjà vu longuement au château.
-Je veux tout de toi mais je te donnerais tout moi aussi. Il s’est laissé rouler à terre. Viens sur moi, ils pouvaient tous te prendre et je veux connaître ce plaisir là avant de me donner moi aussi.
Je me suis assis sur sa queue qui est entrée facilement malgré sa taille et je me suis penché sur ses lèvres pour goûter sa bouche et sa langue qui est vite venue fouiller après mes lèvres. Je me laissais aller sur sa queue en une lente reptation en va et vient. Ses yeux brillaient de plaisir.
-T‘es tout chaud à l’intérieur. Tu aimes avoir une bite dans ton anus ?
Tu l’as déjà vu que j’aimais.
-Mais la mienne ?
Oui j’aime elle est belle et je la sens bien.
-J’aimerais connaître ce plaisir aussi avec toi. Ce soir je serais à ta disposition totale. Pas maintenant car je vais... Ha. Oui. Je, je jouis ! Quel pied. Tu bandes, tu veux que je te fasse jouir ?
Non pas maintenant je veux te rendre heureux mais il faut que je sois en pleine forme.
-Et ça ! Elle n’est pas en pleine forme ta queue ?
Si, tu as raison, c’est mon cerveau qui n’arrive pas à m’imaginer prendre tes jolies fesses.
-Bon je vais t’aider. Il a plongé sur ma queue la suçant, pompant comme un mort de faim avant de s’allonger et de prendre ses pieds avec ses mains. Il n’est pas beau mon cul ? Aller viens j’ai trop envie de connaître les mêmes sensations que toi.
Tu auras mal au début !
-Je m’en fiche, encule-moi, là, de suite.
Je me suis avancé entre ses cuisses grandes ouvertes il me fixait des yeux. Alors moi le passif j’ai enfoncé lentement ma bite dans ce trou qui m’attendait. J’ai vu sur son visage une crispation au moment où le gland élargissait le passage et j’ai voulu arrêter.
-Continue ! Va bien au fond je veux sentir le poids attaché à tes couilles frapper mes fesses.
Alors j’y suis allé, une fois le gland passé je reste est entré tout seul.
-Attends ne bouge plus j’aime te sentir en moi, sentir mon trou ouvert par ta queue. En fait je te dépucelle la queue, je serais ton premier cul. Là, maintenant bourrine moi comme j’en ai vu faire certain. Même si je crie ou chiale baise moi fort.
Il n’a pas tout à fait chialé mais il me fixait et j’ai vu ses yeux humides et d’un coup il s’est tendu, arqué et a joui loin jusqu’à son menton. Il a lâché ses pieds pour entourer mes reins.
-Reste en moi, continue et joui aussi.
J’ai souri. Quand tu t’es tendu pour jouir, j’ai fait de même en toi. Il a relevé la tête pour me rouler une pelle, bouche ouverte, langue contre langue.
-Pour un passif tu te débrouilles bien. En fait il suffit de te dire que faire.
Si tu me domines en me disant ce que tu veux je pense y arriver. Là, c’est toi qui dirigeais et j’ai apprécié. Je ne suis pas du genre à sauter sur un mec mais quand un mec, toi par exemple me dis fait ceci ou cela j’obéis.
-Alors je vais te faire bosser. Mon cul a besoin de devenir ton trou à toi. Toi, je te sais assez ouvert et ça me satisfait très bien.
Il m’a fixé les yeux pétillants.
-Tu aimes dans cette position ou en levrette ? J’ai vu des mecs présenter leurs fesses comme ça et je veux ton avis.
Bon je vais être très franc. Je pense que par devant parfois c’est intimidant de te prendre parce que tu me regardes mais de dos si tu me dis : Prends-moi. Je n’aurais pas d’hésitation.
-Alors ok il s’est retourné et soulevant les reins. Prends-moi comme une chienne.
Il était magnifique, une chute de rein à damner et sa rondelle déjà refermée mais qui palpitait. Je n’ai pu que le prendre, doucement mais à fond. Ses gémissements résonnaient, étouffés par le feuillage. La boule de métal fixé à mes couilles battait les siennes et il a fini par s’écrouler.
-Waouh le bonheur. Tu es parfait, juste comme je veux, j’ai très bien choisi.
Toi oui mais que va penser ton père en me voyant.
-Oh lui ne t’inquiètes pas. Ma mère l’a quitté quand elle a découvert ses penchants. Elle a gardé ma sœur et mon père me garde. Je fais ce que je veux de mon corps, il le sait et a approuvé mon séjour au château où on s’est trouvé. Viens mais j’irais devant voir s’il est seul.
Hé ! je suis nu !
-Et alors tu es l’ami que je me suis choisi. Aller vient, il m’a tiré par la main.
Après le château la demeure était bien sur moins altière mais avait beaucoup de charme.
-Reste là, je laisse la porte ouverte je vais le voir.
Je ne crains rien ? Il n’a pas de chiens ?
-Mais non et je suis sûr qu’il nous a vu arriver, il y a des cameras partout dans le parc. D’ailleurs le voilà. Salut papa. Je viens d’’arriver.
-Et pas seul je vois.
-Non j’ai trouvé cet amour de beau mec et il est super à tout point de vue.
Il est apparu sur le seuil, pantalon clair, chemisette bleu ciel mocassin à ses pieds nus et m’a détaillé de pieds en cap.
-Il était esclave là-bas ?
-Oh c’est une longue histoire d’enlèvement à Paris.
-Tu me raconteras. Entre jeune homme, tu t’appelles ?
Éric monsieur.
-Moi c’est Paul et enlève le monsieur. Je suis gay aussi et Bruno le sait. Je lui ai toujours laissé chercher sa voie, homme ou femme et il avait demandé à aller d’où tu sors. Il a choisi et je pense bien choisi, je lui fais confiance.
-Papa, j’ai pensé, pour ne pas se gêner que l’on pourrait s’installer tous les deux dans le petit pavillon près du ruisseau. Tu pourrais avoir tes amis et moi le mien.
-Ces gamins pensent à tout. Mais oui c’est une bonne idée. Je vais envoyer Justin donner un coup de neuf rapide. Entrez donc, comment êtes-vous venus ? Pas nus surement !
Bruno a éclaté de rire.
-Non bien sur nos fringues sont dans un fourré je ne tenais plus d’envie et avant de rentrer…
-N’en dis pas plus.
-Je suppose que vous avez besoin de vous laver et de manger. Ici c’est meilleur que là-bas et le cuisinier va nous préparer un repas rapide dont il a le secret. Un verre en attendant ? Eau, alcool ? Inutile de te dire de te mettre à l’aise Éric, tu es chez toi ici.
Alors un alcool mais léger. Une bière par exemple.
-Bruno sait où il y en a et moi je préviens en cuisine pour nous trois.
-Je ne t’avais pas dit qu’il était super ?
Très cool c’est sûr.
-Viens sur la terrasse on pourra s’assoir sans salir.
Une fois assis sur un canapé en rotin, il avait posé de-suite la main sous ma queue, sur mes couilles et les caressait. Je n’ai pu m’empêcher de bander et son père est arrivé à ce moment.
-Ne soyez pas gênés. Je vois ce qui t’as plu fils ! Au moins elles pendent bien.
Je m’y suis habitué Paul et je suis sûr qu’il aime les voir pendre comme ça.
-Bon Bruno une fois la bière finie Justin vient de revenir, il a tout rétabli, eau, électricité et a coupé les caméras intérieures, emmène ton ami il est trop jeune pour moi et c’est surtout ton ami.
On a fini nos bières et il m’a mené jusqu’au pavillon. Certainement utilisé comme RDV de chasse il avait un style particulier mais une fois à l’intérieur j’ai vite remarqué qu’il servait à son père pour d’autres jeux particuliers. L’entrée était conventionnelle avec des fauteuils et des canapés mais avant l’escalier qui menait à l’étage habitable j’ai entrevu dans la pièce de côté une croix en bois et divers « tabourets « dont je devinais l’usage. Une fois au premier il m’a mené toujours nu comme lui dans la salle de bain fort bien équipée et une fois tous deux sous l’eau chaude il m’a embrassé. Ses mains étaient partout à la fois et je frissonnais sous ses caresses.
Ce qui devait arriver est arrivé et délaissant ma bouche il s’est collé à ma queue la pompant énergiquement pour stopper juste avant que je jouisse.
-J’ai quand même appris des choses au château, un orgasme ruiné te rendra encore plus coopératif ensuite. Il faut nous laver avant de nous habiller pour diner.
M’habiller avec quoi ?
-Ne t’affoles pas, Justin prévoit toujours tout et il y aura surement des trucs que tu pourras porter. Sans slip évidemment vu ce que tu as sous la bite. Au fait pendant que j’y pense tu commences à piquer quand je te suce. Tu as un problème pour une épilation complète ?
Non tu sais bien que je suis soumis et docile.
-Bien ce soir ce sera le dernier soir où on se suce après. Il faut le temps de refaire la flore intestinale et on remettra ce plaisir ensuite en se lavant les intestins. A propos suce moi pendant que je me sèche.
Il me plaisait ce mec et j’ai sucé avec plaisir, de toutes façons j’ai toujours aimé pomper. Lui n’a pas hésité à se vider dans ma bouche. Et j’ai tour avalé en le lavant de la langue pour finir.
-Sèche toi pendant que je regarde ce que l’on va mettre ce soir.
Il a disparu pour fouiller les placards et les tiroirs. J’ai pris le temps de me sécher les fesses et surtout autour du poids de mes couilles.
-Aller amène toi j’ai sorti de quoi te vêtir correctement pour le repas avec papa.
Lui était déjà habillé et à part le retour c’est la première fois que je le voyais vêtu.
Chic mec !
Il a ri.
-Il faut ça pour être correct et présenter un amour de mec à son père. Toi je t’ai mis des fringues sur le lit.
J’ai vu des socquettes roses et un pantalon à ma taille, genre jean mais classe et une chemise assortie aux socquettes. Une veste blanche et des mocassins à glands étaient posés sur le dos d’une chaise. Il avait bien jugé, tout était à ma taille et une fois vêtu je me suis trouvé bizarre, plus habitué.
C’est trop beau. Je n’ai jamais porté ce genre de fringues.
-Ne t’inquiètes pas, papa est brasseur et sa bière se vend bien je reprendrais l’affaire plus tard, bien plus tard j’espère.
Un coup de sonnette a retenti.
-Ce doit être Justin qui vient vérifier que tout va bien.
Il est descendu, je l’ai suivi et en effet un black tout sourire était à la porte. Tout jeune pour autant que je puisse juger. Il a d’abord dit qu’il était content du retour de Bruno avant de me regarder interrogatif.
-Oui Justin. C’est mon ami et tu le traiteras comme moi. Sans l’avoir vu tu as bien choisi les tailles.
-Hi, je vous avais vu dans l’allée arriver nus et j’ai pu juger. Je félicite monsieur pour son accessoire.
Pesant et remarquable sur l’agrandissement que j’ai fait en zoomant.
-Tu peux l’appeler Éric.
-Merci c’est plus simple. Enfin bref c’est pour vous dire que Monsieur Paul sera prêt et dans le salon le temps que vous lui montriez la rivière et le bassin.
-Ok on sera là. Viens Éric.
Pris par la main on a marché sur de la pelouse et le long d’une rivière très calme sous les arbres Jusqu’à une retenue d’eau.
-Imagine nous nus sur la pelouse au soleil ou dans l’eau à nous baigner. Le rêve non ?
Tout à fait, le rêve oui, je me suis penché sur son épaule il s’est renversé un peu et nos bouches se sont collées. Ma main s’est pose sur son pantalon.
Il ne fallait pas qu’on retrouve ton père ?
Ton père savait que tu étais là ?
-Bien sûr il a aussi en plus modeste un château plus moderne pas très loin d’ici. Tu verras, c’est sympa le parc est vaste. Et pour mon père rassure toi, il est aussi passé par une maison d’éducation très semblable mais surement plus sévère. Bon je vais te donner ma ceinture, moi à ne rien faire mon jean tient bien. Les conducteurs ne sont pas comme chez vous et s’arrêtent facilement.
Ce ne fut pas le premier, une camionnette ni le suivant, complet mais le troisième s’est arrêté. Et allant vers chez Bruno nous a pratiquement déposé devant l’allée bordée d’arbres.
-Viens dans ce fourré je veux cette fois te connaître un maximum.
En peu de temps il a tout ôté sa queue raide était un appel pour moi et ôtant la ceinture le jogging est tombé à mes chevilles. Je me suis penché pour entamer une superbe pipe qu’il a apprécié. Je l’entendais au-dessus de moi haleter et se pencher sur mes fesses qu’il avait déjà vu longuement au château.
-Je veux tout de toi mais je te donnerais tout moi aussi. Il s’est laissé rouler à terre. Viens sur moi, ils pouvaient tous te prendre et je veux connaître ce plaisir là avant de me donner moi aussi.
Je me suis assis sur sa queue qui est entrée facilement malgré sa taille et je me suis penché sur ses lèvres pour goûter sa bouche et sa langue qui est vite venue fouiller après mes lèvres. Je me laissais aller sur sa queue en une lente reptation en va et vient. Ses yeux brillaient de plaisir.
-T‘es tout chaud à l’intérieur. Tu aimes avoir une bite dans ton anus ?
Tu l’as déjà vu que j’aimais.
-Mais la mienne ?
Oui j’aime elle est belle et je la sens bien.
-J’aimerais connaître ce plaisir aussi avec toi. Ce soir je serais à ta disposition totale. Pas maintenant car je vais... Ha. Oui. Je, je jouis ! Quel pied. Tu bandes, tu veux que je te fasse jouir ?
Non pas maintenant je veux te rendre heureux mais il faut que je sois en pleine forme.
-Et ça ! Elle n’est pas en pleine forme ta queue ?
Si, tu as raison, c’est mon cerveau qui n’arrive pas à m’imaginer prendre tes jolies fesses.
-Bon je vais t’aider. Il a plongé sur ma queue la suçant, pompant comme un mort de faim avant de s’allonger et de prendre ses pieds avec ses mains. Il n’est pas beau mon cul ? Aller viens j’ai trop envie de connaître les mêmes sensations que toi.
Tu auras mal au début !
-Je m’en fiche, encule-moi, là, de suite.
Je me suis avancé entre ses cuisses grandes ouvertes il me fixait des yeux. Alors moi le passif j’ai enfoncé lentement ma bite dans ce trou qui m’attendait. J’ai vu sur son visage une crispation au moment où le gland élargissait le passage et j’ai voulu arrêter.
-Continue ! Va bien au fond je veux sentir le poids attaché à tes couilles frapper mes fesses.
Alors j’y suis allé, une fois le gland passé je reste est entré tout seul.
-Attends ne bouge plus j’aime te sentir en moi, sentir mon trou ouvert par ta queue. En fait je te dépucelle la queue, je serais ton premier cul. Là, maintenant bourrine moi comme j’en ai vu faire certain. Même si je crie ou chiale baise moi fort.
Il n’a pas tout à fait chialé mais il me fixait et j’ai vu ses yeux humides et d’un coup il s’est tendu, arqué et a joui loin jusqu’à son menton. Il a lâché ses pieds pour entourer mes reins.
-Reste en moi, continue et joui aussi.
J’ai souri. Quand tu t’es tendu pour jouir, j’ai fait de même en toi. Il a relevé la tête pour me rouler une pelle, bouche ouverte, langue contre langue.
-Pour un passif tu te débrouilles bien. En fait il suffit de te dire que faire.
Si tu me domines en me disant ce que tu veux je pense y arriver. Là, c’est toi qui dirigeais et j’ai apprécié. Je ne suis pas du genre à sauter sur un mec mais quand un mec, toi par exemple me dis fait ceci ou cela j’obéis.
-Alors je vais te faire bosser. Mon cul a besoin de devenir ton trou à toi. Toi, je te sais assez ouvert et ça me satisfait très bien.
Il m’a fixé les yeux pétillants.
-Tu aimes dans cette position ou en levrette ? J’ai vu des mecs présenter leurs fesses comme ça et je veux ton avis.
Bon je vais être très franc. Je pense que par devant parfois c’est intimidant de te prendre parce que tu me regardes mais de dos si tu me dis : Prends-moi. Je n’aurais pas d’hésitation.
-Alors ok il s’est retourné et soulevant les reins. Prends-moi comme une chienne.
Il était magnifique, une chute de rein à damner et sa rondelle déjà refermée mais qui palpitait. Je n’ai pu que le prendre, doucement mais à fond. Ses gémissements résonnaient, étouffés par le feuillage. La boule de métal fixé à mes couilles battait les siennes et il a fini par s’écrouler.
-Waouh le bonheur. Tu es parfait, juste comme je veux, j’ai très bien choisi.
Toi oui mais que va penser ton père en me voyant.
-Oh lui ne t’inquiètes pas. Ma mère l’a quitté quand elle a découvert ses penchants. Elle a gardé ma sœur et mon père me garde. Je fais ce que je veux de mon corps, il le sait et a approuvé mon séjour au château où on s’est trouvé. Viens mais j’irais devant voir s’il est seul.
Hé ! je suis nu !
-Et alors tu es l’ami que je me suis choisi. Aller vient, il m’a tiré par la main.
Après le château la demeure était bien sur moins altière mais avait beaucoup de charme.
-Reste là, je laisse la porte ouverte je vais le voir.
Je ne crains rien ? Il n’a pas de chiens ?
-Mais non et je suis sûr qu’il nous a vu arriver, il y a des cameras partout dans le parc. D’ailleurs le voilà. Salut papa. Je viens d’’arriver.
-Et pas seul je vois.
-Non j’ai trouvé cet amour de beau mec et il est super à tout point de vue.
Il est apparu sur le seuil, pantalon clair, chemisette bleu ciel mocassin à ses pieds nus et m’a détaillé de pieds en cap.
-Il était esclave là-bas ?
-Oh c’est une longue histoire d’enlèvement à Paris.
-Tu me raconteras. Entre jeune homme, tu t’appelles ?
Éric monsieur.
-Moi c’est Paul et enlève le monsieur. Je suis gay aussi et Bruno le sait. Je lui ai toujours laissé chercher sa voie, homme ou femme et il avait demandé à aller d’où tu sors. Il a choisi et je pense bien choisi, je lui fais confiance.
-Papa, j’ai pensé, pour ne pas se gêner que l’on pourrait s’installer tous les deux dans le petit pavillon près du ruisseau. Tu pourrais avoir tes amis et moi le mien.
-Ces gamins pensent à tout. Mais oui c’est une bonne idée. Je vais envoyer Justin donner un coup de neuf rapide. Entrez donc, comment êtes-vous venus ? Pas nus surement !
Bruno a éclaté de rire.
-Non bien sur nos fringues sont dans un fourré je ne tenais plus d’envie et avant de rentrer…
-N’en dis pas plus.
-Je suppose que vous avez besoin de vous laver et de manger. Ici c’est meilleur que là-bas et le cuisinier va nous préparer un repas rapide dont il a le secret. Un verre en attendant ? Eau, alcool ? Inutile de te dire de te mettre à l’aise Éric, tu es chez toi ici.
Alors un alcool mais léger. Une bière par exemple.
-Bruno sait où il y en a et moi je préviens en cuisine pour nous trois.
-Je ne t’avais pas dit qu’il était super ?
Très cool c’est sûr.
-Viens sur la terrasse on pourra s’assoir sans salir.
Une fois assis sur un canapé en rotin, il avait posé de-suite la main sous ma queue, sur mes couilles et les caressait. Je n’ai pu m’empêcher de bander et son père est arrivé à ce moment.
-Ne soyez pas gênés. Je vois ce qui t’as plu fils ! Au moins elles pendent bien.
Je m’y suis habitué Paul et je suis sûr qu’il aime les voir pendre comme ça.
-Bon Bruno une fois la bière finie Justin vient de revenir, il a tout rétabli, eau, électricité et a coupé les caméras intérieures, emmène ton ami il est trop jeune pour moi et c’est surtout ton ami.
On a fini nos bières et il m’a mené jusqu’au pavillon. Certainement utilisé comme RDV de chasse il avait un style particulier mais une fois à l’intérieur j’ai vite remarqué qu’il servait à son père pour d’autres jeux particuliers. L’entrée était conventionnelle avec des fauteuils et des canapés mais avant l’escalier qui menait à l’étage habitable j’ai entrevu dans la pièce de côté une croix en bois et divers « tabourets « dont je devinais l’usage. Une fois au premier il m’a mené toujours nu comme lui dans la salle de bain fort bien équipée et une fois tous deux sous l’eau chaude il m’a embrassé. Ses mains étaient partout à la fois et je frissonnais sous ses caresses.
Ce qui devait arriver est arrivé et délaissant ma bouche il s’est collé à ma queue la pompant énergiquement pour stopper juste avant que je jouisse.
-J’ai quand même appris des choses au château, un orgasme ruiné te rendra encore plus coopératif ensuite. Il faut nous laver avant de nous habiller pour diner.
M’habiller avec quoi ?
-Ne t’affoles pas, Justin prévoit toujours tout et il y aura surement des trucs que tu pourras porter. Sans slip évidemment vu ce que tu as sous la bite. Au fait pendant que j’y pense tu commences à piquer quand je te suce. Tu as un problème pour une épilation complète ?
Non tu sais bien que je suis soumis et docile.
-Bien ce soir ce sera le dernier soir où on se suce après. Il faut le temps de refaire la flore intestinale et on remettra ce plaisir ensuite en se lavant les intestins. A propos suce moi pendant que je me sèche.
Il me plaisait ce mec et j’ai sucé avec plaisir, de toutes façons j’ai toujours aimé pomper. Lui n’a pas hésité à se vider dans ma bouche. Et j’ai tour avalé en le lavant de la langue pour finir.
-Sèche toi pendant que je regarde ce que l’on va mettre ce soir.
Il a disparu pour fouiller les placards et les tiroirs. J’ai pris le temps de me sécher les fesses et surtout autour du poids de mes couilles.
-Aller amène toi j’ai sorti de quoi te vêtir correctement pour le repas avec papa.
Lui était déjà habillé et à part le retour c’est la première fois que je le voyais vêtu.
Chic mec !
Il a ri.
-Il faut ça pour être correct et présenter un amour de mec à son père. Toi je t’ai mis des fringues sur le lit.
J’ai vu des socquettes roses et un pantalon à ma taille, genre jean mais classe et une chemise assortie aux socquettes. Une veste blanche et des mocassins à glands étaient posés sur le dos d’une chaise. Il avait bien jugé, tout était à ma taille et une fois vêtu je me suis trouvé bizarre, plus habitué.
C’est trop beau. Je n’ai jamais porté ce genre de fringues.
-Ne t’inquiètes pas, papa est brasseur et sa bière se vend bien je reprendrais l’affaire plus tard, bien plus tard j’espère.
Un coup de sonnette a retenti.
-Ce doit être Justin qui vient vérifier que tout va bien.
Il est descendu, je l’ai suivi et en effet un black tout sourire était à la porte. Tout jeune pour autant que je puisse juger. Il a d’abord dit qu’il était content du retour de Bruno avant de me regarder interrogatif.
-Oui Justin. C’est mon ami et tu le traiteras comme moi. Sans l’avoir vu tu as bien choisi les tailles.
-Hi, je vous avais vu dans l’allée arriver nus et j’ai pu juger. Je félicite monsieur pour son accessoire.
Pesant et remarquable sur l’agrandissement que j’ai fait en zoomant.
-Tu peux l’appeler Éric.
-Merci c’est plus simple. Enfin bref c’est pour vous dire que Monsieur Paul sera prêt et dans le salon le temps que vous lui montriez la rivière et le bassin.
-Ok on sera là. Viens Éric.
Pris par la main on a marché sur de la pelouse et le long d’une rivière très calme sous les arbres Jusqu’à une retenue d’eau.
-Imagine nous nus sur la pelouse au soleil ou dans l’eau à nous baigner. Le rêve non ?
Tout à fait, le rêve oui, je me suis penché sur son épaule il s’est renversé un peu et nos bouches se sont collées. Ma main s’est pose sur son pantalon.
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Très excitant et bien raconté. J'apprécie beaucoup (comme le choix de ta photo de profil...